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La grotte bleue...
Dentelle Donnons nous des ailes Prenons le large
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Joignons le futile
A l'agréable
Soyons imbéciles
Déraisonnables
Arrêtons de voir
Les choses en face
C'est bien trop noir
Trop dégueulasse
Faisons dans la dentelle
Faisons dans le velours
Et dînons aux chandelles
Endormons nous au petit jour
Evitons les gens
De bon conseil
Cassons les réveils
Prenons notre temps
Donnons nous des ailes
Prenons le large
Arrêtons d'être sage
Nous serons immortels
Faisons dans la dentelle
Faisons dans le velours
Et dînons aux chandelles
Abusons du parfum des jours
Soyons rêveurs, paresseux, insouciants
et volages
Soyons rieurs, amoureux, soyons des
enfants sans âge
Soyons candides, innocents et lunaires
Soyons timides, indécents, n'ayons pas
les pieds sur terre.
Cheveux au vent
Sourire aux lèvres
Ne pas guérir de la fièvre de l'enfance
Ça s'rait amusant de pouvoir ne penser à rien
D'avancer comme ça sans faire attention à rien
Ne plus jamais s'en faire, écouter, savourer, apprécier
Se laisser porter par les gens, le monde
Velours Soyons rêveurs, paresseux, insouciants et…
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!
Joignons le futile
A l'agréable
Soyons imbéciles
Déraisonnables
Arrêtons de voir
Les choses en face
C'est bien trop noir
Trop dégueulasse
Faisons dans la dentelle
Faisons dans le velours
Et dînons aux chandelles
Endormons nous au petit jour
Evitons les gens
De bon conseil
Cassons les réveils
Prenons notre temps
Donnons nous des ailes
Prenons le large
Arrêtons d'être sage
Nous serons immortels
Faisons dans la dentelle
Faisons dans le velours
Et dînons aux chandelles
Abusons du parfum des jours
Soyons rêveurs, paresseux, insouciants
et volages
Soyons rieurs, amoureux, soyons des
enfants sans âge
Soyons candides, innocents et lunaires
Soyons timides, indécents, n'ayons pas
les pieds sur terre.
Cheveux au vent
Sourire aux lèvres
Ne pas guérir de la fièvre de l'enfance
Ça s'rait amusant de pouvoir ne penser à rien
D'avancer comme ça sans faire attention à rien
Ne plus jamais s'en faire, écouter, savourer, apprécier
Se laisser porter par les gens, le monde
du fond de l'univers
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Sur le comptoir de l'univers une Vénus crépusculaire
Boit du lait-rhum un peu amer en attendant son Jupiter
Dans sa parure d'oripeau ainsi à l'aise comme dans sa turne
Une fumée bleue de Neptune sortant de sa bouche en anneaux
De verres en verres, au bar
De l'univers, je pars
De bière en bière, j'ai plus
Les pieds sur terre
J'avance, la démarche peu sûre les yeux me sortant des orbites
Je dis à la belle qui m'évite : tu me fais grimper le mercure
Je suis au bord du big-bang je frôle déjà le désastre
Laisse-moi goûter à ta langue ou tu vas voir mourir un astre
De verres en verres, au bar
De l'univers, je pars
De bière en bière, j'ai plus
Les pieds sur terre
Elle me répond d'une voix lactée tire pas des plans sur la comète
Je ne voudrais pas te vexer mais on n'est pas d'la même planète
Et puis me repousse du talon et je sombre dans un trou noir
Au milieu d'une constellation d'étoiles sur des litres de pinard
De verres en verres, au bar
De l'univers, je pars
De bière en bière, j'ai plus
Les pieds sur terre
Ooooooooooooooooooooooooooh !!!
Ohooooooooho !!!
En fusée, j'ai rendu mes verres de bière de mars sur le bitume
Sorti du bar de l'Univers je me sentais con...
En fusée, j'ai rendu mes verres de bière de mars sur le bitume
Sorti du bar de l'Univers je me sentais con comme la lune
De verres en verres, au bar
De l'Univers, je pars
De bière en bière, j'ai plus
Les pieds sur terre
De verres en verres, au bar
De l'Univers, je pars
De bière en bière, j'ai plus
Les pieds sur terre
Allez, vas-y, roule !
C'est ma tournée !
Oh la vache, qu'est-ce que j'tiens...
Si tu veux
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J'ai connu des hivers si froids
De la pluie et des silences
Je m'inventais dans tes bras
Des heures de soleil quand j'y pense
Avant toi je cachais ma vie
Emprisonnée de ma souffrance
Je regardais passer mes nuits.
