Roland, Gérard Platteau's photos

instruata per la lernejaj-radioelsendoj al la pr. 6 jaraj francaj infanoj en la lernjaro 1958-1959 C'était du temps où l'école transmettait la culture traditionnelle et le folklore

voici en 1928 l'ancêtre des caravanes et mobil-homes actuels! PRARULDOMO

VRAIE église, c'est à dire ouverte ! en 1926 Nun francaj preĝejoj estas ĉiuj konstante fermitaj, kiel hieraŭ en sovetio. nun por pluvidi preĝejojn malfermitaj oni devas iri en, divenu ! Rusio : www.ipernity.com/doc/24033/8724944?from=8857932&at=1282848705

a flughhavenoj de 1925 iomete malsimilis de tiuj de nun Sciences et Voyages, numéro 291 du 26 mars 1925

Francio pr. 1935 soldatoj festas ke ili havas nur 120 tagojn plu por deĵori ! en la malsupro meze la suboficiro kun ridetaj vangoj estas mia patrinflanka onklo Alfredo au centre en bas le sous-off est mon oncle Alfred il est né en 1910 la photo doit être dans les années 30 C'était un régiment de dragons, ils allaient encore à cheval on voit des selles et autres harnachements

autrefois il y avait chaque été dans les locauxx du lycée agricole de Tilloy lès Mofflaines un stage musical; hélas ! dès 1990 l'actuelle tendance à supprimer les dépenses de l'Etat pour mieux réduire les impôts des financiers commença à sévir, et on leur supprima (entre plusieurs centaines d'autres assos culturelles) les subventions, ils survécurent encore un an puis durent cesser ... sniff ! J'y étais allé la première fois en 87. Le professeur de contredances anglaises miiraslimake.over-blog.com/article-3021223.html étant subitement tombé malade ce fut le prof de danse renaissance italienne qui le remplaça au pied levé (si j'ose dire !), c'est comme ça que je l'ai connu. C'était un ancien danseur étoile du Ballet National des Pays-Bas, devenu trop vieux pour ce métier il s'était fait professeur de danse, en particulier de danses de la Renaissance. Dans tous ses mouvements on sentait que c'était un danseur classique, rien qu'à sa façon de se tenir debout ! Et il avait une façon de parler et d'expliquer les choses absolument adorable et attachante, et avec son petit accent néerlandais en plus sa façon de parler devenait "magique. A cette époque, et pendant de longues semaines après je me mettais à l'imiter et à parler "comme dirait Conrad" (tout le monde l'appelait Conrad). Malheureusement, vingt ans déjà ( !!!!) ont passés, je m'aperçois que maintenant je ne saurais plus, j'ai oublié, c'est un grand malheur. Heureusement j'ai quand-même gardé ne photo de lui, la voici. Je ne sais même pas s'il est encore vivant ... Il n'était déjà plus tout jeune, alors avec vingt ans de plus ...

c'est là qu'est Claude maintenant miiraslimake.over-blog.com/article-1403577.html

8 mars 1991: le lac où les blocs de glace encore gelée tintinabulaient sous le choc des vagues et au bord duquel des chèvrefeuilles commençaient à pousser. 8-a de marto 1991 nordoriente de Germanio, oni aŭdadis gling-gling-e kiel sonoriletojn la ne jam tute malfrostintajn koliziiantajn glaciopecojn kunpuŝiĝataj de l'lagondoj, kaj sur la bordoj jam loniceroj ekkresis siajn tigojn

fotita je la 6/6/1987 ŝutmonto eo.wikipedia.org/wiki/Ŝutmonto apud Saint-Vaast La Louvière (en Belgio). Nun la forlasitaj ŝutmontoj de eksaj karbominejoj, ĉu en Belgio ĉu en norda Francio, igis invaditaj de la naturo, kaj iĝas verdaj montoj. Mi leviĝis ĝis la pinto, sed ĉar ĝi estas konuso, kio okazis ? divenu ! mi nur iom deflankiĝis kiam mi returniris por malleviĝi, kaj pro tio ke ĝi estas konuso, mi eta eraro iĝis malsupre vasta eraro, kaj mi atingis punkton tute nekonatan, kaj ne la straton kie mli estis lasinta mian veturilon, kaj devis piediri plurajn horojn en la urbo antaŭ ol retrovi la lokon !

neige tardive !! mais au nord de la colline de Vimy il n'y avait pas de neige

ĉi placo de la urbo Lens (ĉefa urbo de la eksa karbomineja areo de Pas-de-Calais), kiu enhavas por mi personajn memorojn, estas ankaŭ historia, drameca, memoro: dum nokto de 10-11 de septembro 1942 centoj da judoj de la urbo estis eltirataj de siaj litoj far la germana Feldgendarmerie ... helpita de la franca Gendarmerie ... Ili restis dum la tago sur tiu ĉi placo, atendante la trajnon.... 528 atingis Aŭŝvicon, kie ili estis ekstermitaj. ESTAS ARTIKOLO PRI TIO : neniammilitointerni.over-blog.com/article-francio-anta-70-jaroj-la-amasarestado-de-la-judoj-de-lens-109991691.html commentaire perdu à cause de Ipernity : je ne comprends rien à ce qui est ecrit. Par contre, étant une boyo rouge, je reconnais très bien cette place. D'mon temps (lol), il y avait un ciné. Mais surtout, il y a la célèbre friterie "sensas frite"!!! Que de souvenirs, moi qui suis allée à au collège et au lycée pas loin... Et puis, le Mac Ewans! Et pour les accro du foot, la boutique RC lens. Ah ben cha récauffe min coeur eud'vir cte place!! maintenant suis vendéenne, snif... traduction du texte de présentation: Cette place de Lens (capitale de l'ex-région minière du Pas-de-Calais), qui est pour moi le lieu de souvenirs personnels, est aussi un souvenir historique, et dramatique: durant la nuit du 10 au 11 septembre 1942 des centaines de juifs de la ville furent tirés de leurs lits par la Feldgendarmerie allemande .... aidée de la Gendarmerie française ... Ils restèrent toute la journée sur cette place, dans l'attente du train... 528 arrivèrent à Auschwitz, où ils furent exterminés. Eh bien, j'ignorais cette histoire. Merci. Oui, à Sensas frites on a plusieurs fois pris des frites, en 1988. Quand je suis retourné dans ce quartier en 2006 pour montrer la ville à mes amis espérantistes espagnols, ça faisait bien 15 ans que je n'y avais pas mis les pieds.

Oignies, en 1990 oni fermis tie la lastan karbominejon de la Nordo-kaj-Kaleza-markola regiono, industrio, kiu dum du jarcentoj estis tiom stampinta tiun regionon. Tiu estas "historia" vagoneto, ĉar la lasta. Le dernier wagonnet de la dernière mine de ch'Nord, à Oignies.

sept. 2007 à Béthune (dans l'espoir évidemment fallacieux de pouvoir assister à un concert d'orgue, mais de nos jours la culture est réservé exclusivement à ceux qui réservent longtemps à l'avance!) au coin d'une rue peu fréquentée, j'ai aperçu ce chat, loin de se sauver quand je l'ai caressé il a miaulé à coeur fendre, il (ou elle ?) essayait désespérément de chercher à manger dans ces sacs bien fermés. Je n'avais rien à lui donner, j'ai pensé à le prendre avec moi puis je me suis dit "peut-être il n'est pas perdu et quelqu'un cherchera après" et "est-ce que mon chat l'acceptera? c'est jaloux ces bêtes-là". Finalement je l'ai laissé à son triste sort. Mais en me demandant : peut-être j'ai eu tort?