C'est la fin de la fin du monde......... Même si ça ne dure qu'une nuit

Rébélion


Folder: Créations
,,,,,,,,???????

C'est la fin de la fin du monde......... Même si ç…

23 Feb 2010 1 1 450
C'est la fin de la fin du monde Même la mer ne fait plus de vagues Cette nuit enfin, tout est calme Toutes les choses tiennent enfin debout Les lèvres et les mains se répondent Les mots se touchent sans heurter Les gens qui se passent à côté N'existent plus Ce soir, le monde dort, apaisé {x2} C'est la fin de la fin du monde Même si ça ne dure qu'une nuit Le monde peut écouter les bruits Qu'il fait, sans craindre à chaque seconde Que tout s'embrase et qu'il s'efface Qu'il disparaisse tout à coup Depuis que ma bouche sur ton cou S'est posée Chassant toute menace {x2} C'est la fin de la fin du monde C'est la fin de la fin de nous Je te promets un nouveau tour Même si je sens que tu me sondes Et dans mes eaux, ni sous-marins Ni plus de torpilles dans le dos Juste ma bouche posée sur ta main L'apocalypse au point zéro Comme le parcours sur ta peau Ce soir... Ce soir, le monde est sans fin {x3}

Et puis après ...............Je n'en sais rien....…

30 Oct 2010 3 1 504
Sur fond noir S'aimer à effacer le temps Mêler le sel avec le sang Et ne plus jamais en finir Forcer l'envie pour le plaisir Il y a l'amour et l'amour fou Celui du corps par dessus tout Celui qui se donne et se prend Qui se libère quand il se rend Et puis après Aller encore plus loin Et puis après Se souvenir de rien S'aimer au dessus du désir Et tout au bout vouloir mourrir Et puis après Je n'en sais rien Choisir de n'plus jamais dormir Forcer son corps à en souffrir Et puis s'effondrer dans nos bras Et tout refaire, encore une fois Au dieu que nos amour sont belles Un ciel plus profond que le ciel Un nuit sans lune, firmament Monter et s'y noyer dedans Et puis après Plus loin encore plus loin Et puis après A s'en briser les reins S'aimer au delà du plaisir Forcer l'envie pour en finir Et puis après Et puis après On se sépare enfin Et puis après On n'se souvient de rien S'aimer à effacer le temps Mêler le sel avec le sang Et puis après Je n'en sais rien Nous verrons bien Et puis après

Quelque chose comme Un chant égaré...............i…

30 Aug 2011 7 9 476
youtu.be/0e2EkwZuYdc Jamais une statue ne sera assez grande pour dépasser la cime du moindre peuplier et les arbres ont le coeur infiniment plus tendre que celui des hommes qui les ont plantés Pour toucher la sagesse qui ne viendra jamais j'échangerais la sève du premier olivier contre mon sang impur d'être civilisé responsable anonyme de tout le sang versé Fatigué, fatigué fatigué du mensonge et de la vérité que je croyais si belle, que je voulais aimer et qui est si cruelle que je m'y suis brûlé Fatigué, fatigué Fatigué d'habiter sur la planète terre sur ce grain de poussière, sur ce caillou minable sur cette fausse étoile perdue dans l'univers berceau de la bêtise et royaume du mal où la plus évoluée parmi les créatures a inventé la haine, le racisme et la guerre et le pouvoir maudit qui corrompt les plus purs et amène le sage à cracher sur son frère Fatigué, fatigué fatigué de parler, fatigué de me taire quand on blesse un enfant, quand on viole sa mère quand la moitié du monde en assassine un tiers Fatigué, fatigué Fatigué de ces hommes qui ont tué les indiens, massacré les baleines et bâillonné la vie, exterminé les loups, mis des colliers aux chiens qui ont même réussi à pourrir la pluie La liste est bien trop longue de tout ce qui m'écoeure depuis l'horreur banale du moindre fait divers il n'y a plus assez de place dans mon coeur pour loger la révolte, le dégoût, la colère Fatigué, fatigué fatigué d'espérer et fatigué de croire à ces idées brandies comme des étendards et pour lesquelles tant d'hommes ont connu l'abattoir Fatigué, fatigué Je voudrais être un arbre, boire l'eau des orages me nourrir de la terre, être ami des oiseaux, et puis avoir la tête si haut dans les nuages qu'aucun homme ne puisse y planter un drapeau Je voudrais être un arbre et plonger mes racines au coeur de cette terre que j'aime tellement et que ce putain d'homme chaque jour assassine je voudrais le silence enfin, et puis le vent... Fatigué, fatigué Fatigué de haïr et fatigué d'aimer surtout ne plus rien dire, ne plus jamais crier fatigué des discours, des paroles sacrées Fatigué, fatigué Fatigué, fatigué fatigué de sourire, fatigué de pleurer fatigué de chercher quelques traces d'amour dans l'océan de boue où sombre la pensée Fatigué, fatigué

