Krisonteme's photos
Bisous Maman et bébé
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Le ragondin (Myocastor coypus) ou castor des marais (appelé aussi autrefois myopotame), est un mammifère originaire d'Amérique du Sud, introduit en Europe au XIXe siècle pour l'exploitation de sa fourrure. Tous les individus présents en Europe proviennent d'évasions ou de lâchers volontaires.
Myocastor coypus est la seule espèce du genre Myocastor, qui est lui-même le seul genre de la sous-famille des myocastorinés.
Ragondin à Trèbes sur le canal du Midi
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Le ragondin (Myocastor coypus) ou castor des marais (appelé aussi autrefois myopotame), est un mammifère originaire d'Amérique du Sud, introduit en Europe au XIXe siècle pour l'exploitation de sa fourrure. Tous les individus présents en Europe proviennent d'évasions ou de lâchers volontaires.
Myocastor coypus est la seule espèce du genre Myocastor, qui est lui-même le seul genre de la sous-famille des myocastorinés.
Rêves
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Découvrez
Et même si le temps presse
Même s'il est un peu court
Si les années qu'on me laisse
Ne sont que minutes et jours
Et même si l'on m'arrête
Ou s'il faut briser des murs
En soufflant dans les trompettes
Ou à force de murmures
J'irai au bout de mes rêves
Tout au bout de mes rêves
Où la raison s'achève
Tout au bout de mes rêves
Et même s'il faut partir
Changer de terre et de trace
S'il faut chercher dans l'exil
L'empreinte de mon espace
Et même si les tempêtes
Les dieux mauvais les courants
Nous feront courber la tête
Plier les genoux sous le vent
J'irai au bout de mes rêves
Tout au bout de mes rêves
Où la raison s'achève
Tout au bout de mes rêves
Et même si tu me laisses
Au creux d'un mauvais détour
En ces moments ou l'on teste
La force de nos amours
Je garderai la blessure
Au fond de moi tout au fond
Mais au dessus je te jure
Que j'effacerai ton nom.
Fleur de mer ♥♥♥♥♥♥♥♥♥♥♥♥♥♥♥♥♥♥♥♥♥♥♥♥♥♥ ♥♥♥♥♥♥♥♥♥…
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!
Elle était signe d'abondance, de liberté, de transparence
C'est quelques gouttes d'essentiel
Tout comme l'air
et le soleil
Tout ce qui nous donnait la vie,nous empoisonne,et nous trahit
Cimetière des cris étouffés
qui se tarit
Refrain :(X2)
Saigne l'eau
Saigne l'eau des larmes et des mots
Ecouter pleurer nos rivières,
les coeurs desséchés, dans les prières
Les puits qu'on remplit d'eaux impures
Les hommes grisonnent et les torturent
L'eau sale qui les assassine,bien plus sûrement,que les famines
Derrière les silences asséchés
quel avenir ?
refrain (X2)
...
Ils ne demandaient rien d'impossible ou d'importance
Mais boire l'eau d'une source
sans mourir en silence
Refrain(X2)
..
Saigne l'eau
Saigne l'eau
grosse-grenouille Beelzebufo, ou “grenouille du di…
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Ce dessin présente une ancienne et immense espèce de grenouille, appelée Beelzebufo, ou “grenouille du diable” qui regarde la plus grosse espèce de grenouille encore existante au Madagascar. Le crayon est ajouté pour bien présenter la grosseur des 2 grenouilles.
Cette grosse grenouille aurait existé sur Terre il y a 70 millions d’années. Son fossile a été découvert au Madagascar. Les experts croient que c’est la plus grosse de grenouille ayant vécue sur Terre.
Minette
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Découvrez Georges Chelon !
Dans ma cervelle se promène,
Ainsi qu'en son appartement,
Un beau chat, fort, doux et charmant.
Quand il miaule, on l'entend à peine,
Tant son timbre est tendre et discret ;
Mais que sa voix s'apaise ou gronde,
Elle est toujours riche et profonde.
C'est là son charme et son secret.
Cette voix, qui perle et qui filtre
Dans mon fonds le plus ténébreux,
Me remplit comme un vers nombreux
Et me réjouit comme un philtre.
Elle endort les plus cruels maux
Et contient toutes les extases ;
Pour dire les plus longues phrases,
Elle n'a pas besoin de mots.
