Krisonteme's photos
bulles
Manège
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Oui ma vie c'est un manège
Toutes choses passent, vont et reviennent
Oui ma vie c'est un manège
Comme une chanson c'est le temps qui l'entraîne
Surtout n'allez pas croire
Quand un amour s'en va qu'il sera le dernier
Car ma vie c'est un manège
Qui ne cessera jamais de tourner
Oui ma vie c'est un manège
Et je peux être Margot ou princesse
Oui ma vie c'est un manège
Je peux être douce et tendre ou bien tigresse
À la fois femme et fille
Je n'ai que le visage de l'instant qui vient
Car ma vie c'est un manège
Et mon Dieu que ce manège tourne bien
Parfois c'est vrai je suis trop libre
Et je n'entends pas la raison
Je marche sur un jeu de quilles
Mais je veux bien être captive
De qui fait des quatre saisons
Un monde qui chante et qui brille
Qui chante et brille
Oui ma vie c'est un manège
Mas amours passent, vont et reviennent
Oui ma vie c'est un manège
Comme une chanson c'est le temps qui l'entraîne
Et j'ai dans la mémoire
Un vrai calendrier ne fête rien qu'à moi
Car ma vie c'est un manège
Qui sans cesse tourne, tourne et tournera
Ma vie c'est un manège
Mes amours passent, vont et reviennent
Car ma vie c'est un manège
Comme une chanson c'est le temps qui l'entraîne
Oui ma vie c'est un manège
ba da ba ......
Si c'est moi qui ait gagné MDR!!!!!!!
Montélimar 1er aout
Montélimar 1er aout
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Nous
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!Tes yeux sont si profonds qu'en me penchant pour boire
J'ai vu tous les soleils y venir se mirer
S'y jeter à mourir tous les désespérés
Tes yeux sont si profonds que j'y perds la mémoire
À l'ombre des oiseaux c'est l'océan troublé
Puis le beau temps soudain se lève et tes yeux changent
L'été taille la nue au tablier des anges
Le ciel n'est jamais bleu comme il l'est sur les blés
Les vents chassent en vain les chagrins de l'azur
Tes yeux plus clairs que lui lorsqu'une larme y luit
Tes yeux rendent jaloux le ciel d'après la pluie
Le verre n'est jamais si bleu qu'à sa brisure
Mère des Sept douleurs ô lumière mouillée
Sept glaives ont percé le prisme des couleurs
Le jour est plus poignant qui point entre les pleurs
L'iris troué de noir plus bleu d'être endeuillé
Tes yeux dans le malheur ouvrent la double brèche
Par où se reproduit le miracle des Rois
Lorsque le coeur battant ils virent tous les trois
Le manteau de Marie accroché dans la crèche
Une bouche suffit au mois de Mai des mots
Pour toutes les chansons et pour tous les hélas
Trop peu d'un firmament pour des millions d'astres
Il leur fallait tes yeux et leurs secrets gémeaux
L'enfant accaparé par les belles images
Écarquille les siens moins démesurément
Quand tu fais les grands yeux je ne sais si tu mens
On dirait que l'averse ouvre des fleurs sauvages
Cachent-ils des éclairs dans cette lavande où
Des insectes défont leurs amours violentes
Je suis pris au filet des étoiles filantes
Comme un marin qui meurt en mer en plein mois d'août
J'ai retiré ce radium de la pechblende
Et j'ai brûlé mes doigts à ce feu défendu
Ô paradis cent fois retrouvé reperdu
Tes yeux sont mon Pérou ma Golconde mes Indes
Il advint qu'un beau soir l'univers se brisa
Sur des récifs que les naufrageurs enflammèrent
Moi je voyais briller au-dessus de la mer
Les yeux d'Elsa les yeux d'Elsa les yeux d'Elsa
Aragon, Les Yeux d'Elsa
Rencontre
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Partons d'un bon pied :-))
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Montélimar 1er aout
Montélimar 1er aout
Salon
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Marseille V
avec toi
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!
