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Il y a des coeurs armés de balles, prêts à tuer, et des coeurs remplis d'amour, prêts à aimer. Il y a des coeurs cherchant à tout accaparer, prêts à voler, quelqu'en soit le prix ...pour les autres. Il y a des coeurs fermés comme des coffre-forts, et des

Tel la sauterelle, ( elle peut sauter 200 fois plus haut que sa taille ! ) Je peux faire des bonds en l'air, me déplacer à droite puis à gauche, revenir en arrière, repartir en avant, pour enfin m'arrêter, épuisé... Mais si, comme elle, ( elle saute au

Petit à petit, L'oiseau refait son nid. S'éloigne l'hiver ennemi. S'en vient le temps Du souriant printemps... Petit à petit, Tu reconstruis ta vie. Ne faut-il pas Comme Isaac, pas à pas, Expulser les cailloux de l'abattement, Expulser les cailloux

Quand j'étais petit, mes parents m'appelaient Jean de la lune ! La terre n'a jamais été ma vraie patrie. Toujours, je m'en suis évadé par la rêverie ! Adolescent, j'errais parmi les paradis artificiels, insatisfait, en manque de l'Essentiel, cherchant

Chez nous, il y a toujours beaucoup d'enfants, de quelques mois à trois ans. Heureusement que l'appartement est grand ! Nous leur laissons la liberté d'y faire du vélo. Pour eux, c'est rigolo. Ils aiment faire du slalom entre les meubles. Vous qui aimez

L'homme construit des maisons parce qu'il est vivant, mais il écrit des livres parce qu'il se sait mortel. Daniel Pennac " Comme un roman " p 197

Au jour premier de mon éternité, ayant quitté mes bien-aimés, que leur aurai-je laissé ? Le sentiment indélébile que nous nous sommes aimés ! Comme dit la chanson : " Ce n'est qu'un au revoir, mes frères, ce n'est qu'un au revoir, oui, nous nous

Fossoyeur Des corps de ces âmes Parties vers l'Ailleurs, Je désirerais enterrer la mort elle-même, Et son cortège de douleurs, de pleurs, et de malheurs. Je rêve à ce jour où la mort elle-même Sera jetée dans l'étang de soufre et de feu, Où les larmes

Voici le dialogue amusant que j'ai eu avec Camille, 3 ans. Elle me prend gentiment par la main et en me regardant dans les yeux, me dit : " Je t'invite à mon anniversaire ! ". Je lui dis que je suis content, mais lui pose cette question : " Est ce qu'il

Un médecin reçut un jour la visite d'un homme équilibré, mais profondément abattu. Le praticien, à la fin de l'auscultation, dit à son patient : - Allez donc au cirque qui se trouve dans notre ville. Il y a le clown Grock qui amuse tout le monde et il est

Parqués dans des écoles coraniques par des marabouts tyranniques, des centaines d'enfants, de pain et d'amour mendiants, apprennent des versets à coups de fouets. Les enfants sont nés pour être respectés et aimés ! On ne peut pas dire : Ca m'est

Il dort profondément dans son lit. A dix huit ans, on y passerait sa vie ! Il dort profondément dans son lit, après une nuit de folie ! Peu importe le taux d'alcoolémie, quand on croit que l'alcool est notre amie ! Elle nous procure tellement

Vous êtes son papa depuis dix neuf ans. Elle est jolie. Elle est au printemps de sa vie, à l'âge où vous n'êtes plus l'homme de sa vie ! Pour elle, vous n'êtes plus qu'un homme, certes important, certes ayant encore sa place, celle d'un père nourricier,

Tous les jours, Je me réjouis de Ta Grâce, Et pourtant Il y en a tant Qui, devant elle, restent de glace !

Tant de beauté, Tant de majesté En ta création ! Je me prosterne devant toi, O mon Roi ! Tant d'amour, Tant de compassion En ta mort pour moi Sur la croix ! Je me prosterne devant toi, O mon Roi ! Doux Agneau de Dieu, Ta vie pour moi tu donnas ! Doux

Nous sommes allés à une excellente conférence donnée par Julien Leblay, grand cyclo-voyageur devant l'Eternel. Celui-ci nous a enthousiasmé par ses récits de voyage, par sa personnalité, par sa générosité... De plus, il nous a visionné des photos

