Avenir- souvenir
Folder: Créations
Autrefois
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J'ai dans le cœur, quelque part,
De la mélancolie,
Mélange de sang barbare
Et de vin d'ltalie,
Un mariage à la campagne
Tiré par deux chevaux,
Un sentier dans la montagne
Pour aller puiser l'eau.
J'ai au fond de ma mémoire
Des lumières d'autrefois
Qu'une très vieille femme en noir
Illuminait pour moi,
Une maison toute en pierres
Que la mer a rongée
Au-dessus d'un cimetière
Où les croix sont penchées.
Je Viens Du Sud
Et par tous les chemins,
J'y reviens...
J'ai dans la voix, certains soirs,
Quelque chose qui crie,
Mélange d'un chant barbare
Et d'un ciel d'ltalie,
Des colères monumentales
Que les vents m'ont soufflées,
Des discours interminables
Après le déjeuner.
Je Viens Du Sud
Et par tous les chemins,
J'y reviens...
J'ai quelque part dans le cœur
De la mélancolie,
L'envie de remettre à l'heure
Les horloges de ma vie,
Un sentier dans la montagne
Quand j'aurai besoin d'eau,
Un jardin dans la campagne
Pour mes jours de repos,
Une maison toute en pierres
Que la mer a rongée
Au-dessus d'un cimetière
Où mon père est couché.
Je Viens Du Sud
Et par tous les chemins,
J'y reviens...
Et par tous les chemins,
J'y reviens...
Le blizzard cogne à la fenêtre ...................…
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Ce soir il neige jusqu'en enfer
Il gèle à fendre des cailloux
Y a du blanc jusque sur la mer
Le ciel touche la terre au bout
Dehors il fait un froid de chien
Un froid de chagrin de décembre
Et de tous les cotés s'éteint
Le feu qui couve sous la cendre
Et pourtant, pourtant moi j'ai chaud
Je sue le sang et l'eau
Je brûle à l'intérieur
Juste à l'endroit du coeur
Pourtant moi j'ai chaud
J'ai le feu à la peau
Je brûle pour le pire
A l'endroit du désir.
Ce soir même le temps est gelé
Il fait pas bon trainer dehors
Les heures durent des années
Les quatre points marquent le nord
Le blizzard cogne à la fenêtre
Il y a du givre sur les étoiles
Même le jour se retient de naître
Pour ne pas déchirer la toile
Pourtant, pourtant moi j'ai chaud
Je sue le sang et l'eau
Je brûle à l'intérieur
Juste à l'endroit du coeur
Pourtant moi j'ai chaud
J'ai le feu à la peau
Je brûle pour le pire
A l'endroit du désir.
Et pourtant
J'ai chaud
Et pourtant
J'ai chaud
L’hiver est là..........sur fond noir :-)*
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Une hirondelle prépare un long voyage
L’automne s’enfuit, l’hiver est à deux pas
Et toi aussi, tu as fait tes bagages
Et tout comme elle, tu ne sais pas où tu vas
(Refrain)
Il reviendra ce très joli bateau
Il reviendra un jour qu’il fera beau
A la maison tout le monde t’attends
Et l’on fait des prières pour que tu sois dedans
Il reviendra ce très joli bateau
Il reviendra un jour qu’il fera beau
Je l’attendrai s’il faut toute ma vie
Puis s’il doit revenir,
comme tu me l’as promis
Une hirondelle est partie très très loin
L’hiver est là et je m’ennuie de toi
Souvent je pleure, souvent j’ai du chagrin
Si tu savais, ce que c’est long sans toi
Il reviendra ce très joli bateau
Il reviendra un jour qu’il fera beau
A la maison tout le monde t’attends
Et l’on fait des prières
pour que tu sois dedans
Il reviendra ce très joli bateau
Il reviendra un jour qu’il fera beau
A la maison, tout le monde t’attends
les petits et les grands
Nous sommes très impatients
Il reviendra ce très joli bateau
Il reviendra un jour qu’il fera beau
Il reviendra à demain mon amour
Il reste quelques jours
A demain mon Amour
Ecoute chanter la foule................ Avec les m…
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une ville que je connais
Une chanson que je chantais.