Non, il n'est pas d'archet qui morde
Sur mon coeur, parfait instrument,
Et fasse plus royalement
Chanter sa plus vibrante corde,
Que ta voix, chat mystérieux,
Chat séraphique, chat étrange,
En qui tout est, comme en un ange,
Aussi subtil qu'harmonieux !
II
De sa fourrure blonde et brune
Sort un parfum si doux, qu'un soir
J'en fus embaumé, pour l'avoir
Caressée une fois, rien qu'une.
C'est l'esprit familier du lieu ;
Il juge, il préside, il inspire
Toutes choses dans son empire ;
Peut-être est-il fée, est-il dieu ?
Quand mes yeux, vers ce chat que j'aime
Tirés comme par un aimant,
Se retournent docilement
Et que je regarde en moi-même,
Je vois avec étonnement
Le feu de ses prunelles pâles,
Clairs fanaux, vivantes opales
Qui me contemplent fixement.
Charles BAUDELAIRE, Les Fleurs du mal (18
Petit visiteur
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journée canards
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au delà des étoiles
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Découvrez
Rêver un impossible rêve
Porter le chagrin des départs
Brûler d'une possible fièvre
Partir où personne ne part
Aimer jusqu'à la déchirure
Aimer, même trop, même mal,
Tenter, sans force et sans armure,
D'atteindre l'inaccessible étoile
Telle est ma quête,
Suivre l'étoile
Peu m'importent mes chances
Peu m'importe le temps
Ou ma désespérance
Et puis lutter toujours
Sans questions ni repos
Se damner
Pour l'or d'un mot d'amour
Je ne sais si je serai ce héros
Mais mon cœur serait tranquille
Et les villes s'éclabousseraient de bleu
Parce qu'un malheureux
Brûle encore, bien qu'ayant tout brûlé
Brûle encore, même trop, même mal
Pour atteindre à s'en écarteler
Pour atteindre l'inaccessible étoile.
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Glacé
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premier essai photoshop !!!!!
il y a du boulot avant d'arriver à ce qu'a fait
Domcho
La planète d'ailleurs
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Découvrez
Depuis l'enfance
Je suis toujours en partance
Je vais je vis
Contre le cours de ma vie
Partir Partir
On a toujours
Un bateau dans le cœur
Un avion qui s'envole
Pour ailleurs
Mais on n'est pas à l'heure
Partir Partir
Même loin de quelqu'un
Ou de quelqu'une
Même pas pour aller chercher fortune
Oh partir sans rien dire
Vivre en s'en allant
Et en s'envolant
Et les gens l'argent
Seraient du vent
Mais c'est vrai le temps
Nous prend trop de temps...
Partir Partir
Même loin loin de la région du cœur
N'importe où la peau
Change de couleur
Partir avant qu'on meure
Partir Partir
Comme les trains sont bleus
Quand on y pense
Et les bateaux heureux
Quand on y danse
Oh partir sans rien dire
Mais c'est vrai le temps
Nous prend trop de temps
Et on n'appareille
Pour aucun soleil
Et pendant ce temps
On est vivant...
Partir Partir
On a toujours
Un bateau dans le cœur
Un avion qui s'envole
Pour ailleurs
Mais on n'est pas à l'heure
Partir Partir
Même loin loin de la région du cœur
N'importe où la peau
Change de couleur
Partir avant qu'on meure
Partir Partir
Comme les trains sont bleus
Quand on y pense
Et les bateaux heureux
Quand on y danse
Oh partir sans rien dire
Pour que l'on puisse écrire à la fin de la fête Qu…
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Découvrez !
