J'adore les mains
Viens, viens danser.... kolé séré...
http://www.youtube.com/watch?v=qUM0mPvuKkc
O mon enfant le temps n'est pas à notre taille Que mille et une nuits sont peu pour des amants
A VOIR SUR FOND NOIR SVP
Vivaldi - Dixit Dominus (RV 594)
youtu.be/aKRadU-n104
Je te touche et je vois ton corps et tu respires
Ce ne sont plus les jours du vivre séparés
C’est toi tu vas tu viens et je suis ton empire
Pour le meilleur et pour le pire
Et jamais tu ne fus si lointaine à mon gré
Ensemble nous trouvons au pays des merveilles
Le plaisir sérieux couleur de l’absolu
Mais lorsque je reviens à nous que je m’éveille
Si je soupire à ton oreille
Comme des mots d’adieu tu ne les entends plus
Elle dort Longuement je l’écoute se taire
C’est elle dans mes bras présente et cependant
Plus absente d’y être et moi plus solitaire
D’être plus près de son mystère
Comme un joueur qui lit aux dés le point perdant
Le jour qui semblera l’arracher à l’absence
Me la rend plus touchante et plus belle que lui
De l’ombre elle a gardé les parfums et l’essence
Elle est comme un songe des sens
Le jour qui la ramène est encore une nuit
Buissons quotidiens à quoi nous nous griffâmes
La vie aura passé comme un air entêtant
Jamais rassasié de ces yeux qui m’affament
Mon ciel mon désespoir ma femme
Treize ans j’aurai guetté ton silence chantant
Comme le coquillage enregistre la mer
Grisant mon cœur treize ans treize hivers treize étés
J’aurai tremblé treize ans sur le seuil des chimères
Treize ans d’une peur douce amère
Et treize ans conjuré des périls inventés
Ô mon enfant le temps n’est pas à notre taille
Que mille et une nuits sont peu pour des amants
Treize ans c’est comme un jour et c’est un feu de paille
Qui brûle à nos pieds maille à maille
Le magique tapis de notre isolement
22 Dec 2010
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Viens plus près, mon amour, Ton cœur contre mon cœur
http://www.youtube.com/watch?v=4j1VeCPDnY8
Nous sommes allongés
Sur l'herbe de l'été.
Il est tard.
On entend chanter
Des amoureux et des oiseaux.
On entend chuchoter
Le vent dans la campagne.
On entend chanter la montagne.
J'ai ta main dans ma main.
Je joue avec tes doigts.
J'ai mes yeux dans tes yeux
Et partout, l'on ne voit
Que la nuit, belle nuit, que le ciel merveilleux,
Tout fleuri, palpitant, tendre et mystérieux.
Viens plus près, mon amour,
Ton cœur contre mon cœur
Et dis-moi qu'il n'est pas de plus charmant bonheur
Que ces yeux dans le ciel, que ce ciel dans tes yeux,
Que ta main qui joue avec ma main.
Je ne te connais pas.
Tu ne sais rien de moi.
Nous ne sommes que deux vagabonds,
Fille des bois, mauvais garçon.
Ta robe est déchirée.
Je n'ai plus de maison.
Je n'ai plus que la belle saison
Et ta main dans ma main
Qui joue avec mes doigts.
J'ai mes yeux dans tes yeux
Et partout, l'on ne voit
Que la nuit, belle nuit, que le ciel merveilleux,
Tout fleuri, palpitant, tendre et mystérieux.
Viens plus près, mon amour,
Ton cœur contre mon cœur
Et dis-moi qu'il n'est pas de plus charmant bonheur.
On oublie l'aventure et la route et demain
Mais qu'importe puisque j'ai ta main.
Mais qu'importe puisque j'ai ta main.
Mais qu'importe puisque j'ai ta main.
Please give me one more night...
A partir d'une photo de Sylvibrato
youtu.be/zKVq-P3z5Vg
Musique tendre des paroles,
Comme un sanglot de rossignols,
Si tendre qu'on voudrait mourir,
Sur la bouche qui les soupire !
L'ivresse ardente de la vie
Fait défaillir l'amant ravi,
Et l'on n'entend battre qu'un cœur,
Musique et silence de l'heure !
Tu verras comme la vie est moins moche....
Henri Tachan Entre l'amour et l'amitié
www.youtube.com/watch?v=Htr4PpNkhhw
Entre l'amour et l'amitié
Il n'y a qu'un lit de différence,
Un simple "pageot", un "pucier"
Où deux animaux se dépensent,
Et quand s'installe la tendresse
Entre nos corps qui s'apprivoisent,
Que platoniquement je caresse
De mes yeux ta bouche framboise,
Alors l'amour et l'amitié
N'est-ce pas la même romance ?
Entre l'amour et l'amitié
Dites-moi donc la différence...
Je t'aime, mon amour, mon petit,
Je t'aime, mon amour, mon amie...
Entre l'amour et l'amitié ils ont barbelé des frontières,
Nos sentiments étiquetés,
Et si on aime trop sa mère
Ou bien son pote ou bien son chien,
Il paraît qu'on est en eau trouble,
Qu'on est cliniquement freudien
Ou inverti ou agent double,
Alors qu'l'amour et l'amitié
Ont la même gueule d'innocence,
Entre l'amour et l'amitié
Dites-moi donc la différence...
