Petit miracle ..j'ai trouvé les paroles  ...Je t'emmène au ...pays des mots ..  Ecoutez! c'est le texte qui est important!!!

coup de coeur


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le coeur

Petit miracle ..j'ai trouvé les paroles ...Je t'e…

09 Dec 2009 36 36 7377
youtu.be/PUOGwf6Uwzo Découvrez ! Tu n’fais pas l’unanimité dans cette école je te l’accorde, Faut dire que tu l’as bien cherché, t’as semé le trouble et la discorde, Dans la cour de récréation tu sais qu’on ne regarde que toi, Tu fais des représentations, mais au final on n’t'acclame pas, Pourtant on t’en fait des rappels, on te demande d’être celui Qui n’doit pas manquer à l’appel, tant il fait office d’alibi, Tant on se cache derrière lui, et… Quand tu mets ta main dans ma main, et que tes yeux m’appellent au secours, J’ai envie d’te faire des câlins, et d’te chanter des mots d’amour, T’es qu’un enfant, au regard las, que les adultes, n’épargnent pas… C’est vrai qu’à cinq ans et demi, tu n’avais plus rien d’un enfant, T’avais déjà d’la répartie, et tu te montrais insolent, T’as même choqué toutes les maîtresses, la nouvelle s’est propagée vite, Quand un après-midi de sieste, tu leur as proposé du chit, Tu t’ventais d’un père débrouillard, qui pourrait leur en procurer, T’es fier de ce sacré lascar, à la démarche bien assurée, Et qui pourrait t’le reprocher, mais… Quand tu mets ta main dans ma main, et que tes yeux m’appellent au secours, J’ai envie d’te faire des câlins, et d’te chanter des mots d’amour, T’es qu’un enfant, au regard las, que les adultes, n’épargnent pas… Tu es le roi de la bêtise, des coups foireux, des mauvais plans, Et bien souvent tu martyrises à coups de points tes dissidents, Niveau langage tu n’connais qu’ça, t’excelles dans la violence verbale, C’est l’prix à payer quand on a hérité d’un papa brutal, Les coups d’ceinture sur ton visage, sont autant d’scarifications, Symboles des rites de passage vers l’univers d’la soumission, Celui de l’incompréhension, alors… Quand tu mets ta main dans ma main, et que tes yeux m’appellent au secours, J’ai envie d’te faire des câlins, et d’te chanter des mots d’amour, T’es qu’un enfant, au regard las, que les adultes, n’épargnent pas… T’es maltraité par tes parents par le système éducatif, Et dans la salle des enseignants, j’distribuerais bien des gifles, A tous ceux qui n’ont pas compris que ton cartable, c’était ta croix, Et qui plus est ont du mépris pour ta jolie main de Fatma, J’te décerne le prix du courage, la palme d’or de la franchise, Tu s’ras l’premier en haut d’la page de mes souvenirs d’institutrice, Tu s’ras l’premier d’ma liste, parce que… Tous les jours tu me tends une main, si forte et fragile à la fois, Et pour m’assurer que demain sera plus clément avec toi, Je t’emmène au… pays des mots, pour que plus tard, tu te connaisses, Je t’emmène au… pays des mots, pour que plus tard, tu saches, que tu es beau.