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Cela fait plaisir d'avoir réuni ses poèmes en ce recueil. Si vous êtes intéressés, laissez-moi votre adresse dans " envoyer un message " sur ma page d'accueil . Le coût : 5 euros, port compris. 74pages de poèmes. En auto-édition. ISBN978-2-9533436-1-8

Après un premier recueil de poèmes écrit, aurais-je l'inspiration pour un deuxième manuscrit ? J'ai l'impression d'avoir tout dit ce que contient mon coeur. Y aura-t-il encore de l'inédit ? Ou bien sera-ce du par coeur ? Je suis si maladroit pour puiser

Je rêve d'évasion Loin de cette prison. De trouver quelque compassion, Pauvre petit électron. Sur le grill Des circonstances, Loin des grilles De l'inconsistance, Je vois poindre à l' horizon l'espérance ! Mais comment atteindre cette mer Où je navigue

De même que Mr Jourdain faisait de la prose sans le savoir, ceux qui écrivent en sms font des métaplasmes sans s'en apercevoir ! Bonjour aux syncopes, quel rdv avec l'émotion ! Attention aux coupeurs de tête, voici l'aphérése du bus ! Gare à l'apocope

Sous les pavés, la plage... Sous le poète, le prophète... Dessous les nuages, deviner le soleil... Sous ses rayons, discerner Celui qui est sans pareil... Dessous la chaleur de son amour s'évaporent les nuages... Je trouve enfin la plage... Jean-Luc

Extrait de Gaspard de la nuit, D'Aloysius Bertrand - Livre 5 - Le marchand de tulipes: " Maître Huylten agrafa le fermail de sa Bible, rangea ses lunettes dans leur étui, et tira le rideau de la fenêtre , qui laissa voir au soleil une fleur de la passion

Elle a écrit un poème, Comme on jette une bouteille à la mer, Avec un message dedans, Pour dire : Je suis encore parmi les vivants... Elle a écrit un poème, Comme on jette une ancre à la mer Pour que le bateau fragile de son existence Cesse d'être

Notre monde va trop vite. Je ne suis pas pressé De mourir. Voyageons, ma bien-aimée, Au pas de l'âne en la rosée. Notre monde aime trop vite. Je veux que notre amour Ne soit pas cette digue qui se rompt, Ce coeur érodé par la pluie Et la monotonie.

Combien grand devait être Ton mal-être, pour que, par chirurgie esthétique, Tu changeas si souvent de physique ! Tu te sentais si mal dans ta peau, Que, changement d'oripeau, De noir, tu devins blanc plastique ! Star adulée par la foule ! Et pourtant

Est-ce ainsi que les hommes vivent ? Leurs baisers au loin les suivent. * Enterrement d'un artiste, Evènement planétaire, Nous chantent les journalistes ! Oui, tu planes ma terre ! Mort, Mon corps Se décomposant Et d'autres vers composant, Enfermé dans

Mon beau-père ( appelé " Grand-père" par tous et toutes en sa famille ) vient de décéder à l'âge de 96 ans ! "rassasié de jours", comme pourrait dire de lui sa Bible ramenée du Liban. Il s'est éteint trois ans après son épouse, qu'il appelait "maman".

L'enfant court Avec un bâton et son cerceau. L'enfant joue depuis son berceau. Plus tard, Courra t-il après ses horaires de bureau ? Jouera-t-il aux jeux d'argent ? Cherchera-t-il ce qui est beau ? Ou sera-t-il dénué de tout bon sentiment ? Mais pour le

En Afrique, Histoire horrifique, "On" a traqué le rhinocéros Jusqu'à son extermination ! A cause d'une pensée démoniaque : Sa corne était soi-disant aphrodisiaque ! Il y avait une demande dans la population, Alors "On" a pourvu par une sanglante effusion

Il n'a pas écrit de livre. Ce sont les autres qui ont écrit sur lui des milliers de livres et de chansons. Lui écrivait sur les coeurs Des paroles profondes, puissantes, bouleversantes, révolutionnaires Qui allaient à rebrousse-poil de nos lâchetés

Ô Education ! Il faut te chercher au bord de la mer, A côté des coquillages, des crevettes et des châteaux de sable ! Alors les larmes ou les rires viendront selon l'humeur et les vagues. Car l'enfance, dit-on, est synonyme d'innocence ... Qui se mettra

Trop de lumière nous cache les étoiles. La lueur de nos villes, artificielle, Nous prive de la vision du ciel. Châtoiement des couleurs, à l'infini. Ton coeur se réchauffe, Comme enveloppé d'une cape bien chaude. Que ferai-je sans toi, mon Père

