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Quand je ne serai plus du bord des vivants
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Les papillons, ils vont, ils viennent, ils voltigent
Ils sont là et hop, ils sont repartis, comme des prodiges
J'ai toujours pensé
Que si nous mourons
Nous, nous changerons
Quand nous partirons
En nuage doré
En oiseau cendré
Ou en papillon
Je me suis souvent dit
Qu'on sera peut-être pas très loin d'ici
Au moins pour les êtres
Qui comptent dans notre vie
Et qu'on n'oublie pas
Quand ils sont partis
Alors toi
Alors toi qui es là-bas
Toi qui sais des choses
Toi qui sais dis-moi
Qui est ce papillon rouge noir et blanc
Qui s'est posé là tranquillement
Devant chez moi sur le gazon
Juste à l'entrée de ma maison
Et en dehors de la saison
J'ai perdu la trace de quelques amis
Gens qui vous embrassent et qu'on ne revoit plu
Je ne peux pas savoir
S'ils se sont perdus ou s'ils sont en vie
Alors toi
Alors toi qui es là-bas
Toi qui sais des choses
Toi qui sais dis moi
Qui est ce papillon rouge noir et blanc
Qui s'est posé là tranquillement
Devant chez moi sur le gazon
Juste à l'entrée de ma maison
Et en dehors de la saison
Quand je ne serai plus du bord des vivants
Je viendrai vois-tu juste une fois seulement
Voir si tu vis bien
Voir que tu vas bien même sans moi
Bien même sans moi
la vie
Qui, le vent à la main Descendait de l'Oural
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Découvrez !
Oï tzigané
Est-ce que vous connaissez l'histoire
De la jeune fille
La jeune fille aux yeux noirs
Qui, le vent à la main
Descendait de l'Oural
La terre tremblait sous son cheval
Le feu dans ses yeux
Le ciel et le soleil
Brûlaient dans ses yeux noirs
Ses yeux noirs...
Otchi tchiornyé
Otchi strassnyié
Otchi jgoutchié
I pries krasnié
Kak lioubliou ya vas
kak baîouss ya vas
Znaîti ouvidiel
Vniedobryi tchas
Oh jeune fille aux yeux noirs
Nous, les libres oiseaux
Irons loin vers la mer
Longtemps après les terres
Après les plaines mortes
Sur l'océan brûlant
Nous brûlerons aussi
Au fond de tes yeux noirs
Tes yeux noirs...
Otchi tchiornyé
Otchi strassnyié
Otchi jgoutchié
I pries krasnié
Kak lioubliou ya vas
kak baîouss ya vas
Znaîti ouvidiel
Vniedobryi tchas
Ô vos Yeux noirs
Yeux passionnés
Yeux brûlants et superbes
Comme je vous aime
Comme je vous crains
C'est que je vous vis
A la mauvaise heure
Nous sommes............. hymne militantiste compos…
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youtu.be/wpGMoXsP6Ic
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Nous sommes deux nous sommes deux
Huit heures vont bientôt sonner
Éteins la lampe le gardien frappe
Ce soir ils reviendront nous voir
L'un va devant l'un va devant
Et les autres suivent derrière
Puis le silence et puis voici
La même chanson qui revient
L'un va devant l'un va devant
Et les autres suivent derrière
Puis le silence et puis voici
La même chanson qui revient
Ils frappent deux ils frappent trois
Ils frappent mille vingt et trois
Tu as mal toi et j'ai mal moi
Qui de nous deux a le plus mal
C'est l'avenir qui le dira
Nous sommes deux nous sommes trois
Nous sommes mille vingt et trois
Avec le temps avec la pluie
Avec le sang qui a séché
Et la douleur qui vit en nous
Qui nous transperce et qui nous cloue
Nous sommes deux nous sommes trois
Nous sommes mille vingt et trois
Avec le temps avec la pluie
Avec le sang qui a séché
Et la douleur qui vit en nous
Qui nous transperce et qui nous cloue
Notre douleur nous guidera
Nous sommes deux nous sommes trois
Nous sommes mille vingt et trois
Rouge, le ciel est rouge et nous promet de beaux m…
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J'ai jamais rien dit, jamais bravé la moindre loi
Pas le plus petit carreau brisé le moindre éclat de vois
J'ai vécu peinard dans mon pinard et mes pantouffles
Ce succédané de liberté où l'on étouffe
J'ai fermé ma gueule et ma fenêtre et mes idées
J'ai été le seul à me connaître, à me voir me rider
Mais je n'en peux plus de m'être tu dans ce vacarme
Dans la fausse paix du monde vrai des marchands d'armes
Et c'est moi, moi le lâche
Et c'est moi, qui me fâche
Et c'est moi qui m'arrache et qui vous secoue
Moi l'intrus, l'anonyme
Le cocu, la victime
Je ne veux plus tendre l'autre joue
Bouge, mon pauvre coeur usé d'avoir battu pour rien
Les années solitaires, les années sans lumière, c'est loin
Rouge, le ciel est rouge et nous promet de beaux matins
L'horizon est couleur de colère...