Fracas ..........De riddims a fargar De fuòcs a fl…

03 Sep 2011 5 2 498
https://www.ipernity.com/doc/chrisonteme/album/247001/show ls nous ont coincé dans des histoires de fous, Fermée à double tour, notre vie sent le vicier, Mais la nuit les fracas sortent de partout, Attisent le feu de nos espoirs massacrés. La culture populaire est à l’agonie, Faut juste crever l’écran à la star académie, L’organe du pouvoir siège au cœur du salon, Diffuse la propagande des bourgeois bon ton, Le jour appartient aux galeries marchandes, La nuit aux hiboux-résistant gratteurs de papier, Si tu envoies le riddim, on envoie tous ensemble Le méchant cri des vieilles bartàs-cités. Tròp de vida a somiar Tròp de nuòchs per dançar Podrem jamai jamai dormir. De riddims a fargar De fuòcs a flambar Podrem jamai jamai dormir. Tu étouffes sous le poids des renoncements répétés, Tu crèves d’ennui parce que d’autres crèvent de faim, Ils crèvent de faim pour que tu crèves d’ennui, Et les gangsters modernes gèrent les flux financiers. Y’a plus de fric pour la sécu de tes minots, Mais ils touchent le jackpot en entrant à Matignon, Ils te coupent les assedics et partagent le gâteau Avec des porcs déjà gavés de pognon. Dans nos forges bouillonne l’alliage des cultures Et nos caches d’armes sont pleines à craquer, Mentalement le système cloisonne et emmure Mais la nuit les chouettes quittent leur clocher. Tròp de vida a somiar Tròp de nuòchs per dançar Podrem jamai jamai dormir. De riddims a fargar De fuòcs a flambar Podrem jamai jamai dormir. C’est la résistance, prenons le maquis, Les chemins de traverse, les vieux océans, Ils cultivent l’angoisse, ils élèvent les soucis, Fauchons, détruisons leur idéal marchand. Contrebandiers, flibustiers et corsaires S’organisent pour armer leurs vaisseaux, Leurs navires, leurs barques, leurs galères, Embarcations de fortunes au fil de l’eau. Les lumières de la ville éclairent nos silhouettes, Attaquons de front ces remparts épais, Mille sentinelles aux yeux de chouettes Survolent du regard le monde emprisonné. Escota, Desplegam leis alas Escota, Siam ja en cavala