Je t'aime, mon amour, mon petit,
Je t'aime, mon amour, mon amie...
Entre l'amour et l'amitié
La pudeur a forgé sa chaîne,
A la barbe du Monde entier
Et de ses gros rires gras de haine,
Bon an, mal an, les deux compagnes
Se dédoublent ou bien s'entremêlent,
Comme sur la haute montagne
Le ciel et la neige éternelle,
Entre l'amour et l'amitié
Se cache un petit bout d'enfance,
Entre l'amour et l'amitié
Il n'y a qu'un lit de différence...
Je t'aime, mon amour, mon petit,
Je t'aime, mon amour, mon amie!
03 Apr 2012
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Je t’écoute. Je t’entends. Je te donne la main Je crois en toi. Je bois à toi comme on boit à la source.
A voir sur fond noir c'est mieux
D'après les mains d'amants de Rodin
www.youtube.com/watch?v=p5hPdIhTrd4
Il n’y a pas d’autre toi que toi, sans avant ni après.
Il n’y a pas d’autre nous en nous.
Il y a toi et moi.
Avec toi, l’infini a remplacé le néant.
La moindre des secondes a retrouvé son sens.
Ma vie s’est agrandie pour te faire une place.
Avec toi, je peux toucher le ciel du bout des doigts,
faire monter la mer au milieu de la chambre
et tendre l’arc-en-ciel vers la cible du cœur.
J’ai ta peau sur les os et ta voix dans la mienne.
J’ai ton visage dans les mains,
ta beauté dans les yeux,
ta bonté sur le cœur.
Je t’écoute.
Je t’entends.
Je te donne la main
Je crois en toi.
Je bois à toi comme on boit à la source.
04 Apr 2012
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Then blend they, like green leaves with golden flowers, Into one beautiful and perfect whole; And life's long night is ended, and the way Lies open onward to eternal day.
A voir sur fond noir
Pour toi mon amie si chère Tendrement
Kol nidrei, Op.47
par Jacqueline du Pré/Daniel Barenboim; Israel Philharmonic Orchestra
youtu.be/i91RX2LhY8s
Somewhere there waiteth in this world of ours
For one lone soul another lonely soul
Each choosing each through all the weary hours
And meeting strangely at one sudden goal.
Then blend they, like green leaves with golden flowers,
Into one beautiful and perfect whole;
And life's long night is ended, and the way
Lies open onward to eternal day.
Edwin Arnold
With:
19 Mar 2010
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S'il me reste un ami qui vraiment me comprenne
Pour la voir plus grande : aller à
www.ipernity.com/doc/helenapf/12526276
et utiliser la loupe
Sylvain Lelièvre - Toi l'ami
www.youtube.com/watch?v=SdIn50pWkR8
Toi l'ami dont jamais je ne saurai le nom
Toi mon frère inconnu, toi ma soeur anonyme
Toi qui vis dans le noir, toi l'obscur compagnon
Toi pour qui tant de fois j'ai retourné ma rime
Toi qui es là ce soir, qui entends ma chanson
Toi-même qui jamais ne l'entendras peut-être
Qu'importe, mais toi, dont je ne sais rien sinon
Que nous vivrons tous deux sans jamais nous connaître
La vie a ses façons de nous départager
J'aimerais bien parfois te raconter des choses
Comme on le fait le soir, quand on est fatigué
Quand on a sa journée, qu'on a le coeur morose
Nous pourrions simplement nous asseoir et jaser
En écoutant Félix ou Mozart ou Coltrane
Ma femme, vers minuit, t'offrirait du café
La veillée serait longue et courte la semaine
C'est à notre amitié que je chante aujourd'hui
C'est au vin que jamais nous ne boirons ensemble
Je chante à l'impossible et j'en pleure à demi
Mais sache au moins, ce soir, combien je te ressemble
Mais sache au moins, ce soir, tout ce qui nous unit
Sache que nous faisons un peu le même ouvrage
Et qu'à tout prendre, au fond, malgré tout ce qu'on vit
Pareilles sont nos joies, pareilles sont nos rages
Mais que tombent ce soir nos murs et nos parois
Et que, pour un moment, le cours du temps s'arrête
Ce soir, c'est notre fête, allez, tu viens chez moi
C'est le temps de fumer toutes nos cigarettes
Je veux te dire au moins que je marche avec toi
Et que tu n'es pas seul malgré tant de silence
Que par-dessus les mers, les villes et les toits
Se rejoignent nos mains à force d'espérance
With:
21 May 2012
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Dans l'âme que gonfle un immense soupir Laisser, en s'en allant, comme le souvenir D'un grand cygne de neige aux longues plumes.
Essayer des accords de mots mystérieux
Doux comme le baiser de la paupière aux yeux ;
Faire ondoyer des chairs d'or pâle dans les brumes ;
Et, dans l'âme que gonfle un immense soupir
Laisser, en s'en allant, comme le souvenir
D'un grand cygne de neige aux longues, longues plumes.
Albert Samain
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