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avec toi
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Moi, si j'étais un homme, je serais capitaine
D'un bateau vert et blanc,
D'une élégance rare et plus fort que l'ébène
Pour les trop mauvais temps.
Je t'emmènerais en voyage
Voir les plus beaux pays du monde.
J' te ferais l'amour sur la plage
En savourant chaque seconde
Où mon corps engourdi s'enflamme
Jusqu'à s'endormir dans tes bras,
Mais je suis femme et, quand on est femme,
On ne dit pas ces choses-là.
Je t'offrirais de beaux bijoux,
Des fleurs pour ton appartement,
Des parfums à vous rendre fou
Et, juste à côté de Milan,
Dans une ville qu'on appelle Bergame,
Je te ferais construire une villa,
Mais je suis femme et, quand on est femme,
On n'achète pas ces choses-là.
Il faut dire que les temps ont changé.
De nos jours, c'est chacun pour soi.
Ces histoires d'amour démodées
N'arrivent qu'au cinéma.
On devient économe.
C'est dommage : moi j'aurais bien aimé
Un peu plus d'humour et de tendresse.
Si les hommes n'étaient pas si pressés
De prendre maîtresse...
Ah ! si j'étais un homme !
Je t'appellerais tous les jours
Rien que pour entendre ta voix.
Je t'appellerais "mon amour",
Insisterais pour qu'on se voie
Et t'inventerais un programme
À l'allure d'un soir de gala,
Mais je suis femme et, quand on est femme,
Ces choses-là ne se font pas.
Il faut dire que les temps ont changé.
De nos jours, c'est chacun pour soi.
Ces histoires d'amour démodées
N'arrivent qu'au cinéma.
On devient économe.
C'est dommage, moi j'aurais bien aimé
Un peu plus d'humour et de tendresse.
Si les hommes n'étaient pas si pressés
De prendre maîtresse...
Ah ! si j'étais un homme,
Je serais romantique...
Nous
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!Tes yeux sont si profonds qu'en me penchant pour boire
J'ai vu tous les soleils y venir se mirer
S'y jeter à mourir tous les désespérés
Tes yeux sont si profonds que j'y perds la mémoire
À l'ombre des oiseaux c'est l'océan troublé
Puis le beau temps soudain se lève et tes yeux changent
L'été taille la nue au tablier des anges
Le ciel n'est jamais bleu comme il l'est sur les blés
Les vents chassent en vain les chagrins de l'azur
Tes yeux plus clairs que lui lorsqu'une larme y luit
Tes yeux rendent jaloux le ciel d'après la pluie
Le verre n'est jamais si bleu qu'à sa brisure
Mère des Sept douleurs ô lumière mouillée
Sept glaives ont percé le prisme des couleurs
Le jour est plus poignant qui point entre les pleurs
L'iris troué de noir plus bleu d'être endeuillé
Tes yeux dans le malheur ouvrent la double brèche
Par où se reproduit le miracle des Rois
Lorsque le coeur battant ils virent tous les trois
Le manteau de Marie accroché dans la crèche
Une bouche suffit au mois de Mai des mots
Pour toutes les chansons et pour tous les hélas
Trop peu d'un firmament pour des millions d'astres
Il leur fallait tes yeux et leurs secrets gémeaux
L'enfant accaparé par les belles images
Écarquille les siens moins démesurément
Quand tu fais les grands yeux je ne sais si tu mens
On dirait que l'averse ouvre des fleurs sauvages
Cachent-ils des éclairs dans cette lavande où
Des insectes défont leurs amours violentes
Je suis pris au filet des étoiles filantes
Comme un marin qui meurt en mer en plein mois d'août
J'ai retiré ce radium de la pechblende
Et j'ai brûlé mes doigts à ce feu défendu
Ô paradis cent fois retrouvé reperdu
Tes yeux sont mon Pérou ma Golconde mes Indes
Il advint qu'un beau soir l'univers se brisa