Y a du sang sur le trottoir
C'est sa voix, poussière brûlée
C'est ses ongles sur le blindé.
Ils l'ont battu à mort, il a froid, il a peur.
j'entends battre son coeur
De n'importe quel pays, de n'importe quelle couleur.
Po Na Ba Mboka Nionso Pe Na Pikolo Nionso
Il vivait avec des mots
Qu'on passait sous le manteau
Qui brillaient comme des couteaux.
Il jouait d'la dérision
Comme d'une arme de précision.
Il est sur le ciment, mais ses chansons maudites
On les connaît par cœur,
La musique a parfois des accords majeurs
Qui font rire les enfants mais pas les dictateurs.
De n'importe quel pays, de n'importe quelle couleur.
La musique est un cri qui vient de l'intérieur.
Ça dépend des latitudes
Ça dépend d'ton attitude
C'est cent ans de solitude.
Y a du sang sur mon piano
Y a des bottes sur mon tempo.
Au-dessous du volcan, je l'entends, je l'entends
J'entends battre son cœur.
La musique parfois a des accords mineurs
Qui font grincer les dents du grand libérateur.
De n'importe quel pays, de n'importe quelle couleur.
La musique est un cri qui vient de l'intérieur.
C'est une ville que je connais
Une chanson que je chantais
Une chanson qui nous ressemble.
C'est la voix de Mendela
Le tempo docteur Fela
Ecoute chanter la foule
Avec les mots qui roulent et font battre son cœur.
De n'importe quel pays, de n'importe quelle couleur.
La musique est un cri qui vient de l'intérieur
Po Na Ba Mboka Nionso... Pe Na Pikolo Nionso
Dans un autre univers.....with our dreams
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SUR FOND NOIR
So many days we've spent together
Trying to get ahead with our dreams
Now we have come to the goal forgotten
Hurting within left us torn
The road is open
We find out way through ties where broken
So the means to the end
Was the peace that was meant
To be ours since it all began
We fight to win
I won't give up, we'll fight to win
To move along from where we'd been
I'll sing this song for you again
I'm looking up around the bend
We're so much stronger than before
Our fraying edges on the mend
Life as we know would be so different
Had our paths continued the same
Seizing the day with all that's offered
The good and the bad,
The clear and the haze
To move along from where we'd been
I'll sing this song for you again
I'm looking up around the bend
We're so much stronger than before
[
Our fraying edges on the mend
Don't let go
So hard to face what we've done wrong
We shared a life that can't be
We cannot hide from destiny
So hard to face what had gone wrong
We've got to make this work
And give it our all
Give our all and won't let go
Waiting so long for an answer
We've been waiting oh, so very long and
Now we're ready to accept our fate
Our melodies will be remembered
forever and ever
Our memories will fade away
when the leaves have reached the soil
I won't give up this fight
The sacrifices made
We gave our all
And won't let it go to die in vain
I'll sing this song again
We're stronger than before
We have the chance of lifetime
We'll never close this door
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Et toutes ces années ....................à me mord…
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C'est la lettre de la femme du guerrier
Elle est venue par hasard dans mon courrier
Elle raconte la triste et dure vérité
D'une femme qui ne veut rien gâcher
Refrain :
Mon amour ne m'écris pas, si tu es prisonnier
Si tu es prisonnier, si tu es prisonnier
Mon amour ne reviens pas, pas après cet été
Je t'aurais oublié, je t'aurais oublié
Que la vie continue, que la chance soit avec toi
Moi mon corps nu ne connait que toi
Mais la vie est si courte et la guerre si cruelle
Si l'on m'offre une autre route, je partirais avec elle
Refrain
Et l'unique enfant que j'ai eu de toi
Grandit avec le vent du combat
Mais il arrive des fois, que je meures si je mens
Qu'il arrive en pleurant
En criant quil a tout oublié de toi
Refrain
Et toutes ces années à me mordre les doigts
Sont des années gâchées, mais pour toi
Je t'avais déclaré que je ferais n'importe quoi
Mais la foi disparaît, c'est l'ennui qui la noie
Refrain
C'est la lettre de la femme du guerrier
Elle est venue par hasard dans mon courrier
Elle raconte la triste et dure vérité
D'une femme qui ne veut rien gâcher
Et les fleurs du printemps vont déjà s'annoncer
Voilà déjà si longtemps que je n'en ai plus profité
Je finis m'effondrant, ce sinistre papier
C'est le maudit chant de la femme du guerrier
Refrain
Trop de bruit .................Pour mon esprit qui…
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Découvrez !
