Rouge
Folder: Créations
Rouge est le feu
Mais qu'est ce que je fous là!!!!
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Découvrez !
Mais qu'est ce que je fous là
Je sombre au fond de toi
Quelle heure est t-il et quel feu me noie
Fait-il noir ou clair, je n'sais pas
Ma peau se colle au rouge de ton sang qui bouge
Et qui coule vers moi
Je danse et je me bats
Et j'enroule mes chevilles autour de toi
Mes jambes se plient
Je contourne tes hanches
Sur mes reins se joue ta revanche
Je prie en vain mais toi tu rie, une soif s'assouvit
Je danse ou je me bats
Je n'sais pas, je n'sais pas
Tango mi amor
Tu me fais mal et mon sort
Est le bien qui me dévore
Quand mon corps se tord
Tango mi amor
Animal ou matador
L'un de nous deux est le plus fort
Quand mon corps se tord
Mais le doute s'installe
Je me sens comme en cavale
La vie me pousse dans la course
Mon corps qui te repousse
Tes gestes me rappellent que tu n'as pas sur moi
Le droit que je te dois, je danse et je me bats
Mais comment dire à qui, à quoi, à qui je suis
Quand de n'appartenir qu'à toi est le défi
Et si je te disais qu'il n'y a pas que toi
Je danse et tu te bats
Je danse et tu te bats
Tango mi amor
Tu me fais mal et mon sort
Est le bien qui me dévore
Quand mon corps se tord
Tango mi amor
Animal ou matador
L'un de nous deux est le plus fort
Tango mi amor
Tango mon corps
Ne t'appartient pas encore
Et si mon âme s'en sort
Mon corps, lui, se tord
Envolée
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Découvrez !
Minuit se lève en haut des tours
Les voix se taisent et tout devient aveugle et sourd
La nuit camoufle pour quelques heures
La zone sale et les épaves et la laideur
J'ai pas choisi de naître ici
Entre l'ignorance et la violence et l'ennui
J'm'en sortirai, j'me le promets
Et s'il le faut, j'emploierai des moyens légaux
Envole-moi ...
Loin de cette fatalité qui colle à ma peau
Envole-moi ...
Remplis ma tête d'autres horizons, d'autres mots
Envole-moi
Pas de question ni rébellion
Règles du jeu fixées mais les dés sont pipés
L'hiver est glace, l'été est feu
Ici, y'a jamais de saison pour être mieux
J'ai pas choisi de vivre ici
Entre la soumission, la peur ou l'abandon
J'm'en sortirai, je te le jure
A coup de livres, je franchirai tous ces murs
Envole-moi ...
Loin de cette fatalité qui colle à ma peau
Envole-moi ...
Remplis ma tête d'autres horizons, d'autres mots
Envole-moi
Me laisse pas là, emmène-moi, envole-moi
Croiser d'autres yeux qui ne se résignent pas
Envole-moi, tire-moi de là
Montre-moi ces autres vies que je ne sais pas
Envole-moi ...
Regarde moi bien, je ne laur ressemble pas
Me laisse pas là, envole-moi
Avec ou sans toi, je n'finirai pas comme ça
Envole-moi, envole-moi, envole-moi ...
Symphonie
ROUGE.....
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Rouge
Comme un soleil couchant
De Méditerranée
Rouge
Comme le vin de Bordeaux
Dans ma tête étoilée
Rouge
Comme le sang de Rimbaud
Coulant sur un cahier
Rouge
Comme la mer qui recouvre
Le désert de Judée
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Rouge
Comme les joues d'un enfant
Quand il a trop joué
Rouge
Comme la pomme qui te donne
Le parfum du péché
Rouge
Comme le feu du volcan
Qui va se réveiller
Rouge
Comme cette étoile au cœur
De ce dormeur couché
Refrain
Comme un oiseau tué
Par un chasseur tragique
Comme un acteur blessé
Par les cris du public
Comme un violon brisé
Qui rejoue l'Héroïque
Comme la vision glacée
Du dernier Titanic
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Rouge
Comme le feu des Tziganes
Quand les violons s'affolent
Rouge
Comme un phare de signal
Quand un avion s'envole
Rouge
Comme les lèvres d'une femme
Quand l'amour la rend folle
Rouge
Comme le front du menteur
Qui trahit sur parole
Refrain
Comme un oiseau tué
Par un chasseur tragique
Comme un acteur blessé
Par les cris du public
Comme un violon brisé
Qui rejoue l'Héroïque
Comme la vision glacée
Du dernier Titanic
Comme le silence qui suit
Les paroles en musique
Comme une symphonie
Quand elle est Pathétique
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Rouge
Comme la colère d'un homme
Quand il voit s'en aller
Rouge
Tout ce qu'il a construit
Tout ce qu'il a aimé
Rouge
Comme le manteau du Christ
Que des soldats ont joué
Rouge
Comme la couleur du ciel
Quand il va s'écrouler
Refrain
Comme un oiseau tué
Par un chasseur tragique
Comme un acteur blessé
Par les cris du public
Comme un violon brisé
Qui rejoue l'Héroïque
Comme la vision glacée
Du dernier Titanic
Comme le silence qui suit
Les paroles en musique
Comme une symphonie
Quand elle Pathétique
Refrain
Comme un oiseau tué
Par un chasseur tragique
Comme un acteur blessé
Par les cris du public
Comme un violon brisé
Qui rejoue l'Héroïque
Comme la vision glacée
Du dernier Titanic
Comme le silence qui suit
Les paroles en musique
Comme une symphonie
Quand elle est Pathétique
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Viens graver ton chemin
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Découvrez !
