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Quand je ne serai plus du bord des vivants

02 Sep 2010 3 3 384
! Les papillons, ils vont, ils viennent, ils voltigent Ils sont là et hop, ils sont repartis, comme des prodiges J'ai toujours pensé Que si nous mourons Nous, nous changerons Quand nous partirons En nuage doré En oiseau cendré Ou en papillon Je me suis souvent dit Qu'on sera peut-être pas très loin d'ici Au moins pour les êtres Qui comptent dans notre vie Et qu'on n'oublie pas Quand ils sont partis Alors toi Alors toi qui es là-bas Toi qui sais des choses Toi qui sais dis-moi Qui est ce papillon rouge noir et blanc Qui s'est posé là tranquillement Devant chez moi sur le gazon Juste à l'entrée de ma maison Et en dehors de la saison J'ai perdu la trace de quelques amis Gens qui vous embrassent et qu'on ne revoit plu Je ne peux pas savoir S'ils se sont perdus ou s'ils sont en vie Alors toi Alors toi qui es là-bas Toi qui sais des choses Toi qui sais dis moi Qui est ce papillon rouge noir et blanc Qui s'est posé là tranquillement Devant chez moi sur le gazon Juste à l'entrée de ma maison Et en dehors de la saison Quand je ne serai plus du bord des vivants Je viendrai vois-tu juste une fois seulement Voir si tu vis bien Voir que tu vas bien même sans moi Bien même sans moi

Qui, le vent à la main Descendait de l'Oural

31 Aug 2010 3 479
Découvrez ! Oï tzigané Est-ce que vous connaissez l'histoire De la jeune fille La jeune fille aux yeux noirs Qui, le vent à la main Descendait de l'Oural La terre tremblait sous son cheval Le feu dans ses yeux Le ciel et le soleil Brûlaient dans ses yeux noirs Ses yeux noirs... Otchi tchiornyé Otchi strassnyié Otchi jgoutchié I pries krasnié Kak lioubliou ya vas kak baîouss ya vas Znaîti ouvidiel Vniedobryi tchas Oh jeune fille aux yeux noirs Nous, les libres oiseaux Irons loin vers la mer Longtemps après les terres Après les plaines mortes Sur l'océan brûlant Nous brûlerons aussi Au fond de tes yeux noirs Tes yeux noirs... Otchi tchiornyé Otchi strassnyié Otchi jgoutchié I pries krasnié Kak lioubliou ya vas kak baîouss ya vas Znaîti ouvidiel Vniedobryi tchas Ô vos Yeux noirs Yeux passionnés Yeux brûlants et superbes Comme je vous aime Comme je vous crains C'est que je vous vis A la mauvaise heure

Nous sommes............. hymne militantiste compos…

02 Sep 2010 10 6 903
youtu.be/wpGMoXsP6Ic ! Nous sommes deux nous sommes deux Huit heures vont bientôt sonner Éteins la lampe le gardien frappe Ce soir ils reviendront nous voir L'un va devant l'un va devant Et les autres suivent derrière Puis le silence et puis voici La même chanson qui revient L'un va devant l'un va devant Et les autres suivent derrière Puis le silence et puis voici La même chanson qui revient Ils frappent deux ils frappent trois Ils frappent mille vingt et trois Tu as mal toi et j'ai mal moi Qui de nous deux a le plus mal C'est l'avenir qui le dira Nous sommes deux nous sommes trois Nous sommes mille vingt et trois Avec le temps avec la pluie Avec le sang qui a séché Et la douleur qui vit en nous Qui nous transperce et qui nous cloue Nous sommes deux nous sommes trois Nous sommes mille vingt et trois Avec le temps avec la pluie Avec le sang qui a séché Et la douleur qui vit en nous Qui nous transperce et qui nous cloue Notre douleur nous guidera Nous sommes deux nous sommes trois Nous sommes mille vingt et trois