Comme ça en ne pensant a rien Il faut se poser des…

01 Apr 2011 5 3 517
Sur fond noir Il ne faut pas dire je t'aime Comme ça en ne pensant a rien Il faut se poser des problèmes Il faut avoir bien du chagrin Il faut chanter son desespoir Pour que chacun puisse s'y voir Il faut chanter sur sa guitare, La pluie qui mouille le trottoir Il ne faut pas dire je t'aime En se regardant dans les yeux Quand on a le coeur en carème On se regarde comme on peut Les chants desespérés, sont les chants les plus beaux J'en connais de imbéciles Qui sont de purs sanglots... Il ne faut pas dire je t'aime En se regardant dans les yeux Il faut chanter le café crème Du petit matin quand il pleut Il faut chanter sur sa guitare La pluie qui mouille les départs Il faut chanter l'amour qui pleure Avant de chanter celui qui meurt Il ne faut pas dire je t'aime Faut pas chanter l'amour qu'on a Il faut chanter l'amour que sème Le vent d'automne sous nos pas Les chants désespérés sont les chants les plus beaux J'en connais d'imbéciles Qui sont de purs tangos Et pourtant je te dis je t'aime Et pourtant ce soir il fait beau Ce n'est plus l'heure du café crème C'est l'heure d'enlever ton manteau Il se fait tard il se fait nuit Tu ne partiras plus d'ici On va s'aimer comme papa comme maman On n'en fera sûrement pas une bonne chanson... Les chants désespérés sont les chants les plus beaux.. On n'en fera sûrement pas une bonne chanson... Les chants desespérés sont les chants les plus...

Ce qu’on a cru On en a perdu la vue vraiment

27 Aug 2011 5 2 487
! Parle-moi Ce qui nous vient Nous vient de loin Ce qui nous tient Jamais ne nous appartient vraiment Ce qui nous tue Gagné, perdu Ce qu’on a cru On en a perdu la vue vraiment Parle-moi, parle-moi de toi Qu’est-ce tu veux, qui tu es Où tu vas Parle-moi, parle-moi de toi Qu’est-ce tu dis, fais entendre Ta voix Ce qu’on nous vend Ce qu’on nous prend Mais qu’est-ce qui nous prend On dirait qu’on n'a plus l’temps A rien Perdu de vue Perdu tout court Peau tendre, cœur pur On dirait qu’on a plus l’goût A rien Parle-moi, parle-moi de toi Parle-moi de tes doutes de tes choix Parle-moi, parle-moi de toi Qu’est-ce tu dis, plus fort J’entends pas Parle-moi de toi Alors parle-moi, parle-moi de nous Tous les deux, qu’est-ce qu’on veut Qu’est-ce qu’on fout Parle-moi, parle-moi de nous Avec toi j’irai n’importe où Parle-moi de toi

Tu aurais pu ................jouer à rêver .... en…

20 Nov 2010 17 11 905
Tu aurais pu vivre encore un peu Pour notre bonheur pour notre lumière Avec ton sourire avec tes yeux clairs Ton esprit ouvert ton air généreux Tu aurais pu vivre encore un peu Mon fidèle ami mon copain mon frère Au lieu de partir tout seul en croisière Et de nous laisser comme chiens galeux Tu aurais pu vivre encore un peu T'aurais pu rêver encore un peu Te laisser bercer près de la rivière Par le chant de l'eau courant sur les pierres Quand des quatre fers l'été faisait feu T'aurais pu rêver encore un peu Sous mon châtaignier à l'ombre légère Laisser doucement le temps se défaire Et la nuit tomber sur la vallée bleue T'aurais pu rêver encore un peu Tu aurais pu jouer encore un peu Au lieu de lâcher tes boules peuchère Aujourd'hui sans toi comment va-t-on faire Dans notre triplette on n'est plus que deux Tu aurais pu jouer encore un peu Ne pas t'en aller sans qu'on ait pu faire A ces rigolos mordre la poussière Avec un enjeu du tonnerre de Dieu Tu aurais pu jouer encore un peu On aurait pu rire encore un peu Avec les amis des soirées entières Sur notre terrasse aux roses trémières Parfumée d'amour d'histoires et de jeux On aurait pu rire encore un peu Et dans la beauté des choses éphémères Caresser nos femmes et lever nos verres Sans s'apercevoir qu'on était heureux On aurait pu rire encore un peu Tu aurais pu vivre encore un peu Ne pas m'imposer d'écrire ces vers Toi qui savais bien mon ami si cher A quel point souvent je suis paresseux Tu aurais pu vivre encore un peu