Qu'est-ce que je foutais dans mon silence et dans ma peur
Enterré vivant, tenant autant de place qu'une erreur
Qu'est-ce que je foutais, moi toujours prêt dans le tumulte
A courber le dos, à faire le beau sous les insultes
II en est bien sur de plus malins et de plus forts
Des briseurs de sceptre, des païens qui traquent le veau d'or
Prêts à tout casser pour renverser les dictatures
El les remplacer souvent par d'autres dictatures
Mais c'est moi, moi le lâche
Mais c'est moi, qui me fâche
Et c'est moi qui m'arrache et qui vous secoue
Moi l'intrus, l'anonyme
Le cocu, la victime
Je ne veux plus
Tendre l'autre joue
Bouge, ma pauvre vie laissée pour compte si longtemps
Et si c'est éphémère, ne te prive pas d'air pour autant
Rouge, le ciel est rouge et nous promet de beaux printemps
L'avenir est couleur de colère!
De colère!
De colère!
De colère!
Pivoines...... du bout du monde .....
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Rouda : Qui a dit un jour que les paroles s'envolent et que les écrits restent
Et qui dira que cette histoire ne fut qu'une parabole de deux poètes à la plume trop leste
Des montagnes de l'Est elle traverse les rivières du grand Ouest
Puis serpente et s'entête jusqu'à se fondre dans l'asphalte
GCM : C'est l'histoire d'un récit qui traverse le monde comme tu tournes les pages de ton atlas
On m'a dit qu'il était conté par un mec très vieux, je parle pas du Père Fouras
Mais d'un ancien respecté à la voix aussi profonde que les rides de son visage
Je te parle de son récit qui pendant des décennies a traversé plus d'un paysage
Rouda : C'est l'histoire d'un tour du monde d'une course autour de la planisphère
Un moment hors de l'espace-temps où les secondes se comptent en millénaires
Ce n'est pas un conte mais un poème mi-phénomène paranormal
Mi-parole libre qui se promène forcément ça se passe à l'oral
GCM : C'est l'histoire d'un voyage fantastique auquel ont participé plus d'un élément
Qui, lors d'une existence classique, ne se croisent pas forcément
Ce voyage un peu magique, comme tout le monde tu en as entendu parler
Moi je l'ai connu un soir de pleine lune devant un grand ciel étoilé
Rouda : Moi je crois bien que c'est le vent qui est venu me la souffler
Et ça m'a fait l'effet d'un sédatif car à vrai dire ça m'a troublé
GCM : Cette histoire, je donnerais tout pour connaître son origine exacte
T'sais quoi Rouda on va remonter à sa source chacun de son côté, tel est notre pacte
Rouda : Ok Grand Corps Malade je te souhaite une balade planétaire
Je te laisse donner le top départ et le choix dans l'hémisphère
GCM : Tu devras fouiller dans 2 continents, moi 3, s'il faut on se retrouve dans 10ans
Mais comme j'ai plus de terres que toi, tu te taperas aussi le fond des océans
Bon voyage ! Que le meilleur gagne !