Moi, si j'étais un homme, je serais capitaine
D'un bateau vert et blanc,
D'une élégance rare et plus fort que l'ébène
Pour les trop mauvais temps.
Je t'emmènerais en voyage
Voir les plus beaux pays du monde.
J' te ferais l'amour sur la plage
En savourant chaque seconde
Où mon corps engourdi s'enflamme
Jusqu'à s'endormir dans tes bras,
Mais je suis femme et, quand on est femme,
On ne dit pas ces choses-là.
Je t'offrirais de beaux bijoux,
Des fleurs pour ton appartement,
Des parfums à vous rendre fou
Et, juste à côté de Milan,
Dans une ville qu'on appelle Bergame,
Je te ferais construire une villa,
Mais je suis femme et, quand on est femme,
On n'achète pas ces choses-là.
Il faut dire que les temps ont changé.
De nos jours, c'est chacun pour soi.
Ces histoires d'amour démodées
N'arrivent qu'au cinéma.
On devient économe.
C'est dommage : moi j'aurais bien aimé
Un peu plus d'humour et de tendresse.
Si les hommes n'étaient pas si pressés
De prendre maîtresse...
Ah ! si j'étais un homme !
Je t'appellerais tous les jours
Rien que pour entendre ta voix.
Je t'appellerais "mon amour",
Insisterais pour qu'on se voie
Et t'inventerais un programme
À l'allure d'un soir de gala,
Mais je suis femme et, quand on est femme,
Ces choses-là ne se font pas.
Il faut dire que les temps ont changé.
De nos jours, c'est chacun pour soi.
Ces histoires d'amour démodées
N'arrivent qu'au cinéma.
On devient économe.
C'est dommage, moi j'aurais bien aimé
Un peu plus d'humour et de tendresse.
Si les hommes n'étaient pas si pressés
De prendre maîtresse...
Ah ! si j'étais un homme,
Je serais romantique...
Cavalero
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!
Entre-temps, j'ai attrapé une maladie vieille comme l'humanité
et contre laquelle n'existe, à ce jour, aucun remède.
Ceux qui ont été épargnés en sourient, parfois s'en gaussent.
Ils ont tort.
Elle paraît en effet anodine, négligeable, divertissante,
elle est insidieuse, exigeante avant de devenir tyrannique.
Elle ne laisse aucun répit.
Elle n'admet aucun rival.
Elle exige qu'on lui sacrifie beaucoup de temps,
une dispendieuse énergie,
toutes ses économies, son corps et, qui sait, son âme.
À l'instar de certaines religions,
elle promet le paradis après qu'on a bien souffert et qu'on s'est bien effacé.
Elle déteste les paresseux et les lâches.
Elle est effrayante et magnifique.
Il arrive qu'on en meure.
C'est la fièvre du cheval .
Jour après jour, elle me dévore.
J'ai essayé en vain de lutter.
Maintenant, soumis, je me laisse faire.
Je m'applique et m'amuse seulement à la domestiquer.
Je lui cède en selle, elle me poursuit à pied,
jusque dans la grande ville
où elle ne manque jamais une occasion de me narguer et,
si d'aventure je la dédaigne, de me persécuter.
