Indiens du chiapas
La cuisinière de la cantina
...
Tribute
Un bar à Deauville
Ecole de Fort Dauphin
Le petit nettoyeur de coque
"Atelier couture" sur le pont d'un chalutier
Le monocle du marin
Le sourire du petit ramendeur
Portrait thaï
Chapeau madame !
Welcome in Thailand
Elégance paysanne
Costume de parade
Fanfare au repos
Chauffeur de rickshaw
Hua-Hin by nigth
Pause déjeuner
Des artisans au travail
Cycliste rajput
Gargote indienne
Cadrage peu orthodoxe pour couple d'hindouistes
Ni vu, ni connu !
Marché perché
Quelques notes pour quelques pésos
Abus de tequila ?
Photo clandestine
Une petite pièce s'il vous plaît !
C'est pénible de jouer quand personne n'écoute !
Le musicien halluciné
Musique traditionnelle électrifiée à Oaxaca
Quand on aime on a toujours 20 ans
L'accordéoniste qui ne savait pas jouer
Quand on aime on a toujours 20 ans
Ici, on ne vit pas dans le luxe, mais on est heure…
Fin de journée sur les salines de Kampot
Les p'tits gars de la marine cambodgienne
Brochettes de chien ?
Pas les dents...
Pourquoi me prends-tu en photo ?
Petite fille du Mondulkiri, qui rit...
Patibulaires... mais presque !
La petite vendeuse d'oranges
Wagon secret
1/125 • f/10.0 • 18.0 mm • ISO 400 •
FUJIFILM X-Pro1
XF18-55mmF2.8-4 R LM OIS
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Photos avec un message, une alerte , une émotion, un symbole, une réflexion, une drôlerie
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I LOVE IT ! ★ J'AIME CELA ! ★ DAS LIEBE ICH ! ★ MI PIACE MOLTO !
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Une image clandestine qui ressemble à une photo volée
Cuernavaca (Mexique) - Pour terminer cette série sur les prises de vues clandestines, je propose une photo qui ressemble à une photo volée. En principe je n'aime pas les photos "déstructurée", mais celle-ci fonctionne bien et illustre le propos de la série.
Le contexte - Ce jour là, je n’ai pas de programme particulier. Je pars en balade pour me perdre dans les rues, sans idée préconçue. Je ne cherche rien de particulier. Je photographie les scènes qui se présentent au hasard de ma promenade. En principe, dans ces conditions je fais peu de photos.
Ma déambulation me mène dans un quartier où je ne suis pas encore allé. Je ne réalise pas immédiatement que je suis dans un secteur dédié à la prostitution. Ici, rien de sordide comme la rue où se trouve mon hôtel où les filles attendent le client dans des attitudes et des tenues provocantes qui ne laissent aucun doute sur leur profession.
La rue où je me trouve en ce moment est dans un quartier plutôt chic de la ville. Je ne m’attendais pas à une telle « spécialité » en ce lieu. Je regarde autour de moi et je réalise que deux hommes attablés sur une terrasse d’un bar situé à proximité, surveillent les trois ou quatre filles adossées au mur.
Pas question de faire le malin, d’autant qu’ils m’ont repéré. Je suis resté trop longtemps au même endroit à observer sans bouger. Une minute, certes ; mais c’est suffisant pour sortir de l'anonymat de la foule.
Je décide de laisser tomber et poursuis mon chemin. Mais c’est plus fort que moi, lorsque j’arrive à la hauteur d’une de ces jeunes femmes, je prends une photo, comme si de rien n’était ; tout en marchand. Le cadre est celui que le hasard m’a offert. Les guetteurs, eux, n'ont rien remarqué. La jeune femme non plus d'ailleurs.
Petite précision pour éviter tout malentendu, sur le panneau d’affichage, le « Triton » à 230 pesos ($) est une spécialité du bar ; pas de la dame.
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Le contexte - Ce jour là, je n’ai pas de programme particulier. Je pars en balade pour me perdre dans les rues, sans idée préconçue. Je ne cherche rien de particulier. Je photographie les scènes qui se présentent au hasard de ma promenade. En principe, dans ces conditions je fais peu de photos.
Ma déambulation me mène dans un quartier où je ne suis pas encore allé. Je ne réalise pas immédiatement que je suis dans un secteur dédié à la prostitution. Ici, rien de sordide comme la rue où se trouve mon hôtel où les filles attendent le client dans des attitudes et des tenues provocantes qui ne laissent aucun doute sur leur profession.
La rue où je me trouve en ce moment est dans un quartier plutôt chic de la ville. Je ne m’attendais pas à une telle « spécialité » en ce lieu. Je regarde autour de moi et je réalise que deux hommes attablés sur une terrasse d’un bar situé à proximité, surveillent les trois ou quatre filles adossées au mur.
Pas question de faire le malin, d’autant qu’ils m’ont repéré. Je suis resté trop longtemps au même endroit à observer sans bouger. Une minute, certes ; mais c’est suffisant pour sortir de l'anonymat de la foule.
Je décide de laisser tomber et poursuis mon chemin. Mais c’est plus fort que moi, lorsque j’arrive à la hauteur d’une de ces jeunes femmes, je prends une photo, comme si de rien n’était ; tout en marchand. Le cadre est celui que le hasard m’a offert. Les guetteurs, eux, n'ont rien remarqué. La jeune femme non plus d'ailleurs.
Petite précision pour éviter tout malentendu, sur le panneau d’affichage, le « Triton » à 230 pesos ($) est une spécialité du bar ; pas de la dame.
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Les Hollandais exportent leur bière (Heineken) jusqu'au Mexique !
Bon dimanche. Amitiés
Jean-luc Drouin club has replied to Madeleine Defawes clubJean-luc Drouin club has replied to Dominique 60 clubFinalement quand j'ai passé un mois dans un bidonville et une léproserie à Bénarès (Inde), j'étais plus en sécurité que les touristes dans les plus grands sites touristiques du monde, jamais à l'abri des pickpockets.
A Madagascar, je savais que les taxis de brousse empruntant certaines pistes du Sud pouvaient être attaqués par des brigands. Et bien, j'ai pris une autre route. Plus difficile et plus longue, mais je suis arrivé sans encombres.
Il faut toujours savoir où l'on met les pieds et les pays considérés comme dangereux feront mentir le ministère des Affaires étrangères. J'ai souvent croisé des compatriotes à qui il était arrivé de sales histoires, mais systématiquement, ils avaient été très imprudents et naïfs.
Quand j'avais 25 ans, on m'a tout volé dans la gare de Calcutta (Inde). Aujourd'hui, je peux dire que moi aussi j'avais été imprudent. Mais ça m'a servi de leçon et forgé mon expérience.
Annemarie club has replied to Jean-luc Drouin clubbon j'avoue , j'aimerais bien être à ta place :o)))
Le texte est aussi splendide
Les gens veulent censurer les photographes, mais ces mêmes personnes passent leur temps à photographier les autres avec leur smartphones et à publier leurs selfies les représentant dans leur intimité, sur le réseaux sociaux. Elle est où la logique ?
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Jean-luc Drouin club has replied to NautilusSign-in to write a comment.