Rouda : J'ai commencé à observer les territoires les plus classiques
Le tableau noir des facultés aux discours très académiques
J'ai entendu les cris d'une parole qui s'endort dans des débats soporifiques
Des conférences, des galeries d'art et même des visites guidées au cur des quartiers historiques
GCM : J'ai commencé ma quête en questionnant mon voisin de palier
Il est tellement vieux qu'à un bout de cette histoire il est forcément lié
Il m'a conseillé d'enquêter dans un petit village montagnard
Mais les gens que j'ai croisés là-bas avaient étrangement perdu la mémoire
Rouda : Sur mon itinéraire j'avais quelques antiquaires
Je n'y ai trouvé que des mots en vieux français et des paroles pleines de poussière
J'ai rencontré deux trois coiffeurs et leurs récits légendaires
A la racine j'ai tout compris de la théorie de la pesanteur
J'ai donc pris de la hauteur j'ai fait pas mal d'aller-retours
J'ai été rapide ou plein de lenteur mais la durée de mon parcours
S'étale sur le Maghreb et ses conteurs jusqu'aux tavernes de Singapour
Des tribus nomades d'orateurs aux temples de Kuala Lumpur
J'ai vu des mots d'absence des mots laissés sur une porte et même des mots d'amour
J'ai parfois pris le mauvais sens et plus j'ai fait la connaissance des nouveaux troubadours
GCM : J'ai compris que c'que je cherchais avait quelque chose de secret
Et que cette histoire était fragile comme un mot écrit à la craie
Je scrutais la nuit dans des ruelles sombres aux odeurs de pisse
Quand un vieux clochard me lança enfin sur une bonne piste
Il m'a dit d'aller interroger un scientifique, j'étais d'accord
Mais celui-ci m'a rien appris, j'ai juste révisé le théorème de Pythagore
Alors je suis allé voir les plus grands philosophes du continent
Mais ils m'ont saoulé, j'préfèrais encore mon vieux voisin incontinent
J'ai rencontré des tas de personnes, de Reykjavik à Pékin
Des groupes de jeunes rappeurs aux vieux griots africains... mais en vain
GCM & Rouda : J'ai vu des mots tendres, j'ai vu des mots d'excuse, j'ai vu des gros mots
J'ai vu des mots à prendre des mots qui accusent et même des mots en trop
J'ai vu des mots passants, j'ai vu des mots vexants, j'ai vu des mots tranchants comme un pieux
J'ai vu des mots qui immobilisent des mots sans mobile et même des mots creux
J'ai vu des Mohammed, j'ai vu des Mauricette
J'ai surtout vu que j'avais fait ce voyage pour rien
J'ai vu de mauvais mots, j'ai vu des bons moments
Et que finalement la source n'était pas si loin
Cette histoire, c'est la tienne, c'est la mienne, elle est bien réelle
C'est l'histoire du langage universel faîtes qu'elle soit éternelle
J'sais pas pour toi Grand Corps Malade mais notre fin de texte me semble un peu trop solennelle
C'est vrai Rouda mais l'important c'est peut-être juste qu'elle soit belle
Ca leur paraîtra peut-être bête encore plus con que deux poètes
Mais j'ai encore envie de la dire : que vive la parole libre !
En tout cas c'qui est net, c'est que cette histoire vit dans toutes nos têtes
Et qu'on continueras à la vivre jusqu'aux toutes dernières pages de notre propre livre
Bon voyage ! Que le meilleur gagne !
