A l’heure où tout s’endort,

D’étranges sensations nouvelles

Eclosent dans des songes irréels.

Les yeux se sont fermés sur les incertitudes

De la mémoire en interlude.

D’un secret enfoui naissent les étoiles

Que les draps du soir couvrent de leurs voiles,

Liant l’absence aux blanches camisoles

D’un puzzle que l’on recolle,

Nudité froide des miroirs

Qui traverse dans le noir

L’ellipse de beaux espoirs…

(c)Valériane