Krisonteme's photos

Rouge Et nos frères de silence Et la paix sur la…

05 Jul 2010 2 3 481
Si l'on m'avait conseillée J'aurais commis moins d'erreurs J'aurais su me rassurer Toutes les fois que j'ai eu peur Je me s'rais blottie au chaud A l'abri d'un vent trop fier Et j'aurais soigné ma peau Blessée par les froids d'hivers J'aurais mis de la couleur Sur mes joues et sur mes lèvres Je s'rais devenue jolie J'ai construit tant de châteaux Qui se réduisaient en sable J'ai prononcé tant de noms Qui n'avaient aucun visage Trop longtemps j' n'ai respiré Autre chose que de la poussière Je n'ai pas su me calmer Chaque fois que je manquais d'air Mes yeux ne veulent plus jouer Se maquillent d'indifférence Je renie mon innocence Refrain En rouge et noir, j'exilerai ma peur J'irai plus haut que ces montagnes de douleur En rouge et noir, j'afficherai mon cœur En échange d'une trêve de douceur En rouge et noir, mes luttes mes faiblesses Je les connais, j' voudrais tellement qu'elles s'arrêtent En rouge et noir, drapeau d' mes colères Je réclame un peu de tendresse ______ Si l'on m'avait conseillée Tout serait si différent J'aurais su vous pardonner Je s'rais moins seule à présent Somnambule j'ai trop couru Dans le noir des grandes forêts Je me suis souvent perdue Dans des mensonges qui tuaient J'ai raté mon premier rôle Je jouerai mieux le deuxième Je veux que la nuit s'achève Refrain En rouge et noir, j'exilerai ma peur J'irai plus haut que ces montagnes de douleur En rouge et noir, j'afficherai mon cœur En échange d'une trêve de douceur En rouge et noir, mes luttes mes faiblesses Je les connais, j' voudrais tellement qu'elles s'arrêtent En rouge et noir, drapeau d' mes colères Je réclame un peu de tendresse En rouge et noir, j'exilerai ma peur J'irai plus haut que ces montagnes de douleur En rouge et noir, j'afficherai mon cœur En échange d'une trêve de douceur En rouge et noir, en rouge et noir En rouge et noir, en rouge et noir En rouge et noir, en rouge et noir En rouge et noir, en rouge et noir En rouge et noir, en rouge et noir

Entré de parking à Limoux

Croire que c'est arrivé Quand je rame sur les dune…

03 Jul 2010 3 1 538
Découvrez r ! J'ai tendance à rêver A oublier les gens A pas les écouter Ou bien à faire semblant Moi j'aime bien m'absenter Je sais c'est énervant J'peux pas vraiment lutter Contre mon tempérament J'ai tendance à aimer A me bercer d'illusions A m'laisser entraîner Sans me poser de questions Je veux juste oublier Etre toujours dans la lune Croire que c'est arrivé Quand je rame sur les dunes C'est vrai, c'est vrai J'ai tendance à rêver Alors je gâche des instants Des occases de t'aimer C'est vrai, c'est vrai J'suis vraiment tête en l'air Mais faut pas m'abandonner Dans les rues en hiver Faut pas m'abandonner Dans les rues en hiver J'ai tendance à rêver Pour compenser le vide A doucement m'esquiver Pour ne pas prendre une ride Oh j'ai la peur tu sais Qui me tenaille le ventre Des entailles dans le cœur Et une flèche en plein centre C'est vrai, c'est vrai J'ai tendance à rêver Alors je gâche des instants Des occases de t'aimer C'est vrai, c'est vrai J'oublie le plus important Mais ça m'empêche pas de t'aimer Ça j'en fais le serment Ça ne m'empêche pas de t'aimer Ça j'en fais le serment Ça j'en fais le serment C'est vrai, c'est vrai J'ai tendance à rêver Mais ça m'empêche pas de t'aimer Ça j'en fais le serment Ça m'empêche pas de t'aimer Ça j'en fais le serment C'est vrai, c'est vrai J'ai tendance à rêver Alors je gâche des instants Des occases de t'aimer C'est vrai, c'est vrai J'oublie le plus important Mais ça m'empêche pas de t'aimer Ça j'en fais le serment Ça ne m'empêche pas de t'aimer Ça j'en fais le serment Ça j'en fais le serment.