Banale histoire sans importance
Je ferai de tout ce que tu me donnes le plus précieux trésor
Comme ces mots d'amour fous qui résonnent encore
Si tu veux mon coeur
Promets moi de le garder
L'emporter ailleurs si tu devais t'en aller
Toujours plus près de toi à l'abri des douleurs de la vie
Les matins où commence l'ennui
Tu sais relever les défis
Tu laisses ton coeur être lui même.
Dans tes yeux le reflet que j'aime
Redis moi que ce n'est pas un rêve
L'amour que tu me donnes
Et avant que le soleil se lève
Si tu veux mon coeur
Promets moi de le garder
L'emporter ailleurs si tu devais t'en aller
Toujours plus près de moi à l'abri des douleurs de la vie
Je sais que tout pourrait changer
Le jour
La nuit est comme un sourire
Sois l'air que je respire
Be the air I breathe
Si tu veux mon coeur
Promets moi de le garder
L'emporter ailleurs si tu devais t'en aller
Toujours plus près de toi à l'abri des douleurs de la vie
Sans toi j'ai connu des hivers si froids
Rêve
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!
Madame rêve d'atomiseurs
Et de cylindres si longs
Qu'ils sont les seuls
Qui la remplissent de bonheur
Madame rêve d'artifices
Des formes oblongues
Et de totems qui la punissent
Rêve d'archipels
De vagues perpétuelles
Sismiques et sensuelles
[Répétition 1] :
D'un amour qui la flingue
D'une fusée qui l'épingle
Au ciel
Au ciel
[Répétition 2] :
On est loin des amours de loin
On est loin des amours de loin
On est loin
Madame rêve ad libitum
Comme si c'était tout comme
Dans les prières
Qui emprisonnent et vous libèrent
Madame rêve d'apesanteur
Des heures des heures
De voltige à plusieurs
Rêve de fougères
De foudres et de guerres
A faire et à refaire
[Répétition 1]
[Répétition 2]
Madame rêve
Au ciel
Madame rêve
Au ciel
Madame rêve
Pour Toi Mon ami cher Bientôt une autre petite fle…
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Découvrez !
A travers les entempéris,
Les mauvaises passes,
Les jours d'ennui,
Pense à moi,
Pense à moi,
Si t'en as envie.
Je ne sais plus où courent tous ces gens,
Mais c'est sans doute très important,
Pour y passer, y passer, autant de temps,
Moi je me suis mis dans un jardin,
A cultiver les fleurs du bien,
Pense à moi,
Pense à moi,
Si t'en as besoin,
Tu vas croire que c'est encore loin,
Mais c'est juste au bout d'un chemin,
Et là, tu reconnaitras les fleurs du bien,
Pense à moi, pense à moi si t'en as besoin.
Près d'un piano désaccordé,
En attendant que vienne une idée,
Tu seras, tu seras, toujours, où me trouver
Je sais bien que le monde est grand,
Et qu'il faut regarder de l'avant,
Mais pense à moi, pense à moi si t'en as le temps.
Moi je me suis mis dans un jardin,
A cultiver les fleurs du bien,
Pense à moi, pense à moi,
Si tu en as besoin.
Tu vas croire que c'est encore loin,
Mais c'est juste au bout d'un chemin,
Et là tu reconnaitras les fleurs du bien,
Pense à moi, pense à moi si t'en as besoin.
Je te dis ça autant que j'en ris,
Puisque l'humour ne change pas la vie,
Pense à moi, pense à moi,
si t'as envie,
Je sais à peu près ce qui m'attend,
Et même après quoi courent les gens,
Je ne vois plus ne vois plus rien, de très urgent,
Pense à moi, pense à moi, hoo
Pense à moi, pense à moi...
Là au fond de mon jardin
A cultiver les fleurs du bien,
Hum... les fleurs du bien, hum...
Pense à moi, pense à moi hum...
Pense à moi,..., pense à moi...
Mais là au fond du jardin,
A cultiver les fleur, à cultiver les fleurs du bien, Pense à moi,
Pense à moi.
Ma Lumière..
