Krisonteme's photos
Couleurs
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De biens jolies flammes éclaboussent minuit
Orange indigo dans tes yeux cernés, l'incendie
C'est le triomphe des cerveaux rétrécis
Sur les trottoirs fous de la haine, l'ennemi
Les sirènes hurlent, les balles sifflent, trop de bruits
Mais nos sanglots couvrent les cris
De biens jolies flammes, assombrissent minuit
Ta plainte restera muette cette nuit
Mon oriflamme, ma vaillante chérie
Migraines affolées nerveuses et trahies
Les sirènes hurlent les balles sifflent à l'infini
Pour nous défendre, j'suis bien trop p'tit
La mort ce soir frappera aveugle et sans merci
Pour tout comprendre, j'suis bien trop p'tit
Une Bien Jolie Flamme, mon astre de minuit
Lumière Lucie auteur de mes jours, de ma nuit
Auteur de mes jours, de ma nuit
dispersion
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Aux promesses éternelles
Aux jours de grand soleil
Aux instants d'or et de lumière
Aux silences des âmes
Aux non-dits qui s'enflamment
Aux feux complices des lunes claires
Tant que l'eau s'endort aux yeux des reines
Comme au lit des rivières
Tant que nos mains se souviennent
Rien n'est vraiment fini
Les vents du large parfois ramènent
Le marin qui se perd
Tant que ta voix suit la mienne
Rien n'est vraiment fini
Vraiment
Aux parfums irréels
Aux nuits d'ambre et de miel
Aux douces magies de la peau
A nos chemins de vie
A tout ce qui nous lie
A ce passé qui nous tient chaud
Tant que l'eau s'endort aux yeux des reines
Comme au lit des rivières
Tant que nos mains se souviennent
Rien n'est vraiment fini
Les vents du large parfois ramènent
Le marin qui se perd
Tant que ta voix suit la mienne
Rien n'est vraiment fini
Vraiment
Si les vents du large te ramènent
Rien n'est vraiment fini
Tant que l'eau s'endort aux yeux des reines
Comme au lit des rivières
Tant que nos mains se souviennent
Les vents du large parfois ramènent
Le marin qui se perd
Tant que ta voix suit la mienne
Rien n'est vraiment fini
Vraiment
Fini
Rien n'est vraiment fini.
Fraîchement restaurée à Mérial
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Petit coin fouillis
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Bord de pont
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Roue dénudée !!!!
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Botanique à la Danoise- Botanical eyesight Cope…
fleurs de Ricin
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du fond de l'univers
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Sur le comptoir de l'univers une Vénus crépusculaire
Boit du lait-rhum un peu amer en attendant son Jupiter
Dans sa parure d'oripeau ainsi à l'aise comme dans sa turne
Une fumée bleue de Neptune sortant de sa bouche en anneaux
De verres en verres, au bar
De l'univers, je pars
De bière en bière, j'ai plus
Les pieds sur terre
J'avance, la démarche peu sûre les yeux me sortant des orbites
Je dis à la belle qui m'évite : tu me fais grimper le mercure
Je suis au bord du big-bang je frôle déjà le désastre
Laisse-moi goûter à ta langue ou tu vas voir mourir un astre
De verres en verres, au bar
De l'univers, je pars
De bière en bière, j'ai plus
Les pieds sur terre
Elle me répond d'une voix lactée tire pas des plans sur la comète
Je ne voudrais pas te vexer mais on n'est pas d'la même planète
Et puis me repousse du talon et je sombre dans un trou noir
Au milieu d'une constellation d'étoiles sur des litres de pinard
De verres en verres, au bar
De l'univers, je pars
De bière en bière, j'ai plus
Les pieds sur terre
Ooooooooooooooooooooooooooh !!!
Ohooooooooho !!!
En fusée, j'ai rendu mes verres de bière de mars sur le bitume
Sorti du bar de l'Univers je me sentais con...
En fusée, j'ai rendu mes verres de bière de mars sur le bitume
Sorti du bar de l'Univers je me sentais con comme la lune
De verres en verres, au bar
De l'Univers, je pars
De bière en bière, j'ai plus
Les pieds sur terre
De verres en verres, au bar
De l'Univers, je pars
De bière en bière, j'ai plus
Les pieds sur terre
Allez, vas-y, roule !
C'est ma tournée !
Oh la vache, qu'est-ce que j'tiens...
