Langage des signes

Excellent shot!

Admired in: www.ipernity.com/group/tolerance

Passer ses journées dans l'eau, dans la boue, pour parfois trouver quelques paillettes, ce n'est pas ce qu'on peut appeler rouler sur l'or...

Image impressionnante, Jean-luc.

Donc, prendre avec soi quelques fardes de cigarettes comme monnaie d'échange :-))
Un travail dur et pénible, en vaut-il la peine ?
Bonne journée. Amitiés

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Je te recommande la lecture de cet article et tu auras ta réponse ;-))

Superbe article très détaillé et explicite sur le travail des orpailleurs.

Un regard sur sa souffrance et sa pauvreté , j'espère que tu arrives à te préparer moralement à être en partie insensible à tout ce qui touche cette misère que tu nous fais partager

Bien entendu, il faut se blinder, sinon il est impossible de côtoyer la misère. Cependant, il faut conserver son empathie pour ne pas être totalement insensible et imperméable à toute émotion. De toute façon, mes voyages dans ces pays sont motivés et justifiés par des collaborations avec des ONG dans le cadre de l'aide humanitaire. Pour moi, le tourisme de loisir dans ces pays n'est pas une option.

Ils vaux mieux que les mots.
Inoubliable témoignage.

oui!

impressive ortrait

SHE HAS A KNOWING SMILE !

Excellent ! Et si on ne fume pas ? Triste quand même pour les malgaches.

En allant sur ce lieu de reportage, je savais que tout allait se monnayer avec des cigarettes. Avant je fumais et j'emportais beaucoup plus de cigarettes que pour ma consommation personnelle. Je ne fume plus, m'ai j'ai toujours une dizaine de paquets dans mon sac photo. De toute façon, dans les pays du Tiers-monde, offrir une cigarette est toujours perçu comme un geste amical, même -et surtout- si on n'attend rien en retour.

Isabelle m'a devancé !! Sachant que tu ne fumais plus ,je me suis demandé comment tu allais faire . Ta photo est très parlante , cette femme est très marquée par son travail harassant . Pourquoi les personnes les plus pauvres héritent de travail le plus pénible ?

Car vouloir s'en sortir donne de l'énergie pour les boulots que les autres ne veulent pas faire.
Et d'après les propos de cette femme, malgré la pénibilité, ce travail est plus rentable que l'exploitation du mini-ferme qui permet à peine d'assurer son autosuffisance alimentaire. Depuis qu'elle est orpailleuse sa famille n'a plus connu de périodes de famine.
A Madagascar j'ai travaillé avec une ONG qui oeuvrait avec des agriculteurs sur la sécurité alimentaire. Avant l'arrivée de cette association agricole, les populations des montagnes du sud-est connaissaient 4 mois par an de disette. Quatre mois entre deux récoltes.

j'aime beaucoup ce portrait avant de lire le commentaire j'ai cru qu'elle avait peur de toi ,,, les couleurs sont douces,,