Et je peins les vers de mes poèmes
Au gré de mes humeurs bohèmes.
Tout naît du temps qui me traverse
Comme une symphonie me berce.
Qu’essouffle des vertiges lointains,
Je tiens au bout de mes songes gris
Des synapses fleuries au doux parfum.
Ma pensée se cueille au néant.
Je me dis que cela devient dément.
J’écoute la musique du firmament
Qui répand aux nues un voile d’argent.
Ma main cherche au travers du miroir
Le reflet pâle d’un jour béni plein d’espoir.
Tant de vie, et si peu de flamme !
Tel est le mystère de tant d’âmes.
Les mots s’entrechoquent au ralenti,
Provoquent en moi toutes ces envies
De voir ces sourires en rais de chance.
Instants qui s’enrobent d’élégance !
S’enroulant d’yeux éblouissants,
Je recueille toutes ces notes en passant
Que consume déjà un soleil naissant.
Sur un lit d’océan aux lames tourmentées
Que fissurent des secrets inoubliés.
Je colore mes rimes pour ne pas pleurer…
©Valériane
je suis une personne très gaie ! merci pour ces quelques lignes ! tu es un amour !
Gros bisous♫
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