Krisonteme's photos
Espoir
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Découvrez !
Enfants, venez chanter l'espoir
Enfants, il n'est jamais trop tard
Enfants, venez chanter
Un chant de liberté
Dans un monde à votre idée
Enfants venez danser l'espoir
Enfants, il n'est jamais trop tard
Enfants, venez danser
Au coeur des champs de blé
Vous pourrez mieux vous aimer
Au rats les villes
Loin des villes et des cités
Changer de vies
Voir les nuages, sentir le vent
Sous les dunes
Ne jamais se quitter
Enfants, venez chanter l'espoir
Enfants, il n'est jamais trop tard
Enfants, venez chanter
Un chant de liberté
Pour mourir pour des idées
Enfants venez danser l'espoir
Enfants, prenez le bon départ
Enfants, venez crier
Au coeur du monde entier
La route est déjà tracée
Pour aller vivre
Loin des villes et des cités
Changer de rythme
Voir les nuages, sentir le vent
Sur les dunes
Ne jamais se quitter
Enfants, venez chanter l'espoir
Enfants, il n'est jamais trop tard
Enfants, venez chanter
Un chant de liberté
Chant d'amour et d'amitié
Lhassa
Macro limoux 014
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Je parle flou, avec des mots et du papier Je broui…
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Je parle flou, avec des mots et du papier
Je brouille tout, et c'est à toi de deviner
J'ai jamais eu l'cran d'effacer
Et quand j'essaie de raturer
J'ai des regrets
J'laisse rien passer sans penser
Qu'y aura plus rien d'aussi sensé
J'laisse pas passer l'passé, je le retiens
Tu sais, je me souviens
Je parle flou, avec des nuages d'idées
Je brouille tout ; j'ai la manie de barbouiller
Je prends plaisir à déguiser
Les gros secrets que je veux livrer
J'ai des regrets
J'te lance un barbo sans lumière
En espérant qu'tu y vois clair
J'laisse pas passer l'passé, je le retiens
Tu sais, je me souviens
Je parle flou, et c'est à toi de préciser
Je brouille tout ; il ne te reste qu'à fouiller
J'écris des mots comme je t'aimais
Des mots confus qui disent vrai
J'ai des regrets
J'peux rien avouer, j'peux qu'insinuer
Crier ton nom sans prononcer
Te renier au moindre éclat
Des yeux de ceux qui me côtoient
Je parle flou ; je mets de l'ombre sur ma voix
Je brouille tout ; je tourbillonne et tu te noies
Dans mes brouillons qui déraisonnent
Tout ce papier que je chiffonne
Avec regret
Ces mots auxquels je me cramponne
Jusqu'au moment où j'abandonne
Je parle flou, je parle flou, je parle flou
Puis je me tais
J'ai des regrets... des regrets... regrets...
Fleur sauvage
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Mon père avec ses doigts noueux
M'en avait donné des taloches
J'avais des larmes dans les yeux
Et les poings serrés dans mes poches
Je n'osais pas lui raconter
Que si je n'aimais pas l'école
C'est que j'aimais la liberté
Qui se cachait dans l'herbe folle
L'enfant sauvage
L'enfant sauvage que j'étais
Était un rêveur qui marchait
La tête au-dessus des nuages
L'enfant sauvage
Écoutait chanter les oiseaux
Mais il savait que les plus beaux
Ne chantent pas dans une cage
On m'a fait apprendre un métier
Dès que j'ai su compter et lire
Mais j'ai découvert l'amitié
Lorsque j'ai su enfin sourire
Pour ne pas être un mal-aimé
J'ai dû lutter contre moi-même
Et je crois bien que j'ai pleuré
Lorsque j'ai dit enfin je t'aimer
L'enfant sauvage
L'enfant sauvage que j'étais
Comme les grands oiseaux rêvait
De partir pour un long voyage
L'enfant sauvage
En a vu passer des saisons
Avant de changer d'horizon
Et découvrir d'autres rivages
Là-bas le ciel était tout bleu
Ici le ciel pleure sans cesse
Mais maintenant je suis heureux
Enveloppé dans ta tendresse
Si ma guitare et mes chansons
Sont devenues mon Amérique
Je pense à un petit garçon
Sur les bords de l'Adriatique
L'enfant sauvage
L'enfant sauvage que j'étais
Sans doute est parti à jamais
Avec les oiseaux de passage
L'enfant sauvage
A retrouvé la liberté
Moi je continue de rêver
La tête au-dessus des nuages
Picnik collage
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clématite sauvage septembre 005
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clématite sauvage septembre 006
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Chypre
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à Chypre
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La Vague de Camille Claudel
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http://www.lemondedesarts.com/DossierClaudel.htm
Camille Claudel est née un 8 Décembre 1864 à Fère en Tardenois. Elle est l'aînée des enfants d'une famille bourgeoise, et de Paul Claudel son frère né en 1868 qui deviendra poète, écrivain et diplomate.