Il faut vivre, l'azur au-dessus comme un glaive
Prêt à trancher le fil qui nous retient debout
Il faut vivre partout, dans la boue et le rêve
En aimant à la fois et le rêve et la boue
Il faut se dépécher d'adorer ce qui passe
Un film à la télé, un regard dans la cour
Un coeur fragile et nu sous une carapace
Une allure de fille éphémère qui court
Je veux la chair joyeuse et qui lit tous les livres
Du poète au polar, de la Bible à Vermot
M'endormir presque à jeun et me réveiller ivre
Avoir le premier geste et pas le dernier mot
Étouffer d'émotion, de désir, de musique
Écouter le silence où Mozart, chante encore
Avoir une mémoire hypocrite, amnésique
Réfractaire aux regrets, indulgente aux remords
Il faut vivre, il faut peindre avec ou sans palette
Et sculpter dans le marbre effrayant du destin
Les ailes mortes du Moulin de la Galette
La robe de mariée où s'endort la putain
Il faut voir Dieu descendre une ruelle morne
En sifflotant un air de rancune et d'espoir
Et le diable rêver, en aiguisant ses cornes
Que la lumière prend sa source dans le noir
Football, amour, alcool, gloire, frissons, tendresse
Je prends tout pêle-mêle et je suis bien partout
Au milieu des dockers dont l'amarre est l'adresse
Dans la fête tzigane et le rire bantou
On n'a jamais le temps, le temps nous a, il traîne
Comme un fleuve de plaine aux méandres moqueurs
Mais on y trouve un lit et des chants de sirènes
Et un songe accroché au pas du remorqueur
Jamais ce qui éteint, jamais ce qui dégoûte
Toujours, toujours, toujours, ce qui fait avancer
Il faut boire ses jours, un à un, goutte à goutte
Et ne trouver de l'or que pour le dépenser
Qu'on s'appelle Suzanne, Henri, Serge ou que sais-je
Quidam évanescent, anonyme, paumé
Il faut croire au soleil en adorant la neige
Et chercher le plus-que-parfait du verbe aimer
Il faut vivre d'amour, d'amitié, de défaites
Donner à perte d'âme, éclater de passion
Pour que l'on puisse écrire à la fin de la fête
Quelque chose a changé pendant que nous passions
Comme une étoile au fond du soir, cherche un passa…
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Découvrez
Comme un éclair sur un fond noir, avant l'orage
Comme une eau claire, un ciel à boire, tout en nuages
Comme une étoile au fond du soir, cherche un passage
J'attends j'attends, j'attendrai j'attends
J'attendrais ton pas
Au pas de la porte
La moitié de moi
Que le jour emporte
J'attendrai ta voix
Et tous les mots qui sortent
La moitié de moi
Que c'est toi qui portes
Comme une pierre sur une bague, un coeur serti
Comme une lettre un signe un tag, au lieu d'un cri
Comme la mer de vague en vague, en vis à vis
J'attends j'attends, j'attendrai j'attends
Comme l'amour attend l'amour, à dire, à faire
Comme la nuit attends le jour, et sa lumière
Comme jamais attends toujours, pour tout refaire
J'attends j'attends, j'attendrai j'attends
J'attendrais ton pas
Au pas de la porte
La moitié de moi
Que le jour emporte
J'attendrai ta voix
Et tous les mots qui sortent
La moitié de toi
Que c'est moi qui porte
Petit coin de Provence à Limoux
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Un olivier, un figuier et un jujubier
et me voila presque chez moi.
Il y a tout au long des marchés de Provence
Qui sentent, le matin, la mer et le Midi
Des parfums de fenouil, melons et céleris
Avec dans leur milieu, quelques gosses qui dansent
Voyageur de la nuit, moi qui en ribambelle
Ai franchi des pays que je ne voyais pas
J'ai hâte au point du jour de trouver sur mes pas
Ce monde émerveillé qui rit et qui s'interpelle
Le matin au marché
Voici pour cent francs du thym de la garrigue
Un peu de safran et un kilo de figues
Voulez-vous, pas vrai, un beau plateau de pêches
Ou bien d'abricots ?
Voici l'estragon et la belle échalote
Le joli poisson de la Marie-Charlotte
Voulez-vous, pas vrai, un bouquet de lavande
Ou bien quelques œillets ?
Et par dessus tout ça on vous donne en étrenne
L'accent qui se promène et qui n'en finit pas
Mais il y a, tout au long des marchés de Provence
Tant de filles jolies, tant de filles jolies
Qu'au milieu des fenouils, melons et céleris
J'ai bien de temps en temps quelques idées qui dansent
Voyageur de la nuit, moi qui en ribambelle
Ai croisé des regards que je ne voyais pas
J'ai hâte au point du jour de trouver sur mes pas
Ces filles du soleil qui rient et qui m'appellent
Le matin au marché
Voici pour cent francs du thym de la garrigue
Un peu de safran et un kilo de figues
Voulez-vous, pas vrai, un beau plateau de pêches
Ou bien d'abricots ?
Voici l'estragon et la belle échalote
Le joli poisson de la Marie-Charlotte
Voulez-vous, pas vrai, un bouquet de lavande
Ou bien quelques œillets ?
Et par dessus tout ça on vous donne en étrenne
L'accent qui se promène et qui n'en finit pas
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Découvrez Romain Didier !
