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Père et fils (Roumanie 1991)
Concert improvisé à l'orphelinat
Une dernière danse
Que la fête commence !
Prendre son mal en patience
Le bisou qui fait la différence
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Le pavillon flotte sur le violon
Cosaque à vélo ?
La Roumanie en roue libre
Noblesse roumaine
Le caneton de l'amitié !
Partie de campagne
Scène bucolique dans les Carpates
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Dieu en ligne
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Marché de Bogdan Voda
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Le "Crin Blanc" des Carpates
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Chaud devant !
Un air austère qui cache une belle personnalité
Eternelle Roumanie
Le premier qui rira...
Du poisson en guise de salaire
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La partie de pêche se termine
Retour de pêche
Ballet nautique à Villondi
Le jour se lève sur Rameswaram
Portraits indiens
Un été à la plage
Tu veux ma photo ?
Rameswaram au rythme du vélo
L'Inde en mode détente
1/125 • f/5.0 • 20.5 mm • ISO 800 •
FUJIFILM X-Pro1
XF18-55mmF2.8-4 R LM OIS
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Vos photos de choc sans discrimination / Tus fotos de choque indiscriminado
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Photos avec un message, une alerte , une émotion, un symbole, une réflexion, une drôlerie
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I LOVE IT ! ★ J'AIME CELA ! ★ DAS LIEBE ICH ! ★ MI PIACE MOLTO !
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Massacre à la tronçonneuse
Salistea (Roumanie) - Même si je ne suis resté que trois jours dans la région du Maramures, j’ai eu le temps de nouer des contacts avec au moins trois personnes pour me faciliter l’accès au quotidien des habitants locaux. Cette petite scierie artisanale en est un exemple. L’accueil des salariés a été chaleureux. J’ai pu photographier pendant une vingtaine de minutes avec pour seule contrainte, le respect d’une ou deux consignes de sécurité. Ces hommes ne sont que des salariés qui travaillent pour gagner leur vie. Ils ne sont qu'un petit rouage dans un système qui les dépasse. Ils n'ont pas conscience que leur activité, si elle n'est pas contrôlée, ne sera pas durable. Mais eux, que peuvent-ils y faire ?
L’exploitation du bois est une véritable industrie en Roumanie. Chaque année, dix-sept millions de mètres cubes disparaissent légalement. Sans compter les coupes illégales. Ici, la législation est très permissive, contrairement aux pays voisins qui interdisent désormais l’exportation de certaines essences. Si le marché du traitement du bois reste dominé par des sociétés autrichiennes, la Chine importe sans compter, au rythme de sa croissance. Ce pays prédateur a exporté en retour dans les forêts roumaines, sa redoutable termite dite « termite chinoise ». Les ravages qu’elle occasionne, aggravent une déforestation déjà bien avancée. La Roumanie qui autrefois apportait elle-même son bois en le transformant notamment en meubles de qualité, a délaissé cette activité au profit de sociétés étrangères.
Les groupes étrangers n’hésitent pas à corrompre pour satisfaire plus encore, que ne l’autorise déjà la loi, leur irrépressible besoin en ressources forestières. Elles ont actuellement la volonté d’inciter l’Etat Roumain à modifier sa législation afin de réduire l’âge minimum pour la coupe du bois. A ce rythme, si la Roumanie reste un « Eldorado vert » pour ses prédateurs, ça risque de ne pas durer. Faute d’arbres à exploiter.
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L’exploitation du bois est une véritable industrie en Roumanie. Chaque année, dix-sept millions de mètres cubes disparaissent légalement. Sans compter les coupes illégales. Ici, la législation est très permissive, contrairement aux pays voisins qui interdisent désormais l’exportation de certaines essences. Si le marché du traitement du bois reste dominé par des sociétés autrichiennes, la Chine importe sans compter, au rythme de sa croissance. Ce pays prédateur a exporté en retour dans les forêts roumaines, sa redoutable termite dite « termite chinoise ». Les ravages qu’elle occasionne, aggravent une déforestation déjà bien avancée. La Roumanie qui autrefois apportait elle-même son bois en le transformant notamment en meubles de qualité, a délaissé cette activité au profit de sociétés étrangères.
Les groupes étrangers n’hésitent pas à corrompre pour satisfaire plus encore, que ne l’autorise déjà la loi, leur irrépressible besoin en ressources forestières. Elles ont actuellement la volonté d’inciter l’Etat Roumain à modifier sa législation afin de réduire l’âge minimum pour la coupe du bois. A ce rythme, si la Roumanie reste un « Eldorado vert » pour ses prédateurs, ça risque de ne pas durer. Faute d’arbres à exploiter.
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Le texte, excellent, provient d'une réalité effrayante
Merci, Jean-luc
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