Si

10 Jul 2012 6 6 315
Découvrez Je changerais le cœur des hommes On recommence il y a maldonne Je viendrais à bout des méchants Rien qu'à coups de grands sentiments On ne jouerait plus à la guerre Dans aucun pays de la terre Le monde serait un musé De clin-d'œil et de pieds de nez Si je le pouvais Et je serais un héros, un prince de légende J'affronterais les torrents, le feu et la tourmente Je changerais l'air du temps, la direction des vents Si je le pouvais Si je le pouvais, je referais le monde à ton image Repeindrais la Joconde à ton visage Éloignerais de toi les loups sauvages Oh! pour toi, je te ferais un abri de mes bras Je ferais tourner la terre à l'endroit Si je le pouvais, si je le pouvais J'amènerais l'eau au désert Pour que tu ne pleures jamais plus Sur ces peuples dans la misère Fais croire à un malentendu Je redessinerais le monde Un peu plus juste, un peu plus beau Sècherais les trottoirs qu'inondent Les yeux mouillés de Mexico Si je le pouvais Je serais sorcier guérisseur J'abolirais même le deuil Trouverais une place entre deux cœurs Pour chaque sourire d'enfant seul J'étoufferai les grandes tristesses Sous une tonne de tendresses Et toujours aurais sur l'honneur La fidélité, le bonheur Si je le pouvais Et je serais un héros, un prince de légende J'affronterais les torrents, le feu et la tourmente Je changerais l'air du temps, la direction des vents Si je le pouvais Si je le pouvais, je referais le monde à ton image Repeindrais la Joconde à ton visage Éloignerais de toi les loups sauvages Oh! pour toi, je te ferais un abri de mes bras Je ferais tourner la terre à l'endroit Si je le pouvais, si je le pouvais Si je le pouvais si je le pouvais

Mais c'est rien ........................J'irai jus…

18 Jul 2012 260
Ho! J'cours tout seul by William Sheller La vie c'est comme une image Tu t'imagines dans une cage Ou ailleurs Tu dis "C'est pas mon destin" Ou bien tu dis "C'est dommage" Et tu pleures On m'a tout mis dans les mains J'ai pas choisi mes bagages En couleur Je cours à côté d'un train Qu'on m'a donné au passage De bonheur Et je regarde ceux Qui se penchent aux fenêtres J'me dis qu'il y en a parmi eux Qui me parlent peut-être Oh j'cours tout seul Je cours et j'me sens toujours tout seul Et si j'te comprends pas Apprends-moi ton langage Dis-moi les choses qui m'font du bien Qui m'remettent à la page Oh j'cours tout seul Je cours et j'me sens toujours tout seul Pour des histoires que j'aime bien J'ai parfois pris du retard Mais c'est rien J'irai jusqu'au bout du chemin Et quand ce s'ra la nuit noire Je s'rais bien Faut pas qu'tu penses à demain Faut pas dormir au hasard Et tu tiens Je cours à côté d'un train Qu'on m'a donné au passage Un matin Et je regarde ceux Qui s'allument aux fenêtres J'me dis qu'il y en a parmi eux Qui m'aimeraient peut-être Oh j'cours tout seul Je cours et j'me sens toujours tout seul Et si j'te comprends pas Apprends-moi ton langage Dis-moi les choses qui m'font du bien Qui m'remettent à la page Oh j'cours tout seul Je cours et j'me sens toujours tout seul Et je regarde ceux Qui s'endorment aux fenêtres J'me dit qu'il y en a parmi eux Qui m'oublient peut-être Oh j'cours tout seul Je cours et j'me sens toujours tout seul On vous dira sans doute Que mon histoire est bizarre Je sais mais j'peux pas m'arrêter Vu qu'y a plus d'noms sur les gares Oh j'cours tout seul Je cours et j'me sens toujours tout seul

Vla que j'pense à Facepernity !!!!!!!! hey .....

