Krisonteme's photos

Manège

03 Aug 2010 3 337
Oui ma vie c'est un manège Toutes choses passent, vont et reviennent Oui ma vie c'est un manège Comme une chanson c'est le temps qui l'entraîne Surtout n'allez pas croire Quand un amour s'en va qu'il sera le dernier Car ma vie c'est un manège Qui ne cessera jamais de tourner Oui ma vie c'est un manège Et je peux être Margot ou princesse Oui ma vie c'est un manège Je peux être douce et tendre ou bien tigresse À la fois femme et fille Je n'ai que le visage de l'instant qui vient Car ma vie c'est un manège Et mon Dieu que ce manège tourne bien Parfois c'est vrai je suis trop libre Et je n'entends pas la raison Je marche sur un jeu de quilles Mais je veux bien être captive De qui fait des quatre saisons Un monde qui chante et qui brille Qui chante et brille Oui ma vie c'est un manège Mas amours passent, vont et reviennent Oui ma vie c'est un manège Comme une chanson c'est le temps qui l'entraîne Et j'ai dans la mémoire Un vrai calendrier ne fête rien qu'à moi Car ma vie c'est un manège Qui sans cesse tourne, tourne et tournera Ma vie c'est un manège Mes amours passent, vont et reviennent Car ma vie c'est un manège Comme une chanson c'est le temps qui l'entraîne Oui ma vie c'est un manège ba da ba ......

Si c'est moi qui ait gagné MDR!!!!!!!

31 Jul 2010 2 1 535
A voté!!!!

Montélimar 1er aout

01 Aug 2010 2 1 392
c'est le théâtre :-))

Montélimar 1er aout

Nous

02 Aug 2010 4 4 354
!Tes yeux sont si profonds qu'en me penchant pour boire J'ai vu tous les soleils y venir se mirer S'y jeter à mourir tous les désespérés Tes yeux sont si profonds que j'y perds la mémoire À l'ombre des oiseaux c'est l'océan troublé Puis le beau temps soudain se lève et tes yeux changent L'été taille la nue au tablier des anges Le ciel n'est jamais bleu comme il l'est sur les blés Les vents chassent en vain les chagrins de l'azur Tes yeux plus clairs que lui lorsqu'une larme y luit Tes yeux rendent jaloux le ciel d'après la pluie Le verre n'est jamais si bleu qu'à sa brisure Mère des Sept douleurs ô lumière mouillée Sept glaives ont percé le prisme des couleurs Le jour est plus poignant qui point entre les pleurs L'iris troué de noir plus bleu d'être endeuillé Tes yeux dans le malheur ouvrent la double brèche Par où se reproduit le miracle des Rois Lorsque le coeur battant ils virent tous les trois Le manteau de Marie accroché dans la crèche Une bouche suffit au mois de Mai des mots Pour toutes les chansons et pour tous les hélas Trop peu d'un firmament pour des millions d'astres Il leur fallait tes yeux et leurs secrets gémeaux L'enfant accaparé par les belles images Écarquille les siens moins démesurément Quand tu fais les grands yeux je ne sais si tu mens On dirait que l'averse ouvre des fleurs sauvages Cachent-ils des éclairs dans cette lavande où Des insectes défont leurs amours violentes Je suis pris au filet des étoiles filantes Comme un marin qui meurt en mer en plein mois d'août J'ai retiré ce radium de la pechblende Et j'ai brûlé mes doigts à ce feu défendu Ô paradis cent fois retrouvé reperdu Tes yeux sont mon Pérou ma Golconde mes Indes Il advint qu'un beau soir l'univers se brisa Sur des récifs que les naufrageurs enflammèrent Moi je voyais briller au-dessus de la mer Les yeux d'Elsa les yeux d'Elsa les yeux d'Elsa Aragon, Les Yeux d'Elsa

Rencontre

Partons d'un bon pied :-))

