Celui qui me connaît et qui m'aime quand même

Renouveau


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Fond noir de l'espoir

Celui qui me connaît et qui m'aime quand même

01 May 2010 8 5 353
Découvrez ! Trois choses que je crains Trois choses : Le feu qui n'a pas d'amis La source tarie Celui qui me connaît et détourne les yeux Trois choses que je crains, Une que je redoute : Les chevaux rebelles Les chevaux rebelles Les chevaux rebelles qui refusent la bride et le mors Trois choses que je respecte Trois choses : La mer qu'on appelle libre Le vent que n'arrête aucun mur Celui qui me connaît et qui meurt sans rien dire Trois choses que je respecte, Une que j'admire : Les chevaux rebelles Les chevaux rebelles Les chevaux rebelles qui refusent la bride et le mors Trois choses que j'aime, Trois choses : Celle que j'ai connue Celle que j'ai perdue Celle qui me connaît et qui m'aime quand même Trois choses que j'aime, Une qu'il me faut : Les chevaux rebelles Les chevaux rebelles Les chevaux rebelles qui refusent la bride et le mors Les chevaux rebelles qui refusent la bride et le mors

Et après

21 Jan 2012 7 4 854
www.ipernity.com/doc/menquiou.ray/10911369 Nanala naganalalo lanalalaleno x4 On a tondu les moutons et filé la laine Et réparé la moto avec la clé allen On a rencontré des filles pas du tout vilaines Et avec elles il y avait la Marie ranouen On a respiré du tri du trichloréthylene Et le lendemain on avait mauvaise haleine Nanala naganalalo lanalalaleno x4 Y'a trois francs de réduction sur les chocos BN Alors pour en profiter on les prend par douzaine On s'est envoyé une bonne bouteille de chouchen, A la fin elle était vide, elle était plus pleine Après on a fait du stop avec les bigoudènes Et on est allé en boîte mais y avait qu'des lesbiennes Nanala naganalalo lanalalaleno x4 On a jeté tous les Parisiens dedans la Seine On a noyé en même temps toutes les parisiennes On a trouvé du pétrole aux îles Kerguelen Et après on est partis pécho la sirène Ah y'en a un q'j'oublie toujours oh c'est Saddam Hussein Celui la nous pompe de l'air comme Jean-Marie le Pen On s'est roulé un cinq feuilles avec du pollen Et après on est tous tombé dans le lagen Nanala naganalalo lanalalaleno x4 Si notre chanson vous a plus oh donnez vous la peine De nous payer un bon coup oh pour reprendre haleine Je n'me souviens plus d'la suite alors c'est pas la peine De toute façon ce qu'il fallait c'était une rime en "N" Nanala naganalalo lanalalaleno (4 fois)

A bird , a dog and a dream!

13 Mar 2012 3 3 409
Le ciel .....m'attire La terre ......me tyrannise .............

Et du calme jardin qui soudainement luit, ........…

13 May 2012 4 1 570
Découvrez Bruno Walter ! Comme sont morts les preux, dans la gloire et le sang, Au soir du jour frappés au coeur d'un fer puissant, Le soleil, chevalier bardé d'or qui s'irise, Dans le champ de l'azur, tout sanglant, agonise. De son sein, à longs flots jaillit la pourpre en feu, Qui coule, se propage et s'épand dans le bleu Comme un golfe profond que le soir violette, En avançant à pas lents d'ombre qui halète. Tout là-bas, un petit nuage rose court, Flocon que fouette un vent dans le ciel qu'il parcourt ; Tandis qu'à l'Occident s'efface la féerie, La nuit sur elle ayant tire sa draperie... II C'est le soir. Au jardin nulle aile ne voltige. Chaque fleur endormie est droite sur sa tige. Les grillons sont muets, sous les herbes tapis, Et les vents fatigués semblent tous assoupis. Même la brise au souffle à peine perceptible Qui fait frémir la feuille à la branche flexible, Sommeille, et l'onde fraîche est tranquille au bassin Où le jour les oiseaux vont boire, par essaim. Précédant le lever des étoiles, la lune Apparaît pleine et pâle au fond de l'ombre brune, Et du calme jardin qui soudainement luit, Un lent parfum s'élève et plane dans la nuit ALBERT LOZEAU

