Krisonteme's photos

Espoir

29 Sep 2010 2 593
Découvrez ! Enfants, venez chanter l'espoir Enfants, il n'est jamais trop tard Enfants, venez chanter Un chant de liberté Dans un monde à votre idée Enfants venez danser l'espoir Enfants, il n'est jamais trop tard Enfants, venez danser Au coeur des champs de blé Vous pourrez mieux vous aimer Au rats les villes Loin des villes et des cités Changer de vies Voir les nuages, sentir le vent Sous les dunes Ne jamais se quitter Enfants, venez chanter l'espoir Enfants, il n'est jamais trop tard Enfants, venez chanter Un chant de liberté Pour mourir pour des idées Enfants venez danser l'espoir Enfants, prenez le bon départ Enfants, venez crier Au coeur du monde entier La route est déjà tracée Pour aller vivre Loin des villes et des cités Changer de rythme Voir les nuages, sentir le vent Sur les dunes Ne jamais se quitter Enfants, venez chanter l'espoir Enfants, il n'est jamais trop tard Enfants, venez chanter Un chant de liberté Chant d'amour et d'amitié

Macro limoux 014

Je parle flou, avec des mots et du papier Je broui…

29 Sep 2010 5 1 636
Je parle flou, avec des mots et du papier Je brouille tout, et c'est à toi de deviner J'ai jamais eu l'cran d'effacer Et quand j'essaie de raturer J'ai des regrets J'laisse rien passer sans penser Qu'y aura plus rien d'aussi sensé J'laisse pas passer l'passé, je le retiens Tu sais, je me souviens Je parle flou, avec des nuages d'idées Je brouille tout ; j'ai la manie de barbouiller Je prends plaisir à déguiser Les gros secrets que je veux livrer J'ai des regrets J'te lance un barbo sans lumière En espérant qu'tu y vois clair J'laisse pas passer l'passé, je le retiens Tu sais, je me souviens Je parle flou, et c'est à toi de préciser Je brouille tout ; il ne te reste qu'à fouiller J'écris des mots comme je t'aimais Des mots confus qui disent vrai J'ai des regrets J'peux rien avouer, j'peux qu'insinuer Crier ton nom sans prononcer Te renier au moindre éclat Des yeux de ceux qui me côtoient Je parle flou ; je mets de l'ombre sur ma voix Je brouille tout ; je tourbillonne et tu te noies Dans mes brouillons qui déraisonnent Tout ce papier que je chiffonne Avec regret Ces mots auxquels je me cramponne Jusqu'au moment où j'abandonne Je parle flou, je parle flou, je parle flou Puis je me tais J'ai des regrets... des regrets... regrets...

Fleur sauvage

29 Sep 2010 4 393
Mon père avec ses doigts noueux M'en avait donné des taloches J'avais des larmes dans les yeux Et les poings serrés dans mes poches Je n'osais pas lui raconter Que si je n'aimais pas l'école C'est que j'aimais la liberté Qui se cachait dans l'herbe folle L'enfant sauvage L'enfant sauvage que j'étais Était un rêveur qui marchait La tête au-dessus des nuages L'enfant sauvage Écoutait chanter les oiseaux Mais il savait que les plus beaux Ne chantent pas dans une cage On m'a fait apprendre un métier Dès que j'ai su compter et lire Mais j'ai découvert l'amitié Lorsque j'ai su enfin sourire Pour ne pas être un mal-aimé J'ai dû lutter contre moi-même Et je crois bien que j'ai pleuré Lorsque j'ai dit enfin je t'aimer L'enfant sauvage L'enfant sauvage que j'étais Comme les grands oiseaux rêvait De partir pour un long voyage L'enfant sauvage En a vu passer des saisons Avant de changer d'horizon Et découvrir d'autres rivages Là-bas le ciel était tout bleu Ici le ciel pleure sans cesse Mais maintenant je suis heureux Enveloppé dans ta tendresse Si ma guitare et mes chansons Sont devenues mon Amérique Je pense à un petit garçon Sur les bords de l'Adriatique L'enfant sauvage L'enfant sauvage que j'étais Sans doute est parti à jamais Avec les oiseaux de passage L'enfant sauvage A retrouvé la liberté Moi je continue de rêver La tête au-dessus des nuages