18 Jul 2012 5 8 406
youtu.be/CQvECZKAe2E Quand j'pense que j'suis largué, dans l'domaine de la drague.. Quand j'pense que l'alcool m'a trainé dans de drôles de terrains vagues.. Quand j'pense, à toutes mes origines de Bretonnes et de Kailles.. Quand j'pense que j'me suis réveillé souvent avec un Ouroukaï. Quand j'pense, ça m'fait mal à la tête mais faut que j'trouve la faille. Quand j'pense à une levrette ça m'fait kiffer mais ça ce n'est qu'un détail. Quand j'pense, à une Flamande et à son éminence.. Un texte de Jacques Brel qui bien-sûr, là, me met en transe.. Ah, quand j'pense.. à tout c'que je n'suis pas, toute mon incompétence.. Moi qui voulait faire de moi un sujet de l'intelligence, Toute dispense, de m'critiquer là-dessus, ça pourrait m'agacer. En plus j'suis comme tendeur/tendu, qui à tout moment peut lâcher.. Quand j'pense, qu'elle m'a quitté cette conne et que j'suis dégoûté, Elle qui n'était même pas Bretonne, ok, c'est tout c'que j'ai trouvé, Quand j'pense, que j'ai craqué mon slip, ma carte et mon chèquier Et qu'on m'a pris pour un pauvre type avec qui l'ont s'est amusé.. Refrain Quand j'pense, V'là ce que j'pense: c'est un con qui compense. Tout c'que j'pense, c'est comme un con qui pense. V'là c'que j'pense, c'est p'têtre ma récompense, Hey! Quand j'pense, Hey! Quand j'pense, V'là c'que j'pense, c'est p'têtre ma récompense.. Tout c'que j'pense, c'est bien le con qui pense. Tout c'que j'pense, ou bien la conséquence, Hey! Quand j'pense, Hey!.. Quand j'pense que je n'ai jamais fait, tout c'que j'ai voulu faire. Quand j'pense que j'aurais dû me taire quand je l'ai trop ouvert, Ah, quand j'pense.. qu'autour de moi j'ai vécu des choses pas claires.. Des danses et des javas qu'étaient pas vraiment nécessaires ! Ah, quand j'pense.. que j'me demande maintenant à quoi ça sert.. D'aller s'casser la cruche avec 5 ou 6 litres de bière. C'est plus Byzance, aujourd'hui ma vie c'est plutôt pépère, Comme un club de vacances qui se situerait en bord de mer.. Ah, quand j'pense, que mon coeur, a battu pour elle.. Conséquence, je ne buvais que des verres de Tourtel. À mon sens, j'étais surment aveuglé par la belle. Quand j'y pense, voilà la récompense, Constance. Refrain Quand j'pense, V'là ce que j'pense: c'est un con qui compense. Tout c'que j'pense, c'est comme un con qui pense. V'là c'que j'pense, c'est p'têtre ma récompense, Hey! Quand j'pense, Hey! Quand j'pense, V'là c'que j'pense, c'est p'têtre ma récompense.. Tout c'que j'pense, ou bien le con qui pense. Tout c'que j'pense, ou bien la conséquence, Hey! Quand j'pense, Hey!.. Quand j'pense ! (violons) Quand j'pense à tous mes coups d'gueules, Et à tous mes combats. Quand j'pense à ce cercueil, en bas, Qui rit et puis qui m'tend les bras. Quand j'pense.. à tous ces gens qui t'diront p'têtre de moi : Il est mort comme un con et en plus il ne l'savait pas ! Quand j'pense, que elle, que elle sera là, Ma Constance, elle qui viendra à tous petits pas, Sous un silence, j'espère enfin qu'elle le dira, À l'assistance.. qu'il est mort à cause de moi.. Refrain (2x) Quand j'pense, V'là ce que j'pense: c'est un con qui compense. Tout c'que j'pense, c'est comme un con qui pense. V'là c'que j'pense, c'est p'têtre ma récompense, Hey! Quand j'pense, Hey! Quand j'pense, V'là c'que j'pense, c'est p'têtre ma récompense.. Tout c'que j'pense, c'est comme un con qui pense. V'là c'que j'pense, c'est bien la conséquence, Hey! Quand j'pense, Hey!.. Quand.. j'pense !