Keny Arkana comme une des instauratrices du rap fé…

13 Aug 2015 24 24 2235
youtu.be/RbiswCSGAy0 Découvrez ! Ca pue l’injustice, et la tempête est programmée, Tout va de plus en plus vite, oui la guerre est proclamée, Une guerre glaciale de moins en moins discrète, Qui s’attaque aux plus pauvres, et à ceux qui refusent d’intégrer la disquette, On divise la populace, instaure l’Etat policier, Sors des rangs tu mangeras la matraque de l’officier ! Nouvel Ordre OFFICIEUX, terrorisme OFFICIEL ! "Des gains multiples" pour instaurer la surveillance et la peur, Eteins ta télé, et leurs émissions d’arriérés, Eteins ta télé, avant d’finir complètement aliéné ! Propagande de peur pour une soumission official, Métro boulot dodo, biométrie et fichage ! Hé ! Les rebelles croupissent en taule, Campagne de disparition marketing pour qu’on accepte les puces dans l’corps ! Faut qu’on s’réveille car demain sera pire encore, Les murs s’resserrent y’a de moins en moins d’espace Hé oh !!!! Refrain: Réveillez vous, ils nous ont déclaré la guerre, Réveillez vous, peuple du monde et enfant de la terre, Réveillez vous avant le point de non-retour, On aura besoin de tout le monde tout le monde tout le monde !! Réveillez vous, car demain sera pire encore, Réveillez-vous avant qu’ils nous mettent des puces dans l’corps ! Réveillez vous c’est toutes nos vies qui sont en jeu, Réveillez vous, RE-VEIL-LEZ VOUS ! Ca pue l’injustice, et la tempête est pour bientôt, Peuple aliéné, politiques qui nous mènent en bateau, Terrorisme d’état bien concis, Peuple exploité voué à consommer c’qu’ils construisent, Prisons à ciel ouvert dans le crime et la norme, Quand les frontières deviennent les barricades de la mort ! Méfie toi des miradors, des gardiens du désastre, Méfie toi, car les arrestations deviennent des rafles, Ils condamnent l’exclu, en propageant l’exclusion, Exploitent les plus pauvres avant la case Expulsion ! Font la chasse à l’enfant, des CRS dans les écoles, Wesh les voiles les dérangent mais pas les flics dans les écoles ! Si on était ensemble ils pourraient plus semer le chaos, Nous on croit pas en leur justice nous on croit en celle de Là-haut ! Mon frère, ne perds pas la foi toi qui n’y croit plus, On a besoin de toi, ma sœur on a besoin d’toi Hé oh !!!! Refrain: Réveillez vous, ils nous ont déclaré la guerre, Réveillez vous, peuple du monde et enfant de la terre, Réveillez vous avant le point de non-retour, On aura besoin de tout le monde tout le monde tout le monde !! Réveillez vous, car demain sera pire encore, Réveillez-vous avant qu’ils nous mettent des puces dans l’corps ! Réveillez vous c’est toutes nos vies qui sont en jeu, Réveillez vous, RE-VEIL-LEZ VOUS ! Ca pue l’injustice et la tempête a commencé, Avant même le combat, trop de frères ont renoncé ! Dis moi qu’est ce qu’on attend pour construire sans eux, Que le soleil disparaisse ou que leurs armées soient des clones ?! Energie nucléaire, saccageant la création, Processus établi de déshumanisation, Esprit rempli de subliminal bombardement, Les plus gros médias appartiennent aux usines d’armement ! Alors comprend dans quel monde nous vivons ! Le savoir est une arme à l’heure où ils brevettent le vivant ! La science et la recherche au service de la peur, Car un virus c’est mieux qu’une guerre pour exterminer un peuple ! N’ayons pas peur, ayons confiance en nous même, Même la vie est avec nous Oui la vie est avec nous ! Mon frère, ma sœur on est ensemble, Si Oui on meurt ensemble, allez on a plus l’temps Hé oh !!!! Refrain: Réveillez vous, ils nous ont déclaré la guerre, Réveillez vous, peuple du monde et enfant de la terre, Réveillez vous avant le point de non-retour, On aura besoin de tout le monde tout le monde tout le monde !! Réveillez vous, car demain sera pire encore, Réveillez-vous avant qu’ils nous mettent des puces dans l’corps ! Réveillez vous c’est toutes nos vies qui sont en jeu, Réveillez vous, RE-VEIL-LEZ VOUS ! N’ayons pas peur car nous sommes le monde, le système n’est rien sans nous, à nous de reprendre l’espace public, de récupérer nos rues, de reprendre en main nos quartiers, On nique pas le système en voulant le détruire, on nique le système en construisant sans lui, Alors construisons, reprenons nos vies en mains, car les leurs sont pleins de sang… Echangeons, on a tous quelque chose à apporter à l’autre, Et donnons plus nos compétences qu’à Babylone, Donnez les à la résistance qui t’enroute, On fait tous partie de la solution, N’oublions pas qu’on est le monde, même s’ils ont le chiffre on est plus fort on a le nombre ! Un peuple uni ne sera jamais vaincu. youtu.be/cZT_lCymUGg

PLEURER À L'AUBE...POUR PORTER LE JOUR SUIVANT...

