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Le festival culturel français "Accord" à Tallinn clôturera en novembre sur un ultime accord avec le concert de Pierre Boulez, compositeur distingué par 26 Grammy awards, dans une ancienne centrale électrique à Kultuurikatel.

à travers de Stroomirand et de Merimets...

à un de ces jours j'attendais une amie au coin entre deux places tout au centre de le ville. elle était en retard et ça m'a permit de filmer un peu cette partie de la rue entre la place de l'Hotel de Ville et le Vieux Marché. je n'aime pas fotografier et filmer les gens que je connaîs. les autres, les gens dans la rue, c'est autre chose... ))

il y a deux jours j'ai fait une balade en vélo à travers le port. le printemps n'est pas toujours là et sans soleil tout avait l'air assez smooth. d'ailleurs j'aime le port en toutes saisons...

le beau est toujours bizzare

La Maîtrise de Reims a donné à Tallinn deux concerts: à la Maison de Têtes Noirs et à l'église de St-Jean.

Les 10 journées de la vie touristique sont terminé. Je suis rentré hier dans ma ville qui se couvrait dans la nappe fraîche de la nuit. Après les chaleurs que je rencontrais partout en Europe, de la Normandie au Luxembourg, c'était une sensation agréable et presque oubliée... ) Tout de même les images, les sons et les âromes de la France occupent encore mon cerveau « bouleversé » et j'ai encore besoin de quelques jours et nuits pour m'adapter à la vie de tous les jours.…

qu'est-ce que nous savons des mers renversées dans le puits du ciel

Je longeais le boulevard Kaarli direction la Bibliothèque et soudain à une trentaine de mètres de la Biblio j'ai découvert une petite galérie. J'ai poussé la porte et j'ai plongé dans le monde de Mart Sander, dont le nom m'était déjà un peu connu. On disait des tendances glam qui marquaient son oeuvre et surtout on parlait de son autoportrait où il se représentait en centaure... La galérie était bien petite, claire et je disais gemütlich, car cet adjéctif allemand y passe un peu mieux...…

et voilà un monstre un monstre de tendresse qui demande à être aimé... culturebox.france3.fr/all/10126/luciole-illumine-le-slam-au-feminin#/all/27694/le-vent-des-forets-seme-l_art-contemporain-aux-4-coins-de-la-meuse

le samedi était le jour le plus actif de la Semaine de Musique à Tallinn. j'ai visité quelques endroits où se produisaient des artistes finnois, lettons et estoniens. j'ai vu des jeunes sympathiques et talentueux qui composaient, jouaient et chantaient et c'était bien et parfois beau... le mystère de la musique reste ouvert à tous qui le veulent explorer et ça continue d'émouivoir les coeurs et les ésprits, ces petites sept notes qui sont capables de créer de rien un miracle... eh bi…

une balade à travers la nuit d'octobre accompagnée d'une ballade acoustique minimaliste à deux accords, le texte prétend à rien, juste un moment imaginaire de cet automne un peu morose le vent et la pluie ce n"est rien on a de nouveau cette espece de cafard je regarde dans ta fenêtre huit heures le crépuscule finalement je ne suis pas ennemi je suis ton meilleur ami

Comment être simple et naturel, si par sa nature déjà on est anormal? La musique ce n’est qu’une atténuation progressive des sons. Pourquoi est-ce que Nietzsche avait tant de complexes face à Lou Salomé?

le dimanche était si beau qu'on ne prête pas beaucoup d'attention à un smooth léger de ce lundi )) tout de même la semaine commence bien sympa avec un concert de Dhafer Youssef, ce soir à 19.00 à l'église de St-Jean. j'y vais et j'éspère bien passer une soirée magnifique http://www.dhaferyoussef.com/music/malak.htm

Un des leaders de la protestation russe Ilja Yashin a visité Tallinn. Une rencontre au rang du projet "Les voix de la Russie" menée par le fond "Avatud Eesti"

tout le monde est souriant dans le monde et pourtant l'irritation de tous contre tous augmente...

l'été c'est toujours quelque chose un peu d'extraordinaire, même si on n'a pas eu en été rien d'extraordinaire...

Quand j'ai le blues Quand rien ne va Moi Je vais chez Moon Hir

Le 10-11 novembre Emmanuel Carrère était à Tallinn avec son film "Le retour à Kotelnitch".

Hier on a vu apparaître à Youtube l'interview avec Nadja Tolokonnikova et Maria Alechina, réalisé par Jelena Massjuk. Deux charactères bien différents, deux destins qu'on admire et qu'on déteste en Russie contemporaine... www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&v=tZDNRGrf1-o Nadja Tolokonnikova: Maintenant j'ai sur la table 2 livres: la Bible et "L'idée russe" de Berdjaev... Tous ses livres, dont plusieurs des livres philosophiques, elle les a remis à la bibliotheque de prison…