Femme libre et artiste elle aura eu un destin hors du commun. C'est à 17 ans qu'elle décide de faire de la sculpture et d'en faire en quelque sorte son métier. Elle vient à Paris en 1882, suit les cours de l'Académie Colarossi, rencontre le sculpteur Alfred Boucher et créée son premier atelier Rue Notre Dame des Champs. En effet il est inconcevable à cette date qu'une femme ait accès à l'Ecole des Beaux Arts. Ce n'est qu'en 1889 qu'une classe spéciale pour les femmes, séparée des hommes est créée et ce n'est qu'à partir de 1903 que celles ci auront la possibilité de concourir pour le Prix de Rome.
eux
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Plus éso qu'un Kilimanjaro
Plus karma que le Fujiyama
Plus banzai qu'une barrière de corail
Plus exo qu'un grand paradiso
Plus kiffant que tigre et éléphant
Plus trippant qu'un trip au Kazakhstan
Plus dément que l'émirat d'Oman
Plus flyé qu'une île ensoleillée
Peu importe la ville mais pourvu qu'on se défile
Peu importe l'endroit mais pourvu qu'on roule tout droit
Au bout de la terre océans, volcans, mystères
Peu importe où je suis pour moi tant que je te suis
Refrain:
[Tes voyages me voyagent]
Plus éso qu'un Kilimanjaro
[Tes nuages m'ennuagent]
Plus karma que le Fujiyama
[Tiens-moi dans les virages]
Plus banzai qu'une barrière de corail
[Fuyons avec courage]
Plus exo qu'un grand paradiso
[Tes voyages me voyagent]
Plus kiffant que tigre et éléphant
[Tes nuages m'ennuagent]
Plus trippant qu'un trip au Kazakhstan
[Si tu rappelles j'accoure]
Plus dément que l'émirat d'Oman
[Au pays de l'amour]
Plus flyé qu'une île ensoleillée
À pied en fusée en corvette ou dans la tête [tête]
Griffon ou cheval c'est égal tant qu'on détale
Sur un air de zik ou sur quelques mots magiques
On brosse l'école, on dit « lol » et on décolle
Refrain
[Tes voyages me voyagent]
[Tes nuages m'ennuagent]
[Si tu m'appelles j'accoure]
[Au pays de l'amour]
Emmène-moi dans tes bagages
[tes voyages] (x2)
[Tes voyages me voyagent]
Du vaudou sans fric et sans tabou
[Tes nuages m'ennuagent]
Sans bouger tu vas déménager
[Tiens-moi dans les virages]
Sur le chemin de ta liberté
[Fuyons avec courage]
Emporté par ton envie d'aimer
[Tes voyages me voyagent]
Plus kiffant que tigre et éléphant
[Tes nuages m'ennuagent]
Plus trippant qu'un trip au Kazakhstan
[Si tu m'appelles j'accoure]
Plus dément que l'émirat d'Oman
[Au pays de l'amour]
Plus flyé qu'une île ensoleillée
magique
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Découvrez !
Miroir magique, miroir magique
Vas-tu me montrer enfin qui je suis
Ma réplique symétrique
Mes contours géométriques
Les limites de mon corps, de mon esprit
Miroir magique, miroir magique
Ai-je bien choisi le chemin de ma vie?
J'improvise et je divague
Je dérive et je zigzague
Si au moins je savais d'où je suis parti?
Peux-tu me dire où est ma vérité?
Ou dois-je la chercher jusqu'au bout de l'enfer?
Miroir magique, miroir magique
Quand tu me fais changer de peau averti moi?
Je me croise dans la rue
Je ne me reconnais plus
Tu me fait perdre la face tant de fois
Je me donne rendez-vous
Je m'attends méfiant comme tout
J'ai peur de l'autre qui se fait passer pour moi
Peux-tu me dire où est ma vérité?
