J’aime notre belle langue, amie de Molière.

Jouer avec ses accents, ses nuances pour plaire

En divaguant parmi ses mots, ses vers.

Je la tourne comme je veux, à l’endroit, à l’envers.

Tout cela m’est facile et pour vous complaire.

Je sais la faire avouer pour dire les émotions,

Les tristesses et les rires parfois avec dérision.

Ne croyez point que je sois triste ou bipolaire ;

La prose est née de ma bouche qui profère

Les premiers mots alignés de mon langage.

Et depuis, il fait ma joie et ma rage.

N’essayez pas de jouter avec eux, avec moi,

Je suis sure que d’un seul coup, vous serez pantois.

Comme a dit notre ami Duteil : C’est une langue belle !

Elle a des harmonies qui la rendent éternelle…

(c)Valériane