Dans le bleu
Velours Soyons rêveurs, paresseux, insouciants et…
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Joignons le futile
A l'agréable
Soyons imbéciles
Déraisonnables
Arrêtons de voir
Les choses en face
C'est bien trop noir
Trop dégueulasse
Faisons dans la dentelle
Faisons dans le velours
Et dînons aux chandelles
Endormons nous au petit jour
Evitons les gens
De bon conseil
Cassons les réveils
Prenons notre temps
Donnons nous des ailes
Prenons le large
Arrêtons d'être sage
Nous serons immortels
Faisons dans la dentelle
Faisons dans le velours
Et dînons aux chandelles
Abusons du parfum des jours
Soyons rêveurs, paresseux, insouciants
et volages
Soyons rieurs, amoureux, soyons des
enfants sans âge
Soyons candides, innocents et lunaires
Soyons timides, indécents, n'ayons pas
les pieds sur terre.
Cheveux au vent
Sourire aux lèvres
Ne pas guérir de la fièvre de l'enfance
Ça s'rait amusant de pouvoir ne penser à rien
D'avancer comme ça sans faire attention à rien
Ne plus jamais s'en faire, écouter, savourer, apprécier
Se laisser porter par les gens, le monde
Dentelle Donnons nous des ailes Prenons le large
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Joignons le futile
A l'agréable
Soyons imbéciles
Déraisonnables
Arrêtons de voir
Les choses en face
C'est bien trop noir
Trop dégueulasse
Faisons dans la dentelle
Faisons dans le velours
Et dînons aux chandelles
Endormons nous au petit jour
Evitons les gens
De bon conseil
Cassons les réveils
Prenons notre temps
Donnons nous des ailes
Prenons le large
Arrêtons d'être sage
Nous serons immortels
Faisons dans la dentelle
Faisons dans le velours
Et dînons aux chandelles
Abusons du parfum des jours
Soyons rêveurs, paresseux, insouciants
et volages
Soyons rieurs, amoureux, soyons des
enfants sans âge
Soyons candides, innocents et lunaires
Soyons timides, indécents, n'ayons pas
les pieds sur terre.
Cheveux au vent
Sourire aux lèvres
Ne pas guérir de la fièvre de l'enfance
Ça s'rait amusant de pouvoir ne penser à rien
D'avancer comme ça sans faire attention à rien
Ne plus jamais s'en faire, écouter, savourer, apprécier
Se laisser porter par les gens, le monde
Doubidou
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Y'a bien des fois, j'aime pas les femmes
Souvent, j'les hais parce qu'elles sont belles
Quand elles sont fortes, je les blâme
De vouloir s'prendre pour des hommes
Y 'a bien des fois, j'aime pas les hommes
Je leur en veux d'être infidèles
Mais, quand j'pense aux femmes qu'ils trompent
J'me dis que c'est bien fait pour elles
Car, bien des fois, j'aime pas les femmes
Et leur beau discours de p'tite mère
Et j'meurs de honte quand elles se pâment
Pour un idiot d'homme ordinaire
Parce que, bien sûr, j'aime pas les hommes
Quand ils me chassent d'leur univers
J'voudrais qu'y m' prennent pour un des leurs
J'voudrais partager leur bière
J'me sens ridiculement femme
C'est-à-dire frustrée de nature
Une de ces qui font les drames
Pendant qu'leurs hommes font les durs
Y'a bien des fois, j'aime pas les hommes
Et, pourtant, j'voudrais qu'ils m'adoptent
Qu'y m'apprennent à ret'nir mes larmes
A m'sentir fière d'être sotte
C'que j'peux m'en vouloir d'être une femme
Surtout quand j'tombe dans les filets
D'un de ces pauvres polygames
Qui m'jure de s'en aller jamais
[Refrain] :
J'aime pas les hommes qui me déchirent
J'aime pas les femmes qui me consolent
Lorsque les hommes veulent revenir
Y 'a ces mêmes femmes qui me les volent
J'aime pas les femmes quand elles vieillissent
Avec des marques de chagrin
Je hais les hommes de père en fils
Car y comprennent jamais rien
J'aime pas les femmes qui se promènent
Qui s'en vont s'perdre dans tes secrets
Elles sont peut-être les prochaines
Que tu bris'ras à tout jamais
Toi que je hais
Toi que j'aimais !
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Mérial
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Sur la route
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oh la vache
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tyty
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