Trop de bruit
Pour trop de nuits qui pensent
Quand valse l'absence
Dans ce bal
Ton silence est un cri qui fait mal
Je devine
Ton visage sur les ombres
Les souvenirs sombrent
M'assassinent
Refrain :
Je dors sur des roses
Qui signent ma croix
La douleur s'impose
Mais je n'ose pas
Manquer de toi
Dans mes nuits
Dans la pluie
Dans les rires
Dans le pire
De ma vie
Trop de bruit
Pour mon esprit qui tangue
Sur mes rêve exsangues
Drôle danse
La mémoire est un puit de souffrance
Au-dessus
De ton corps défendu
Mon amour pendu
Se balance
Je dors sur des roses
Qui signent ma croix
La douleur s'impose
Mais je n'ose pas
Effleurer les choses
Écloses sans toi
Oh ! ma rose
Ne fane pas
Je manque de toi
Dans mes nuits
Dans la pluie
Dans les rires
Dans le pire
De ma vie
Je hais les roses
Autant que mes sanglots
La vie s'impose
Je crois à nouveau
A mes rêves défunts
Je veux enfin
Oser la fièvre
Du parfum
Des roses
Novembre
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Une vie en demi pente
La lumière absente
Un pavillon de brique de lierre
Quelque part sur terre
Une vie en demi teinte
La lumière absinthe
C'est toujours le même film qui passe
Quelque part sur place
Novembre toute l'année
Toute l'année c'est novembre
Le ciel blanc
Le ciel est blanc cassé
La pluie à contre jour
Le temps des retours
Des grands départs dans l'autre sens
Quelque part je pense
Novembre est éternel
La vie est presque belle
Les souvenirs sont des impasses
Que sans cesse on ressasse
Novembre toute l'année
Toute l'année c'est novembre
Le ciel est blanc
Le ciel est blanc cassé
La lune était pleine et belle, Pourtant j'avais l…
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Je passe ma vie à regarder.........dans .....dans…
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Découvrez !
Je me souviens, moi, de ce musicien c'était l'automne à la maison
Je me souviens, moi, de ce musicien c'était l'automne sur son violon
Le temps n'est plus où passaient les violons quand tu étais dans la maison
Il a tant plu depuis tant de saisons, le temps n'est plus aux violons.
Moi dans la maison vide, dans la chambre vide je passe l'été à écouter
Cette symphonie qui était si belle et qui me rappelle un amour fini.
Moi dans la maison vide, dans la chambre vide je passe l'été à regarder
Les oiseaux qui passent comme des menaces
Et j'entends l'automne, moi je n'attends personne.
Je me souviens, moi, de ce musicien un soir d'adieu à la maison
Je me souviens, moi, de ce musicien et de l'adieu sur son violon
Et chaque année lorsque l'année finit, j'entends le violon de septembre
Et le passé comme une symphonie fait son entrée dans cette chambre.
Moi dans la maison vide, dans la chambre vide, je passe la nuit à écouter
Cette symphonie, aujourd'hui finie et qui me rappelle que tu étais belle.
Moi dans la maison vide, dans la chambre vide je passe ma vie à regarder
Les oiseaux qui passent comme des menaces
Et j'entends l'automne, moi je n'attends personne.