08 Sep 2009 13 11 1449
Remember Découvrez Marc Robine ! Demain, dès l'aube, à l'heure où blanchit la campagne, Je partirai. Vois-tu, je sais que tu m'attends. J'irai par la forêt, j'irai par la montagne. Je ne puis demeurer loin de toi plus longtemps. Je marcherai les yeux fixés sur mes pensées, Sans rien voir au dehors, sans entendre aucun bruit, Seul, inconnu, le dos courbé, les mains croisées, Triste, et le jour pour moi sera comme la nuit. Je ne regarderai ni l'or du soir qui tombe, Ni les voiles au loin descendant vers Harfleur, Et, quand j'arriverai, je mettrai sur ta tombe Un bouquet de houx vert et de bruyère en fleur.

le coeur en chris en t'aime :-)

09 May 2009 8 12 579
youtu.be/VwWoLkMB02s Découvrez ! C'était un soir tranquille Dans les rues de ma ville La lune etait pleine et belle Pourtant j'avais l'coeur en chrysantheme Sur le parvis d'la chapelle Dormaient les hirondelles Au milieu de la nuit J'ai r'garder defiler toute ma vie A m'entendre dechirer la voix Dans ces bistrots A en regarder degobiller mes tripes Pour une bande de poivrots Les lampadaire s'bousculaient Dans le fracas de l'été Les voitures s'en allaient Dans un faux chaos géminé Alors la nuit pris le dessus Offrant ainsi sa vertue Pour mieux me laisser choir Dans un effroyable jeu de mirroirs Où je voyais mes mains encore Jouer si fort Toujours dans le meme decors A noyer mes remords Les ruelles etaient vides Les trottoirs m'tordaient l'bide Et au coin d'une impasse Mes pensées ont commencées leur brasses a**is sur la place du marché Dans l'ciel les etoiles s'détachaient Mon coeur battait plus vite Mes émotions prenaient la fuite Pour m'répéter une derniere fois "Regarde toi" Pour m'expliquer encore une fois "C'est pas pour toi" Le silence aguicheur Qui me pressait le coeur Avait trouvé la faille Dans le chahut de mes représailles Il avait tout compris Lui mon meilleur amis Avec l'aide du vent Il m'a soufflé tout doucement Va donc gueuler dans tous ces bistrots Ces quelques mots Tu verra que le monde est beau Que le monde est beau Même s'il est rempli de badauds Sans opinion Même s'ils s'en font sur ton dos Tous ces patrons Y'a tous ceux qui ont comme toi Besoin de tes mots Que tu t'egosille la voix Pour lacher leur fardeau C'était un soir tranquille Dans les rues de ma ville La lune etait pleine et belle Pourtant j'avais ... le coeur ... en chrysantheme
02 Jun 2009 3 654
Découvrez ! J'ai chanté aux étoiles mon amour pour toi Et j'ai fais le calcul Ma voix leur parviendra dans 3 milliards d'années Surement elles vont s'éteindre De n'avoir pu t'aimer car moi seul peut t'étreindre A ton seul souvenir mon bonheur perle en larmes Et s'en va, dévalés en cascades et vacarmes Si la ville panique Ca n'est que d'ignorer que mille torrents d'amour viennent l'abreuver Qu'on me redise un jour que l'amour n'a qu'un temps Tant que courera l'amour, je t'aimerai autant T'en fais pas mon amour Laissons le défiler Il est temps de s'étendre pour mieux le défier J'ai voulu voir du beau ailleurs que sur ton corps Mais mes yeux sans repos doivent fouiller encore Je n'ai d'autre sommeil que dormir sur ton ventre Je n'ai d'autres folies que rentrer dans ton antre j'ai le coeur qui pense et le tête qui pompe Bonheur d'etre a l'envers là, raison qui s'estompe quand Quand de tes doigts glacés tu me brûles la peau Quand dans tes petits bras je couche un chateau Et qu'on me redise un jour que l'amour n'a qu'un temps, nan, Dans courera le temps je t'aimerai autant T'en fais pas mon amour Laissons le défiler il est temps de s'étendre Pour mieux le défier S'agit pas d's'en aller sinon qui va m'aider ? Me dire qu'il faut manger puis aussi respirer Je ne sais plus rien faire que de penser à toi Nan c'est vrai, j'exagère, je veux parler de toi Tu t'es offerte à moi et j'ai gagné ma mort Ma même, ma pareil Me voilà couvert d'or pour te dire que je t'aime J'ai dû en faire des couches A ton prochain sourire j'en rajouterai trois louches Et qu'on me redise un jour l'amour n'a qu'un temps Nan, tant que courra le temps je t'aimerai autant T'en fais pas mon amour Laissons le défiler il est temps de s'étendre Pour mieux le défier

