Frédéric Wojda's most read articles

  • Qu'en penses Turlutu?

    - 638 visits
    Qu’en penses Turlututu ? Sur la porte close mes mots s’écrasent Claquant comme le tonnerre Dans le fracas se vident de leur sens Pour n’y laisser que le bruit de ma colère Et tu me fâches ! Aussi jolie sois tu en tutu Ton tu-tu me tues ! Quand de ta bouche sortent des anguilles Aussi électriques que la chaise Lorsque le joug est tendu C’est bien difficile de tendre la joue Espérer un baiser En pensant, tiens, prends un peu de mon amour,…

  • La belle et le brêle

    - 620 visits
    Maintenant que tu ne m'aimes plus, Le monde est vide. Je n'ai plus de pain, Mon coeur s'éteint. Horrible ce réveil, Où mon corps, animal sans mensonge, se souvient. J'ai enchaîné mes démons, ces prédateurs s'enragent à l'odeur de l'angoisse. J'ai fait mon brêle: J'ai couvert ton corps d'ombres et de ténèbres. j'ai rêvé d'un domaine où l'égoîsme serait roi où t'aimer me rend beau où t'aimer ce n'est pas m'oublier. où t'aimer, comme on ai…

  • Mortellement redondant

    - 602 visits
    La vie, ce temps à mourir Dans la mémoire présente La disparition de l’un Laisse passer La présence de l’autre En commun La place de la mort dans l’esprit du vivant Rend présent Les vécus sans avenir La mort de l’un est partie mourir chez l’autre Mêlant les peines Ce plein d’absences qui m’effraie J’ai peur et me rassure Suivant les traces du passage F.W 21/04/2010

  • rockn'roll

    - 575 visits
    oublié de tes rêves et étiqueté non méritant je me promets des chagrins d'hiver Tu sais j'en pleure. Ce n'est pas de ta faute, ni à Dieu ,ni au Diable si les portes du paradis sont blindées Oh! mon trésor. Cogne, frappe, crie Si les doigts dans les oreilles tu me parles, de chagrins et de soucis, pleure! Car dans les ressacs de l'amer, leurs regads effacent de vagues en vagues, le coeur de nos mains, nos caresses. Mais tu crois que derriére l'a…

  • Oxymore

    - 533 visits
    Baladant mon squelette en vélo, faisant du rodeo pensant à mon coeur et ma foi. J'ai cru reconnaitre quelqu'un. Mais rares sont les personnes que j'ai connues toujours vivantes. Même les vivantes sont mortes. Dans son regard dépoli, je vis qu'il cherchait, si il ne restait pas quelques plumes à défaut sucer le gras de ma moelle. Il fit semblant de rire et un peut frustrè, il s'en alla à la quête de quelques souvenirs à exploiter...... Ce n'étai…

  • VAGUE X10

    - 526 visits
    VAGUE X10 Il me faut une très belle clef. Car il faut qu’elle soit belle, Pour ouvrir le cœur des autres. Alors là, j’y laisserai quelque chose, Qui rend heureux, Comme lorsque l’on découvre des évidences, Des pensées puissantes et légères, Limpides comme la source et sa lumière. Pourtant, accroché comme le lierre, Cela fait déjà longtemps que je suis à sa recherche. Je crains qu’aujourd’hui, Elles ne soient qu’un bouquet d’immortelles,…

  • le passant

    - 468 visits
    Lorsqu'un enfant t'envoie d'un geste de la main en baiser son sourire. Tu regardes ses yeux et plein de lumiére…

  • le miroir a tes yeux

    - 417 visits
    Le miroir a tes yeux Il existe des êtres séduisants, remplis d'un vide, fait par l'érosion d'une souffrance, tellement profonde, quelle doit être ancienne. Ces hyper-frénétiques épuisent leur énergie. Car jamais, ils ne pourront étancher leurs envies, de l'autre ils veulent tout posséder. Les étouffant d'amour, d'un contrôle assidu. Si de ton grand besoin d'amour, coule cette solitude acide celle dont ils se nourrissent dont le parfum addicte irrésistiblemen…

  • <untitled>

    - 401 visits
    Il y a l'eau, l'air, le feu, la terre et l'électricité.