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Le poids de ta main dans la mienne
Et ce sourire en coin qui disparaît
Ce visage qui rayonnait n'est plus le même
Ce regard hagard semble vouloir s'éteindre
Ne t'en vas pas, reste avec moi
Tout c' qu' on s'était promis de faire
On le fera, je t'en prie, réponds moi
Si tu t'en vas, moi j' ferais quoi
Ne t'en vas pas, reste avec moi
Ne m' demande pas de faire sans toi
J'y arriverais pas, reste avec moi
A Quelques heures à peine où tu me demandais
De rester avec toi, mais je ne l'ai pas fais
Je voudrais tant que tu me parles, mais tu respires à peine
Lentement tes paupières se referment
Ne t'en vas pas, reste avec moi
Tout c' qu'on s'était promis de faire
On le fera, je t'en prie réponds moi
Si tu t'en vas, moi j' ferais quoi
Ne t'en vas pas reste avec moi
Ne m' demande pas de faire sans toi
J'y arriverais pas, reste avec moi
Le poids de ta main dans la mienne
Ne t'en vas pas
j'ai encore besoin de toi
Bonhomme
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À deux pas de moi, l'espion qui me suit
Enregistre tous mes gestes et mes plis
Toujours là aux aguets
Gardant son jeu muet
Il imite ma conduite
Ce n'est pas un rêve, je ne suis pas stone
À chacun son anxiété et son robot de chrome
Il ne cherche qu'à doubler l'original
Le bonhomme digital
J'ai pris rendez-vous avec mon suiveur
Qui m'a confessé qu'un ordinateur
A les mêmes ambitions
Les mêmes aliénations
Que les sociétés qui l'ont créé
Ce n'est pas un rêve, je ne suis pas stone
À chacun son anxiété et son robot de chrome
Il ne cherche qu'à doubler l'original
Le bonhomme digital
Ce n'est pas un rêve, je ne suis pas stone
À chacun son anxiété et son robot de chrome
Il ne cherche qu'à doubler l'original
Le bonhomme digital
Il avait les mots qui désarment ........... ......…
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!
J'avais dans mon cœur tant de larmes
Plus envie de vivre un seul jour
J'avais dans ma vie tant de drames
Je ne voulais plus être en amour
Il est arrivé plein de charme
Dans un sourire qui dit bonjour
Il avait les mots qui désarment
J'avais tellement besoin d'amour
Simplement, doucement
Il est entré dans mon cœur
Simplement, doucement
Il m'apprenait le bonheur
Il suffisait de peu de choses
Pour qu'à nouveau j'aime la vie
Que dans ma main sa main se pose
Pour que je l'aime à la folie
Pour lui j'ai déposé les armes
J'ai envie de l'aimer toujours
Ces rires ont remplacé mes larmes
J'avais tellement besoin d'amour
Simplement, doucement
Il est entré dans mon cœur
Simplement, doucement
Il m'a donné le bonheur
Simplement, doucement
Il est entré dans mon cœur
Simplement, doucement
Je l'aime tout simplement
Et moi je l'aime tout simplement
Fleur de mer ♥♥♥♥♥♥♥♥♥♥♥♥♥♥♥♥♥♥♥♥♥♥♥♥♥♥ ♥♥♥♥♥♥♥♥♥…
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!
Elle était signe d'abondance, de liberté, de transparence
C'est quelques gouttes d'essentiel
Tout comme l'air
et le soleil
Tout ce qui nous donnait la vie,nous empoisonne,et nous trahit
Cimetière des cris étouffés
qui se tarit
Refrain :(X2)
Saigne l'eau
Saigne l'eau des larmes et des mots
Ecouter pleurer nos rivières,
les coeurs desséchés, dans les prières
Les puits qu'on remplit d'eaux impures
Les hommes grisonnent et les torturent
L'eau sale qui les assassine,bien plus sûrement,que les famines
Derrière les silences asséchés
quel avenir ?
refrain (X2)
...
Ils ne demandaient rien d'impossible ou d'importance
Mais boire l'eau d'une source
sans mourir en silence
Refrain(X2)
..
Saigne l'eau
Saigne l'eau
Demande-moi l’impossible
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!
On n’ose pas vraiment se dire
On est timide, on est ainsi fait
Mais je sais que le désir
Il faut aller le chercher
Demande-moi la lune
Demande-moi les clefs
Demande-moi de te suivre
Je te suivrai
Demande-moi le ciel
Demande-moi l’impossible
Demande-moi ton chemin
Je t’aiderai
Demande-moi ce que tu veux
Demande et je passe aux aveux
Demande-moi de me jeter
Dans tes bras, je le ferai
À trop laisser le temps partir
On finit le cœur enfermé
Dans des rêves sans avenir
Avec un goût de tout gâcher
Demande-moi la lune
Demande-moi les clefs
Demande-moi de te suivre
Je te suivrai
Demande-moi le ciel
Demande-moi l’impossible
Demande-moi ton chemin
Inachevé
Demande-moi ce que tu veux
Demande et je passe aux aveux
Demande-moi de me jeter
Dans la vie et je le ferai
Demande-moi la lune
Demande-moi les clefs
Demande-moi de te suivre
Je te suivrai
Demande-moi le ciel
Demande-moi l’impossible
Demande-moi ta route
Je l’éclairerai
Demande-moi ce que tu veux
Demande et je passe aux aveux
Demande-moi de me jeter
Dans tes bras, je le ferai
Je le ferai
JE...........