Rouge, le ciel est rouge et nous promet de beaux m…

07 Jun 2011 5 2 635
! J'ai jamais rien dit, jamais bravé la moindre loi Pas le plus petit carreau brisé le moindre éclat de vois J'ai vécu peinard dans mon pinard et mes pantouffles Ce succédané de liberté où l'on étouffe J'ai fermé ma gueule et ma fenêtre et mes idées J'ai été le seul à me connaître, à me voir me rider Mais je n'en peux plus de m'être tu dans ce vacarme Dans la fausse paix du monde vrai des marchands d'armes Et c'est moi, moi le lâche Et c'est moi, qui me fâche Et c'est moi qui m'arrache et qui vous secoue Moi l'intrus, l'anonyme Le cocu, la victime Je ne veux plus tendre l'autre joue Bouge, mon pauvre coeur usé d'avoir battu pour rien Les années solitaires, les années sans lumière, c'est loin Rouge, le ciel est rouge et nous promet de beaux matins L'horizon est couleur de colère... Qu'est-ce que je foutais dans mon silence et dans ma peur Enterré vivant, tenant autant de place qu'une erreur Qu'est-ce que je foutais, moi toujours prêt dans le tumulte A courber le dos, à faire le beau sous les insultes II en est bien sur de plus malins et de plus forts Des briseurs de sceptre, des païens qui traquent le veau d'or Prêts à tout casser pour renverser les dictatures El les remplacer souvent par d'autres dictatures Mais c'est moi, moi le lâche Mais c'est moi, qui me fâche Et c'est moi qui m'arrache et qui vous secoue Moi l'intrus, l'anonyme Le cocu, la victime Je ne veux plus Tendre l'autre joue Bouge, ma pauvre vie laissée pour compte si longtemps Et si c'est éphémère, ne te prive pas d'air pour autant Rouge, le ciel est rouge et nous promet de beaux printemps L'avenir est couleur de colère! De colère! De colère! De colère!

Pivoines...... du bout du monde .....