Moi dans la maison vide, dans la chambre vide, je passe ma vie à écouter
Cette symphonie qui était si belle et qui me rappelle un amour fini.
Dans la maison vide, dans la chambre vide, je passe ma vie à regarder
Les oiseaux qui passent comme des menaces
Et j'entends l'automne, moi je n'attends personne.
Oublier les sombres ravages.............De leurs p…
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Si le vent pousse les nuages,
On apercevra le soleil,
Et l'on pourra tourner la page,
De ces matins, pauvres réveils,
Ces matins qui gardent en otage,
Nos envies au fond d'un sommeil
Sortir la tête de ce potage,
Plier les rêves que l'on bégaye.
J'ai l'horizon dans mes bagages,
Des aventures à t'inventer,
Pas de frontières, autres péages,
Pas de limite à s'en aller,
Au-delà de nos marécages
Où l'on ne peut que s'enliser,
Où jamais rien ne nous soulage
Mais je sais qu'on peut s'envoler.
Si tu me suis,
Si tu me crois aussi,
Si tu me suis,
Si seulement et seulement,
Si tu me suis,
Si tu me crois aussi,
Si tu me suis,
Si seulement et seulement.
Si le vent pousse les nuages,
On apercevra le soleil,
On s'en ira vers d'autres plages,
Où la vie n'est jamais pareille,
On se perdra sur des rivages,
Dans des océans de merveilles,
On fera peut-être naufrage,
Je crois qu'il faut que l'on essaye,
Atteindre d'autres paysages,
Des galaxies inexplorées.
Ne plus sentir geindre la rage,
Ni l'entendre se lamenter,
Oublier les sombres ravages,
De leurs principes et leurs idées
En trouvant un pont, un passage,
N'importe quoi pour s'évader.
Si tu me suis,
Si tu me crois aussi,
Si tu me suis,
Si seulement et seulement,
Si tu me suis,
Si tu me crois aussi,
Si tu me suis,
Si seulement et seulement.
Si le vent pousse les nuages,
On apercevra le soleil,
Si ton vent pousse mes nuages,
On apercevra le soleil,
Si le vent pousse les nuages,
On apercevra le soleil,
Si mon vent pousse tes nuages,
On apercevra le soleil.
Si tu me suis,
Si tu me crois aussi,
Si tu me suis,
Si seulement et seulement,
Si tu me suis,
Si tu me crois aussi,
Si tu me suis,
Si seulement et seulement.
Si tu me suis,
Si tu me crois aussi,
Si tu me suis,
Si seulement et seulement,
Si tu me suis,
Si tu me crois aussi,
Si tu me suis,
Si seulement et seulement,
Si tu me suis.
Quando l'incanto parla ancora di te Da............…
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Découvrez !
Quando la sera scivolo su di noi
All'uscita della scuola in citta
Ci prendemno per mano e ti dissi
Io ti amo
Quando un bambino ci taglio poi la via
Con un tamburo di latta e una scia
E poi quel suono rimbalzo su di noi
Io ti amo
Il mio rifugio......sei tu
Poi ti stringesti forte insieme a me
Quasi a protegger l'eco dentro di te
Delle prime parole d'amore
Io ti amo
Quando la neve di silenzio imbianco
Tutto quel chiasso al centro della citta
E le nostre parole gelo
Io ti amo
Il mio rifugio...sei tu
Quando l'incanto parla ancora di te
Da un quadro un'alba da cio che
Non c'e
Sorriendo penso ancora di te
Che ti amo
Tanto lontana non so se sarai
Tanto vicina ascoltarmi potrai
Come me nessuno dirti sapra
Io ti amo
Il mio rifugio...sei tu
Solitaire ......à un souffle de toi
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La nuit t'habille dans mes bras
Pâles rumeurs et bruits de soie
Conquérante immobile
Reine du sang des villes
Je la supposais, la voilà
Tout n'est plus qu'ombre, rien ne ment
Le temps demeure et meurt pourtant
Tombent les apparences
Nos longs, si longs silences
Les amants se perdent en s'aimant
Solitaire à un souffle de toi
Si près tu m'échappes déjà
Mon intime étrangère
Se trouver c'est se défaire
A qui dit-on ces choses-là ?