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!
Oh oh oh oh je t'aime à l'italienne
Oh oh oh oh je t'aime à l'italienne
J'ai au fond du cœur une drôle de chanson sicilienne
Que tu sais par cœur car ma vie ressemble à la tienne
Je t'aime plus fort que les volcans de l'Italie
Quand résonne encore le bruit des verres de Chianti
Refrain
Oh oh oh oh je t'aime à l'italienne
Oh oh oh oh je t'aime à l'italienne
J'ai le cœur qui bouge, je parle avec les mains
Et je vois tout rouge si tu parles à quelqu'un
Quand le vent du sud me joue la musica
Je chante avec lui, rien que pour toi
______
Oh oh oh oh je t'aime à l'italienne
Oh oh oh oh je t'aime à l'italienne
Notre histoire d'amour ressemble à la dolcevita
J'ai loué pour un soir tous les violons de la Scala
Il y a sur tes lèvres un peu de Fellini Roma
Et moi dans mes rêves, j'ai des envies de vendetta
Oh oh oh oh je t'aime à l'italienne
Oh oh oh oh je t'aime à l'italienne
Sur un grand bateau parti pour l'Amérique
Un barracato faisait de la musique
J'ai gardé de lui l'amour des barcarolles
Et le souvenir de ses paroles
Refrain
Oh oh oh oh je t'aime à l'italienne
Oh oh oh oh je t'aime à l'italienne
Oh oh oh oh je t'aime à l'italienne
Oh oh oh oh je t'aime à l'italienne
J'ai le cœur qui bouge, je parle avec les mains
Et je vois tout rouge si tu parles à quelqu'un
Je te veux jalouse, plus longtemps qu'un refrain
L'amour italien te va si bien
Oh oh oh oh je t'aime à l'italienne
Oh oh oh oh je t'aime à l'italienne
J'ai le cœur qui bouge, je parle avec les mains
Et je vois tout rouge si tu parles à quelqu'un
Quand le vent du sud me joue la musica
Je chante avec lui, rien que pour toi
Dans le velours de la nuit
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www.deezer.com/music/track/8773129 !
La nuit t'habille dans mes bras
Pâles rumeurs et bruits de soie
Conquérante immobile
Reine du sang des villes
Je la supposais, la voilà
Tout n'est plus qu'ombre, rien ne ment
Le temps demeure et meurt pourtant
Tombent les apparences
Nos longs, si longs silences
Les amants se perdent en s'aimant
Solitaire à un souffle de toi
Si près tu m'échappes déjà
Mon intime étrangère
Se trouver c'est se défaire
A qui dit-on ces choses-là ?
Dors !
As down lights up another day
Visions I once had fade away
All of those words unspoken
My wildest dreams off broken
It wasn't supposed to be that way
Should I leave why should I stay
Solitaire à un souffle de toi
Leavin behind me yesterday
Si près tu m'échappes déjà
Am I free or forsaken
Mon intime étrangère
Cheated or awakened
Se trouver, c’est se défaire
Does it matter anyway?
Album: Lyrics
Sur le sable
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Sur le sable blanc
La mer écrit son testament
Les licornes enchantées
Ne viendront plus nous ensorceler
Sur le sable blanc
La mer a trop d'éclats d'argent
De vagues en marées elle écrit pour nous le testament
De l'océan
Je vous avais donné
Les clefs de l'aquarium
Vous y avez jeté
Vos déchets d'uranium
Le monde il y a longtemps
Était naturel
Vous dansiez avec moi
Et l'eau était couleur aquarelle
Mais aujourd'hui s'achève
La vie sur cette grève
Sur le sable blanc
La mer écrit son testament
Les pétroliers barbares
Viennent y verser leur encre noire
Sur le sable blanc
La mer a trop d'éclats d'argent
De vagues en marées elle écrit pour nous le testament
De l'océan
Je vous avais donné
Les clefs de l'Antarctique
Et vous avez tué
Les chants de Moby-Dick
Et tell'ment de baleines
Et d'aigles marins
Les vents des quarantièmes
Et les yeux tendres des dauphins
Et aujourd'hui s'achève
La vie sur cette grève
Si l'eau est trop salée
C'est des larmes versées mais en vain
Sur le sable blanc
La mer n'a plus vraiment le temps
Elle ferme les yeux sur la dernière page du testament
De l'océan
ELLE
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!