C'est une chanson....... que j't'donne Tu jettes .…

18 Jul 2012 1 299
C'est une chanson pour l'automne Pour les jours où y'a personne Quand la ville est sous la pluie C'est une chanson que j't'donne Tu jettes ou tu la fredonnes Elle me servira aussi Si tu n'aimes pas trop la foule Si parfois comme moi La vie te soule un peu Si tu te sens roulé en boule Ou si le mauvais sort te blackboule hors du jeu N'oublie pas qu'on est deux C'est une chanson qui consume Les petits malheurs qu'on s'exhume Qu'on est tout seul à savoir Quand on partage à la brune La solitude de la lune Devant son grand écran noir Si tu n'aimes pas trop la foule Si parfois comme moi La vie te soule un peu Si tu te sens roulé en boule Ou si le mauvais sort te blackboule hors du jeu N'oublie pas qu'on est deux C'est une chanson que j't'donne Comme un gilet qu'on boutonne Pour se réchauffer la vie J't'ai tout dit.

La nuit ..................c'est tous les jours ...…

04 Jun 2012 1 453
Et je sors et je sors Si tôt le soir tombé C'est toujours mieux dehors C'est toujours allumé Que j'adore que j'adore Ces enseignes animées Belles comme des sémaphores Guidant les naufragés Mon amour j'aime toujours Le soleil et voila La nuit c'est tous les jours Depuis les nuits sans toi La nuit c'est tous les jours À quoi bon se coucher La nuit c'est tous les jours Autant en profiter Et je sors et je sors Je veux jamais rentrer Arriver à bon port Si mal accompagné Ai-je tort ai-je tort De tellement me gâcher De faire tellement d'efforts Pour si peu t'oublier Mon amour j'aime toujours Le soleil et voila La nuit c'est tous les jours Depuis les nuits sans toi La nuit c'est tous les jours À quoi bon se coucher La nuit c'est tous les jours Autant en profiter Et je sors et je sors Sortir c'est oublier Aller dans le décor Ce bruit de verre brisé Et je dors, oui je dors Dormir c'est oublier Que je n'ai plus de corps Que même mon lit m'effraie Mon amour j'aime toujours Le soleil et voila La nuit c'est tous les jours Depuis les nuits sans toi La nuit c'est tous les jours À quoi bon se coucher La nuit c'est tous les jours Autant en profiter Mon amour

Qu'est-ce que je foutais ........dans mon silence…

25 Dec 2012 3 3 641
! J'ai jamais rien dit, jamais bravé la moindre loi Pas le plus petit carreau brisé le moindre éclat de vois J'ai vécu peinard dans mon pinard et mes pantouffles Ce succédané de liberté où l'on étouffe J'ai fermé ma gueule et ma fenêtre et mes idées J'ai été le seul à me connaître, à me voir me rider Mais je n'en peux plus de m'être tu dans ce vacarme Dans la fausse paix du monde vrai des marchands d'armes Et c'est moi, moi le lâche Et c'est moi, qui me fâche Et c'est moi qui m'arrache et qui vous secoue Moi l'intrus, l'anonyme Le cocu, la victime Je ne veux plus tendre l'autre joue Bouge, mon pauvre coeur usé d'avoir battu pour rien Les années solitaires, les années sans lumière, c'est loin Rouge, le ciel est rouge et nous promet de beaux matins L'horizon est couleur de colère... Qu'est-ce que je foutais dans mon silence et dans ma peur Enterré vivant, tenant autant de place qu'une erreur Qu'est-ce que je foutais, moi toujours prêt dans le tumulte A courber le dos, à faire le beau sous les insultes II en est bien sur de plus malins et de plus forts Des briseurs de sceptre, des païens qui traquent le veau d'or Prêts à tout casser pour renverser les dictatures El les remplacer souvent par d'autres dictatures Mais c'est moi, moi le lâche Mais c'est moi, qui me fâche Et c'est moi qui m'arrache et qui vous secoue Moi l'intrus, l'anonyme Le cocu, la victime Je ne veux plus Tendre l'autre joue Bouge, ma pauvre vie laissée pour compte si longtemps Et si c'est éphémère, ne te prive pas d'air pour autant Rouge, le ciel est rouge et nous promet de beaux printemps L'avenir est couleur de colère! De colère! De colère! De colère!