Sur des récifs que les naufrageurs enflammèrent
Moi je voyais briller au-dessus de la mer
Les yeux d'Elsa les yeux d'Elsa les yeux d'Elsa
Aragon, Les Yeux d'Elsa
bulles
Manège
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Oui ma vie c'est un manège
Toutes choses passent, vont et reviennent
Oui ma vie c'est un manège
Comme une chanson c'est le temps qui l'entraîne
Surtout n'allez pas croire
Quand un amour s'en va qu'il sera le dernier
Car ma vie c'est un manège
Qui ne cessera jamais de tourner
Oui ma vie c'est un manège
Et je peux être Margot ou princesse
Oui ma vie c'est un manège
Je peux être douce et tendre ou bien tigresse
À la fois femme et fille
Je n'ai que le visage de l'instant qui vient
Car ma vie c'est un manège
Et mon Dieu que ce manège tourne bien
Parfois c'est vrai je suis trop libre
Et je n'entends pas la raison
Je marche sur un jeu de quilles
Mais je veux bien être captive
De qui fait des quatre saisons
Un monde qui chante et qui brille
Qui chante et brille
Oui ma vie c'est un manège
Mas amours passent, vont et reviennent
Oui ma vie c'est un manège
Comme une chanson c'est le temps qui l'entraîne
Et j'ai dans la mémoire
Un vrai calendrier ne fête rien qu'à moi
Car ma vie c'est un manège
Qui sans cesse tourne, tourne et tournera
Ma vie c'est un manège
Mes amours passent, vont et reviennent
Car ma vie c'est un manège
Comme une chanson c'est le temps qui l'entraîne
Oui ma vie c'est un manège
ba da ba ......
Clair de Lune
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Un champ d'étoiles pour clocher,
Quatre maisons, l'une après l'une,
Jouant dans l'ombre à chat perché,
C'est Mon village au clair de lune.
Au-dessus d'elles, tout poudreux,
Le vieux moulin de la commune,
Plein de murmures d'amoureux,
C'est Mon village au clair de lune.
C'est là qu'un soir, bien doucement,
Derrière un mur fleurant le grain,
J'ai connu mon premier serment,
Et trouvé mon premier chagrin.
Aussi, de tous mes souvenirs
Faits de bonheurs ou d'infortunes,
Le plus fidèle à revenir,
C'est Mon village au clair de lune.
Aussi, de tous mes souvenirs
Faits de bonheurs ou d'infortunes,
Le plus fidèle à revenir,
!
fleur de coeur
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!
J'ai laissé dans une mandarine
Une coquille de noix bleu marine
Un morceau de mon cur et une voile
Planqués sous le vent tropical
Dans un pays sucré doucement
J' suis né dans le gris par accident
Dans mes tiroirs dans mon sommeil
Jolie Doudou sous le soleil
J'ai laissé sur une planisphère
Entre Capricorne et Cancer
Des points entourés d'eau des îles
Une fille au corps immobile
Mais pour bien la biguine danser
Faudrait ma peau ta peau toucher
T' es loin t' es tellement loin de moi
Qu' la biguine j' la danse pas.
{Refrain:}
J'ai le cur grenadine oh...
J'ai le cur grenadine
Pas de soleil sur ma peau
J'en passe j'en passe j'en passe des nuits des nuits
Des nuits à caresser du papier
Des lettres de toi
Mais le papier c'est pas 1' pied
Je voudrais tellement tellement tellement tellement être là-bas
Avec toi.
A cinq mille milles derrière la mer
Des traces de sel sur tes paupières
Tourmenté tout mouillé ton corps
Pense à moi à moi très fort
Mais pour bien la journée dormir
Faudrait toute la nuit du plaisir
T' es loin, t' es tellement loin de moi
Du plaisir j'en ai pas.
{Refrain}
Dans un pays sucré doucement
J' suis né dans le gris par accident
Tout mon cur est resté là-bas
Dans ce pays que j' connais pas.
trio purple GeoKris De chasser nos peut-être D'ex…
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!