Et si

01 Jul 2010 2 2 413
Et si tu n'existais pas Dis-moi pourquoi j'existerais Pour traîner dans un monde sans toi Sans espoir et sans regret Et si tu n'existais pas J'essaierais d'inventer l'amour Comme un peintre qui voit sur ses doigts Naitre les couleurs du jour Et qui n'en reviens pas Et si tu n'existais pas Dis-moi pour qui j'existerais Des passantes endormies dans mes bras Que je n'aimerais jamais Et si tu n'existais pas Je ne serais qu'un point de plus Dans ce monde qui vient et qui va Je me sentirais perdu J'aurais besoin de toi Et si tu n'existais pas Dis-moi comment j'existerais Je pourrais faire semblant d'être moi Mais je ne serais pas vrai Et si tu n'existais pas Je crois que je l'aurais trouvé Le secret de la vie, le pourquoi Simplement pour te créer Et pour te regarder Et si tu n'existais pas Dis-moi pourquoi j'existerais Pour traîner dans un monde sans toi Sans espoir et sans regret Et si tu n'existais pas J'essaierais d'inventer l'amour Comme un peintre qui voit sous ses doigts Naître les couleurs du jour

With all the soul that I can

01 Jul 2010 1 402
I woke up this morning baby The blues was pouring out of me Cent fois ces mots je les ai dits Ces mots que d'autres avaient écrits De toute ma voix, de toute mon âme With all the soul that I can Le blues comme on me l'a appris I woke up this morning baby Mais ce matin-là j'ai compris La peine aux longs champs de coton J'imaginais de mon cocon Les coups, le sang, les temps boueux J'avais mal en fermant les yeux His baby's far away J'ai des pardons, j'ai des prières Mais l'blues c'est pas des phrases en l'air I woke up this morning baby Mais ce matin t'as vraiment froid Tu comprends du fond de ta poitrine Tous les blues sont écrits pour toi Oh oh Oh I feel the blues in me Nobody knows how I really feel Nobody knows nobody cares Les mots te brûlent un par un comme s'ils Comme s'ils t'appartiennent enfin Ces blues étaient les tiens De toute ma voix, toute mon âme With all the soul that I can Le blues qu'on n'm'a jamais appris I woke up this morning The blues was pouring out of me Nobody knows {x2} Nobody cares Nobody, nobody

Cerisier en fleurs

14 Mar 2009 5 5 1137
Quand nous en serons au temps des cerises Et gai rossignol et merle moqueur Seront tous en fête Les belles auront la folie en tête Et les amoureux du soleil au cour Quand nous chanterons le temps des cerises Sifflera bien mieux le merle moqueur Mais il est bien court le temps des cerises Où l'on s'en va deux cueillir en rêvant Des pendants d'oreilles Cerises d'amour aux robes pareilles Tombant sous la feuille en gouttes de sang Mais il est bien court le temps des cerises Pendants de corail qu'on cueille en rêvant Quand vous en serez au temps des cerises Si vous avez peur des chagrins d'amour Evitez les belles Moi qui ne crains pas les peines cruelles Je ne vivrai pas sans souffrir un jour Quand vous en serez au temps des cerises Vous aurez aussi des chagrins d'amour J'aimerai toujours le temps des cerises C'est de ce temps-là que je garde au coeur Une plaie ouverte Et Dame Fortune, en m'étant offerte Ne saura jamais calmer ma douleur J'aimerai toujours le temps des cerises Et le souvenir que je garde au coeur Jean-Baptiste Clément Cette chanson est si fortement associée à la Commune de Paris que, dans les esprits, elle fut écrite pour elle. Pourtant elle fut écrite sous Napoléon III avant même la guerre de 1870 (dont l'humiliation de la défaite française devait produire, en 1871, l’occasion favorable au déclenchement de la Commune). Un fait notoire est qu'elle fut dédicacée (mais après coup) par son auteur à une infirmière morte lors de la Semaine sanglante[1]. Les cerises évoquent différentes choses. D'une part, elles rappellent, par leur couleur, le sang et le drapeau rouge, liés entre autres à la Commune, ce qui fait que la chanson demeure associée à l'idée de liberté, de solidarité, et de résistance face à l'oppression. D'autre part, les cerises renvoient au sucre et à l'été, et donc à un contexte joyeux voire festif. Ainsi la chanson véhicule une certaine nostalgie et une certaine idée de gaieté populaire. La version la plus célèbre de cette chanson est interprétée par Charles Trenet. Chanson emblématique de l'identité de la Gauche française, elle fut interprétée le 10 janvier 1996 par la cantatrice Barbara Hendricks lors de l'hommage rendu au président socialiste François Mitterrand sur la place de la Bastille. Le temps des cerises fut également interprété par Yves Montand, par Geike Arnaert (Hooverphonic) et Bobbejaan Schoepen en mai 2008, et par le groupe de rock bordelais Noir Désir, accompagné de Romain et Estelle Humeau du groupe Eiffel, en octobre 2008[2].

Aeroport de Barcelone

transparence

Lune et lampadaire ...

Hier soir ..pleine lune

26 Jun 2010 1 1 369
Un peu trouble ......

Pleine lune hier soir à Limoux

26 Jun 2010 1 327
le lampadaire de la rue est un peu gênant .....

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