Montélimar 1er aout

01 Aug 2010 3 437
vous avez dit sérieux!!!!!!!

Montélimar 1er aout

01 Aug 2010 2 4 490
Comment résister :-))

avec toi

28 Aug 2010 7 2 677
! Moi, si j'étais un homme, je serais capitaine D'un bateau vert et blanc, D'une élégance rare et plus fort que l'ébène Pour les trop mauvais temps. Je t'emmènerais en voyage Voir les plus beaux pays du monde. J' te ferais l'amour sur la plage En savourant chaque seconde Où mon corps engourdi s'enflamme Jusqu'à s'endormir dans tes bras, Mais je suis femme et, quand on est femme, On ne dit pas ces choses-là. Je t'offrirais de beaux bijoux, Des fleurs pour ton appartement, Des parfums à vous rendre fou Et, juste à côté de Milan, Dans une ville qu'on appelle Bergame, Je te ferais construire une villa, Mais je suis femme et, quand on est femme, On n'achète pas ces choses-là. Il faut dire que les temps ont changé. De nos jours, c'est chacun pour soi. Ces histoires d'amour démodées N'arrivent qu'au cinéma. On devient économe. C'est dommage : moi j'aurais bien aimé Un peu plus d'humour et de tendresse. Si les hommes n'étaient pas si pressés De prendre maîtresse... Ah ! si j'étais un homme ! Je t'appellerais tous les jours Rien que pour entendre ta voix. Je t'appellerais "mon amour", Insisterais pour qu'on se voie Et t'inventerais un programme À l'allure d'un soir de gala, Mais je suis femme et, quand on est femme, Ces choses-là ne se font pas. Il faut dire que les temps ont changé. De nos jours, c'est chacun pour soi. Ces histoires d'amour démodées N'arrivent qu'au cinéma. On devient économe. C'est dommage, moi j'aurais bien aimé Un peu plus d'humour et de tendresse. Si les hommes n'étaient pas si pressés De prendre maîtresse... Ah ! si j'étais un homme, Je serais romantique...

Cavalero

28 Jul 2010 1 633
! Entre-temps, j'ai attrapé une maladie vieille comme l'humanité et contre laquelle n'existe, à ce jour, aucun remède. Ceux qui ont été épargnés en sourient, parfois s'en gaussent. Ils ont tort. Elle paraît en effet anodine, négligeable, divertissante, elle est insidieuse, exigeante avant de devenir tyrannique. Elle ne laisse aucun répit. Elle n'admet aucun rival. Elle exige qu'on lui sacrifie beaucoup de temps, une dispendieuse énergie, toutes ses économies, son corps et, qui sait, son âme. À l'instar de certaines religions, elle promet le paradis après qu'on a bien souffert et qu'on s'est bien effacé. Elle déteste les paresseux et les lâches. Elle est effrayante et magnifique. Il arrive qu'on en meure. C'est la fièvre du cheval . Jour après jour, elle me dévore. J'ai essayé en vain de lutter. Maintenant, soumis, je me laisse faire. Je m'applique et m'amuse seulement à la domestiquer. Je lui cède en selle, elle me poursuit à pied, jusque dans la grande ville où elle ne manque jamais une occasion de me narguer et, si d'aventure je la dédaigne, de me persécuter. Jerôme Garcin

