Prendre son mal en patience
Le bisou qui fait la différence
Les marionnettes de la liberté
Le pavillon flotte sur le violon
Cosaque à vélo ?
La Roumanie en roue libre
Noblesse roumaine
Le caneton de l'amitié !
Partie de campagne
Scène bucolique dans les Carpates
Le gardien du temple
Sikhs de père en fils
Moine-guerrier sikh
La femme aux poissons
Bain sacré
Dieu en ligne
Photo de famille
Ultime rayon de soleil sur Mamallapuram
Ma photo du jour : procès du "Cuba Libre"
Procès du Cuba Libre
Journal télévisé
Procès du "Cuba Libre"
Bhaktapur
Une dernière danse
Concert improvisé à l'orphelinat
Père et fils (Roumanie 1991)
Lessive matinale
Dernier voyage
Massacre à la tronçonneuse
Marché de Bogdan Voda
Tu offres ta tournée Ioan ?
Le "Crin Blanc" des Carpates
A hue et à dia !
Portrait des champs
Une vie au plus près de la nature
Chaud devant !
Un air austère qui cache une belle personnalité
Eternelle Roumanie
Le premier qui rira...
Du poisson en guise de salaire
Halage des filets de pêche
Encore un effort !
La partie de pêche se termine
Retour de pêche
Ballet nautique à Villondi
1/10 • f/11.0 • 50.0 mm • ISO 100 •
NIKON CORPORATION NIKON D750
Sigma Macro 50mm F2.8 EX DG
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Vos photos de choc sans discrimination / Tus fotos de choque indiscriminado
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Photos avec un message, une alerte , une émotion, un symbole, une réflexion, une drôlerie
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Que la fête commence !
Timisoara (Roumanie 1990) - Cette ville, berceau de l’insurrection qui un mois plus tôt a fait tomber Ceausescu, était la première étape roumaine de l’association «Artistes d’un monde sans frontières». Un groupe hétéroclite d’artistes professionnels et amateurs, venus de tous les horizons. Personne ne nous attendait. L’équipe s’est installée sur la place du centre-ville. Les artistes de rue (clowns, jongleurs, cracheurs de feu…) sont déjà à pied d’oeuvre. Le spectacle improvisé ravi les passants qui semblent apprécier les bateleurs accompagnés d’un quintette de clarinettistes situé hors-champ. C’est à ce moment que Jean-Patrice, dans son rôle de clown, va chercher une femme dans la foule pour faire quelques pas de danse. Quelques minutes plus tard la place centrale se transforme en bal populaire. Rien n’était prévu.
Hormis les clarinettistes, les artistes ne se connaissaient pas avant le départ. Malgré l’absence de répétitions, chacun joue son rôle laissant libre-court à la spontanéité. Et comme par miracle, tout fonctionne.
Au bout d’une heure et demi de spectacle, les gens sont venus nous remercier, nous assurant du bonheur que cet événement leur a procuré. Ils voulaient parler. Tout simplement. C’était la première fois depuis des années, que leur parole était libérée. Un homme m’a même confié que c’était la première fois depuis 15 ans qu’il assistait à un spectacle.
Le directeur d’un théâtre dont l’établissement était fermé depuis plusieurs années, assistait à la représentation improvisée. Il a proposé à l’association qu’elle se produise le soir même pour un grand spectacle gratuit dans son théâtre. Réinvestir un théâtre a été l’un des grands « faits d’armes » de cette association aujourd’hui disparue.
Le seul qui n'était pas artiste dans la bande, c'était moi. J'étais chargé d'assurer le reportage de ce road-trip artistique et humanitaire.
Nikon F2, 35 mm f : 2, Ilford HP5 +. Négatif numérisé avec un Nikon D 750 sur banc de reproduction.
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Hormis les clarinettistes, les artistes ne se connaissaient pas avant le départ. Malgré l’absence de répétitions, chacun joue son rôle laissant libre-court à la spontanéité. Et comme par miracle, tout fonctionne.
Au bout d’une heure et demi de spectacle, les gens sont venus nous remercier, nous assurant du bonheur que cet événement leur a procuré. Ils voulaient parler. Tout simplement. C’était la première fois depuis des années, que leur parole était libérée. Un homme m’a même confié que c’était la première fois depuis 15 ans qu’il assistait à un spectacle.
Le directeur d’un théâtre dont l’établissement était fermé depuis plusieurs années, assistait à la représentation improvisée. Il a proposé à l’association qu’elle se produise le soir même pour un grand spectacle gratuit dans son théâtre. Réinvestir un théâtre a été l’un des grands « faits d’armes » de cette association aujourd’hui disparue.
Le seul qui n'était pas artiste dans la bande, c'était moi. J'étais chargé d'assurer le reportage de ce road-trip artistique et humanitaire.
Nikon F2, 35 mm f : 2, Ilford HP5 +. Négatif numérisé avec un Nikon D 750 sur banc de reproduction.
TRIPOD MAN, Laura Perinelli, LotharW, Tanja - Loughcrew and 34 other people have particularly liked this photo
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Have a nice weekend.
Superbe reportage..Bon week-end.
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Un excellent document, Jean-luc
Excusez moi ? Pas d'artiste ? Oh oui, les photos sont prises par l'appareil photo seul... ;-)
(Traduit par DeepL)
Jean-luc Drouin club has replied to Leon_Vienna clubA l'époque comme aujourd'hui, j'ai une démarche journalistique. Rien de moins, rien de plus. Maintenant, "témoigner du monde" avec un appareil photo, n'empêche pas d'avoir une démarche "d'auteur", (les grands mots son lâchés !).
Jean-luc Drouin club has replied to Dominique 60 clubSign-in to write a comment.