Une vie rustique dans un décor idyllique
Rue de Fort-Dauphin
Portrait malgache
André, champion de surf
Une barrière qui n'est pas de corail !
Lumières malgaches
Patronne de gargote
Oeufs frais
Le boucher rappeur
Joyeuse petite malgache
Dobi Wallah
Dobi Wallah
Lessive à la main
Attention ça éclabousse !
Essorage
Séance de repassage
Sur la marché de Munnar
Vendeur de légumes
Vous prendrez bien un peu de thé ?
Chaud devant !
En attendant... Je ne sais quoi !
Récolte du thé
Petit coup de fatigue
Jeu de rue
Il faut souffrir pour être belle !
Corvée de repassage
Contrôle de police
Les copines
Cycliste vendeur de volaille
Lentement, mais sûrement !
Livreur de porc Uber
Présence chinoise
Un petit matin sur Fort-Dauphin
Footing
Que fait la police ?
Une petite entreprise familiale
Tour à bois très artisanal
Tour à bois très artisanal
Envoie la monnaie !
Photo difficile !
Charge lourde
"Drive in" malgache
La fin du voyage pour les animaux de boucherie
En route vers le marché
Tu as des puces ?
1/125 • f/3.2 • 24.0 mm • ISO 200 •
NIKON CORPORATION NIKON D750
AF-S Zoom-Nikkor 24-70mm f/2.8G ED
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Le vite degli altri - La vie des autres - The lives of others - Das Leben anderer Menschen - Las vidas de otras personas
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Artistic Landscapes. ( Formally Fine Art Landscape Photography )
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Regards et citations - CLOSED - images et paroles - NEW ADMIN NEEDED
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I LOVE IT ! ★ J'AIME CELA ! ★ DAS LIEBE ICH ! ★ MI PIACE MOLTO !
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La petite maison dans la brousse


Fort-Dauphin (Madagascar) - Sur cette photo, je vous présente la famille du métayer qui exploite et entretient un terrain appartenant au maire de fort-Dauphin. Outre la culture du riz qu'il cultive pour son propre compte, le paysan malgache garde également un petit troupeau de zébus d'une bonne dizaine de têtes. Certaines bêtes lui appartiennent, d'autres sont la propriété du maire de fort-Dauphin, mais certains voisins lui donnent également du bétail en pension.
Le gardiennage de zébus est une activité -relativement- lucrative. Peu de frais, puisque les bovins vont paitre toute la journée dans la brousse et sont rentrés le soir dans un enclos. Les excréments sont valorisés en engrais naturel. L'argent généré par ce gardiennage permet d'acheter un nouveau zébu chaque année.
Quant à un jeune zébu, il se négocie une bonne centaine d'euros. Prix qui peut monter jusqu'à 300 euros pour un vaillant mâle reproducteur. Une fortune à Madagascar. Par ailleurs, garder des zébus confère au vacher -qu'il en soit propriétaire ou non - un vrai statut social, car sur la Grande île, le zébu est symbole de puissance et de richesse.
Alors, ne vous laissez pas abuser par cette photo qui, pour nous occidentaux, pourrait illustrer la pauvreté. Ces paysans auraient les moyens de se construire une maison plus confortable. Mais ils n'en voient pas la nécessité. Comme leurs ancêtres, ils ont toujours vécu dans des conditions rudimentaires. Et la rivière passe à proximité ; alors que demander de plus ?
Les enfants eux, ne vont malheureusement pas à l'école. Ils sont chargés de garder les troupeaux dès leur plus jeunes âge. Plus utile et plus rentable pour la famille.
Pour la photo j'ai exceptionnellement utilisé mon flash en appoint pour déboucher les ombres de cette scène.
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Le gardiennage de zébus est une activité -relativement- lucrative. Peu de frais, puisque les bovins vont paitre toute la journée dans la brousse et sont rentrés le soir dans un enclos. Les excréments sont valorisés en engrais naturel. L'argent généré par ce gardiennage permet d'acheter un nouveau zébu chaque année.
Quant à un jeune zébu, il se négocie une bonne centaine d'euros. Prix qui peut monter jusqu'à 300 euros pour un vaillant mâle reproducteur. Une fortune à Madagascar. Par ailleurs, garder des zébus confère au vacher -qu'il en soit propriétaire ou non - un vrai statut social, car sur la Grande île, le zébu est symbole de puissance et de richesse.
Alors, ne vous laissez pas abuser par cette photo qui, pour nous occidentaux, pourrait illustrer la pauvreté. Ces paysans auraient les moyens de se construire une maison plus confortable. Mais ils n'en voient pas la nécessité. Comme leurs ancêtres, ils ont toujours vécu dans des conditions rudimentaires. Et la rivière passe à proximité ; alors que demander de plus ?
Les enfants eux, ne vont malheureusement pas à l'école. Ils sont chargés de garder les troupeaux dès leur plus jeunes âge. Plus utile et plus rentable pour la famille.
Pour la photo j'ai exceptionnellement utilisé mon flash en appoint pour déboucher les ombres de cette scène.
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Bon weekend. Amitiés
* irréprochable , le môsieur va bien arriver à me prouver le contraire ;o)))
Jean-luc Drouin club has replied to Julien Rappaport clubJe dois cependant reconnaitre que depuis que j'ai mon moyen-format numérique (GFX 50 R), j'ai décidé de ne plus travailler dans l'urgence. Donc le taux de déchets est réduit. Ce qui ne m'empêche pas de travailler rapidement quand c'est nécessaire. C'est à ça que sert l'expérience.
Et puis, tout au long de ma vie je me suis nourri des photos des autres pour trouver de nouvelles idées à mettre en oeuvre. Ce qui ne m'empêche pas de me prendre encore les pieds dans le tapis.
Mes meilleures photos (ou celles qui auraient dû l'être) sont souvent des photos ratées ou que je n'ai pas pu faire. Je pourrais te parler longtemps de ces photos que je ne pourrais pas te montrer. Elles sont quasiment toutes imprimées dans ma mémoire. Le tout est de ne pas reproduire les mêmes erreurs.
Julien Rappaport club has replied to Jean-luc Drouin clubEt puis l'erreur est humaine , c'est pour ça qu'il y a une gomme au bout du crayon .
H(appy) H(ealthy) W(eekend).
Jean-luc Drouin club has replied to Annaig56 clubAnnaig56 club has replied to Jean-luc Drouin clubHappy weekend:)
Le texte laisse moi toujours perplexe ... l'incapacité de sauter à un autre niveau, la passivité, Jean-luc!
Jean-luc Drouin club has replied to J.Garcia clubPetite 106 (Sylvie) club has replied to Jean-luc Drouin clubJ.Garcia club has replied to Jean-luc Drouin clubMais je fais référence, spécifiquement, à l'éducation des enfants, Jean-luc
Jean-luc Drouin club has replied to J.Garcia clubJ'aime la composition de ta photo, un enfant te regarde et la mère et l'autre enfant se regardent, cela donne une chaleur humaine au-delà du simple portrait.
Mais les jeunes générations qui nous suivent seront plus raisonnables que nous. Malheureusement nous ne seront plus là pour participer à ce monde plus respectueux de notre environnement et de nous-mêmes. Si je me trompe, le compte à rebours est enclenché et s'achèvera par la disparition de l'humanité.
C'était ma minute pessimiste ;-)))
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