Au temps où sur Iper on savait rigoler .....Bull l…

12 Sep 2009 40 74 7303
youtu.be/BC6Rsdrs_ms youtu.be/BC6Rsdrs_ms ben oui ...tout d'un coup l'envie de la rereposter ma prise !!!!!!!!! Marguerite !!!!!! m.youtube.com/watch?v=BC6Rsdrs_ms Découvrez Clémentine, Dominique Desmons ! Au premier temps de la vache, Toute seule dans son pré, elle est là, Au premier temps de la vache, Y a l'éleveur, y a la bête et y a moi, Et ma faim qui bat la mesure, La mesure de mon estomac, Et ma faim qui bat la mesure, Mesure aussi mes fins de mois. Une vache à mille francs, Comme ce serait charmant, Comme ce serait charmant Et beaucoup plus tentant Qu'un' vache à deux mille francs, Une vache à mille francs. Une vache à mille francs, F'rait l'filet à cent francs, L'rumsteck à soixante francs, Le gîte à quarante francs, L'aloyau à trente francs, La culotte à vingt francs. Un' culotte à vingt francs, F'rait la côte à quinze francs, La poitrine à douze francs, La bavette à dix francs, Le collier à huit francs, Le jarret à quatre francs. Un jarret à quatre francs, Ce s'rait intéressant Et plus avantageux Pour faire un pot-au-feu Qu'un jarret à mille francs, Un jarret à quatre francs… Au deuxième temps de la vache, C'est à peine si je l'aperçois, Au deuxième temps de la vache, Y a du monde entre la bête et moi. Il y a l'tueur qui passe la mesure, L'transporteur qui lui emboîte le pas, Pendant que l’ ministre nous assure Que la viande de la vache ne monte pas. Une vache à mille francs, En quittant l'Morbihan, Devient chemin faisant Comme par enchant'ment Un' vache à cinq mille francs En arrivant au Mans. Un' vache à cinq mille francs, On ne sait pas comment, Augment' de vingt pour cent En traversant Le Mans, Et d'vient par conséquent Un' vache à six mille francs. Un' vache à six mille francs, C'est bougrement tentant, C'est bougrement tentant Pour les gens d'Orléans D'en faire innocemment Un' vache à dix mille francs. Une vache à dix mille, En sortant de la ville, Pris' dans un tourbillon Devient à Arpajon Par un calcul habile Une vache à vingt mille, Cent mille à Montlhéry, Deux cents à Juvisy, Trois cent mille à Orly, Arrivant à Paris, À la Port' d'Italie La vach' n'a plus de prix. La vache est aux Gobelins Multipliée par vingt, Par deux cent cinquante deux Au carr'four Richelieu, Et par huit cent dix sept En sortant d'La Villette… Au dernier temps de la vache, En rôti, sur l'étal, elle est là, Au dernier temps de la vache, Y a un monde entre sa viande et moi. Et l'Etat, qui prend des mesures, L'Etat qui mesure notre émoi, Et l'Etat qui prend des mesures, Fait monter un peu plus chaque mois. De la vache à cent francs, On en mangeait autant, Autant qu'on en voulait, Et plus qu'il ne fallait, À midi, au dîner, Et dans l'café au lait. D'la vache à cinq cent francs, C'est déjà plus gênant, Moi qu'en mange en moyenne Dix kilos par semaine, Pour avoir mon content Je privais les enfants. De la vache à mille francs, De la vache à mille francs, Il vaut mieux carrément Se gaver d'ortolans, Et s'offrir des homards Tartinés de caviar. D'la vache à deux mille francs, Ça s'ra pour l'jour de l'an, On la mangera truffée, Sur un grand canapé, On gardera l'foie gras Pour les autr's jours du mois. D'la vache à cinq mille francs, Ça d'viendra un placement, Avec mes lingots d'or, Dans mon grand coffre fort, J'entass'rai les rumstecks Et les coupons d'beefsteack. D'la vache à cinq mille francs, Ça d'vient décourageant, C'est pas qu'on soit méchant, Mais un beau jour, pourtant, Il faudra bien qu'on sache Qu'on n'peut plus suivr' la vache ! Oh la vache ! La sale vache … Oh la vache nous rendra fous ! Oh la vache ! La sale vache … Oh la vache nous rendra fous ! Oh la vache ! Oh la vache…