Qu'est-ce que je foutais ........dans mon silence…

25 Dec 2012 3 3 641
! J'ai jamais rien dit, jamais bravé la moindre loi Pas le plus petit carreau brisé le moindre éclat de vois J'ai vécu peinard dans mon pinard et mes pantouffles Ce succédané de liberté où l'on étouffe J'ai fermé ma gueule et ma fenêtre et mes idées J'ai été le seul à me connaître, à me voir me rider Mais je n'en peux plus de m'être tu dans ce vacarme Dans la fausse paix du monde vrai des marchands d'armes Et c'est moi, moi le lâche Et c'est moi, qui me fâche Et c'est moi qui m'arrache et qui vous secoue Moi l'intrus, l'anonyme Le cocu, la victime Je ne veux plus tendre l'autre joue Bouge, mon pauvre coeur usé d'avoir battu pour rien Les années solitaires, les années sans lumière, c'est loin Rouge, le ciel est rouge et nous promet de beaux matins L'horizon est couleur de colère... Qu'est-ce que je foutais dans mon silence et dans ma peur Enterré vivant, tenant autant de place qu'une erreur Qu'est-ce que je foutais, moi toujours prêt dans le tumulte A courber le dos, à faire le beau sous les insultes II en est bien sur de plus malins et de plus forts Des briseurs de sceptre, des païens qui traquent le veau d'or Prêts à tout casser pour renverser les dictatures El les remplacer souvent par d'autres dictatures Mais c'est moi, moi le lâche Mais c'est moi, qui me fâche Et c'est moi qui m'arrache et qui vous secoue Moi l'intrus, l'anonyme Le cocu, la victime Je ne veux plus Tendre l'autre joue Bouge, ma pauvre vie laissée pour compte si longtemps Et si c'est éphémère, ne te prive pas d'air pour autant Rouge, le ciel est rouge et nous promet de beaux printemps L'avenir est couleur de colère! De colère! De colère! De colère!

Cueillons nous ................du regard

05 Jan 2013 2 1 301
youtu.be/sf6bfTYyDzo Mes yeux sont des fleurs Cueillons nous du regard Semons notre impudeur Dans un lit de hasard Ma bouche est un pré ou poussent des mots d’amour Des désires colorés, des envies de toujours Viens fouler l’herbe tendre, de mes lèvres Tes baisers se font attendre, et j’en crève Laisse fleurir tes mains sur mon corps Je ne veux aucun frein à nos accords à nos accords Ma peau est un champs, caressé par la vie Je t’aime au gré du vent, au berceau de nos nuits Mon coeur est une terre, un horizon fertile, Mais loin de ta lumière, il jaunit, inutile Vient fouler l’herbe tendre de mes lèvres Tes baisers se font attendre, et j’en crève Laisse fleurir tes mains sur mon corps Je ne veux aucun frein à nos accords Viens, prends tout l’espace Je te laisse le champs libre Tu hésites, tu m’agaces Je te sens dans mes fibres Trouves enfin l’audace D’être celui qui vibre Profond ou en surface Profond ou en surface Tu es mon équilibre Viens fouler l’herbe tendre de mes lèvres Tes baisers se font attendre, et j’en crève Laisse fleurir tes mains sur mon corps Je ne veux aucun frein à nos accords

Comme un refrain de folie.............. Tantôt le…

27 Aug 2010 3 2 248
! Mon cœur est un violon Sur lequel ton archet joue Et qui vibre tout du long Appuyé contre ta joue Tantôt l'air est vif et gai Comme un refrain de folie Tantôt le son fatigué Traîne avec mélancolie Dans la nuit qui s'achève Mon cœur est plein de toi La musique est un rêve Qui vibre sous tes doigts Sous tes doigts la caresse Rend mon désir si fort Qu'il va jusqu'à l'ivresse Et meurt à la fin de l'accord Mon cœur est un violon Sur lequel ton archet joue Et qui vibre tout du long Appuyé contre ta joue (1) Tantôt l'air est vif et gai Comme un refrain de folie Tantôt le son fatigué Traîne avec mélancolie Et vibrant à l'unisson Mon cœur est un violon...

