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Petites commerçantes malgaches
Talatamaty (Madagascar) - après une série sur les jeux informels, j’engage aujourd’hui une série sur les portraits. Rien d’original dans ce thème, un grand classique photographique. En classant mes photos, moi qui croyais ne pas en avoir beaucoup, j’en ai dénombré… Une petite centaine. A croire que je les fais sans y penser.
En fait, je dois développer un « trouble obsessionnel ». En y réfléchissant, lorsque je photographie une scène et que j’obtiens une image que j’estime correcte, pour remercier la ou les personnes qui ont accepté ma présence, je leur « tire le portrait » que je montre sur l’écran de contrôle. A Madagascar, cette ultime "photo souvenir" qui clos une « séance « de prises de vues est systématiquement ponctuée d’un « Merci ». Alors que c’est moi qui leur suis redevable.
Mais dans la série que je vais présenter toute cette semaine, il y a aussi des portraits qui m’ont été demandés. Et quelques uns que j’ai consciemment (quand même) décidé de réaliser, grâce à un regard qui m’a marqué, à une belle lumière où un environnement propice à cet exercice (l'importance du fond).
Je commence avec l’une de mes dernières photos prises à Talatamaty, mon « camp de base » quand j’arrive à Madagascar ou que j’en repars. Là, c’était l'avant-veille de mon retour en France.
Dans une petite rue où j’ai mes habitudes, il fait beau et j’ai repéré -depuis longtemps- une minuscule boutique où l’on vend de petits gâteaux au riz de fabrication maison.
La particularité de cette boutique, c’est qu’elle est tenue la plupart du temps par des enfants. Je suis connu dans cette rue comme « le photographe de chez Jeanne ». Jeanne, c’est la propriétaire de la maison d’hôtes où je descend systématiquement. Alors quand j’ai passé la tête à l’intérieur de la boutique pour demander si je pouvais faire une photo de la petite fille en rose, il n’y a pas eu de difficulté. D’autant qu’à chaque fois que je passe dans le quartier, je fais une ou deux photos, si la lumière est intéressante. Bref, je suis repéré et on m'accueille le plus souvent avec une extrême bienveillance.
Ne vous méprenez pas. Les deux petites fille ne sont ni tristes, ni surprises. J’ai une première photo où elles rigolent. Comme je voulais une attitude plus neutre, je suis resté l’oeil rivé au viseur, une bonne vingtaine de secondes. Les deux petites filles se demandaient ce que je pouvais bien faire et on commencé à se lasser. C’est à ce moment que j’ai déclenché.
PS : Pour information pour Ipernity, j'ai fait un tirage un peu plus clair que la version originale, qui est dans le registre "clair-obscur" convenant à cette photo. Ipernity ne supporte pas les nuances des tirages plus sombres.
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En fait, je dois développer un « trouble obsessionnel ». En y réfléchissant, lorsque je photographie une scène et que j’obtiens une image que j’estime correcte, pour remercier la ou les personnes qui ont accepté ma présence, je leur « tire le portrait » que je montre sur l’écran de contrôle. A Madagascar, cette ultime "photo souvenir" qui clos une « séance « de prises de vues est systématiquement ponctuée d’un « Merci ». Alors que c’est moi qui leur suis redevable.
Mais dans la série que je vais présenter toute cette semaine, il y a aussi des portraits qui m’ont été demandés. Et quelques uns que j’ai consciemment (quand même) décidé de réaliser, grâce à un regard qui m’a marqué, à une belle lumière où un environnement propice à cet exercice (l'importance du fond).
Je commence avec l’une de mes dernières photos prises à Talatamaty, mon « camp de base » quand j’arrive à Madagascar ou que j’en repars. Là, c’était l'avant-veille de mon retour en France.
Dans une petite rue où j’ai mes habitudes, il fait beau et j’ai repéré -depuis longtemps- une minuscule boutique où l’on vend de petits gâteaux au riz de fabrication maison.
La particularité de cette boutique, c’est qu’elle est tenue la plupart du temps par des enfants. Je suis connu dans cette rue comme « le photographe de chez Jeanne ». Jeanne, c’est la propriétaire de la maison d’hôtes où je descend systématiquement. Alors quand j’ai passé la tête à l’intérieur de la boutique pour demander si je pouvais faire une photo de la petite fille en rose, il n’y a pas eu de difficulté. D’autant qu’à chaque fois que je passe dans le quartier, je fais une ou deux photos, si la lumière est intéressante. Bref, je suis repéré et on m'accueille le plus souvent avec une extrême bienveillance.
Ne vous méprenez pas. Les deux petites fille ne sont ni tristes, ni surprises. J’ai une première photo où elles rigolent. Comme je voulais une attitude plus neutre, je suis resté l’oeil rivé au viseur, une bonne vingtaine de secondes. Les deux petites filles se demandaient ce que je pouvais bien faire et on commencé à se lasser. C’est à ce moment que j’ai déclenché.
PS : Pour information pour Ipernity, j'ai fait un tirage un peu plus clair que la version originale, qui est dans le registre "clair-obscur" convenant à cette photo. Ipernity ne supporte pas les nuances des tirages plus sombres.
Marie-france Berthelé, Nicole Coutens, , Leon_Vienna and 66 other people have particularly liked this photo
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Have a healthy week ahead Jean-luc.
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Jean-luc Drouin club has replied to Annaig56 clubsuperbe, évidemment...
Beautiful!
I'm looking forward to this Portraits series :-)
Best wishes. Herb
Amitiés
Fabio
Tres beau reportage et les explications tres interessantes ;on participe à la prise de vue comme si on était à ta place ! tout est bien calculé ,pensé , sans aucun hasard , ou si il y en a un ,tu en tires profit ,bravo J-Luc !
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