Elle, rappelle-toi comme elle est belle
Et touche-la : elle sent le sel.
C'est un don miraculeux.
Elle, c'est la naissance de la gabelle,
C'est l'oubliée des infidèles
A la terre des futurs dieux.
Rien que de l'eau, de l'eau de pluie,
De l'eau de là-haut
Et le soleil blanc sur ta peau
Et la musique tombée du ciel
Sur les toits rouillés de Rio.
Toi, tu te caches dans les ruelles
Et comme un païen qui appelle
Les Dieux pour qu'elle t'inonde.
Elle, oh tu sais elle a le temps :
Elle est là depuis mille ans,
Elle te suit comme une ombre.
Rien que de l'eau, de l'eau de pluie,
De l'eau de là-haut
Et le soleil blanc sur ta peau
Et la musique tombée du ciel
Sur les toits rouillés de Rio.
Elle, en attendant l'orage,
Elle te pardonnera ton âge
Et l'argent de tes cheveux.
Elle, tu ne peux pas te passer d'elle,
Tu ne vivras jamais sans elle.
Tu n'auras que de l'eau de tes yeux.
Rien que de l'eau, de l'eau de pluie,
De l'eau de là-haut
Et le soleil blanc sur ta peau
Et la musique tombée du ciel
Sur les toits rouillés de Rio.
Voler
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!
A l'heure où la nuit s'éveille
Quand la lune change de quartier
Dans sa robe vermeille
Elle nous glisse des mots de passe à l'oreille
Ailleurs au fin fond du sommeil
On aperçoit des trésors démons et des merveilles
Il en faudra des efforts
pour percer le mystère qui dort
Voler la nuit des rêves fous des rêves gris
Plonger sans bruit et traverser des chemins interdits
Voler la nuit des rêves fous des rêves gris
Se souvenir au petit matin blême
Des solutions données à nos problèmes
Ailleurs les dunes de sel
Et les plages de sucre roux brûlantes au soleil
Et les traces que je suis pas à pas
Pour sortir du tunnel
J'entends une douce voix qui m'appelle
Qui ne parle que de toi, et toi qui m'ensorcelle
Et qui revient chaque lune
comme une dose d'amour nocturne
Voler la nuit des rêves fous des rêves gris
Plonger sans bruit et traverser des chemins interdits
Voler la nuit des rêves fous des rêves gris
Se souvenir au petit matin blême
Des solutions données à nos problèmes
Fleur de sable ...
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Des pas sur le sable
Du poète brésilien Ademar De Barros
Une nuit, j’ai eu un songe.
J’ai rêvé que je marchais le long d’une plage, en
compagnie du Seigneur.
Dans le ciel apparaissaient, les unes après les autres,
toutes les scènes de ma vie.
J’ai regardé en arrière et j’ai vu qu’à chaque
scène de ma vie, il y avait deux paires de traces sur le sable:
L’une était la mienne, l’autre était celle du Seigneur.
Ainsi nous continuions à marcher, jusqu’à ce que tous
les jours de ma vie aient défilé devant moi.
Alors je me suis arrêté et j’ai regardé en arrière.
J’ai remarqué qu’en certains endroits, il n’y avait
qu’une seule paire d’empreintes, et cela correspondait
exactement avec les jours les plus difficiles de ma vie,
les jours de plus grande angoisse, de plus grande peur
et aussi de plus grande douleur.
Je l’ai donc interrogé : " Seigneur… tu m’as dit que tu
étais avec moi tous les jours de ma vie et j’ai accepté
de vivre avec Toi. Mais j’ai remarqué que dans les pires
moments de ma vie, il n’y avait qu’une seule trace de pas.
Je ne peux pas comprendre que tu m’aies laissé seul
aux moments où j’avais le plus besoin de Toi. "
Et le Seigneur répondit : " Mon fils, tu m’es tellement
précieux ! Je t’aime ! Je ne t’aurais jamais abandonné,
pas même une seule minute !
Les jours où tu n’as vu qu’une seule trace de pas sur le
sable, ces jours d’épreuves et de souffrances, eh bien:
c’était moi qui te portais. "
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