J'ai la raison qui déraille
Comme un succès d'avant guerre
Elle a cassé l'gouvernail,
Elle m'a laissé seul en mer
Faut surtout pas m'consoler
Je crois plus rien ni personne
J'ai fermé ma porte à clé,
J'ai débranché l'téléphone
Des cachets blancs pour dormir
Beaucoup trop lâche pour la mort.
Des cafés noir pour tenir,
'Paraît qu'la terre tourne encore.
'Faut surtout pas m'dire en face
Vos phrases toutes faites sur l'amour.
Qui faut qu'je bouge ma carcasse,
Qu'j'en rirais dans huit jours.
REFRAIN :
Y'a plus rien à voir,
l'funambule est tombé,
C'est trop tard.
Rangez vos mouchoirs
Et laissez le pleurer
Dans le noir
Elle m'a laissé avec mes rêves,
Un lit glacé, un bâton d'rouge à lèvres.
Priez braves gens à sa mémoire,
Le Funambule Est Mort Ce Soir.
FIN du refrain
La nuit je traîne notre histoire
Comme un taureau dans l'arène.
Toréador dans le noir,
La mise à mort est la même.
J'vous jure qu'y a pas une réplique
Que j'connaisse pas mot à mot.
Héros d'une pièce sans public,
Dans un théâtre sans rideaux.
Il faut qu'je change de décor,
Qu'j'apprenne à vivre sans elle
Même si j'vous fais un pont d'or,
Me donnez plus d'ses nouvelles.
Elle m'a cassé comme un jouet,
Comme une poupée d'porcelaine.
Laissez moi seul par pitié,
Ce soir Pierrot a d'la peine.
#R (Bis)
Renaissance
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!
Mwen espéré (mwen espéré dépi lantan)
Pou vwè anfen (pou vwè anfen an diférans)
Mwen té lé chanjé dé fwa abandoné
Santi mwen oublyé mwen rivé ni pasyans
Mwen tchenbé doubout (Mwen tchenbé doubout malgé tou)
Mwen sipòté (sipòté pawol lè malpalan)
Mwen gadé la fwa mwen té senten ké mwen
Té ké ripran plass mwen plass-la bondyé ba mwen
[Refrain]
Sa mwen écri an syel
Se fera, ma renaissance m’y emmènera
Foss-la vini di syel
Avec toi, je sais qu’un jour mon heure viendra
Sa mwen écri an syel
Se fera, ma renaissance m’y emmènera
Foss-la vini di syel
Avec toi, je sais qu’un jour mon heure viendra
Tou sa ban mwen (tou sa ban mwen tan réfléchi)
Di posibilité (posibilité konstrui an fanmi)
Mé jòdi mwen la mwen la avè plis foss
Mwen la mwen douvan zòt pou fè zòt révé kon avan
[Refrain]
Sa mwen écri an syel
Se fera, ma renaissance m’y emmènera
Foss-la vini di syel
Avec toi, je sais qu’un jour mon heure viendra
Sa mwen écri an syel
Se fera, ma renaissance m’y emmènera
Foss-la vini di syel
Avec toi, je sais qu’un jour mon heure viendra
[Refrain]
Sa mwen écri an syel
Se fera, ma renaissance m’y emmènera
Foss-la vini di syel
Avec toi, je sais qu’un jour mon heure viendra
Sa mwen écri an syel
Se fera, ma renaissance m’y emmènera
Foss-la vini di syel
Avec toi, je sais qu’un jour mon heure viendra
Mon chemin est tracé (à moi de voir où je vais)
La porte n’est plus fermée (franchie et je vais tout droit)
Je n’ai pas peur de ce qui m’attend
Je n’y trouverai que du bon
Mon chemin est tracé (à moi de voir où je vais)
Où je vais
[Refrain]
Sa mwen écri an syel
Se fera, ma renaissance m’y emmènera
Foss-la vini di syel
Avec toi, je sais qu’un jour mon heure viendra
Sa mwen écri an syel
Se fera, ma renaissance m’y emmènera
Foss-la vini di syel
Avec toi, je sais qu’un jour mon heure viendra
Rivé pran foss é afeksyon jòdi jou-a mwen byen rivé
Mwen gadé douvan et mwen vancé
Jòdi fanmi an mwen pé soulajé
Wi mwen pran tan mwen ni pasyon
Mwen vinn ouvè mwen pa fané
Sé lè pou mwen franchi pot-la ouvè desten an mwen écri
Sa mwen écri an syel foss-la vini di syel
Sa mwen écri an syel mwen écri adan syel
il y avait un faux filet
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