Jerôme Garcin
J'ai goûté des merveilles et j'en demande encore
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Je pleure, tu pleures, il pleut
Tu n'es pas le premier que je rends malheureux
J'ai cherché le bonheur au milieu du néant
J'ai goûté la douleur et l'amour qui fout l' camp
J'ai déjà tout gâché, j'ai perdu la mémoire
Tu n'es pas le premier que j'ai su décevoir
Je pleure, tu pleures, il pleut
Tu n'es pas le premier dans mes jeux amoureux
Oui, c'est vrai qu'avant toi, je me suis sentie belle
Et je sais qu'une fois j'ai même été fidèle
Aujourd'hui, dans tes bras, quand je ferme les yeux
C'est pareil avec toi, mais c'est pareil en mieux
Tu n'es pas le premier
Mais pour moi désormais
Tu n'es pas le premier
Tu seras le dernier
{Refrain:}
Allez viens
Ça fait rien
Ça commence aujourd'hui
C'est toi le premier homme du reste de ma vie
Je pleure, tu pleures, il pleut
Tu n'es pas le premier qui va me dire adieu
J'ai bu toutes mes larmes à la santé d'un autre
Et j'ai vécu le bagne, et c'était de ma faute
Aujourd'hui c'est ton tour, après tout c'est le prix
Quand on confond l'amour avec la jalousie
Je pleure, tu pleures, il pleut
Tu n'es pas le premier dans mes jeux dangereux
J'ai goûté des merveilles et j'en demande encore
Avec toi c'est pareil en tellement plus fort
Aujourd'hui c'est à nous, dans ce monde de fous
Si je t'aime à genoux, c'est pour vivre debout
Tu n'es pas le premier
Souris-moi s'il te plaît
Tu n'es pas le premier
Tu seras le dernier
{au Refrain}
Je pleure, tu pleures, il pleut
Tu n'es pas le premier mais avec toi c'est mieux
J'ai déjà fait semblant, j'ai déjà tout promis
Pour tellement d'amants que j'appelais "chéri"
Mais je rejouais toujours et c'est vrai qu'un instant
J'ai cru trouver l'amour et j'ai perdu mon temps
Je pleure, tu pleures, il pleut
Tu n'es pas le premier, le premier qui prend feu
J'ai connu des soleils aux douze coups de minuit
J'ai déjà dit "Je t'aime" et j'ai déjà menti
Mais de toutes façons, je ne regrette pas
C'était beau, c'était bon, c'est meilleur avec toi
Tu n'es pas le premier
Mais pour moi désormais
Tu n'es pas le premier
Tu seras le dernier
{au Refrain}
C'est toi le dernier homme qui reste dans ma vie
Du fond
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!
Puisqu'on ne vivra jamais tous les deux
Puisqu'on est fou, puisqu'on est seuls
Puisqu'ils sont si nombreux
Même la morale parle pour eux
J'aimerais quand même te dire
Tout ce que j'ai pu écrire
Je l'ai puisé à l'encre de tes yeux.
Je n'avais pas vu que tu portais des chaînes
À trop vouloir te regarder,
J'en oubliais les miennes
On rêvait de Venise et de liberté
J'aimerais quand même te dire
Tout ce que j'ai pu écrire
C'est ton sourire qui me l'a dicté.
Tu viendras longtemps marcher dans mes rêves
Tu viendras toujours du côté
Où le soleil se lève
Et si malgré ça j'arrive à t'oublier
J'aimerais quand même te dire
Tout ce que j'ai pu écrire
Aura longtemps le parfum des regrets.
Mais [Refrain]
Vivre c'est s'obstiner à achever un souvenir Mon r…
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Découvrez Soha !
Sous les ventilateurs
Je m’allonge à longueur
De journées allonguies
Que les jardins parfument
Et sous la véranda
Tous les jours à 5h
Ainsi je languis
Dans un élan de souhait
Saoulée par la chaleur
Qui s’étend comme une flamme
Je m’enfonce telle une lame
Dans la mer découpée
Et puis je sors des vagues
À l’âme et sans secousse
Je m’étends alors
Sur du sable allégé
Refrain
Mon rêve à moi
Y’a des jours où je le touche du doigt
Mon rêve à moi
Il m’échappe à chaque fois
Mon rêve à moi
Tellement habile du bout des doigts
Mon rêve à moi
Il m’échappe à chaque fois
Fermer mon compte à la City
Briser le feu de cette hyper activity
Ici ma vie est à moi
Pas de leur fidelity
Et je donnerai à mon île le nom de liberty
Ici ma vie est à moi
Sous les ventilateurs
Je m’allonge à longueur
De journées allonguies
Que les jardins parfument
Et sous la véranda
Tous les jours à 5h
Ainsi je languis
Dans un élan de souhait
Pas âme qui vive
Même pas le vendredi
Et je compte les étoiles
Je les vois toutes ici