On a tous besoin un jour
De se battre par amour
Et si l'on survit à nos rêves
Ils nous suivent pour toujours
On a tous besoin parfois
De parler à quelqu'un
De chasser nos peut-être
D'exister sans paraître
Et croire en demain
Et j'ai recompté les fois
Où j'ai rêvé et espéré
Ne plus être seule au monde
Et que quelque part on m'attendait
refrain
Et si l'on survit à nos rêves
A nos peines à jamais
Aux limites du ciel quelque part
Je t'attend si tu es prêt
Et je puiserai dans ton regard
Les façons de t'aimer
Plus fort qu'il n'apparaîtra
Plus beau comme un combat
Pour la liberté
Et à l'ombre de ton corps
J'oublierai enfin tout ce que je sais
Pour chasser de nos coeurs
Ce qui nous blesse encore
Et qui disparaît
refrain
Et survive à nos rêves à jamais....
Le chemin des roses
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!Des yeux qui font baiser les miens,
Un rire qui se perd sur sa bouche,
Voila le portrait sans retouche
De l'homme auquel j'appartiens
Quand il me prend dans ses bras
Il me parle tout bas,
Je vois la vie en rose.
Il me dit des mots d'amour,
Des mots de tous les jours,
Et ca me fait quelque chose.
Il est entre dans mon coeur
Une part de bonheur
Dont je connais la cause.
C'est lui pour moi. Moi pour lui
Dans la vie,
Il me l'a dit, l'a jure pour la vie.
Et des que je l'apercois
Alors je sens en moi
Mon coeur qui bat
Des nuits d'amour a ne plus en finir
Un grand bonheur qui prend sa place
Des enuis des chagrins, des phases
Heureux, heureux a en mourir.
Quand il me prend dans ses bras
Il me parle tout bas,
Je vois la vie en rose.
Il me dit des mots d'amour,
Des mots de tous les jours,
Et ca me fait quelque chose.
Il est entre dans mon coeur
Une part de bonheur
Dont je connais la cause.
C'est toi pour moi. Moi pour toi
Dans la vie,
Il me l'a dit, l'a jure pour la vie.
Et des que je l'apercois
Alors je sens en moi
Mon coeur qui bat
Il n'y aurait pas de mot Assez grand assez beau Ma…
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Découvrez !
Tu te lèves un jour de bonne heure
Tu regardes éclore une fleur
Tout en toi te dit
Qu'elle est belle la vie
Ebouli par tant de splendeur
Qui ne dure qu'un jour
Ou une heure
Tu te dis
Ma vie mais mais qu'est-ce qu'elle vaut ma vie
Un désir d'aimer
Tout à coup t'envahir
Et te donne envie
Envie de t'envoler
S'il fallait donner un nom
A cette sensation
Qui te fait grimper
Jusqu'au sommet du monde
Il n'y aurait pas de mot
Assez grand assez beau
Mais si c'était ça le bonheur
Mais si c'était ça le bonheur
Mais si c'était ça le bonheur
Tout simplement
Tout simplement
Ecoute la chanson de ton coeur
Ta voix s'ouvrira
Comme une fleur
Et tu comprendras
Que chanter c'est ta vie
Et un jour l'amour
Te prendra dans ses bras
Alors tu sauras
Ce qu'elle vaut ta vie
S'il fallait donner un nom
A cette pulsation
Qui te fait chanter
Jusqu'au plus haut des ondes
Il n'y aurait pas de mot
Assez grand assez beau
Mais si c'était ça le bonheur
Mais si c'était ça le bonheur
Mais si c'était ça le bonheur
Tout simplement
S'il fallait donner un nom
A cette sensation
Qui te fait grimper
Jusqu'au sommet du monde
Il n'y aurait pas de mot
Assez grand assez beau
Mais si c'était ça le bonheur
Oui si c'était ça le bonheur
Si c'était ça le bonheur
Tout simplement
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Là bas
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!
Au bout de tellement de frontières
J’ai passé le rideau de fer
Me voilà entre terre et mer
Beauté et misère
J’entends monter du fond d’un bar
La nostalgie rebelle d’une guitare
Les carrés de la moustiquaire découpe dans la lumière
Les couleurs de l’air
Et la vie est belle, Vu De Là-Bas
Tellement près du ciel, Vu De Là-Bas
la vie est légère, Vu De Là-Bas
Même si je sais qu’elle ne l’est pas
Dans la rue des maisons de bois
Des limousines aux formes longues
Des gens qui sourient et qui dansent pour changer le monde
Ne change pas
Et la vie est belle, Vu De Là-Bas
Tellement près du ciel, Vu De Là-Bas
la vie est légère, Vu De Là-Bas
Même si je sais qu’elle ne l’est pas
Est-ce qu’il y aura d’autres îles ?