06 Sep 2010 10 9 814
! Rouda : Qui a dit un jour que les paroles s'envolent et que les écrits restent Et qui dira que cette histoire ne fut qu'une parabole de deux poètes à la plume trop leste Des montagnes de l'Est elle traverse les rivières du grand Ouest Puis serpente et s'entête jusqu'à se fondre dans l'asphalte GCM : C'est l'histoire d'un récit qui traverse le monde comme tu tournes les pages de ton atlas On m'a dit qu'il était conté par un mec très vieux, je parle pas du Père Fouras Mais d'un ancien respecté à la voix aussi profonde que les rides de son visage Je te parle de son récit qui pendant des décennies a traversé plus d'un paysage Rouda : C'est l'histoire d'un tour du monde d'une course autour de la planisphère Un moment hors de l'espace-temps où les secondes se comptent en millénaires Ce n'est pas un conte mais un poème mi-phénomène paranormal Mi-parole libre qui se promène forcément ça se passe à l'oral GCM : C'est l'histoire d'un voyage fantastique auquel ont participé plus d'un élément Qui, lors d'une existence classique, ne se croisent pas forcément Ce voyage un peu magique, comme tout le monde tu en as entendu parler Moi je l'ai connu un soir de pleine lune devant un grand ciel étoilé Rouda : Moi je crois bien que c'est le vent qui est venu me la souffler Et ça m'a fait l'effet d'un sédatif car à vrai dire ça m'a troublé GCM : Cette histoire, je donnerais tout pour connaître son origine exacte T'sais quoi Rouda on va remonter à sa source chacun de son côté, tel est notre pacte Rouda : Ok Grand Corps Malade je te souhaite une balade planétaire Je te laisse donner le top départ et le choix dans l'hémisphère GCM : Tu devras fouiller dans 2 continents, moi 3, s'il faut on se retrouve dans 10ans Mais comme j'ai plus de terres que toi, tu te taperas aussi le fond des océans Bon voyage ! Que le meilleur gagne ! Rouda : J'ai commencé à observer les territoires les plus classiques Le tableau noir des facultés aux discours très académiques J'ai entendu les cris d'une parole qui s'endort dans des débats soporifiques Des conférences, des galeries d'art et même des visites guidées au cur des quartiers historiques GCM : J'ai commencé ma quête en questionnant mon voisin de palier Il est tellement vieux qu'à un bout de cette histoire il est forcément lié Il m'a conseillé d'enquêter dans un petit village montagnard Mais les gens que j'ai croisés là-bas avaient étrangement perdu la mémoire Rouda : Sur mon itinéraire j'avais quelques antiquaires Je n'y ai trouvé que des mots en vieux français et des paroles pleines de poussière J'ai rencontré deux trois coiffeurs et leurs récits légendaires A la racine j'ai tout compris de la théorie de la pesanteur J'ai donc pris de la hauteur j'ai fait pas mal d'aller-retours J'ai été rapide ou plein de lenteur mais la durée de mon parcours S'étale sur le Maghreb et ses conteurs jusqu'aux tavernes de Singapour Des tribus nomades d'orateurs aux temples de Kuala Lumpur J'ai vu des mots d'absence des mots laissés sur une porte et même des mots d'amour J'ai parfois pris le mauvais sens et plus j'ai fait la connaissance des nouveaux troubadours GCM : J'ai compris que c'que je cherchais avait quelque chose de secret Et que cette histoire était fragile comme un mot écrit à la craie Je scrutais la nuit dans des ruelles sombres aux odeurs de pisse Quand un vieux clochard me lança enfin sur une bonne piste Il m'a dit d'aller interroger un scientifique, j'étais d'accord Mais celui-ci m'a rien appris, j'ai juste révisé le théorème de Pythagore Alors je suis allé voir les plus grands philosophes du continent Mais ils m'ont saoulé, j'préfèrais encore mon vieux voisin incontinent J'ai rencontré des tas de personnes, de Reykjavik à Pékin Des groupes de jeunes rappeurs aux vieux griots africains... mais en vain GCM & Rouda : J'ai vu des mots tendres, j'ai vu des mots d'excuse, j'ai vu des gros mots J'ai vu des mots à prendre des mots qui accusent et même des mots en trop J'ai vu des mots passants, j'ai vu des mots vexants, j'ai vu des mots tranchants comme un pieux J'ai vu des mots qui immobilisent des mots sans mobile et même des mots creux J'ai vu des Mohammed, j'ai vu des Mauricette J'ai surtout vu que j'avais fait ce voyage pour rien J'ai vu de mauvais mots, j'ai vu des bons moments Et que finalement la source n'était pas si loin Cette histoire, c'est la tienne, c'est la mienne, elle est bien réelle C'est l'histoire du langage universel faîtes qu'elle soit éternelle J'sais pas pour toi Grand Corps Malade mais notre fin de texte me semble un peu trop solennelle C'est vrai Rouda mais l'important c'est peut-être juste qu'elle soit belle Ca leur paraîtra peut-être bête encore plus con que deux poètes Mais j'ai encore envie de la dire : que vive la parole libre ! En tout cas c'qui est net, c'est que cette histoire vit dans toutes nos têtes Et qu'on continueras à la vivre jusqu'aux toutes dernières pages de notre propre livre Bon voyage ! Que le meilleur gagne !