Soleil noir
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Pour ne plus, jamais plus, vous parler de la pluie,
Plus jamais du ciel lourd, jamais des matins gris,
Je suis sortie des brumes et je me suis enfuie,
Sous des ciels plus légers, pays de paradis,
Oh, que j'aurais voulu vous ramener ce soir,
Des mers en furie, des musiques barbares,
Des chants heureux, des rires qui résonnent bizarres,
Et vous feraient le bruit d'un heureux tintamarre,
Des coquillages blancs et des cailloux salés,
Qui roulent sous les vagues, mille fois ramenés,
Des rouges éclatants, des soleils éclatés,
Dont le feu brûlerait d'éternels étés,
Mais j'ai tout essayé,
J'ai fait semblant de croire,
Et je reviens de loin,
Et mon soleil est noir,
Mais j'ai tout essayé,
Et vous pouvez me croire,
Je reviens fatiguée,
Et j'ai le désespoir,
Légère, si légère, j'allais court vêtue,
Je faisais mon affaire du premier venu,
Et c'était le repos, l'heure de nonchalance,
A bouche que veux-tu, et j'entrais dans la danse,
J'ai appris le banjo sur des airs de guitare,
J'ai frissonné du dos, j'ai oublié Mozart,
Enfin j'allais pouvoir enfin vous revenir,
Avec l'oeil alangui, vague de souvenirs,
Et j'étais l'ouragan et la rage de vivre,
Et j'étais le torrent et la force de vivre,
J'ai aimé, j'ai brûlé, rattrapé mon retard,
Que la vie était belle et folle mon histoire,
Mais la terre s'est ouverte,
Là-bas, quelque part,
Mais la terre s'est ouverte,
Et le soleil est noir,
Des hommes sont murés,
Tout là-bas, quelque part,
Les hommes sont murés,
Et c'est le désespoir,
J'ai conjuré le sort, j'ai recherché l'oubli,
J'ai refusé la mort, j'ai rejeté l'ennui,
Et j'ai serré les poings pour m'ordonner de croire,
Que la vie était belle, fascinant le hasard,
Qui me menait ici, ailleurs ou autre part,
Où la fleur était rouge, où le sable était blond,
Où le bruit de la mer était une chanson,
Oui, le bruit de la mer était une chanson,
Mais un enfant est mort,
Là-bas, quelque part,
Mais un enfant est mort,
Et le soleil est noir,
J'entends le glas qui sonne,
Tout là-bas, quelque part,
J'entends le glas sonner,
Et c'est le désespoir,
Je ne ramène rien, je suis écartelée,
Je vous reviens ce soir, le coeur égratigné,
Car, de les regarder, de les entendre vivre,
Avec eux j'ai eu mal, avec aux j'étais ivre,
Je ne ramène rien, je reviens solitaire,
Du bout de ce voyage au-delà des frontières,
Est-il un coin de terre où rien ne se déchire,
Et que faut-il donc faire, pouvez-vous me le dire,
S'il faut aller plus loin pour effacer vos larmes,
Et si je pouvais, seule, faire taire les armes,
Je jure que, demain, je reprends l'aventure,
Pour que cessent à jamais toutes ces déchirures,
Je veux bien essayer,
Et je veux bien y croire,
Mais je suis fatiguée,
Et mon soleil est noir,
Pardon de vous le dire,
Mais je reviens ce soir,
Le coeur égratigné,
Et j'ai le désespoir,
Le coeur égratigné,
Et j'ai le désespoir...
Je l'entends qui me guide..Si clair et si limpide…
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l fût un temps bien avant notre ère,
les édificateurs de mégalithes étaient sur terre.
Brillantes civilisations qui n'ont pas laissé d'écriture,
mais des monuments et de mystérieuses gravures.
Manau prend le micro et s'aide du hip hop,
pour raconter des histoires et des mythes de ce peuple.
Il m'arrive parfois de rêver de tout ça.
De l'âge du bronze, du fer et même d'Alésia.
Mais je me demande pourquoi, ce qu'il se passe des fois,
quand le vent de la mer se lève et entre dans les sous bois,
on peut entendre les récits des rois
accompagnés par des chants et de douces voix.
C'est le vent de la mer qui doucement les transporte,
les histoires, les contes de l'ancienne époque.
C'est comme une musique qui resterait pure et limpide.
J'ai pu entendre le chant des druides.
Je l'entends qui me guide
Le chant des druides
Mon flow est son fluide
Le chant des druides
Si clair et si limpide
C'est le chant des druides
Mais le chant des druides agit tel un fluide,
apprends à l'écouter il te servira comme un guide,
pour raconter des contes et des histoires de chevalerie,
de grandes batailles de monstres et de tours de magie,
c'est l'âme celtique, historique, antique.
Les siècles ont passé, mais elle reste identique,
comme à la grande période du début mégalithique.
Les dolmens sont là et ils sont authentiques.
Je sais que tu auras du mal à croire ces histoires,
que tu pourras entendre seulement la nuit très tard le soir.
N'essaye pas de lutter avec des idées noires.
Laisse toi glisser, éclairer tel un phare.
C'est comme une ombre qui sortirait d'un tapis de lumière,
une révélation, quelque chose d'éphémère qui coulera en toi,
une musique presque liquide.
Viens écouter le chant des druides.
{Refrain}
Mais le chant des druides c'est ma réalité.
Il me sert de guide, tu l'avais deviné.
Pour poser tranquillement les mots sur un bout de papier
l'inspiration de Manau ce qui l'aide à méditer,
voilà pourquoi, je ne veux pas me poser de questions.
