Dans la voute sacrée du silence
Brille mon âme étincelante.
Toi seul sais les secrets de mon cœur
Et l’ineffable appel de mes langueurs.
Là-haut dans le ciel clair, un ange de clarté
Fige l’éternité en cristal de rosée.
L’immensité me prend comme un brasier
Où chuchotent les flammes de mon corps immolé.
Qui me délivrera de ces traits dévorants ?
Il ne restera de moi que cendres éthérées
Et ce parfum d’aurore illuminé.
Ainsi, je vis, je meurs…sous le voile…ignorée…
(c)Valériane
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