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Je suis venue sous l’azur étoilé Ivre du temps vivace et du jour retrouvé, A l’heure où la lumière baise mon front levé. Mon cœur était fervent, doux et léger Car je me coulais dans ma vie esseulée. Je ne souffrais pas d’une parole faussée. Cette parole qui se tait tant elle est usée Quand les mots se meurent, abandonnés. Je rêvais de doux vers à frôler l’âme, Le cœur et l’esprit en joyeuse trame Où la rime va sans bruit, sans drame Et glisse sereine comme une rame. J’allais lenteme…

De sa bouche avide, elle effleure son mâle visage Du plus doux et sensuel des baisers, tel un mirage. De ses mains soyeuses caresser ses cheveux Et s’enivrer de son parfum musqué, voluptueux ! Des mots d’amour murmurés à son oreille attendrie Sont des pétales de roses à son cœur alangui. La chaleur de son torse serré contre le sien blotti L’enflamme à son perpétuel désir, un instant, surpris. Ses doigts épousent ses courbes voluptueuses. Ses reins ondulent, danse et cadence langoure…

It's a grey day mild I become sleepy not from wine but from aging that inebriates my remains of health vitality and movement in meantime my memory doesn't feel sorry because after lunch falls asleep. Está um dia cinzento cálido fico sonolento não de vinho mas da idade que inebria o que me resta de saúde vitalidade e movimento entretanto minha memória não se compadece porque depois do almoço adormece. by Armando TABORDA, 2013 (article 1st edition, 2013; 2nd…

Depuis ma fenêtre, il y a la maison d’à côté. Une bâtisse ordinaire aux toits d’ardoises grisées, Une façade massive en pierres usées, Un jardin délaissé envahi d’herbes folles Qui poussent en liberté et farandoles. Court le lierre sur les façades fendillées. Se devine une table, une chaise, rouillées, Des pots de fleurs presque tous renversés. Un saule majestueux, de ses branches fragiles Balaient le sol sur un tapis de feuilles graciles. Tout respire un calme, un silence tranquille.…

Les nuages et les sourires... L'air pur et les rires... Des enfants...j 'entends... En voyageant ...à travers les nuages... ©Elisabeth (moi,élo) 24/04/2013

L’ombre du soir creuse d’anciens silences Où se sont perdues les voix d’êtres aimés. Les étoiles ont pâli depuis leur absence. Les souvenirs d’antan, un instant, ravivés Laissent au cœur des soupirs au goût altéré. J’écoute le temps se déchirer au vent solitaire. La conscience m’ouvre ses portes au mystère. Où aller si personne n’est là pour me guider ? Où mourir si personne n’est là pour souffler La lampe que j’ai mise au seuil de mon foyer, Quand je m’en irais, un jour, tous les…

Une toile d araignée... Des perles de rosée... Telle une furie, le vent glacial Traverse ces fils de dentelles bien ficelés... Secousse frénétique....acrobatique... Il tombe... Au loin, La mélodie des goutelettes, Résonne encore dans sa tête... En songeant à la petite araignée Pliée de rire, De son croche-pied brodé improvisé. Effet ricochet, L'Echo S'est propagé... Dispersant la joie dans la vallée. .... Et, le vent, lui-même, touché d'humanité... S'est vu se tran…

Dans ses yeux englués de rêve, Je vis l’espoir, j’y vis la peine… J’aurais voulu me mirer à leurs fontaines ! J’ai mis mes pas dans ses silences Vers la trace de ses absences. Mes appels vains, fous et murmurés Hantent à jamais le ciel étoilé. Je me suis blottie au fond des nuits Pour cacher ce lourd secret enfui. Seule, avec dans la poitrine, ce vide…

Quand j'étais enfant, je vivais dans l'arrière pays niçois, pays montagneux, très pauvre. L'hiver, on se réunissait et on faisait la veillée. Les adultes racontaient des histoires qui nous terrifiaient: loups, brigands; fantômes.....J'ai longtemps entendu parler des " ,passeurs" sans comprendre de quoi il s'agissait. Ces personnages, pour moi, étaient auréolés de mystère ....les "anciens" parlaient du froid, de la neige, des pieds qui saignaient... des "traitres"..."des collabos"... je ne compre…