Est-ce que toutes ces voix viennent de mon imagination ?
En fait j'accepte cette situation.
Le chant des druides, fruit de mon inspiration,
car j'aime plonger mon esprit souvent dans le passé
et ne pas me demander où est la vérité.
Je continue de rêver,
je ne suis pas le dernier à pouvoir écouter tous ces chants sacrés.
Et même si la vie s'oppose au caractère de ces choses,
je ne veux pas trouver la cause et continuerai ma prose.
Alors croyez moi pour cela, je veux rester candide
et pouvoir écouter toute ma vie le chant des druides.
{Refrain}
Petit Bonhomme
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Petit bonhomme traces ta route vas voir plus loin
Mais surtout n'oublies pas de t'arreter en chemin
Pour explorer toute cette diversité
Qui fait la richesse de notre humanité
L'etau se ressere, tu manques d'air
Tu prends conscience qu'il y a un malaise dans l'atmosphère
Ce monde s'est blindé d'une armure avec laquelle tu ne veux pas te protéger
Au risque de perdre ton identité et de te fondre dans le moule d'une société bien programmée
Tel le fil à couper du papier, qui cause trop de maux à notre intégrité
Petit bonhomme traces ta route vas voir plus loin
Mais surtout n'oublies pas de t'arreter en chemin
Pour explorer toute cette diversité
Qui fait la richesse de notre humanité
L'étau se ressere, asphixié tu t'étouffes
Tu ne peux plus respirer
Toujours plus toujours plus telle est la devise d'un monde qui se divise
Sur des bases fictives l'individualisme est à son paroxysme
Au détriment des véritables sentiments s'installent les faux-semblants
Ensorcellés par l'apparence et l'argent
Petit bonhomme traces ta route vas voir plus loin
Mais surtout n'oublies pas de t'arreter en chemin
Pour explorer toute cette diversité
Qui fait la richesse de notre humanité
Espace vision
Les chevaux du temps
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Trois choses que je crains
Trois choses :
Le feu qui n'a pas d'amis
La source tarie
Celui qui me connaît et détourne les yeux
Trois choses que je crains,
Une que je redoute :
Les chevaux rebelles
Les chevaux rebelles
Les chevaux rebelles qui refusent la bride et le mors
Trois choses que je respecte
Trois choses :
La mer qu'on appelle libre
Le vent que n'arrête aucun mur
Celui qui me connaît et qui meurt sans rien dire
Trois choses que je respecte,
Une que j'admire :
Les chevaux rebelles
Les chevaux rebelles
Les chevaux rebelles qui refusent la bride et le mors
Trois choses que j'aime,
Trois choses :
Celle que j'ai connue
Celle que j'ai perdue
Celle qui me connaît et qui m'aime quand même
Trois choses que j'aime,
Une qu'il me faut :
Les chevaux rebelles
Les chevaux rebelles
Les chevaux rebelles qui refusent la bride et le mors
Les chevaux rebelles qui refusent la bride et le mors
Nuit magique
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O.K. ...
il n'y avait rien à faire
O.K. ...
Dans cette ville étrangère
O.K. ...
tu étais solitaire
O.K. ...
j'avais l'cœur à l'envers
O.K. ...
tout ça n'était qu'un jeu
O.K. ...
on jouait avec le feu
O.K. ...
on s'est pris au sérieux
O.K. ...
le rire au fond des yeux
{Refrain:}
Nuit magique
Une histoire d'humour qui tourne à l'amour
Quand vient le jour
Nuit magique
On perd la mémoire au fond d'un regard
Histoire d'un soir
Nuit magique
Si loin de tout sans garde-fou
Autour de nous
Nuit magique
Nuit de hasard on se sépare
Sans trop y croire
O.K. ...
c'est une histoire de peau
O.K. ...
on repart à zéro
O.K. ...
on oublie aussitôt
O.K. ...
qu'on s'est tourné le dos
{Refrain}
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Découvrez Romain Didier !
J'ai la raison qui déraille
Comme un succès d'avant guerre
Elle a cassé l'gouvernail,
Elle m'a laissé seul en mer
Faut surtout pas m'consoler
Je crois plus rien ni personne
J'ai fermé ma porte à clé,
J'ai débranché l'téléphone
Des cachets blancs pour dormir
Beaucoup trop lâche pour la mort.
