The tailor is not rich
L’enfant et le cheval
Portait de rue
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L'article sur la mission humanitaire pour l'Ukrain…
Le cycliste et le rickshaw
Photo de famille
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Kullu street (2)
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Il n'y a pire sourd que celui qui ne veut pas ente…
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1/80 • f/2.8 • 70.0 mm • ISO 800 •
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Photos avec un message, une alerte , une émotion, un symbole, une réflexion, une drôlerie
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L’ancien barbier
Agra (Inde) - Au début j’ai cru que c’était la boutique d’un barbier qui attendait le client. Mais en voyant l’état de délabrement du salon, j’ai douté. Le vieil homme m’a expliqué qu’il ne travaillait plus, car il était trop âgé. Comme il n’avait pas assez d’argent, ni de famille, il vivait dans son ancienne boutique. Une boutique qui n’a même pas de porte. Et ce jour là, il faisait très froid.
Pas loin de là, des millions de touristes s'acquittent chacun d'un montant de 16 dollars par personne pour visiter le Taj Mahal, classé au Patrimoine mondial de l'Unesco. Il y a quelques chose qui ne fonctionne pas dans ce bas monde.
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Pas loin de là, des millions de touristes s'acquittent chacun d'un montant de 16 dollars par personne pour visiter le Taj Mahal, classé au Patrimoine mondial de l'Unesco. Il y a quelques chose qui ne fonctionne pas dans ce bas monde.
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Jean-luc Drouin club has replied to Julien Rappaport clubIl y a encore beaucoup à faire en Inde pour éradiquer la pauvreté.
Bonne journée. Amitiés
En Inde et au-delà... malheureusement ça s'aggrave, Jean-luc
Jean-luc Drouin club has replied to Annaig56 clubEn Inde, il n'y a pas de retraite. C'est à la famille de se charge des aînés. Mais quand on n'a pas de famille on est dans la m...
Annaig56 club has replied to Jean-luc Drouin clubJean-luc Drouin club has replied to Annaig56 clubAnnaig56 club has replied to Jean-luc Drouin clubHis story is heartbreaking, but I guess all to common in India and many other places round the world :-(
HUGSSSS
Leib erfahren, ehe er bereit ist, das Leid Anderer zu sehen und zu begreifen.
Jean-luc Drouin club has replied to Yves SaulnierJe suis un peu de l'avis de Betty : la situation que tu décris se développe chez nous aussi en occident - même si elle a toujours existé.
Tu te rends compte que l'idée même de lui donner 100 roupies (1€20) t'a échappé sur le moment. Nos préoccupations de nantis nous font marcher sur la tête. Toi, encore, tu vas sur place et je ne doute pas que tu aides de façon concrète des démunis.
Jean-luc Drouin club has replied to Eric Desjours club100 roupies en Inde en 2016, permettait à une famille de 5 personnes de vivre une journée. Frais de scolarité des enfants compris. La part la plus élevée du budget quotidien avec l'électricité (très chère) et le kérosène pour cuisiner. En règle générale, l' obole donnée par un Indien à un mendiant se chiffre à une ou deux roupies. 100 roupies pour un pauvre homme comme lui c'est noël si je puis me permettre cette image. Il m'est arrivé de donner à plusieurs reprises 50 euros un ami -que j'ai connu quand il avait 12 ans et cirait les chaussures devant le restaurant où j'ai mes habitudes. I a pu se payer un pousse-pousse. Même chose avec un ami à Varanasi que j'ai connu aussi quand il était adolescent. Mais lui, c'était pour permettre à ses enfants d'aller à l'école. La liste n'est pas exhaustive et je ne cherche pas de médailles. Quand on donne dans ces il faut le faire avec discernement. Un billet de 10 dollars à un enfant des rues peut nous donner bonne conscience, mais le gamin qui ne ramènera que deux roupies le lendemain à sa famille, pourrait bien tâter du bâton. Ce qui l'incitera par la suite à voler pour éviter de se faire battre.
Alors que les mendiants avaient quasiment disparus des rue de Delhi dans les années 2000 (refoulés par la police à la périphérie) sont revenus en forces à partir de 2016. La dernière fois que j'y suis retourné fin 2018, on se serait cru revenu aux années 1980. Je n'ose imaginer la situation aujourd'hui après la pandémie. Je suis toujours en contact avec l'équipe soignante d'Action Bénarès à Varanasi et les vidéos que mes amis m'envoient régulièrement me font penser qu'il ne me sera désormais plus possible de voyager en Inde que dans le cadre d'une mission humanitaire. Faire le photographe-voyageur insouciant m'est insupportable.
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