Des rouges éclatants, des soleils éclatés.........…

10 Mar 2011 4 3 323
Pour ne plus, jamais plus, vous parler de la pluie, Plus jamais du ciel lourd, jamais des matins gris, Je suis sortie des brumes et je me suis enfuie, Sous des ciels plus légers, pays de paradis, Oh, que j'aurais voulu vous ramener ce soir, Des mers en furie, des musiques barbares, Des chants heureux, des rires qui résonnent bizarres, Et vous feraient le bruit d'un heureux tintamarre, Des coquillages blancs et des cailloux salés, Qui roulent sous les vagues, mille fois ramenés, Des rouges éclatants, des soleils éclatés, Dont le feu brûlerait d'éternels étés, Mais j'ai tout essayé, J'ai fait semblant de croire, Et je reviens de loin, Et mon soleil est noir, Mais j'ai tout essayé, Et vous pouvez me croire, Je reviens fatiguée, Et j'ai le désespoir, Légère, si légère, j'allais court vêtue, Je faisais mon affaire du premier venu, Et c'était le repos, l'heure de nonchalance, A bouche que veux-tu, et j'entrais dans la danse, J'ai appris le banjo sur des airs de guitare, J'ai frissonné du dos, j'ai oublié Mozart, Enfin j'allais pouvoir enfin vous revenir, Avec l'œil alangui, vague de souvenirs, Et j'étais l'ouragan et la rage de vivre, Et j'étais le torrent et la force de vivre, J'ai aimé, j'ai brûlé, rattrapé mon retard, Que la vie était belle et folle mon histoire, Mais la terre s'est ouverte, Là-bas, quelque part, Mais la terre s'est ouverte, Et le soleil est noir, Des hommes sont murés, Tout là-bas, quelque part, Les hommes sont murés, Et c'est le désespoir, J'ai conjuré le sort, j'ai recherché l'oubli, J'ai refusé la mort, j'ai rejeté l'ennui, Et j'ai serré les poings pour m'ordonner de croire, Que la vie était belle, fascinant le hasard, Qui me menait ici, ailleurs ou autre part, Où la fleur était rouge, où le sable était blond, Où le bruit de la mer était une chanson, Oui, le bruit de la mer était une chanson, Mais un enfant est mort, Là-bas, quelque part, Mais un enfant est mort, Et le soleil est noir, J'entends le glas qui sonne, Tout là-bas, quelque part, J'entends le glas sonner, Et c'est le désespoir, Je ne ramène rien, je suis écartelée, Je vous reviens ce soir, le cœur égratigné, Car, de les regarder, de les entendre vivre, Avec eux j'ai eu mal, avec aux j'étais ivre, Je ne ramène rien, je reviens solitaire, Du bout de ce voyage au-delà des frontières, Est-il un coin de terre où rien ne se déchire, Et que faut-il donc faire, pouvez-vous me le dire, S'il faut aller plus loin pour effacer vos larmes, Et si je pouvais, seule, faire taire les armes, Je jure que, demain, je reprends l'aventure, Pour que cessent à jamais toutes ces déchirures, Je veux bien essayer, Et je veux bien y croire, Mais je suis fatiguée, Et mon soleil est noir, Pardon de vous le dire, Mais je reviens ce soir, Le cœur égratigné, Et j'ai le désespoir, Le cœur égratigné, Et j'ai le désespoir..