Cerisier en fleurs

14 Mar 2009 5 5 1133
Quand nous en serons au temps des cerises Et gai rossignol et merle moqueur Seront tous en fête Les belles auront la folie en tête Et les amoureux du soleil au cour Quand nous chanterons le temps des cerises Sifflera bien mieux le merle moqueur Mais il est bien court le temps des cerises Où l'on s'en va deux cueillir en rêvant Des pendants d'oreilles Cerises d'amour aux robes pareilles Tombant sous la feuille en gouttes de sang Mais il est bien court le temps des cerises Pendants de corail qu'on cueille en rêvant Quand vous en serez au temps des cerises Si vous avez peur des chagrins d'amour Evitez les belles Moi qui ne crains pas les peines cruelles Je ne vivrai pas sans souffrir un jour Quand vous en serez au temps des cerises Vous aurez aussi des chagrins d'amour J'aimerai toujours le temps des cerises C'est de ce temps-là que je garde au coeur Une plaie ouverte Et Dame Fortune, en m'étant offerte Ne saura jamais calmer ma douleur J'aimerai toujours le temps des cerises Et le souvenir que je garde au coeur Jean-Baptiste Clément Cette chanson est si fortement associée à la Commune de Paris que, dans les esprits, elle fut écrite pour elle. Pourtant elle fut écrite sous Napoléon III avant même la guerre de 1870 (dont l'humiliation de la défaite française devait produire, en 1871, l’occasion favorable au déclenchement de la Commune). Un fait notoire est qu'elle fut dédicacée (mais après coup) par son auteur à une infirmière morte lors de la Semaine sanglante[1]. Les cerises évoquent différentes choses. D'une part, elles rappellent, par leur couleur, le sang et le drapeau rouge, liés entre autres à la Commune, ce qui fait que la chanson demeure associée à l'idée de liberté, de solidarité, et de résistance face à l'oppression. D'autre part, les cerises renvoient au sucre et à l'été, et donc à un contexte joyeux voire festif. Ainsi la chanson véhicule une certaine nostalgie et une certaine idée de gaieté populaire. La version la plus célèbre de cette chanson est interprétée par Charles Trenet. Chanson emblématique de l'identité de la Gauche française, elle fut interprétée le 10 janvier 1996 par la cantatrice Barbara Hendricks lors de l'hommage rendu au président socialiste François Mitterrand sur la place de la Bastille. Le temps des cerises fut également interprété par Yves Montand, par Geike Arnaert (Hooverphonic) et Bobbejaan Schoepen en mai 2008, et par le groupe de rock bordelais Noir Désir, accompagné de Romain et Estelle Humeau du groupe Eiffel, en octobre 2008[2].

