le temps passe

à l'époque la Belgique était le pas qui avait l'agriculture la plus intensive et la plus moderne

ĉu ili ankoraŭ ekzistas ? mi pensas ke ne. Ili estis portitaj rekte kaj tuje per specialaj komisiuloj al la pordon de la ricevonto Tiu ĉi estas de aprilo 1947 Sendita el Agen

J'ai pris cette photo le dernier mois de juillet du siècle (à Cambrai), une vision qui représente bien notre époque cette fin de siècle, qui signe aussi la fin du christianisme. Regardez: * églises FERMEES (pire qu'autrefois en URSS, même qu'on s'en épouvantait tellement à l'époque !) * "communication" (comme ils disent!) de l'Institution, dans un style publicitaire ! et avec le même jargon "hexagonal" (l'L'hexagonal tel qu'on le parle") que celui qu'utilisent les séminaires d'entreprise et les officines de pub pour collectivités locales, essayant, effort déconnecté et dérisoire, d'encore "motiver" les derniers membres du club (d'ailleurs tout le monde s'en fout, autant que de ces fameuses pubs institutionnelles sur papier glacé) justifiant ainsi ceŭ, encore croyants, qui reprochent à l'Eglise de ne plus être une religion et de ne plus parler de Dieu ni de rien de ce dont elle est censé être porteuse. * une dernière soeur, même pas habillée "en soeur", à part le voile, (qu'on qualifierait de nos jours d'"islamique"!), vieille, descend. TERMINUS ! www.ipernity.com/group/poemoj/discuss/32243 Bref une photo représentative qui sera A METTRE DANS LES LIVRES D'HISTOIRE DANS UN SIECLE

c'était près de la gare (à cette époque partout en France il y avait des hotels, à TOUS les prix, près de chaque gare, on vivait dans un pays équippé, où il était possible - pour tous ! - de voyager, pas comme la sinistre société d'EXCLUSION et totalement déséquippée de maintenant) de Poitiers. le centre-ville de Poitiers est bâti sur une colline, et derrière l'hotel ça commençais à monter. C'était dimanche les églises sonnaient, les rues désertes, partout des frênes et des portes au "design" spécial propre à la région.

ça n'est pas fait exprès, mais quel beau symbole du temps des gens des souvenirs de l'existence qui s'en vont

En la familion de mia patrino estis iu, kiun ŝi nomis onklino Yvonne Wargniez, kaj estis religiulino sub la nomo "Soeur Thérèse du Saint-Sacrement". Ŝi iris en Afriko kiel misiisto. Nur unu fojon ŝi revenis en Francion, tiam estis farita tiu foto la du aliaj virinoj estas mia patrinflanka avino kaj "kusino" Fabienne (kiu vivis en departemento Gers, sudokcidenta Francio kun la branĉo de la familio, kiu esti migrinta tien)

"Cette concession réputée en état d'abandon fait l'objet d'une procédure de reprise" pligrandigi la bildon por legi la tekston. agrandir l'image pour lire le texte. "Quand nous mourons, ce n'est que le commencement d'une série d'autres anéantissements, nous plongeant toujours plus dans l'absolue nuit. Ceŭ qui nous aimaient meurent aussi; toutes les têtes humaines dans lesquelles ... etc " (Pierre Loti in "Fantôme dOrient" 1892)

1953 ou peu de temps après, jusqu'à cette époque les ecclésiatiques ne "se prenaient pas pour de la merde" ! comme on dit. De nos jours ce sont d'autres catégories de la population qui se payent cette mine là... vidu tiun moŝtulan pastron, kiu subskribas, estis malmute da tempo post 1953. Tiuepoke la ekleziuloj havis altan opinion pri si mem ĉu ne aspektas?! (parenteze, sur la foto videblas la tri fortranĉitajn fingrojn de mia patro, kio ne malhelpis lin ludi la pianon)

(1864-1929) Il avait écrit toute une série de livres techniques sur l'agriculture, par exemple celui sur la culture des créales. Ici on peut voir le progrès qu'a apporté la moissonneuse-lieuse ! regardez les chiffres. (ces livres ont paru dans l'après-guerre 14-18 vers 1920) Une des conséquences est la disparition des ouvriers agricoles !