Un peu plus près du paradis
Je vois et pourtant j’ai envie
D’aimer encore ce pays
Et la vie est belle, Vu De Là-Bas
Tellement près du ciel, Vu De Là-Bas
la vie est légère, Vu De Là-Bas
Même si je sais qu’elle ne l’est pas
La vie sera belle, Vu De Là-Bas
Tellement près du ciel, Vu De Là-Bas
Si douce et légère, Vu De Là-Bas
Même si jamais elle ne le sera
Même si jamais elle ne le sera
je m'envol
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!
J' m'envole, tu as dit : J' m'envole
J' vous abandonne
J' décolle, j' quitte la scène, j' décolle
Y avait maldonne
Tout est si beau vu d'en haut
Tout est si bleu vu des cieux
Tu nous as dit : J' m'envole
J' quitte la Terre, j' m'envole
J' vous abandonne
J'agite mes hélices, délice
J' desserre les vis
J'ai plus envie d' faire semblant
De courir après le temps
{Refrain:}
J' m'ennuierai de vous
Mais pas des clous
Ni des gourous
Qu'on nous met partout
J' m'ennuierai de toi
Mais pas des croix
Ni des jeux d' lois
Qui font marcher droit
Je prends de l'altitude
Je décolle
Je m'envole
Plus haut et plus loin
Tu nous as dit : J' m'envole
J' quitte la Terre, j' m'envole
J' vous abandonne
J' prends l'air
J' suis léger, j' prends l'air
Je fais l'oiseau
Tout est si simple quand on grimpe
Tout est si p'tit, vu d'ici
Résurgence Un peu de soleil pour illuminer la gris…
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!
Où tu me mènes, dis
Où tu me mènes,
Où tu m'entraînes, dis,
Où tu m'entraînes,
Je sens je tombe, dis,
Je sens je tombe
Mais que c'est bon, dis,
Mais que c'est bon.
J'ai un peu peur, dis,
J'ai un peu peur,
Est-ce mon cœur, dis,
Est-ce mon cœur,
Qui se découvre, dis,
Qui se découvre,
Ou bien mon corps
Qui ne sait plus,
Qui ne sait plus.
Que tu es douce, dis,
Que tu es douce,
Comme une mousse, dis,
Comme une mousse,
Mais que tu trembles, dis,
Mais que je tremble,
C'est pas de froid, dis,
Non, pas de froid,
De toi.
Comme je t'aime, dis,
Comme je t'aime
Comme tu m'aimes, dis,
Comme tu m'aimes,
On se découvre, dis,
Je me découvre,
Je n'ai plus peur,
Je n'ai plus peur,
De moi.
Du fond de la mémoire
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!
Je regarde ces êtres masqués autour de moi
Qui sont-ils ? Que me veulent-ils ?
Que font-ils autour de mon corps inerte ?
De ma hauteur je peux contempler
Le sang et la haine de ce qui fut jadis
Mon corps et ma vie.
Je sens une force en moi
Me guider ailleurs, loin de ce monde
Par delà cette chair, par delà cette ombre.
Cet esprit rayonnant en face de moi
M'attire et m'enveloppe
Comme si je ne pouvais y réchapper.
C'est ma destiné qui m'appelle,
La fin de toute chose
Et le commencement d'une autre.
Mais soudain tout s'assombrit.
Et les tambours de nouveau retentirent
Comme Pour marquer mon retour à la mort
Je ne voulais pourtant pas revenir
Et tout est à recommencer
Pourquoi m'avez-vous remené ?
Je vous déteste.
Aux étoiles....
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!