Des cafés noir pour tenir,
'Paraît qu'la terre tourne encore.
'Faut surtout pas m'dire en face
Vos phrases toutes faites sur l'amour.
Qui faut qu'je bouge ma carcasse,
Qu'j'en rirais dans huit jours.
REFRAIN :
Y'a plus rien à voir,
l'funambule est tombé,
C'est trop tard.
Rangez vos mouchoirs
Et laissez le pleurer
Dans le noir
Elle m'a laissé avec mes rêves,
Un lit glacé, un bâton d'rouge à lèvres.
Priez braves gens à sa mémoire,
Le Funambule Est Mort Ce Soir.
FIN du refrain
La nuit je traîne notre histoire
Comme un taureau dans l'arène.
Toréador dans le noir,
La mise à mort est la même.
J'vous jure qu'y a pas une réplique
Que j'connaisse pas mot à mot.
Héros d'une pièce sans public,
Dans un théâtre sans rideaux.
Il faut qu'je change de décor,
Qu'j'apprenne à vivre sans elle
Même si j'vous fais un pont d'or,
Me donnez plus d'ses nouvelles.
Elle m'a cassé comme un jouet,
Comme une poupée d'porcelaine.
Laissez moi seul par pitié,
Ce soir Pierrot a d'la peine.
#R (Bis)
La planète d'ailleurs
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Découvrez
Depuis l'enfance
Je suis toujours en partance
Je vais je vis
Contre le cours de ma vie
Partir Partir
On a toujours
Un bateau dans le cœur
Un avion qui s'envole
Pour ailleurs
Mais on n'est pas à l'heure
Partir Partir
Même loin de quelqu'un
Ou de quelqu'une
Même pas pour aller chercher fortune
Oh partir sans rien dire
Vivre en s'en allant
Et en s'envolant
Et les gens l'argent
Seraient du vent
Mais c'est vrai le temps
Nous prend trop de temps...
Partir Partir
Même loin loin de la région du cœur
N'importe où la peau
Change de couleur
Partir avant qu'on meure
Partir Partir
Comme les trains sont bleus
Quand on y pense
Et les bateaux heureux
Quand on y danse
Oh partir sans rien dire
Mais c'est vrai le temps
Nous prend trop de temps
Et on n'appareille
Pour aucun soleil
Et pendant ce temps
On est vivant...
Partir Partir
On a toujours
Un bateau dans le cœur
Un avion qui s'envole
Pour ailleurs
Mais on n'est pas à l'heure
Partir Partir
Même loin loin de la région du cœur
N'importe où la peau
Change de couleur
Partir avant qu'on meure
Partir Partir
Comme les trains sont bleus
Quand on y pense
Et les bateaux heureux
Quand on y danse
Oh partir sans rien dire
Les loups
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youtu.be/K9VFqvGRhNs
Découvrez
Les hommes avaient perdu le goût
De vivre, et se foutaient de tout
Leurs mères, leurs frangins, leurs nanas
Pour eux c'était qu'du cinéma
Le ciel redevenait sauvage,
Le béton bouffait l'paysage... alors
Les loups, ououh! ououououh!
Les loups étaient loin de Paris
En Croatie, en Germanie
Les loups étaient loin de Paris
J'aimais ton rire, charmante Elvire
Les loups étaient loin de Paris.
Mais ça fait cinquante lieues
Dans une nuit à queue leu leu
Dès que ça flaire une ripaille
De morts sur un champ de bataille
Dès que la peur hante les rues
Les loups s'en viennent la nuit venue... alors
Les loups, ououh! ououououh!
Les loups ont regardé vers Paris
De Croatie, de Germanie
Les loups ont regardé vers Paris
Tu peux sourire, charmante Elvire
Les loups regardent vers Paris.
Et v'là qu'il fit un rude hiver
Cent congestions en fait divers
Volets clos, on claquait des dents
Même dans les beaux arrondissements
Et personne n'osait plus le soir
Affronter la neige des boulevards... alors
Des loups ououh! ououououh!
Des loups sont entrés dans Paris
L'un par Issy, l'autre par Ivry
Deux loups sont entrés dans Paris
Ah tu peux rire, charmante Elvire
Deux loups sont entrés dans Paris.