Soleil noir

30 Nov 2008 2 415
! Pour ne plus, jamais plus, vous parler de la pluie, Plus jamais du ciel lourd, jamais des matins gris, Je suis sortie des brumes et je me suis enfuie, Sous des ciels plus légers, pays de paradis, Oh, que j'aurais voulu vous ramener ce soir, Des mers en furie, des musiques barbares, Des chants heureux, des rires qui résonnent bizarres, Et vous feraient le bruit d'un heureux tintamarre, Des coquillages blancs et des cailloux salés, Qui roulent sous les vagues, mille fois ramenés, Des rouges éclatants, des soleils éclatés, Dont le feu brûlerait d'éternels étés, Mais j'ai tout essayé, J'ai fait semblant de croire, Et je reviens de loin, Et mon soleil est noir, Mais j'ai tout essayé, Et vous pouvez me croire, Je reviens fatiguée, Et j'ai le désespoir, Légère, si légère, j'allais court vêtue, Je faisais mon affaire du premier venu, Et c'était le repos, l'heure de nonchalance, A bouche que veux-tu, et j'entrais dans la danse, J'ai appris le banjo sur des airs de guitare, J'ai frissonné du dos, j'ai oublié Mozart, Enfin j'allais pouvoir enfin vous revenir, Avec l'oeil alangui, vague de souvenirs, Et j'étais l'ouragan et la rage de vivre, Et j'étais le torrent et la force de vivre, J'ai aimé, j'ai brûlé, rattrapé mon retard, Que la vie était belle et folle mon histoire, Mais la terre s'est ouverte, Là-bas, quelque part, Mais la terre s'est ouverte, Et le soleil est noir, Des hommes sont murés, Tout là-bas, quelque part, Les hommes sont murés, Et c'est le désespoir, J'ai conjuré le sort, j'ai recherché l'oubli, J'ai refusé la mort, j'ai rejeté l'ennui, Et j'ai serré les poings pour m'ordonner de croire, Que la vie était belle, fascinant le hasard, Qui me menait ici, ailleurs ou autre part, Où la fleur était rouge, où le sable était blond, Où le bruit de la mer était une chanson, Oui, le bruit de la mer était une chanson, Mais un enfant est mort, Là-bas, quelque part, Mais un enfant est mort, Et le soleil est noir, J'entends le glas qui sonne, Tout là-bas, quelque part, J'entends le glas sonner, Et c'est le désespoir, Je ne ramène rien, je suis écartelée, Je vous reviens ce soir, le coeur égratigné, Car, de les regarder, de les entendre vivre, Avec eux j'ai eu mal, avec aux j'étais ivre, Je ne ramène rien, je reviens solitaire, Du bout de ce voyage au-delà des frontières, Est-il un coin de terre où rien ne se déchire, Et que faut-il donc faire, pouvez-vous me le dire, S'il faut aller plus loin pour effacer vos larmes, Et si je pouvais, seule, faire taire les armes, Je jure que, demain, je reprends l'aventure, Pour que cessent à jamais toutes ces déchirures, Je veux bien essayer, Et je veux bien y croire, Mais je suis fatiguée, Et mon soleil est noir, Pardon de vous le dire, Mais je reviens ce soir, Le coeur égratigné, Et j'ai le désespoir, Le coeur égratigné, Et j'ai le désespoir...

Je l'entends qui me guide..Si clair et si limpide…

07 Sep 2010 2 2 360
! l fût un temps bien avant notre ère, les édificateurs de mégalithes étaient sur terre. Brillantes civilisations qui n'ont pas laissé d'écriture, mais des monuments et de mystérieuses gravures. Manau prend le micro et s'aide du hip hop, pour raconter des histoires et des mythes de ce peuple. Il m'arrive parfois de rêver de tout ça. De l'âge du bronze, du fer et même d'Alésia. Mais je me demande pourquoi, ce qu'il se passe des fois, quand le vent de la mer se lève et entre dans les sous bois, on peut entendre les récits des rois accompagnés par des chants et de douces voix. C'est le vent de la mer qui doucement les transporte, les histoires, les contes de l'ancienne époque. C'est comme une musique qui resterait pure et limpide. J'ai pu entendre le chant des druides. Je l'entends qui me guide Le chant des druides Mon flow est son fluide Le chant des druides Si clair et si limpide C'est le chant des druides Mais le chant des druides agit tel un fluide, apprends à l'écouter il te servira comme un guide, pour raconter des contes et des histoires de chevalerie, de grandes batailles de monstres et de tours de magie, c'est l'âme celtique, historique, antique. Les siècles ont passé, mais elle reste identique, comme à la grande période du début mégalithique. Les dolmens sont là et ils sont authentiques. Je sais que tu auras du mal à croire ces histoires, que tu pourras entendre seulement la nuit très tard le soir. N'essaye pas de lutter avec des idées noires. Laisse toi glisser, éclairer tel un phare. C'est comme une ombre qui sortirait d'un tapis de lumière, une révélation, quelque chose d'éphémère qui coulera en toi, une musique presque liquide. Viens écouter le chant des druides. {Refrain} Mais le chant des druides c'est ma réalité. Il me sert de guide, tu l'avais deviné. Pour poser tranquillement les mots sur un bout de papier l'inspiration de Manau ce qui l'aide à méditer, voilà pourquoi, je ne veux pas me poser de questions. Est-ce que toutes ces voix viennent de mon imagination ? En fait j'accepte cette situation. Le chant des druides, fruit de mon inspiration, car j'aime plonger mon esprit souvent dans le passé et ne pas me demander où est la vérité. Je continue de rêver, je ne suis pas le dernier à pouvoir écouter tous ces chants sacrés. Et même si la vie s'oppose au caractère de ces choses, je ne veux pas trouver la cause et continuerai ma prose. Alors croyez moi pour cela, je veux rester candide et pouvoir écouter toute ma vie le chant des druides. {Refrain}