Picnik collage

clématite sauvage septembre 005

clématite sauvage septembre 006

La Vague de Camille Claudel

29 Sep 2010 4 943
http://www.lemondedesarts.com/DossierClaudel.htm Camille Claudel est née un 8 Décembre 1864 à Fère en Tardenois. Elle est l'aînée des enfants d'une famille bourgeoise, et de Paul Claudel son frère né en 1868 qui deviendra poète, écrivain et diplomate. Femme libre et artiste elle aura eu un destin hors du commun. C'est à 17 ans qu'elle décide de faire de la sculpture et d'en faire en quelque sorte son métier. Elle vient à Paris en 1882, suit les cours de l'Académie Colarossi, rencontre le sculpteur Alfred Boucher et créée son premier atelier Rue Notre Dame des Champs. En effet il est inconcevable à cette date qu'une femme ait accès à l'Ecole des Beaux Arts. Ce n'est qu'en 1889 qu'une classe spéciale pour les femmes, séparée des hommes est créée et ce n'est qu'à partir de 1903 que celles ci auront la possibilité de concourir pour le Prix de Rome.

eux

28 Sep 2010 1 603
Plus éso qu'un Kilimanjaro Plus karma que le Fujiyama Plus banzai qu'une barrière de corail Plus exo qu'un grand paradiso Plus kiffant que tigre et éléphant Plus trippant qu'un trip au Kazakhstan Plus dément que l'émirat d'Oman Plus flyé qu'une île ensoleillée Peu importe la ville mais pourvu qu'on se défile Peu importe l'endroit mais pourvu qu'on roule tout droit Au bout de la terre océans, volcans, mystères Peu importe où je suis pour moi tant que je te suis Refrain: [Tes voyages me voyagent] Plus éso qu'un Kilimanjaro [Tes nuages m'ennuagent] Plus karma que le Fujiyama [Tiens-moi dans les virages] Plus banzai qu'une barrière de corail [Fuyons avec courage] Plus exo qu'un grand paradiso [Tes voyages me voyagent] Plus kiffant que tigre et éléphant [Tes nuages m'ennuagent] Plus trippant qu'un trip au Kazakhstan [Si tu rappelles j'accoure] Plus dément que l'émirat d'Oman [Au pays de l'amour] Plus flyé qu'une île ensoleillée À pied en fusée en corvette ou dans la tête [tête] Griffon ou cheval c'est égal tant qu'on détale Sur un air de zik ou sur quelques mots magiques On brosse l'école, on dit « lol » et on décolle Refrain [Tes voyages me voyagent] [Tes nuages m'ennuagent] [Si tu m'appelles j'accoure] [Au pays de l'amour] Emmène-moi dans tes bagages [tes voyages] (x2) [Tes voyages me voyagent] Du vaudou sans fric et sans tabou [Tes nuages m'ennuagent] Sans bouger tu vas déménager [Tiens-moi dans les virages] Sur le chemin de ta liberté [Fuyons avec courage] Emporté par ton envie d'aimer [Tes voyages me voyagent] Plus kiffant que tigre et éléphant [Tes nuages m'ennuagent] Plus trippant qu'un trip au Kazakhstan [Si tu m'appelles j'accoure] Plus dément que l'émirat d'Oman [Au pays de l'amour] Plus flyé qu'une île ensoleillée

magique

30 Oct 2005 9 9 1120
Découvrez ! Miroir magique, miroir magique Vas-tu me montrer enfin qui je suis Ma réplique symétrique Mes contours géométriques Les limites de mon corps, de mon esprit Miroir magique, miroir magique Ai-je bien choisi le chemin de ma vie? J'improvise et je divague Je dérive et je zigzague Si au moins je savais d'où je suis parti? Peux-tu me dire où est ma vérité? Ou dois-je la chercher jusqu'au bout de l'enfer? Miroir magique, miroir magique Quand tu me fais changer de peau averti moi? Je me croise dans la rue Je ne me reconnais plus Tu me fait perdre la face tant de fois Je me donne rendez-vous Je m'attends méfiant comme tout J'ai peur de l'autre qui se fait passer pour moi Peux-tu me dire où est ma vérité? Ou dois-je la chercher jusqu'au bout de l'enfer? Miroir magique, miroir magique Apprend-moi où est le bien, où est le mal J'ai gardé dans ma mémoire Trop de lois contradictoires Quand je crois faire l'homme, je fais l'animal Miroir magique, miroir magique Tu m'as montré des valets, des fous, des rois Et j'ai joué à trop y croire Tout ces rôles dérisoires Mais pour m'applaudir, il n'y avait que moi Miroir magique, miroir magique Vas-tu me montrer enfin qui je suis? Ma teneur en synthétique Ma dimension politique La porté philosophique de mon ennuie Peux-tu me dire où est ma vérité? Ou dois-je la chercher jusqu'au bout de l'enfer? Peux-tu me dire où est ma vérité? Ou dois-je la chercher jusqu'au bout de l'enfer?