  • <untitled>

    - 384 visits
    nous ne faisons les choses que par intérêt !

  • banlieu numérique

    - 301 visits
    j'habite un blog, dans une banlieu numérique j'y vis nu, parce-que dehors il fait si froid on sent le vent, la trace des ailes, des anges qui le traversent le vent qui m'importe et m'emporte qui gonfle mon coeur jusqu'aux yeux jusqu'aux cieux ce malheur qui me réchauffe tellement pauvre Rutebeuf.

  • Pour Sadi

    - 237 visits
    Le Président de la République Sadi Carnot, assassiné en 1894, portait ce prénom car son grand-père, Lazare Carnot, était un grand admirateur du poète persan Saadi de Shiraz.

  • le graphisme c'est du sport !

    - 229 visits
    lorsque l'on a la ligne, on a la forme et lorsque l'on a la forme ,on a la silhouette !

  • bande de plouf

    - 222 visits
    Pim, Pam, Poum, sont sur un bateau. Ils tombent à l'eau. Que font Pim, Pam, Poum, s'interroge, Paf le كَلْب ! F.W

  • sans

    - 218 visits
    Il faudrait que je pose mon esprit sur une branche. Mettre de côté l'appesant pour l'apaiser. Me nourrir d'un berceau de baisers, battre à nouveau un peu plus haut. Et m'arracher du ciel montant. Afin d'aimer à nouveau. F.W

  • la barbe

    - 199 visits
    Derrière ma barbe cactus, je me protége. Je cache mes windows avec des lunettes de soleil Mon cœur est en pluie. Seule et fière traversée de lumière, la perle de rosée les matins odorants Pure, glisse tout doucement… La déposer au pétale de tes reins La cueillir en ta rosée Chez toi que j’invente Pour me sentir moins seul Mon amour.

  • Les mots démons

    - 192 visits
    Les mots je les rencontre, les ramasse comme des rencontres. Ils me viennent, où je les prends, comme un voleur-neuromoteur. Dans un berceau de douleurs qui devait m'apaiser. Et qui me fait encore souffrir de ses bruits. Et pour temps, et pourtant, ces mots sont des giclures qui se minéralisent, dans le sable, pour un instant sur la plage. Ma vie, Ta vie, des mots moléculaires pour l'illusion réductrice des vagues. Comme les galets mouillés sur la plage. Quand tu les touches, ils m…

  • Le goût de la vie.

    - 172 visits
    Le goût de la vie. Je vie des choses extras, Dans ma vie ordinaire. Puis l’adversité, sous mon parapluie. Ma vie respire, la vie, avant qu’elle ne m’expire… Le bonheur est un rayon de soleil qui joue à saute mouton. Dans les flaques des ombres, la lumière fragmentée a le goût de pétrole. La vie ordinaire à le goût des choses extraordinaires. F. Wojda 06/12/15.

  • À tous mes Enfants.

    - 169 visits
    À tous mes Enfants. Vous êtes la part de lumière de vos Parents. Vous êtes ce que l'on a fait de mieux. Soyez tranquilles et en paix. Car, nous vous aimerons jusqu'après notre mort. Vous êtes issus de l'amour et incarnez la Vie. Vous nous parlez le cœur pur, Celui qui ignore le mensonge et ne voit que l'authentique. Celui qui nous demande de prendre soin de soi, de nous aimer ; comme nous vous Aimons. Papa

  • La mort verte

    - 152 visits
    La mort verte digère lentement le rouge Son ventre gomme et ronge le clair, l'obscur, l'additionnel. Elle épargne peu à peu l'offrande. Ces déclarations aux mots crépitant traversent sa tête comme un blizzard muet. De cette bouffissure, ensorceleuse, de l'épouvante du dénuement, grince le préjudice de l'aimant. Dans l'arène de son crâne, Certitude et Ombre, Dessein et Désespérance hurlent leur fureur amère, dépeuplée. Ces grincements deviennent silence. Ses vanités aveugles se tiennent…

21 articles in total