Petit Bonhomme

07 Sep 2010 1 1 764
! Petit bonhomme traces ta route vas voir plus loin Mais surtout n'oublies pas de t'arreter en chemin Pour explorer toute cette diversité Qui fait la richesse de notre humanité L'etau se ressere, tu manques d'air Tu prends conscience qu'il y a un malaise dans l'atmosphère Ce monde s'est blindé d'une armure avec laquelle tu ne veux pas te protéger Au risque de perdre ton identité et de te fondre dans le moule d'une société bien programmée Tel le fil à couper du papier, qui cause trop de maux à notre intégrité Petit bonhomme traces ta route vas voir plus loin Mais surtout n'oublies pas de t'arreter en chemin Pour explorer toute cette diversité Qui fait la richesse de notre humanité L'étau se ressere, asphixié tu t'étouffes Tu ne peux plus respirer Toujours plus toujours plus telle est la devise d'un monde qui se divise Sur des bases fictives l'individualisme est à son paroxysme Au détriment des véritables sentiments s'installent les faux-semblants Ensorcellés par l'apparence et l'argent Petit bonhomme traces ta route vas voir plus loin Mais surtout n'oublies pas de t'arreter en chemin Pour explorer toute cette diversité Qui fait la richesse de notre humanité

Espace vision

Les chevaux du temps

09 Sep 2010 4 610
! Trois choses que je crains Trois choses : Le feu qui n'a pas d'amis La source tarie Celui qui me connaît et détourne les yeux Trois choses que je crains, Une que je redoute : Les chevaux rebelles Les chevaux rebelles Les chevaux rebelles qui refusent la bride et le mors Trois choses que je respecte Trois choses : La mer qu'on appelle libre Le vent que n'arrête aucun mur Celui qui me connaît et qui meurt sans rien dire Trois choses que je respecte, Une que j'admire : Les chevaux rebelles Les chevaux rebelles Les chevaux rebelles qui refusent la bride et le mors Trois choses que j'aime, Trois choses : Celle que j'ai connue Celle que j'ai perdue Celle qui me connaît et qui m'aime quand même Trois choses que j'aime, Une qu'il me faut : Les chevaux rebelles Les chevaux rebelles Les chevaux rebelles qui refusent la bride et le mors Les chevaux rebelles qui refusent la bride et le mors