Dors !
As down lights up another day
Visions I once had fade away
All of those words unspoken
My wildest dreams off broken
It wasn't supposed to be that way
Should I leave why should I stay
Solitaire à un souffle de toi
Leavin behind me yesterday
Si près tu m'échappes déjà
Am I free or forsaken
Mon intime étrangère
Cheated or awakened
Se trouver, c’est se défaire
Does it matter anyway?
Tu dois briller dans le soleil ...............Toi…
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Découvrez !
A force de noyer les peines
Qui vous mettaient le cœur en carême
A trop pouvoir, à trop donner
A trop de tout, à trop aimer
Le temps traîne dans son sillage
Les requiem et les visages
Tu dois planer
Ne plus voir les yeux qui fascinent
C'est pas un truc qu'on imagine
On ne comprend pas quand on est môme
On est tout seul dans son royaume
Avec les larmes, avec le temps
On fait la part de l'important
Tu dois planer
Tu dois planer au paradis
Si c'est aussi joli qu'l'on dit
Tu dois briller dans le soleil
Toi qu'avais les yeux arc-en-ciel
Tu dois planer
Tu dois planer
On croit que tous les jours sont bleus
On prend la tendresse comme un jeu
C'est seulement quand il est midi
Qu'on s'aperçoit qu'on a grandi
Toi qu'avais le cœur cathédrale
Tu dois briller dans les étoiles
Tu dois planer
Tu dois planer au paradis
Si c'est aussi joli qu'l'on dit
Tant pis si c'est un peu idiot
Mais pour le dire on a qu'les mots
Je voudrais pour que tu t'souviennes
Te dire une dernière fois que j't'aime
Tu dois planer
Tu dois planer au paradis
Si c'est aussi joli qu'l'on dit
Tu dois briller dans le soleil
Toi qu'avais le cœur arc-en-ciel
Tu dois planer
Tu dois planer....
Vla que j'pense à Facepernity !!!!!!!! hey .....
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youtu.be/CQvECZKAe2E
Quand j'pense que j'suis largué, dans l'domaine de la drague..
Quand j'pense que l'alcool m'a trainé dans de drôles de terrains vagues..
Quand j'pense, à toutes mes origines de Bretonnes et de Kailles..
Quand j'pense que j'me suis réveillé souvent avec un Ouroukaï.
Quand j'pense, ça m'fait mal à la tête mais faut que j'trouve la faille.
Quand j'pense à une levrette ça m'fait kiffer mais ça ce n'est qu'un détail.
Quand j'pense, à une Flamande et à son éminence..
Un texte de Jacques Brel qui bien-sûr, là, me met en transe..
Ah, quand j'pense.. à tout c'que je n'suis pas, toute mon incompétence..
Moi qui voulait faire de moi un sujet de l'intelligence,
Toute dispense, de m'critiquer là-dessus, ça pourrait m'agacer.
En plus j'suis comme tendeur/tendu, qui à tout moment peut lâcher..
Quand j'pense, qu'elle m'a quitté cette conne et que j'suis dégoûté,
Elle qui n'était même pas Bretonne, ok, c'est tout c'que j'ai trouvé,
Quand j'pense, que j'ai craqué mon slip, ma carte et mon chèquier
Et qu'on m'a pris pour un pauvre type avec qui l'ont s'est amusé..
Refrain
Quand j'pense,
V'là ce que j'pense: c'est un con qui compense.
Tout c'que j'pense, c'est comme un con qui pense.
V'là c'que j'pense, c'est p'têtre ma récompense, Hey!
Quand j'pense, Hey!
Quand j'pense,
V'là c'que j'pense, c'est p'têtre ma récompense..
Tout c'que j'pense, c'est bien le con qui pense.
Tout c'que j'pense, ou bien la conséquence, Hey!
Quand j'pense, Hey!..