J'ai goûté des merveilles et j'en demande encore

21 Dec 2008 2 2 367
! Je pleure, tu pleures, il pleut Tu n'es pas le premier que je rends malheureux J'ai cherché le bonheur au milieu du néant J'ai goûté la douleur et l'amour qui fout l' camp J'ai déjà tout gâché, j'ai perdu la mémoire Tu n'es pas le premier que j'ai su décevoir Je pleure, tu pleures, il pleut Tu n'es pas le premier dans mes jeux amoureux Oui, c'est vrai qu'avant toi, je me suis sentie belle Et je sais qu'une fois j'ai même été fidèle Aujourd'hui, dans tes bras, quand je ferme les yeux C'est pareil avec toi, mais c'est pareil en mieux Tu n'es pas le premier Mais pour moi désormais Tu n'es pas le premier Tu seras le dernier {Refrain:} Allez viens Ça fait rien Ça commence aujourd'hui C'est toi le premier homme du reste de ma vie Je pleure, tu pleures, il pleut Tu n'es pas le premier qui va me dire adieu J'ai bu toutes mes larmes à la santé d'un autre Et j'ai vécu le bagne, et c'était de ma faute Aujourd'hui c'est ton tour, après tout c'est le prix Quand on confond l'amour avec la jalousie Je pleure, tu pleures, il pleut Tu n'es pas le premier dans mes jeux dangereux J'ai goûté des merveilles et j'en demande encore Avec toi c'est pareil en tellement plus fort Aujourd'hui c'est à nous, dans ce monde de fous Si je t'aime à genoux, c'est pour vivre debout Tu n'es pas le premier Souris-moi s'il te plaît Tu n'es pas le premier Tu seras le dernier {au Refrain} Je pleure, tu pleures, il pleut Tu n'es pas le premier mais avec toi c'est mieux J'ai déjà fait semblant, j'ai déjà tout promis Pour tellement d'amants que j'appelais "chéri" Mais je rejouais toujours et c'est vrai qu'un instant J'ai cru trouver l'amour et j'ai perdu mon temps Je pleure, tu pleures, il pleut Tu n'es pas le premier, le premier qui prend feu J'ai connu des soleils aux douze coups de minuit J'ai déjà dit "Je t'aime" et j'ai déjà menti Mais de toutes façons, je ne regrette pas C'était beau, c'était bon, c'est meilleur avec toi Tu n'es pas le premier Mais pour moi désormais Tu n'es pas le premier Tu seras le dernier {au Refrain} C'est toi le dernier homme qui reste dans ma vie

Du fond

26 Jul 2010 2 670
! Puisqu'on ne vivra jamais tous les deux Puisqu'on est fou, puisqu'on est seuls Puisqu'ils sont si nombreux Même la morale parle pour eux J'aimerais quand même te dire Tout ce que j'ai pu écrire Je l'ai puisé à l'encre de tes yeux. Je n'avais pas vu que tu portais des chaînes À trop vouloir te regarder, J'en oubliais les miennes On rêvait de Venise et de liberté J'aimerais quand même te dire Tout ce que j'ai pu écrire C'est ton sourire qui me l'a dicté. Tu viendras longtemps marcher dans mes rêves Tu viendras toujours du côté Où le soleil se lève Et si malgré ça j'arrive à t'oublier J'aimerais quand même te dire Tout ce que j'ai pu écrire Aura longtemps le parfum des regrets. Mais [Refrain]

Vivre c'est s'obstiner à achever un souvenir Mon r…

26 Jul 2010 5 8 892
Découvrez Soha ! Sous les ventilateurs Je m’allonge à longueur De journées allonguies Que les jardins parfument Et sous la véranda Tous les jours à 5h Ainsi je languis Dans un élan de souhait Saoulée par la chaleur Qui s’étend comme une flamme Je m’enfonce telle une lame Dans la mer découpée Et puis je sors des vagues À l’âme et sans secousse Je m’étends alors Sur du sable allégé Refrain Mon rêve à moi Y’a des jours où je le touche du doigt Mon rêve à moi Il m’échappe à chaque fois Mon rêve à moi Tellement habile du bout des doigts Mon rêve à moi Il m’échappe à chaque fois Fermer mon compte à la City Briser le feu de cette hyper activity Ici ma vie est à moi Pas de leur fidelity Et je donnerai à mon île le nom de liberty Ici ma vie est à moi Sous les ventilateurs Je m’allonge à longueur De journées allonguies Que les jardins parfument Et sous la véranda Tous les jours à 5h Ainsi je languis Dans un élan de souhait Pas âme qui vive Même pas le vendredi Et je compte les étoiles Je les vois toutes ici

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