Nuit magique

15 Sep 2010 8 2 662
! O.K. ... il n'y avait rien à faire O.K. ... Dans cette ville étrangère O.K. ... tu étais solitaire O.K. ... j'avais l'cœur à l'envers O.K. ... tout ça n'était qu'un jeu O.K. ... on jouait avec le feu O.K. ... on s'est pris au sérieux O.K. ... le rire au fond des yeux {Refrain:} Nuit magique Une histoire d'humour qui tourne à l'amour Quand vient le jour Nuit magique On perd la mémoire au fond d'un regard Histoire d'un soir Nuit magique Si loin de tout sans garde-fou Autour de nous Nuit magique Nuit de hasard on se sépare Sans trop y croire O.K. ... c'est une histoire de peau O.K. ... on repart à zéro O.K. ... on oublie aussitôt O.K. ... qu'on s'est tourné le dos {Refrain}
15 Sep 2010 7 2 435
Découvrez Romain Didier ! J'ai la raison qui déraille Comme un succès d'avant guerre Elle a cassé l'gouvernail, Elle m'a laissé seul en mer Faut surtout pas m'consoler Je crois plus rien ni personne J'ai fermé ma porte à clé, J'ai débranché l'téléphone Des cachets blancs pour dormir Beaucoup trop lâche pour la mort. Des cafés noir pour tenir, 'Paraît qu'la terre tourne encore. 'Faut surtout pas m'dire en face Vos phrases toutes faites sur l'amour. Qui faut qu'je bouge ma carcasse, Qu'j'en rirais dans huit jours. REFRAIN : Y'a plus rien à voir, l'funambule est tombé, C'est trop tard. Rangez vos mouchoirs Et laissez le pleurer Dans le noir Elle m'a laissé avec mes rêves, Un lit glacé, un bâton d'rouge à lèvres. Priez braves gens à sa mémoire, Le Funambule Est Mort Ce Soir. FIN du refrain La nuit je traîne notre histoire Comme un taureau dans l'arène. Toréador dans le noir, La mise à mort est la même. J'vous jure qu'y a pas une réplique Que j'connaisse pas mot à mot. Héros d'une pièce sans public, Dans un théâtre sans rideaux. Il faut qu'je change de décor, Qu'j'apprenne à vivre sans elle Même si j'vous fais un pont d'or, Me donnez plus d'ses nouvelles. Elle m'a cassé comme un jouet, Comme une poupée d'porcelaine. Laissez moi seul par pitié, Ce soir Pierrot a d'la peine. #R (Bis)

La planète d'ailleurs

16 Sep 2010 7 1 501
Découvrez Depuis l'enfance Je suis toujours en partance Je vais je vis Contre le cours de ma vie Partir Partir On a toujours Un bateau dans le cœur Un avion qui s'envole Pour ailleurs Mais on n'est pas à l'heure Partir Partir Même loin de quelqu'un Ou de quelqu'une Même pas pour aller chercher fortune Oh partir sans rien dire Vivre en s'en allant Et en s'envolant Et les gens l'argent Seraient du vent Mais c'est vrai le temps Nous prend trop de temps... Partir Partir Même loin loin de la région du cœur N'importe où la peau Change de couleur Partir avant qu'on meure Partir Partir Comme les trains sont bleus Quand on y pense Et les bateaux heureux Quand on y danse Oh partir sans rien dire Mais c'est vrai le temps Nous prend trop de temps Et on n'appareille Pour aucun soleil Et pendant ce temps On est vivant... Partir Partir On a toujours Un bateau dans le cœur Un avion qui s'envole Pour ailleurs Mais on n'est pas à l'heure Partir Partir Même loin loin de la région du cœur N'importe où la peau Change de couleur Partir avant qu'on meure Partir Partir Comme les trains sont bleus Quand on y pense Et les bateaux heureux Quand on y danse Oh partir sans rien dire