Ou dois-je la chercher jusqu'au bout de l'enfer?
Miroir magique, miroir magique
Apprend-moi où est le bien, où est le mal
J'ai gardé dans ma mémoire
Trop de lois contradictoires
Quand je crois faire l'homme, je fais l'animal
Miroir magique, miroir magique
Tu m'as montré des valets, des fous, des rois
Et j'ai joué à trop y croire
Tout ces rôles dérisoires
Mais pour m'applaudir, il n'y avait que moi
Miroir magique, miroir magique
Vas-tu me montrer enfin qui je suis?
Ma teneur en synthétique
Ma dimension politique
La porté philosophique de mon ennuie
Peux-tu me dire où est ma vérité?
Ou dois-je la chercher jusqu'au bout de l'enfer?
Peux-tu me dire où est ma vérité?
Ou dois-je la chercher jusqu'au bout de l'enfer?
Harmonie
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Voici venir les temps où vibrant sur sa tige
Chaque fleur s'évapore ainsi qu'un encensoir;
Les sons et les parfums tournent dans l'air du soir;
Valse mélancolique et langoureux vertige!
Chaque fleur s'évapore ainsi qu'un encensoir;
Le violon frémit comme un coeur qu'on afflige;
Valse mélancolique et langoureux vertige!
Le ciel est triste et beau comme un grand reposoir.
Le violon frémit comme un coeur qu'on afflige,
Un coeur tendre, qui hait le néant vaste et noir!
Le ciel est triste et beau comme un grand reposoir;
Le soleil s'est noyé dans son sang qui se fige.
Un coeur tendre, qui hait le néant vaste et noir,
Du passé lumineux recueille tout vestige!
Le soleil s'est noyé dans son sang qui se fige...
Ton souvenir en moi luit comme un ostensoir!
Camille ....La Vague
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Poire William à 40 degrés
Mes doigts se rétament
aux touches du clavier
Léger, léger, léger, léger vague à l'âme.
Signe d'une flème incurable,
Coupable d'avoir déclenché
La malignité d'un esprit doué pour la paresse.
But bless you, le travail me blesse,
Se remuer les fesses pour une poignée de sous,
Sous-chef, sous-fifre, souffre douleur
En dessous de tout.
Trop peu pour mon gout de l'ivresse,
Excès de vitesse ça mène où ?
A la dépresse
Avec une laisse
Autour de ton cou.
La lumière
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Découvrez Jacques Brel !
La lumière jaillira
Claire et blanche un matin
Brusquement devant moi
Quelque part en chemin
La lumière jaillira
Et la reconnaîtrai
Pour l'avoir tant de fois
Chaque jour espérée
La lumière jaillira
Et de la voir si belle
Je connaîtrai pourquoi
J'avais tant besoin d'elle
La lumière jaillira
Et nous nous marierons
Pour n'être qu'un combat
Pour n'être qu'une chanson
La lumière jaillira
Et je l'inviterai
A venir sous mon toit
Pour y tout transformer
La lumière jaillira
Et déjà modifié
Lui avouerai du doigt
Les meubles du passé
La lumière jaillira
Et j'aurai un palais
Tout ne change-t-il pas
Au soleil de juillet
La lumière jaillira
Et toute ma maison
Assise au feu de bois
Apprendra ces chansons
La lumière jaillira
Parsemant mes silences
De sourires de joie
Qui meurent et recommencent
La lumière jaillira
Qu'éternel voyageur
Mon cœur en vain chercha
Mais qui était en mon cœur
La lumière jaillira
Reculant l'horizon
La lumière jaillira
Et portera ton nom
Camille
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A force de vouloir se trouver, on finit par se perdre
A force de trop se regarder, on devient froid comme un iceberg
Ce n'est plus le temps des questions et je m'adonne à l'abandon
Comme une envie de légèreté, d'apesenteur dans mes pensées
x2
Si le temps est une demeure où l'on vit et où l'on meurt
J'ai eu longtemps comme un oubli c'est qu'entre temps il y a la vie
A force de chercher les pourquoi, on y trouve les comment
Les comment ais je pu faire ça, dans mon torrent de tourments
Ce n'est plus le temps des questions et je m'abonne à l'abandon
Je croise un regard un sourire, je sais que le meilleur est à venir
x2
Si le temps est une demeure où l'on vit et où l'on meurt
J'ai eu longtemps comme un oubli c'est qu'entre temps il y a la vie