Journée du patrimoine du 22 septembre

la maison du gouverneur (XVème siècle - vers 1520), située au n° 24, rue du Petit-Fort. Cette maison a appartenu à M. de La Bretonnière, gouverneur

La Maison du Gouverneur (appelé également ancien château Ganne1) est une construction du Moyen Âge, située 24 rue du Petit Fort, à Dinanhttps://france3-regions.francetvinfo.fr/bretagne/cotes-d-armor/rue-du-jerzual-1000-ans-histoire-au-coeur-dinan-1377403.html (https://youtu.be/XV9mYReE_Rg) (https://youtu.be/XV9mYReE_Rg)

(https://commons.wikimedia.org/wiki/File:Corot_-_La_porte_du_Jerzual_%C3%A0_Dinan,_1860.jpg) Cette porte a été peinte par Jean-Baptiste Camille Corot: The Jerzual Gate in Dinan wikidata:Q29862780 voir le lien)file:///C:/Users/merdr/Downloads/File_Corot_-_La_porte_du_Jerzual_%C3%A0_Dinan,_1860. ( youtu.be/XV9mYReE_Rg)

(Un trajet qui a inspiré l’écrivain Roger Vercel, professeur d e lettres à Dinan en 1920 : « Que vous montiez le Jerzual, entre les maisons à pignons et à porches, sous le surplomb des encorbellements étayés de piliers frustres, sous la belle porte romanogothique, que vous gravisieiez les lacets, quii devant les rocs tournent court, la ville vous inflige, dès l’abord, la sévère leçon de la pente, de la dinaou »)

(Jean-Patrick Poiron Sculptures, peintures Atelier Le Discret – 31, rue du Jerzual – DINAN Des sculptures en bronze au cœur du Jerzual… Les sculptures de Jean-Patrick Poiron sont une déclinaison en toutes tech­niques et en tous sens sur le thème du corps vivant, de l’espace et du mouvement ; elles sont en terre cuite, en bronze, mais aussi en bois, en pierre, en métal. Son œuvre, sculpture, dessin et peinture, se caractérise par la synthèse d’impressions personnelles collectées au bon vou­loir de son « Musée Imaginaire » ; elle est la matérialisation ka­léi­doscopique de sa personnalité. Le plus souvent figurative, s’y mê­lent le réel et le rêvé, le présent et les héritages d’ici et d’ailleurs.

(https://poiron.guidarts.com/)

Que signifie Jerzual : ce nom possède plusieurs interprétations , certains y voient une déformation des mots bretons " ar coer uhell" ce qui signifie la voie permettant l'accès au village d'en haut . D'autres y voient une extension de"" ar ger juhel ' c'est à dire le village du seigneur . Certains prétendent que le Jerzual serait le nom d'un ruisseau s'écoulant autrefois au milieu de la rue) youtu.be/XV9mYReE_Rg

La cité domine de 75 m la Rance A gauche , la tour Sainte Catherine

La rue du Jerzual ou petit-Fort commence au même niveau que ce vieux pont qui enjambe la Rance

(Historiquement un cimetière paroissial, le « jardin anglais » a été tracé en 1852 en mémoire de la colonie britannique. Il est situé sur la partie haute des remparts derrière la basilique Saint Sauveur d’où se découvre le superbe panorama de la vallée de la Rance (le port, le viaduc, la rivière) vers la mer) (Du même endroit, en regardant vers l'ouest, s'alignent les remparts, la porte du Jerzual, la tour du Gouverneur, la porte Saint-Malo, la tour Beaumanoir. Fleuri toute l’année, ce petit parc présente une jolie esplanade bordée d’arbres centenaires. On y trouve aussi un buste du célèbre explorateur Auguste Pavie (1847-1925), né dans la cité médiévale) (Les lacets du jardin anglais permettent de descendre au port de Dinan

((Historiquement un cimetière paroissial, le « jardin anglais » a été tracé en 1852 en mémoire de la colonie britannique. Il est situé sur la partie haute des remparts derrière la basilique Saint Sauveur d’où se découvre le superbe panorama de la vallée de la Rance (le port, le viaduc, la rivière) vers la mer) (Du même endroit, en regardant vers l'ouest, s'alignent les remparts, la porte du Jerzual, la tour du Gouverneur, la porte Saint-Malo, la tour Beaumanoir. Fleuri toute l’année, ce petit parc présente une jolie esplanade bordée d’arbres centenaires. On y trouve aussi un buste du célèbre explorateur Auguste Pavie (1847-1925), né dans la cité médiévale) (Les lacets du jardin anglais permettent de descendre au port de Dinan)

(La suite des scènes raconte le patriarche Abraham, puis Noé, et enfin les quatre prophètes. Les panneaux centraux, quant à eux, font référence à Sainte-Dominique, au couronnement de la Vierge et l’esprit saint.« Cette salle va être complètement restaurée pour être réhabilitée en salle de prestige. Nous allons demander une étude à un architecte du patrimoine, pour connaître l’état sanitaire du plafond et nous allons passer un appel d’offres. La salle en elle-même est en bon état. Nous ferons disparaître la tribune en bois qui n’aura plus sa place dans cette salle, refaire l’électricité et les crépis. Pour le plafond, nous serons très vigilants, car l’opération sera délicate. Il sera démonté pour être restauré dans un atelier spécialisé, explique à son tour, Cécile Paris, adjointe en charge du patrimoine et des musées. Une fois l’ensemble restauré, l’espace de transition des dominicaines deviendra un endroit à partager, pour des concerts, des réceptions brillantes, des expositions, des conférences… Le calendrier n’est pas encore défini. J’espère avant la fin de notre mandat. »)

Comptant parmi les trésors cachés de Dinan , le plafond peint du couvent des Dominicaines , réalisé dans le dernier tiers du 17 ième siècle , s'impose comme un remarquable témoignage de la peinture religieuse de la contre- réforme catholique

(La visite se poursuit par la lecture du plafond. « C’est un ensemble de scènes de l’ancien Testament, et un cheminement spirituel pour les dominicaines. Les deux premiers décors qui entourent le passage vers l’ex-couvent représentent des scènes avec des modèles féminins. Celle avec la princesse Judith permet de dater l’ensemble de cette page d’histoire peinte sur du bois : 1680. Ce style de robe était porté à la cour de Louis XIV », poursuit Simon Guinebaud.)

(Une salle de prestige « Nous sommes dans un espace de transition. Entre le couvent, aujourd’hui bibliothèque, et la chapelle Sainte-Catherine. Vous voyez là-haut sur le mur de la chapelle, il y a une ouverture, murée aujourd’hui. À l’époque, il devait y avoir une grille, pour que les dominicaines puissent suivre les offices sans être vues par le peuple », explique le chef du service patrimoine.)

(Simon Guinebaud, chef du service patrimoine de la ville de Dinan, entre par l’entrée principale de la chapelle Sainte-Catherine. Direction l’autel, la porte dérobée sur la gauche, un petit bout de couloir. Et là ! Le trésor. Une salle rectangulaire de 120 m2, percée de hautes fenêtres. « La lumière n’est pas bonne aujourd’hui », lance Simon Guinebaud. Les quatre personnes en visite très privée lèvent la tête. Le plafond en bois est entièrement peint. Le joyau des dominicaines.

(Comptant parmi les trésors cachés de Dinan , le plafond peint du couvent des Dominicaines , réalisé dans le dernier tiers du 17 ième siècle , s'impose comme un remarquable témoignage de la peinture religieuse de la contre- réforme catholique)