Les loups

18 Sep 2010 11 7 504
youtu.be/K9VFqvGRhNs Découvrez Les hommes avaient perdu le goût De vivre, et se foutaient de tout Leurs mères, leurs frangins, leurs nanas Pour eux c'était qu'du cinéma Le ciel redevenait sauvage, Le béton bouffait l'paysage... alors Les loups, ououh! ououououh! Les loups étaient loin de Paris En Croatie, en Germanie Les loups étaient loin de Paris J'aimais ton rire, charmante Elvire Les loups étaient loin de Paris. Mais ça fait cinquante lieues Dans une nuit à queue leu leu Dès que ça flaire une ripaille De morts sur un champ de bataille Dès que la peur hante les rues Les loups s'en viennent la nuit venue... alors Les loups, ououh! ououououh! Les loups ont regardé vers Paris De Croatie, de Germanie Les loups ont regardé vers Paris Tu peux sourire, charmante Elvire Les loups regardent vers Paris. Et v'là qu'il fit un rude hiver Cent congestions en fait divers Volets clos, on claquait des dents Même dans les beaux arrondissements Et personne n'osait plus le soir Affronter la neige des boulevards... alors Des loups ououh! ououououh! Des loups sont entrés dans Paris L'un par Issy, l'autre par Ivry Deux loups sont entrés dans Paris Ah tu peux rire, charmante Elvire Deux loups sont entrés dans Paris. Le premier n'avait plus qu'un œil C'était un vieux mâle de Krivoï Il installa ses dix femelles Dans le maigre square de Grenelle Et nourrit ses deux cents petits Avec les enfants de Passy... alors Cent loups, ououh! ououououh! Cent loups sont entrés dans Paris Soit par Issy, soit par Ivry Cent loups sont entrés dans Paris Cessez de rire, charmante Elvire Cent loups sont entrés dans Paris. Le deuxième n'avait que trois pattes C'était un loup gris des Carpates Qu'on appelait Carêm'-Prenant Il fit faire gras à ses enfants Et leur offrit six ministères Et tous les gardiens des fourrières... alors Les loups ououh! ououououh! Les loups ont envahi Paris Soit par Issy, soit par Ivry Les loups ont envahi Paris Cessez de rire, charmante Elvire Les loups ont envahi Paris. Attirés par l'odeur du sang Il en vint des mille et des cents Faire carouss', liesse et bombance Dans ce foutu pays de France Jusqu'à c'que les hommes aient retrouvé L'amour et la fraternité.... alors Les loups ououh! ououououh! Les loups sont sortis de Paris Soit par Issy, soit par Ivry Les loups sont sortis de Paris Tu peux sourire, charmante Elvire Les loups sont sortis de Paris J'aime ton rire, charmante Elvire Les loups sont sortis de Paris...

Mais oui

21 Sep 2010 4 412
Découvrez Non Pas le temps T'as pas l'argent Pas la solution. Mais oui Puisque c'est ta vie Puisque c'est ton coeur Qui te guidera Ho non Ne dis pas non Que t'as plus l'âge Et plus le courage Mais oui Puisque dans tes mains Tu trouves la force De serrer les miennes Tant qu'on danse encore Tant qu'on rêve encore Que ça change un jour Ca vaut la peine Tant qu'on aime encore Tant qu'on pleure encore C'est qu'on croit toujours Que ça vaut la peine Mais non C'est pas mon nom Pas mon argent Pas la solution Mais oui Tant que je n'oublie Pas que c'est mon coeur Qui me guidera Pour te dire encore Que je doute encore Que ça change un jour J'ai de la peine Mais j'essaie toujours On ne sait jamais Si ça change un jour Ca vaut la peine Ca vaut la peine Mais oui Il n'y a qu'une voie Et c'est dans nos coeurs Qu'on la trouvera Pourqu'on danse encore Pour qu'on rêve encore Que ça change un jour Ca vaut la peine Tant qu'on aime encore Qu'on respire encore Je crois toujours Que ça vaut la peine Alors danse encore Rêve encore Dis toi toujours Que ça vaut la peine Tant qu'on aime encore Qu'on s'aime encore Mon amour Ca vaut la peine

Etre normale pour être bien Effacer quelques ligne…

21 Sep 2010 5 2 562
Découvrez ! Je suis le fruit d'une blessure Le souffle d'un trop long combat Dans le silence et sans injure J'ai grandi dans des draps de soie Je suis née sans éclaboussure Regardez-moi, rien ne se voit Je n'en serai jamais trop sure De vous a moi je ne sais pas [Refrain]: Mais si je m'en sors Sans bleu au corps Etre normale pour etre bien Effacer quelques lignes de ma main Et si je m'en sors Je veux encore sentir la chaleur De ce beau matin, ensemble, alliés Contre un drôle de destin Je ne connais pas le plus dur Je n'ai pas vraiment de blessures Sans vous je n'existerais pas Sans vous je ne me connais pas De cette histoire ce qui me touche C'est qu'il n'y a rien à regretter Quelques silences au fond de moi Y a des silences et c'est comme ca [Refrain] Et si je m'en sors Un peu plus forte Etre normale pour être bien Effacer quelques lignes de ma main Mais si je m'en sors Je veux encore sentir la chaleur De ce beau matin, ensemble, alliés Contre un drôle de destin Drôle de destin Et si je m'en sors, sans bleu au corps

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