Quand j'pense que je n'ai jamais fait, tout c'que j'ai voulu faire.
Quand j'pense que j'aurais dû me taire quand je l'ai trop ouvert,
Ah, quand j'pense.. qu'autour de moi j'ai vécu des choses pas claires..
Des danses et des javas qu'étaient pas vraiment nécessaires !
Ah, quand j'pense.. que j'me demande maintenant à quoi ça sert..
D'aller s'casser la cruche avec 5 ou 6 litres de bière.
C'est plus Byzance, aujourd'hui ma vie c'est plutôt pépère,
Comme un club de vacances qui se situerait en bord de mer..
Ah, quand j'pense, que mon coeur, a battu pour elle..
Conséquence, je ne buvais que des verres de Tourtel.
À mon sens, j'étais surment aveuglé par la belle.
Quand j'y pense, voilà la récompense, Constance.
Refrain
Quand j'pense,
V'là ce que j'pense: c'est un con qui compense.
Tout c'que j'pense, c'est comme un con qui pense.
V'là c'que j'pense, c'est p'têtre ma récompense, Hey!
Quand j'pense, Hey!
Quand j'pense,
V'là c'que j'pense, c'est p'têtre ma récompense..
Tout c'que j'pense, ou bien le con qui pense.
Tout c'que j'pense, ou bien la conséquence, Hey!
Quand j'pense, Hey!..
Quand j'pense !
(violons)
Quand j'pense à tous mes coups d'gueules,
Et à tous mes combats.
Quand j'pense à ce cercueil, en bas,
Qui rit et puis qui m'tend les bras.
Quand j'pense.. à tous ces gens qui t'diront p'têtre de moi :
Il est mort comme un con et en plus il ne l'savait pas !
Quand j'pense, que elle, que elle sera là,
Ma Constance, elle qui viendra à tous petits pas,
Sous un silence, j'espère enfin qu'elle le dira,
À l'assistance.. qu'il est mort à cause de moi..
Refrain (2x)
Quand j'pense,
V'là ce que j'pense: c'est un con qui compense.
Tout c'que j'pense, c'est comme un con qui pense.
V'là c'que j'pense, c'est p'têtre ma récompense, Hey!
Quand j'pense, Hey!
Quand j'pense,
V'là c'que j'pense, c'est p'têtre ma récompense..
Tout c'que j'pense, c'est comme un con qui pense.
V'là c'que j'pense, c'est bien la conséquence, Hey!
Quand j'pense, Hey!..
Quand.. j'pense !
No pasaran
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Découvrez !
On n'est pas encore revenu du pays des mystères
IL y a qu'on est entré là sans avoir vu de la lumière
Il y a l'eau, le feu, le computer, Vivendi et la terre
On doit pouvoir s'épanouir à tout envoyer enfin en l'air
On peut toujours saluer les petits rois de pacotille
On peut toujours espérer entrer un jour dans la famille
Sûr que tu pourras devenir un crack boursier a toi tout seul
On pourrait même envisager que tout nous explose à la gueule
Autour des oliviers palpitent les origines
Infiniment se voir roulé dans la farine
A l'envers, à l'endroit, à l'envers, à l'endroit x2
Y'a t'il un incendie prévu ce soir dans l'hémicycle
On dirait qu'il est temps pour nous d'envisager un autre cycle
On peut caresser des idéaux sans s'éloigner d'en bas
On peut toujours rêver de s'en aller mais sans bouger de là
Il paraît que la blanche colombe a trois cents tonnes de plombs dans l'aile
Il paraît qu'il faut s'habituer à des printemps sans hirondelles
La belle au bois dormant a rompu les négociations
Unilatéralement le prince entame des protestations
Doit-on se courber encore et toujours pour un ligne droite ?
Prière pour trouver les grands espaces entre les parois d'une boîte
Serait-ce un estuaire ou le bout du chemin au loin qu'on entrevoit
Spéciale dédicace à la flaque où on nage, où on se noie
Autour des amandiers fleurissent les mondes en sourdine
No pasaran sous les fourches caudines
A l'envers, à l'endroit, à l'envers, à l'endroit x2
Son étoile t'éclairera............. pour te montre…
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Il est de ces evenements qui sortent tout le reste de nos pensées.
