guenievre's favorite articles

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  • Home

    Poem Margurite Kingman The firelight glows The embers sigh We dream We doze The cat and I The kitten purrs The kettle sings And the heart remembers The little things Le feu rougeoie Les braises soupirent Nous rêvons Nous sommeillons Le chat et moi Le chaton ronronne Le bouilloire chante Et le cœur rappelle Les petites choses El fuego brilla Las brasas suspiran Soñamos Dormitamos El gato y…

  • :-)

    There's always some lunetic that spoils your holiday picture... Il y a toujours un fou qui gâche ta photo de vacances..... Es gibt immer einen Blöde der den Ferienbild verdirbt... Hay siempre un loco que estropea su foto de vacaciones.. C'è sempre uno pazzo che sciupa la tua foto di vacanza...

  • LES PAS DU SILENCE

    Poème de Claude ROY, dédié à qui saura l'écouter...

  • SABLES MOUVANTS

    Une visite impromptue me restitue l'image d'un film que je croyais avoir. oublié et l'intégralité, me semble t'il, du poème de PréVERT...

  • MES NEREIDES

    Séquence nostalgie ... "Que sont mes amies devenues Que j'avais de si près connues Et tant aimées ..."

  • AIMER

    Verbe du premier groupe. Forme active. Se conjugue comme : chanter, marcher,danser, nager, et le plus souvent à la première personne du singulier. Mais pour aimer, s'il n' y a qu'un seul sujet, il convient de noter que l'objet peut être multiple... Quelques exemples, et pour commencer , ce propos de Jacques LACAN pour nous donner à nous y reprendre à deux fois avant de nous aventurer à donner notre définition : "Aimer c'est donner ce que l'on n'a pas, à quelqu'un qui n'en veut pas."

  • Slope - Vertente

    I Start Climbing the Slope at Uncertain Rhythm
    The inclined slope is brief and fleeting in its declivity vertical trees at the background horizon insert themselves into the terrain drawing angles. A tired glance towards origin into the womb to the parched and paltry land where cattle flies in the air are almost clever beings because they insinuate into the eyes and the honey of our ears with the acumen of whom dives into waters and the indifference…

  • Que de larmes...

    Que de larmes...
    Que de larmes sont souvent apparentes Dans le creuset des noires profondeurs Qui naissent et se figent en perles irisantes. Un ange les recueille sur son cœur Et de ses doigts légers les endiamantent D’un baiser suspendu à l’ourlet de ses lèvres, Instant divin en élixir de genièvre. L’éternité s’embrase et se fait plénitude de fièvre. Les perles d’amour sont des joyaux d’argile…

  • La force des mots...

    La force des mots...
    La force de mes mots n’a su atteindre L’écrin de ton cœur et ma vie se meurt sans fin Aux abords d’horizons à étreindre. Descend, légère, la brume de l’automne Où ces soirs s’allongent aux heures monotones. Mon chant s’élève au ciel en notes égarées Pour tarir un instant au silence glacé. Il expire comme le son d’un violon blessé Que son archet torture sous la lune dorée. Mais…

  • Il suffit d'un soir...

    Il  suffit d'un soir...
    Il suffit d’un soir, écumes noires Venues surement de nulle part, Une silhouette surgit du brouillard Qui vint atteindre ma mémoire. Dans son regard gisaient tous les hiers Et je me reculais, un pas en arrière. Dans l’ombre, j’ai vu son sourire, L’éclat de ses dents et son désir. Ma fuite éperdue en garde les frissons De l’humble souvenir à mon horizon. Une source de lumière m’…

  • Solitude...

    Solitude
    Tant de chagrins ont creusé mon chemin ! Tant d’instants incertains ont mené mon destin ! L’espoir a fui aux rives du torrent de ma vie. Je me suis échouée comme une épave oubliée. J’ai attendu et personne n’est venu me consoler. Je me suis relevée, seule, à force de me répéter Que la vie est combat, que l’on ne doit s’abandonner. Dans l’eau pure de ses yeux, j’avais cru y trouver Tous les…

  • Si j'avais une muse... (simple fiction il va s'en dire !)