Mets tes mots sur mes lèvres
Et ta main sur mon cœur
Écris ta vie sur moi
Tes rêves sur ma peau
Comme un frisson sur l'eau
Qui n'en finirait pas
Accroche tes jours à mes nuits
Comme un soleil à mon ennui
Une autre vie qui recommence
Ouvre les pages de mon enfance
Et, de ta plus belle écriture,
Écris l'amour sur mes blessures
Viens graver ton chemin
Dans le creux de ma main
Je guiderai tes doigts
Viens broder ta mémoire
Au fil de mon histoire
Écris ta vie sur moi
{x2:}
Avant que le temps nous emporte
Vers d'autres peaux, vers d'autres portes
Je veux rêver d'un avenir
Je veux graver ton souvenir
Sur tout mon corps, de tout mon être
T'appartenir et te connaître
Et puis mourir et puis renaître
Je suis un livre ouvert
Un histoire à refaire
Écris ta vie sur moi
Reflet
En rouge et noir, j'afficherai mon cœur ; En échan…
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Si l'on m'avait conseillée,
J'aurais commis moins d'erreurs,
J'aurais su me rassurer,
Toutes les fois que j'ai eu peur,
Je me serais blottie au chaud,
A l'abri d'un vent trop fier,
Et j'aurais soigné ma peau,
Blessée par les froids d'hivers,
J'aurais mis de la couleur,
Sur mes joues et sur mes lèvres,
Je serais devenue jolie.
J'ai construit tant de châteaux,
Qui se réduisaient en sable,
J'ai prononcé tant de noms,
Qui n'avaient aucun visage,
Trop longtemps je n'ai respiré
Autre chose que de la poussière,
Je n'ai pas su me calmer,
Chaque fois que je manquais d'air,
Mes yeux ne veulent plus jouer,
Se maquillent d'indifférence,
Je renie mon innocence.
En rouge et noir, j'exilerai ma peur ;
J'irai plus haut que ces montagnes de douleur,
En rouge et noir, j'afficherai mon cœur ;
En échange d'une trêve de douceur,
En rouge et noir, mes luttes mes faiblesses,
Je les connais, je voudrais tellement qu'elles s'arrêtent ;
En rouge et noir, drapeau de mes colères,
Je réclame un peu de tendresse.
Si l'on m'avait conseillée,
Tout serait si différent,
J'aurais su vous pardonner,
Je serais moins seule à présent,
Somnambule j'ai trop couru,
Dans le noir des grandes forêts,
Je me suis souvent perdue,
Dans des mensonges qui tuaient,
J'ai raté mon premier rôle,
Je jouerai mieux le deuxième,
Je veux que la nuit s'achève.
Aie me vida, me via me via
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Avec toi il faudrait toujours vivre
La passionnata, la passionnata, la passionnata
Avec toi il faudrait toujours jouer
La co-co-mé, la comé, comé, comédia
Tu voudrais que je sois espagnol
Que je chante en fa en sol
Tous les airs de Flamenco
Tu voudrais que j'ai un habit d'or
Le regard de matador
De Rudolf Valentino
Avec toi il faudrait toujours dire
Aie me qué, aie me quérida
Avec toi il faudrait toujours dire
Aie me vida, me via me via
Tu voudrais que je sois Andalou
Que je tombe à tes genoux
Avec une corde au cou
Tu voudrais que je sois riche et beau
Racé comme un hidalgo
Qui n'a pas peur des taureaux
[refrain]
Mais je suis né Porte des Lilas
Et j'ai la passionnata sur les fortifications
Je n'ai pas de château en Espagne
Mes pays sont de cocagne
Je travaille chez Renault
Olé ! Renault !