J'ai chanté aux étoiles mon amour pour toi
Et j'ai fait le calcul
Ma voix leur parviendra dans 3 milliards d'années
Surement elles vont s'éteindre
De n'avoir pu t'aimer car moi seul peut t'étreindre
A ton seul souvenir mon bonheur perle en larmes
Et s'en va, dévalés en cascades et vacarmes
Si la ville panique
Ca n'est que d'ignorer que mille torrents d'amour s'en viennent l'abreuver
Qu'on me redise un jour que l'amour n'a qu'un temps
Tant que courera le temps, je t'aimerai autant
T'en fais pas mon amour
Laissons le défiler
Il est temps de s'étendre pour mieux le défier
J'ai voulu voir du beau ailleurs que sur ton corps
Mais mes yeux sans repos doivent fouiller encore
Je n'ai d'autre sommeil que dormir sur ton ventre
Je n'ai d'autres folies que rentrer dans ton antre
j'ai le coeur qui pense et le tête qui pompe
Bonheur d'etre a l'envers là, raison qui s'estompe quand
Quand de tes doigts glacés tu me brûles la peau
Quand dans tes petits bras je couche en un chateau
Et qu'on me redise un jour que l'amour n'a qu'un temps, nan,
tant que courera le temps je t'aimerai autant
T'en fais pas mon amour
Laissons le défiler il est temps de s'étendre
Pour mieux le défier
S'agit pas d's'en aller sinon qui va m'aider ?
Me dire qu'il faut manger puis aussi respirer
Je ne sais plus rien faire que de penser à toi
Nan c'est vrai, j'exagère, je veux parler de toi
Tu t'es offerte à moi et j'ai gagné ma mort
Ma même, ma pareil
Me voilà couvert d'or pour te dire que je t'aime
J'ai dû en faire des couches
A ton prochain sourire j'en rajouterai trois louches
Et qu'on me redise un jour l'amour n'a qu'un temps
Nan, tant que courra le temps je t'aimerai autant
T'en fais pas mon amour
Laissons le défiler il est temps de s'étendre
Pour mieux le défier
Fluorescence
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Je ne sais pas son prénom
Mais je sais qu'elle m'a dit non
Elle était sous le lilas
De sa villa
Ce soir comment te le dire
Bien sûr tu vas me maudire
Mais je l'aime et je t'aime
Quand-méme
J'ai le cœur trop grand pour moi
Elle s'appelle Jeanne je crois
Oui, c'est ça...
Dans toutes vos différences
Il n'est qu'une ressemblance
C'est cet amour flou
Que j'ai pour vous
Oh je t'aime
Oh je l'aime
Vous êtes la tourmente
De mon âme violente
Je vous aime
Je vous aime
Je ne suis pas homme à femmes
Dans ma vie la solitude
Si souvent, souvent
A pris ses habitudes
Je serais plutôt de ceux
Qui parlent en baissant les yeux
Et qui disent encore madame aux dames
J'ai le cœur trop grand pour moi
Il bat trop fort pour toi
Oui, c'est ça
Et les larmes me désarment
Mais son rire me fait souffrir
Et je pars ce soir pour le hasard
Oh je t'aime
Oh je l'aime
Vous êtes la tourmente
De mon âme violente
Je vous aime
Je vous aime
C'est cet amour flou
Que j'ai pour vous
Du fond de la mémoire
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B: Ils m'ont arrêté une nuit
ou le froid jouait du rasoir
Rue de Flandres, loin du pays
Entre le crack et le poignard
Question de peau-question de veine et de couleur
T: Je me suis planqué comme un rennard
Train d'atterisage d'un avion
Dans le container d'un baqnaud
dans la chambre à air d'un camion
Question de peau-question de veine et de couleur
Refrain: Arriver, au fond des corridors
Travailler au noir jusqu'à la mort
Clandestins, traqués par la police
Silencieux au bord du précipice
B:C'est à fleur de peau qu'on explique la forêt sanglante et l'horreur
T:Si Charles taylor c'est l'Afrique, vaut mieux annoncer la couleur
Question de peau-question de veine et de malheur
Musique et musiciens d'Afrique-faut voir l'immigration des blancs
On peut crever, c'est très ethnique, avec l'extrême onction des grands
Question de peau-question de veine et de couleur
Question de trop-question de chance-marge d'erreur
Refrain: Arriver, au fond des corridors
Travailler au noir jusqu'à la mort
Clandestins, traqués par la police
Silencieux au bord du précipice
Explosion de lumière .....
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