Le premier n'avait plus qu'un œil
C'était un vieux mâle de Krivoï
Il installa ses dix femelles
Dans le maigre square de Grenelle
Et nourrit ses deux cents petits
Avec les enfants de Passy... alors
Cent loups, ououh! ououououh!
Cent loups sont entrés dans Paris
Soit par Issy, soit par Ivry
Cent loups sont entrés dans Paris
Cessez de rire, charmante Elvire
Cent loups sont entrés dans Paris.
Le deuxième n'avait que trois pattes
C'était un loup gris des Carpates
Qu'on appelait Carêm'-Prenant
Il fit faire gras à ses enfants
Et leur offrit six ministères
Et tous les gardiens des fourrières... alors
Les loups ououh! ououououh!
Les loups ont envahi Paris
Soit par Issy, soit par Ivry
Les loups ont envahi Paris
Cessez de rire, charmante Elvire
Les loups ont envahi Paris.
Attirés par l'odeur du sang
Il en vint des mille et des cents
Faire carouss', liesse et bombance
Dans ce foutu pays de France
Jusqu'à c'que les hommes aient retrouvé
L'amour et la fraternité.... alors
Les loups ououh! ououououh!
Les loups sont sortis de Paris
Soit par Issy, soit par Ivry
Les loups sont sortis de Paris
Tu peux sourire, charmante Elvire
Les loups sont sortis de Paris
J'aime ton rire, charmante Elvire
Les loups sont sortis de Paris...
Mais oui
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Découvrez
Non
Pas le temps
T'as pas l'argent
Pas la solution.
Mais oui
Puisque c'est ta vie
Puisque c'est ton coeur
Qui te guidera
Ho non
Ne dis pas non
Que t'as plus l'âge
Et plus le courage
Mais oui
Puisque dans tes mains
Tu trouves la force
De serrer les miennes
Tant qu'on danse encore
Tant qu'on rêve encore
Que ça change un jour
Ca vaut la peine
Tant qu'on aime encore
Tant qu'on pleure encore
C'est qu'on croit toujours
Que ça vaut la peine
Mais non
C'est pas mon nom
Pas mon argent
Pas la solution
Mais oui
Tant que je n'oublie
Pas que c'est mon coeur
Qui me guidera
Pour te dire encore
Que je doute encore
Que ça change un jour
J'ai de la peine
Mais j'essaie toujours
On ne sait jamais
Si ça change un jour
Ca vaut la peine
Ca vaut la peine
Mais oui
Il n'y a qu'une voie
Et c'est dans nos coeurs
Qu'on la trouvera
Pourqu'on danse encore
Pour qu'on rêve encore
Que ça change un jour
Ca vaut la peine
Tant qu'on aime encore
Qu'on respire encore
Je crois toujours
Que ça vaut la peine
Alors danse encore
Rêve encore
Dis toi toujours
Que ça vaut la peine
Tant qu'on aime encore
Qu'on s'aime encore
Mon amour
Ca vaut la peine
Etre normale pour être bien Effacer quelques ligne…
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Découvrez !
Je suis le fruit d'une blessure
Le souffle d'un trop long combat
Dans le silence et sans injure
J'ai grandi dans des draps de soie
Je suis née sans éclaboussure
Regardez-moi, rien ne se voit
Je n'en serai jamais trop sure
De vous a moi je ne sais pas
[Refrain]:
Mais si je m'en sors
Sans bleu au corps
Etre normale pour etre bien
Effacer quelques lignes de ma main
Et si je m'en sors
Je veux encore sentir la chaleur
De ce beau matin, ensemble, alliés
Contre un drôle de destin
Je ne connais pas le plus dur
Je n'ai pas vraiment de blessures
Sans vous je n'existerais pas
Sans vous je ne me connais pas
De cette histoire ce qui me touche
C'est qu'il n'y a rien à regretter
Quelques silences au fond de moi
Y a des silences et c'est comme ca
[Refrain]
Et si je m'en sors
Un peu plus forte
Etre normale pour être bien
Effacer quelques lignes de ma main
Mais si je m'en sors
Je veux encore sentir la chaleur
De ce beau matin, ensemble, alliés
Contre un drôle de destin
Drôle de destin
Et si je m'en sors, sans bleu au corps
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