Nuées
Vois déja mes couleurs se fanent Solitude, ennui,…
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Je suis une petite fleur malade
malade parce que personne me regarde
Meme les orties sont plus jolis
Aux yeux des promeneurs
D'ici ou ailleurs
Je suis une petite fleur fragile
Qui rêve d'elire domicile
Dans une mèche de tes ch'veux blonds
boucles claires de ton front
Ne me dis pas non
Emilie jolie, cueille moi je t'en pris
Je t'en pris , je t'en supplie
Je veux pas finir sous les feuilles
Comme linceuil
Ou sechée dans un porte feuille
Vois déja mes couleurs se fanent
Solitude, ennui, vague à l'âme
Plus l'temps de rien, dans ce jardin
Car meme si je suis sage
Mon printemps n'est qu'un passage
Emilie jolie, cueille moi je t'en prie
Je t'en prie, je t'en supplie
Je veux pas finir sous les feuilles
Comme linceuil
Ou sechée dans un porte feuille
Maman bleuet, papa coquelicot
J'ai perdu leurs pistes
Alors cueille cette petite fleur triste
Je suis une petite fleur inquiéte
L'automne et l'hiver me guette
Et je me lasse du temps qui passe
De ma vie qui s'en va
Ne pars pas sans moi
Emilie jolie, cueille moi je t'en prie
Je t'en prie , je t'en supplie
Grâce à toi, je serais seule mmmh ma belle
Qui aura la vie éternelle ?
Maman bleuet, papa coquelicot
J'ai perdu leurs pistes
Alors cueille cette petite fleur triste
Ce que je veux ? Une carafe d'eau glacée. Rien de…
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Ce que je veux ? Une carafe d'eau glacée.
Rien de plus. Nuit et jour, cette eau, dans ma pensée,
Ruisselle doucement comme d'une fontaine.
Elle est blanche, elle est bleue à force d'être fraîche.
Elle vient de la source ou d'une cruche pleine.
Elle a cet argent flou qui duvète les pêches.
Elle est de givre fin, de brouillard, de rosée,
Au cœur de la carafe, elle rit. Elle perle
Sur son ventre poli, comme une sueur gaie.
En mille petits flots, pour rien, elle déferle,
Jaillit de chaque vasque en gerbes irisées.
Ce que je veux ? Une carafe d'eau glacée.
Rien de plus. Nuit et jour, cette eau, dans ma pensée,
Ruisselle doucement comme d'une fontaine.
Elle danse au plafond, se complaît dans la glace,
Frappe aux carreaux avec la pluie. Ah ! Ces cascades...
C'est le Niagara, vert bleu, vert Nil, vert jade,
C'est l'eau miraculeuse en un fleuve de grâce ;
Toute l'eau des névés, des lacs, des mers nordiques,
Toute l'eau du Rocher de Moïse, l'eau pure
D'une oasis perdue au centre de l'Afrique ;
Toute l'eau qui mugit, toute l'eau qui murmure,
Toute l'eau, toute l'eau du ciel et de la terre,
Toute l'eau concentrée au cœur glacé d'un verre !
Je ne demande rien qu'un verre d'eau glacée...
Vous ne voyez donc pas mes doigts brûlants de fièvre,
Mes doigts tendus vers l'eau qui fuit ? Mes pauvres lèvres
Sèches comme une plante à la tige cassée ?
La soif qui me torture est celle des grands sables
Où galope toujours le simoun. Je ne pense
Qu'à ce filet d'eau merveilleuse, intarissable,
Où des poissons heureux circulent. Transparence,
Fraîcheur... Est-il rien d'autre au monde que j'implore ?
Ce que je veux ? Une carafe d'eau glacée.
Rien de plus. Nuit et jour, cette eau, dans ma pensée,
Ruisselle doucement comme d'une fontaine.
Ne puis-je boire au moins comme le pré, l'arbuste,
Le chien de la montagne au fil de l'eau qui court ?
Cette eau... Cette eau, cette eau qui m'échappe toujours...
Ne m'accorderez-vous deux gouttes d'eau glacée ?
Hockety pockety wockety wock ! Abracabra Dabranak…
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!Higitus figitus zomba kazom
On vous demande toute votre attention
Nous faisons les bagages et nous partons
Mais non, mais non, mais non, pas toi
Les livres d'abord
Voyons !
Hockety pockety wockety wock !
Abracabra Dabranak !
Et voilà ainsi plus petits
Vous tiendrez tous dans mon sac
Higitus Figitus Migitus mum !
Prestidigitori-um
Alicafez, balacarez
Malacamez, meripadez
Hockety pockety wockety wock !
_ Arrêtez ! Arrêtez ! Arrêtez !
Sucrier, vous êtes bien trop brutal
Ma théière est déjà assez fêlé
Très bien. Nous recommençons, euh, nous recommençons... Où en-étais-je, petit ?
_ Ah, euh, hockety, pockety ?
_ Ah, oui, oui, c'est ça !
Hockety pockety wockety wock
Ramassons le bric à broc
Higitus figitus migitus mum !
Prestidigitori-um
Higitus figitus migitus mum !
Prestidigitori-um !
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