Contre les algues vertes, Que la chasse soit ouverte ! Après un cheval mort, Voici d'un homme, Jeté le sort ! Faut-il qu'il y ait drames, Pour qu'enfin soit sonnée l'alarme ? Avant de verser des larmes, Ne vaudrait-il pas mieux Être davantage scrupuleux

Quelqu'un qui m'est cher, m'ayant écrit: Quand feras-tu un poème gai comme tu sais si bien le faire ? J'adore ton humour ! En ce moment, on a besoin de gaieté Dans ce monde de brute ! Voici la réponse que je lui fis: Tant que je suis sur terre, Les

J'aime ce petit coin de campagne, cette vieille grange en torchis, où la cheminée ne fume plus que des plantes. A cet instant, quoi de mieux à faire que de m'asseoir à l'ombre, dans l'herbe, à côté d'un magnifique arbre à papillons et de lire, de

Même si tout n'y est pas rose, La vie est comme une rose. La rose nous donne avec abondance Couleurs chatoyantes, beauté et parfums sublimes. Et la vie nous dispense généreusement Plaisirs, joies et émerveillements. Hélas ! S'y trouvent aussi des épines,

La tortue Ne tue Pas le temps Mais elle le prend. Elle ne connaît pas les excès de vitesse, La fièvre de la vie moderne et son ivresse. Pour elle, le temps, ce n'est pas de l'argent. Mais est-ce pour cela qu'elle est aimée des enfants ? Sans

Monosygotes, Non disygotes. Reliées par un cordon invisible, Leur ressemblance est visible. L'une pour l'autre reflet, Autour d'elles, quel effet ! Unies par une intime amitié, Auto-suffisantes en leur tendre complicité, Se séparer, comment le

Cesse de tourner en rond , De vivre une vie en tire-bouchon ! Envole-toi, envole-toi Au-dessus des toits ! Vis en fils du Roi des Rois ! Oui, Seigneur, je veux m'envoler loin de l'ennui, du compromis ! Et me laisser porter par le courant de

Après ta disparition, Longtemps Ta petite chambre orange Au sol en jonc de mer resta telle quelle, Musée de tes objets inanimés, Temple sacré de ta présence absente. Puis nous avons déménagé. Notre chagrin aussi. Poème dédié à mon

A l'écho des quatre saisons de Vivaldi, Je veux que ma vie devienne, Quoiqu'il advienne, Une belle symphonie Pour toi, Dieu, mon ami. En toute saison, En ma maison, Soit loué Et adoré! Au milieu de la bise glaciale de l'hiver, Tout comme sous le

Amiel, Notre nouveau rayon de soleil ! Petit poussin différent, Tu ne nous laisses Pas indifférents ! Ton innocente fragilité Nous dit : J'ai besoin d'être aimé ! En notre famille, Grâce à toi, l'amour De plus en plus brille ! Ô mon Dieu, Toi qui

Le foot-ball n'est plus un jeu, Il y a trop d'enjeu! Ce but marqué N'est pas du tout mérité : Un joueur avec sa main a triché! A l'arbitre, n'aurait-il pas pu le dire ? Ce monde manque de vérité, C'est ce qui fait craindre le pire! Ne rechercher que

Joies et tristesses à la vie se mêlent, et nos coeurs s'y emmêlent. En cet habituel méli-mélo, quel imbroglio! A la longue, qu'est-ce qui me tiens tant attaché à cette vie , loin de la solitude, mon épouse et loin de l'ennui, mes parents, mes enfants, mes

Au fin fond de l'impasse des mots se terre le silence. copyright - droits réservés Jean- Luc Rolland

Cela faisait plusieurs semaines que je n'avais plus rien écrit. Les doutes sur la portée de mes textes, des questionnements, bref, je sais maintenant que ce n'était qu'une pause. Je vous transmets ici le début d'un texte glané sur le net, texte qui m'a

Bien des années après son enfance passée, il se retrouve là, dans cette petite école de campagne, assis seul sur le même banc d'écolier où il apprit à compter, à compter les heures qui le séparaient de la sortie de classe, assis seul sur ce même banc

Bientôt dans les arènes, plus de massacres ignobles ? Finie la tauromachie en Catalogne ? Dirons-nous bientôt adieu à la jouissance perverse de l'homme tout-puissant devant un animal agonisant ? Finis les sacrifices de taureaux, la torture-spectacle