Certaines circonstances qui nous stoppent net dans notre lancéé.
Il est de ces realités qu'on etait pas prêts à recevoir.
Et qui rendent toutes tentatives de bien-être illusoires.
J'ai pas les mots pour exprimer la puissance de la douleur.
J'ai lu au fond de tes yeux ce que signifiait le mot "malheur".
C'est un souvenir glacial, comme ce soir de decembre.
Où tes espoirs brulants, on laissé place à des cendres.
J'ai pas trouvé les mots pour expliquer l'innexplicable.
J'ai pas trouvé les mots pour consoler l'inconsolable.
Je n'ai trouvé que ma main, pour poser sur ton epaule.
Attendant que les lendemains se depechent de jouer leur rôle.
J'ai pas les phrases miracles qui pourraient soulager ta peine.
Aucune formule magique, parmi ces mots qui saignent.
Je n'ai trouvé que ma presence pour t'aider à souffrir.
Et constater dans ce silence, que ta tristesse m'a fait grandir.
J'ai pas trouvé le remede pour reparer un coeur brisé.
Il faudra tellement de temps avant qu'il puisse cicatriser.
Avoir vecu avec elle et apprendre à vivre sans.
Elle avait ecrit quelquepart que tu verserais des larmes de sang.
Tu as su rester debout, et je t'admire de ton courage.
Tu avances la tête haute, et tu traverses cet orage.
A côté de ton epreuve, tout me semble derisoire.
Tout comme ces mots qui pleuvent, que j'ecris sans espoir.
Pourtant les saisons s'enchaineront, saluant ta patience.
En ta force et ton envie, j'ai une totale confiance.
Tu ne seras plus jamais le même, mais dans le ciel, des demain.
Son etoile t'eclairera, pour te montrer le chemin.
L'horizon est couleur de colère... Qu'est-ce que…
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!
J'ai jamais rien dit, jamais bravé la moindre loi
Pas le plus petit carreau brisé le moindre éclat de vois
J'ai vécu peinard dans mon pinard et mes pantouffles
Ce succédané de liberté où l'on étouffe
J'ai fermé ma gueule et ma fenêtre et mes idées
J'ai été le seul à me connaître, à me voir me rider
Mais je n'en peux plus de m'être tu dans ce vacarme
Dans la fausse paix du monde vrai des marchands d'armes
Et c'est moi, moi le lâche
Et c'est moi, qui me fâche
Et c'est moi qui m'arrache et qui vous secoue
Moi l'intrus, l'anonyme
Le cocu, la victime
Je ne veux plus tendre l'autre joue
Bouge, mon pauvre coeur usé d'avoir battu pour rien
Les années solitaires, les années sans lumière, c'est loin
Rouge, le ciel est rouge et nous promet de beaux matins
L'horizon est couleur de colère...
Qu'est-ce que je foutais dans mon silence et dans ma peur
Enterré vivant, tenant autant de place qu'une erreur
Qu'est-ce que je foutais, moi toujours prêt dans le tumulte
A courber le dos, à faire le beau sous les insultes
II en est bien sur de plus malins et de plus forts
Des briseurs de sceptre, des païens qui traquent le veau d'or
Prêts à tout casser pour renverser les dictatures
El les remplacer souvent par d'autres dictatures
Mais c'est moi, moi le lâche
Mais c'est moi, qui me fâche
Et c'est moi qui m'arrache et qui vous secoue
Moi l'intrus, l'anonyme
Le cocu, la victime
Je ne veux plus
Tendre l'autre joue
Bouge, ma pauvre vie laissée pour compte si longtemps
Et si c'est éphémère, ne te prive pas d'air pour autant
Rouge, le ciel est rouge et nous promet de beaux printemps
L'avenir est couleur de colère!
De colère!
De colère!
De colère!
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