compilation

26 Jun 2009 2 356
J'ai dû dormir debout, Pas un mot, pas un geste, L'homme qui pouvait sauver l'amour Est parti sans laisser d'adresse. Quelque part au ciel, J'attends des nouvelles, Mais les étoiles sont floues. Il tombe autant de pluie Que tout l'amour qu'il mérite, L'homme qui courait après Lucie Est parti quand même un peu vite. Dans les mauvaises fables, Dans les vents de sable, Le diable est partout. J'ai dû dormir debout. ...Dormir debout. C'est une histoire de fous, Tout ce vide que tu laisses, L'homme qui pouvait sauver l'amour Est parti sans laisser d'adresse. Au ciel quelque part, difficile à voir, Quand t'es K.O debout.. Des millions de lumières, Accrochées aux barrières, De ce temps qui gâche tout, Comme des signaux pour lui dire, Qu'y a déjà des rivières, Au milieu des déserts, Et des champs de cailloux, Et qu'on lui garde surtout, Et qu'on lui garde surtout, Sa place au milieu de nous, ...Au milieu de nous... Juste au milieu de nous, Pour tout le temps qu'il nous reste, L'homme qui pouvait sauver l'amour Est parti sans laisser d'adresse. Depuis le fond du ciel, Jusqu'aux murs des hôtels, Les étoiles sont floues. J'ai dû dormir debout. ...Dormir debout... J'ai dû dormir debout. ... Dormir debout... J'ai dû dormir !... ...Debout...

