Krisonteme's photos
et nous
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Découvrez !
Un enfant,
Ça vous décroche un rêve
Ça le porte à ses lèvres
Et ça part en chantant
Un enfant,
Avec un peu de chance
Ça entend le silence
Et ça pleure des diamants
Et ça rit à n'en savoir que faire
Et ça pleure en nous voyant pleurer
Ça s'endort de l'or sous les paupières
Et ça dort pour mieux nous faire rêver
Un enfant,
Ça écoute le merle
Qui dépose ses perles
Sur la portée du vent
Un enfant,
C'est le dernier poète
D'un monde qui s'entête
A vouloir devenir grand
Et ça demande si les nuages ont des ailes
Et ça s'inquiète d'une neige tombée
Et ça s’endort, de l’or sous les paupières
Et ça se doute qu'il n'y a plus de fées
Mais un enfant
Et nous fuyons l'enfance
Un enfant
Et nous voilà passants
Un enfant
Et nous voilà patience
Un enfant
Et nous voilà passés
maman et la petite famille
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Dosena d'Husky de l'Ivresse de la Foulée dite dodo…
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le ciel de Limoux ce matin 7h 30 sans aucune trans…
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Ciel de Limoux 7h30 ce jour
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Découvrez Julie Zenatti !
Dans ma boite à musique
Des rêves endormis dans la soie
Ecorchés à force de destin
Se souvenir d’un sourire qui fait du bien
Qui nous rappelle d’où l’on vient
Même à vif, je me souviens
Ma vie dans le désordre
Me borde d’absence, me couvre d’or
Je découvre la boite de Pandore
Se souvenir pour mieux oublier le pire
Goûter toutes les fleurs du mal
Pour ne plus y revenir
Se souvenir c’est aussi se pardonner
Pardonner l’injure des autres
Se relever tête haute
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Lune
Qui là-haut s'allume
Sur
Les toits de Paris
Vois
Comme un homme
Peut souffrir d'amour
Bel
Astre solitaire
Qui meurt
Quand revient le jour
Entends
Monter vers toi
La chant de la terre
Entends le cri
D'un homme qui a mal
Pour qui
Un million d'étoiles
Ne valent
Pas les yeux de celle
Qu'il aime
D'un amour mortel
Lune
Lune
Qui là-haut s'embrume
Avant
Que le jour ne vienne
Entends
Rugir le c?ur
De la bête humaine
C'est la complainte
De Quasimodo
Qui pleure
Sa détresse folle
Sa voix
Par monts et par vaux
S'envole
Pour arriver jusqu'à toi
Lune !
Veille
Sur ce monde étrange
Qui mêle
Sa vois au choeur des anges
Lune
Qui là-haut s'allume
Pour
Éclairer ma plume
Vois
Comme un homme
Peut souffrir d'amour
D'amour
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Kerfany
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Pour aller à la Préfecture
Prends la route numéro trois
Tu suis la file des voitures
Et tu t'en vas tout droit, tout droit...
C'est un billard, c'est une piste,
Pas un arbre, pas une fleur,
Comme c'est beau, comme c'est triste,
Tu feras du cent trente à l'heure
Mais moi, ces routes goudronnées,
Toutes ces routes
Me dégoûtent,
Si vous m'aimez, venez, venez,
Venez chanter, venez flâner
Et nous prendrons un raccourci :
Le petit chemin que voici...
Ce petit chemin... qui sent la noisette
Ce petit chemin... n'a ni queue ni tête
On le voit
Qui fait trois
Petits tours dans les bois
Puis il part
Au hasard
En flânant comme un lézard
C'est le rendez-vous de tous les insectes
Les oiseaux pour nous, y donnent leur fêtes
Les lapins nous invitent
Souris-moi, courons vite
Ne crains rien,
Prends ma main
Dans ce petit chemin !
Les routes départementales
Où les vieux cantonniers sont rois
Ont l'air de ces horizontales
Qui m'ont toujours rempli d'effroi...
Et leurs poteaux télégraphiques
Font un ombrage insuffisant
Pour les idylles poétiques
Et pour les rêves reposants...
A bas les routes rabattues
Les tas de pierres,
La poussière
Et l'herbe jaune des talus...
Les cantonniers, il n'en faut plus ! ...
Nous avons pris un raccourci :
Le petit chemin que voici...
Ce petit chemin... qui sent la noisette
Ce petit chemin... m'a tourné la tête
J'ai posé
Trois baisers
Sur tes cheveux frisés...
Et puis sur
Ta figure
Toutes barbouillée de mûres...
Pour nous observer, des milliers d'insectes
Se sont installés par dessus nos têtes
Mais un lièvre au passage
Nous a dit "Soyez sages !"
Ne crains rien
Prends ma main
Dans ce petit chemin !
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Artiste: Pierre Bachelet
Chanson: Elle Avait Tout Peint En Bleu
Elle avait tout peint en bleu
Mon oreiller mes cheveux
Quand j'ai regardé dehors
J'ai vu un drôle de décor
Et je n'en ai pas cru mes yeux
Elle avait tout peint en bleu
Les rues tristes des banlieues
Même les arbres les abri-bus
Avaient la couleur en plus
Et c'était vraiment vraiment mieux
Elle avait tout peint en bleu
Même les gens, les malheureux
Présidents ou éboueurs
Y avait plus d'âge de couleurs
Et c'était tellement tellement mieux
Elle avait tout peint en bleu
Même les prières au bon Dieu
Les journaux, les prospectus
Les tribunes des campus
C'est vrai que ça changeait un peu
Si la liberté mon vieux
Ça peut peindre tout en bleu
Il faut savoir ce qu'on veut
Si tu lui tournes le dos
Elle repart avec ses pinceaux
Vers d'autres ciels, vers d'autres lieux
Et soudain plus rien n'est bleu
Elle avait tout peint en bleu
Mes guitares mon lit mes cheveux
Mais dès qu'elle est repartie
Tout est redevenu gris
Et je n'en ai pas cru mes yeux
Elle avait tout peint en bleu
Elle avait tout peint en bleu
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