Harmonie

28 Sep 2010 1 1 555
Voici venir les temps où vibrant sur sa tige Chaque fleur s'évapore ainsi qu'un encensoir; Les sons et les parfums tournent dans l'air du soir; Valse mélancolique et langoureux vertige! Chaque fleur s'évapore ainsi qu'un encensoir; Le violon frémit comme un coeur qu'on afflige; Valse mélancolique et langoureux vertige! Le ciel est triste et beau comme un grand reposoir. Le violon frémit comme un coeur qu'on afflige, Un coeur tendre, qui hait le néant vaste et noir! Le ciel est triste et beau comme un grand reposoir; Le soleil s'est noyé dans son sang qui se fige. Un coeur tendre, qui hait le néant vaste et noir, Du passé lumineux recueille tout vestige! Le soleil s'est noyé dans son sang qui se fige... Ton souvenir en moi luit comme un ostensoir!

Camille ....La Vague

28 Sep 2010 2 1 314
Poire William à 40 degrés Mes doigts se rétament aux touches du clavier Léger, léger, léger, léger vague à l'âme. Signe d'une flème incurable, Coupable d'avoir déclenché La malignité d'un esprit doué pour la paresse. But bless you, le travail me blesse, Se remuer les fesses pour une poignée de sous, Sous-chef, sous-fifre, souffre douleur En dessous de tout. Trop peu pour mon gout de l'ivresse, Excès de vitesse ça mène où ? A la dépresse Avec une laisse Autour de ton cou.

La lumière

20 Sep 2010 1 329
Découvrez Jacques Brel ! La lumière jaillira Claire et blanche un matin Brusquement devant moi Quelque part en chemin La lumière jaillira Et la reconnaîtrai Pour l'avoir tant de fois Chaque jour espérée La lumière jaillira Et de la voir si belle Je connaîtrai pourquoi J'avais tant besoin d'elle La lumière jaillira Et nous nous marierons Pour n'être qu'un combat Pour n'être qu'une chanson La lumière jaillira Et je l'inviterai A venir sous mon toit Pour y tout transformer La lumière jaillira Et déjà modifié Lui avouerai du doigt Les meubles du passé La lumière jaillira Et j'aurai un palais Tout ne change-t-il pas Au soleil de juillet La lumière jaillira Et toute ma maison Assise au feu de bois Apprendra ces chansons La lumière jaillira Parsemant mes silences De sourires de joie Qui meurent et recommencent La lumière jaillira Qu'éternel voyageur Mon cœur en vain chercha Mais qui était en mon cœur La lumière jaillira Reculant l'horizon La lumière jaillira Et portera ton nom

Camille

27 Sep 2010 2 1 548
A force de vouloir se trouver, on finit par se perdre A force de trop se regarder, on devient froid comme un iceberg Ce n'est plus le temps des questions et je m'adonne à l'abandon Comme une envie de légèreté, d'apesenteur dans mes pensées x2 Si le temps est une demeure où l'on vit et où l'on meurt J'ai eu longtemps comme un oubli c'est qu'entre temps il y a la vie A force de chercher les pourquoi, on y trouve les comment Les comment ais je pu faire ça, dans mon torrent de tourments Ce n'est plus le temps des questions et je m'abonne à l'abandon Je croise un regard un sourire, je sais que le meilleur est à venir x2 Si le temps est une demeure où l'on vit et où l'on meurt J'ai eu longtemps comme un oubli c'est qu'entre temps il y a la vie

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