    A ma muse...
    Où es-tu ma muse ? Reviens me taquiner. Je t’en prie, sans toi Plus rien ne m’amuse. Je baisse mon pavois. J’oublie de respirer… Mes vers me fuient Alors que tout m’ennuie. A genoux, je me désespère. Je t’appelle en prières. Entends-tu mes sanglots ? C’est le cri du silence Qui provoque ma transe Mais ta voix est celle qui p…

  • J'ai pris...

    J'ai pris..
    J’ai pris ma plume ce soir Emplie de rêves et d’espoirs. Et la voilà qui trace ces lignes Sans m’avoir seulement fait un signe. Mes murmures, mes mots envolés, Gracieusement s’éparpillent sur mon feuillet En vagues brodées à l’âme ourlée. C’est comme un air retrouvé, Que j’avais perdu un instant, désolée. Mon cœur a bondi au-devant De mes sinueuses pensées. Je tisse…

  • La lune pleure

    La lune pleure
    La lune, cette nuit, a pleuré Des larmes d’étoiles, inconsolée. Mes yeux rivés vers sa face, Je m’apitoyais pour cette disgrâce. D’un tourbillon brumeux, ce néant L’engloutit dans un gouffre béant. Pourchassée par des nuées vaporeuses, Elle disparut dans la grande nébuleuse. On entendit un long sanglot étouffé Comme le son d’un violon éraillé. Il faut que revienne s…

  • JE SUIS.

    En ce petit matin, je suis sur ma terrasse et le jour se lève... Pas un bruit, si ce n'est en prêtant l'oreille au silence quelque pépiements d'oiseaux. Un couple de tourterelles il y a quelques minutes célébrait à sa façon le printemps, dans un joyeux tintamarre : des ailes qui battent, des cris de plaisir ou de douleur - allez savoir - qui ont duré quelques instants. L'olivier était leur nid d'amour. J'étais comme le témoin amusé de leurs ébats...Dont ils n'avaient rien à faire, occupés comme ils étaient. Maintenant je savoure ces instants paisibles, parfumés de roses. Mes pieds nus sont au contact du sol. Je regarde les frondaisons des arbres et, par dessus, le ciel mauve où se dessine le premier croissant de la lune montante. Je respire et sens l'air emplir mon ventre, ma poitrine. Je perçois sur la peau comme un léger souffle. Ma bouche est emplie de salive... Il me semble être en état d'apesanteur...Une belle journée s'annonce et je fais partie de ce présent en mouvement...immobile. Ah ! J'oubliais, cette nuit j'ai rêvé de l'enfant que j'étais, dans une campagne, en un tout autre mai. Tous mes sens en éveil . A l'aube .

  • Liberty - Liberdade

    April 24th, 1974
    From the to be or not to be discussion the liberty was still feasible. Obscurantist spikes germinated on the fields among tired arms of the classes struggle machines reaped everything. In the factory production graphs expressed the boss' exploitation soon after there were no graphs neither production nor boss. Cybernetics was ignored in the impasse either for budget deficit or by any growing excess of ignorance in the city.…

  • L'AMOUREUSE

    Mourir de ne pas mourir. Paul EUARD

  • "Les mots s'en vont" de Jean-Pierre Reginal: Découvrez cet auteur-compositeur interprète

    Merci à Luc Melmont qui vient de me faire découvrir cet artiste dont les chansons sont françaises et de haute qualité musicale avec une vraie interprétation d'un artiste sensible, émouvant avec une voix qui m'a fait frémir. Pour moi, c'est Le signe....

  • Quand l'opéra s'invite là où on ne l'attend pas

    Au café Au resto Dans un centre commercial Au marché un plaisir de voir la réaction des clients qui ne se doutaient de rien !

  • Si je porte à mon cou ce souvenir de toi...

    Helenapaule Pour tricoter la laine rose D’un beau nuage sans pareil J’ai pris deux rayons de soleil Posés sur le cœur d’une rose. De leurs cliquetis jusqu’au soir, Tel le vibrato d’une harpe, Est apparue une belle écharpe Douce comme un ruban d’espoir. Avec ses franges de tendresse Prises sur quelques pans de ciel Où coulait de l’or et son miel, Je la déroule à ton adresse. Je ne l’ai faite que pour toi En y mettant toute mon âme Et tout cet am…

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