Au jardin de mon père, y avait une merveille ! Un petit banc de bois peint tout en vert-bouteille Qu’il avait lui-même façonné et sculpté. Il trônait dans un angle parmi les rosiers. Inutile de vous dire comme cet endroit embaumait Et d’où me vient l’amour pour ma fleur préférée… C’était profusion de corolles colorées, De boutons dans leurs corselets serrés, De roses éc…

Volubilis est une ville antique amazighe (berbère) romanisée située sur les bords de Oued Khoumane, rivière de la banlieue de Meknès (Maroc), non loin de la ville sainte de Moulay Idriss Zerhoun où repose Idrîs Ier. Le nom de la ville vient du latin volubilis signifiant « qui tourne, qui a un mouvement giratoire ». Le nom berbère de la ville est Walili, Oualili, ou Walila (arabe : walila) qui désigne la fleur de liseron. La ville vivait du commerce de l'huile d'olive. On retrouve…

Et je peins les vers de mes poèmes Au gré de mes humeurs bohèmes. Tout naît du temps qui me traverse Comme une symphonie me berce. Ô poésie ! Art à l’écriture de pluie Qu’essouffle des vertiges lointains, Je tiens au bout de mes songes gris Des synapses fleuries au doux parfum. Ma pensée se cueille au néant. Je me dis que cela devient dément. J’écoute la musique…

www.ipernity.com/blog/50395/65898

Article posté la première fois le 4 mars 2012 à 7 h 30 Histoire et origine de la fête des Grand-Mères La Fête des grand-mères n'est pas une fête très ancienne, en effet elle a été créée dans les années 80 par la marque de café Grand Mère. Depuis, on fête "officiellement" nos grands mères chaque premier dimanche de mars. La Fête est maintenant inscrite dans les calendriers français. Bien que cette fête soit d'origine commerciale, c'est tout de même l'occasion de dire à nos grand-mères combien nous les aimons.

Belles, courageuses, combatives... Il y a tant de femmes dans notre vie et si peu de temps pour les fêter.

Letra y música: Víctor Jara Arreglo: Quilapayun Levántate y mira la montaña de donde viene el viento, el sol y el agua. Tú que manejas el curso de los ríos, tú que sembraste el vuelo de tu alma. Levántate y mírate las manos para crecer estréchala a tu hermano. Juntos iremos unidos en la sangre hoy es el tiempo que puede ser mañana. Líbranos de aquel que nos domina en la miseria. Tráenos tu reino de justicia e igualdad. Sopla como el viento la flor de la quebrada.…

Rimer à cœur désir Sur les ailes du vent En écoutant rugir La mer si peu lointaine, Sentir de mes émois La fraîcheur des fontaines Qu’on goûte certains soirs Au temps des beaux étés, Se laisser divaguer Sur des rêves chenus En pensant aux oiseaux Volant dans un ciel nu, E…

Quand je m’endormirai, sans effroi, sous la terre Emportant avec moi la senteur des moissons, Mes joies, mes peines et mes merveilleuses passions, J’aurais jeté mes rêves au vent des quatre saisons. Ni l’or des soirs moroses qui tombent sous la brume, Ni le parfum des roses enivrant, éphémère, Ni la brise légère aux doigts de satin qu’on hume, Ni l’odeur de la pluie qui danse sur le bitume…

Je ne sais pas pourquoi, j’étais là, dans la nuit, Au dehors et des ombres passaient sous la pluie Bien à l’abri des baleines de leur parapluie, Mes talons martelant le bitume noirci. Une averse de neige fondue, comme des chimères, Aux heures tristes, caressées de lueurs réverbères. Le bruit de la vie gênait mes pensées errantes. C’était un soir où des regards à peine croisés…

Voici un joli poème que j'ai lu dans un livre de classe d'une petite Marocaine. Je l'ai trouvé tellement beau et si vrai que je n'ai pas hésité à le copier pour vous le partager. Ha! si seulement ce rêve pouvait se réaliser, la vie serait si belle pour tout le monde !! samedi 20 juin 2009 à 07h00