une lueur dans le coeur, une larme dans l'oeil une…

21 Apr 2009 5 1 1971
www.deezer.com/track/10285037 Découvrez ! mon espèce s'égare, l'esprit qui suchauffe les gens se détestent, la guerre des égos XXIe siècle, cynisme et mépris non respect de la Terre, folie plein les tripes frontières, barricades, émeutes et matraques cris et bains de sang, bombes qui éclatent politique de la peur, science immorale insurrection d'un peuple, marché des armes Nouvelle Ordre Mondial, fusion de terreur l'homme, l'animal, le plus prédateur le système pue la mort, assassin de la vie a tué la mémoire pour mieux tuer l'avenir des disquettes plein la tête, les sens nous trompent 3e oeil ouvert car le cerveau nous ment l'être humain s'est perdu, a oublié sa force a oublié la lune, le soleil et l'atome inversion des pôles vers la haine se dirige a perdu la raison pour une escuse qui divise l'égoisme en devise, époque misérable haine collective contre rage viscérale une lueur dans le coeur, une larme dans l'oeil une prière dans la tête, une vieille douleur une vive racoeur, là ou meurt le pardon où même la voix prend peur, allez viens nous partons des lois faites pour le peuple et les rois tyrannisent confréries et business en haut de la pyrammide sa sponsorise le sang, entre chars et uzis innocent dans un ciel aux couleurs des usines un silence de deuil, une balle perdue toute une famille en pleure, un enfant abbatu des milices de l'état, des paramilitaires des folies cérébrales, des peuples entiers a terre bidonvilles de misère à l'entrée des palaces liberté volée, synonyme de paperasse humanité troquée contre une vie illusoire entre stress du matin et angoisses du soir des névroses plein la tête les nerfs rompus caractérisent l'homme moderne, bien souvent corrompus et quand la ville s'endort, arrive tant de fois une mort silencieuse, un SDF dans le froid prison de ciment, derrière les oeillères le combat est si long, pour un peu de lumière les famille se déchirent et les pères se font rare les enfant ne rient plus, se batissent des remparts les mères prennent sur elles, un jeune sur trois en taule toute cette merde est réelle, donc on se battera encore c'est la "malatripa" qui nous bouffe les tripes une bouteille de vodka, quelques grammes de weed certains ne reviennent pas, le serrage est violent subutex injecté dans une flaque de sang des enfants qui se battent, un couteau de couteau en trop ce n'est plus à la baraque que les mômes rentrent tôt ils apprennent la ruse dans un verre de colère formatage de la rue, formatage scolaire c'est chacun sa disquette, quand les mondes se rencontrent c'est le choc des cultures, voir la haine de la honte les barrières sont là, dans nos têtes bien au chaud les plus durs craquent vite, c'est la loi du roseau non rien n'est rose ici, la grisaille demeure dans les coeurs meurtris qui a petit feu meurent ne pleure pas ma soeur car tu portes le monde noble est ton coeur, crois en toi et remonte n'écoute pas les batards qui voudraient te voir triste même Terre-mère est malade, mais Terre-mère résiste l'homme s'est construit son monde, apprenti créateur qui a tout déréglé, sanguinaire prédateur babylone est bien grande mais n'est rien dans le fond qu'une vulgaire mascarade au parfum d'illusion maîtresse de nos esprits, crédules et naifs conditionnement massif, là ou les nerfs sont à vifs dans la marche et la rage, bastion des galériens ensemble nous sommes le monde et le système n'est rien prend conscience mon frère, reste près de ton coeur méfie toi du système, assassin et menteur éloigne toi de la haine qui nous saute tous au bras, humanité humaine, seul l'Amour nous sauvera écoute le silence quand ton âme est en paix la lumière s'y trouve, la lumière est rentrée vérité en nous même, fruit de la création n'oublie pas ton histoire, n'oublie pas ta mission dernière génération à pouvoir tout changer la vie est avec nous n'ai pas peur du danger alors levons nos voix, pour ne plus oublier bout de poussière d'étoile, qu'attends-tu pour briller ? tous frères et soeurs, reformons la chaine car nous ne sommes qu'un divisé dans la chaire retrouvons la joie, l'entraide qu'on s'élève une lueur suffit à faire fondre les ténèbres s'essoufle ce temps, une odeur de souffre la fin se ressent, la bête envoute la foule les symboles s'inversent se confondent les obsèques l'étoile qui fait tourner la roue se rapproche de notre ciel terre a l'agonie, mal-être à l'honneur folie, calomnie peu de coeur à la bonne heure ignorance du bonheur, de la magie de la vie choqué par l'horreur, formé a la survie l'époque, le pire, une part des conséquences le bien, le mal, aujourd'hui choisi ton camp l'être humain s'est perdu trop centré sur l'avoir les étoiles se concertent pour nous ramener sur la voix, quadrillage ficelé, mais passe la lumière ai confiance en la vie, en la force de tes rêves tous un anges à l'épaule, présent si tu le cherches quand le coeur ne fait qu'un, avec l'esprit est le geste le grand jour se prépare, ne vois-tu pas les signes ? la mort n'existe pas, c'est juste la fin des cycles cette fin se déssine, l'humain se décime espoir indigo, les pléïades nous désignent lève ta tête et comprend, sa la force en ton être dépasse babylone, élucide la mystère rien ne se tire au sort, que le ciel te bénisse enfant du quinto sol, comprend entre les lignes. (parlé) comprend entre les lignes enfant du quinto sol le soleil est en toi fait briller ta lumière intèrieur pour éclairer le chaos de leur monde on est pas là par hasard les pleïades nous désignent lèves ta tête, comprend entre les lignes écoute ton coeur désobeissance, car la vérité est nous car la solution est en nous parceque la vie est en nous parceque la vie est en nous
16 Jul 2009 3 14 596
Depuis qu’elle m’a traité de chien, je n’vais pas bien. J’aboie partout comme un toutou, comme un toutou ! J’ai les oreilles taillées en pointe, le nez qui suinte, Je bave sur les rideaux satin et j’ai des corps sous mes coussins. Elle m’a dressé au poil, je suis aux pieds fidèle. Si mademoiselle râle, elle peut m’être infidèle… Depuis qu’elle m’a traité d’oiseau, je n’suis pas beau. Je siffle et piaille comme une caille, comme une caille. J’ai un bec et deux ailes au dos comme un corbeau, Toujours l’impression qu’elle abuse, je suis méfiant comme une buse. Elle caresse mes plumes, je roucoule auprès d’elle, Mademoiselle allume et je tiens les chandelles. Depuis qu’elle m’a traité de rat, je n’suis plus moi. J’ai le dégoût d’un rat d’égout, d’un rat d’égout. Le museau fin, l’air pas très bien d’un ragondin Quand elle me jette à la figure : « Tu finiras par faire fourrure ! » Si je dors à la ville, elle couche « rats des chants », Si c’est au champ tranquille, un rat sera content. Et depuis qu’elle m’a traité d’âne, j’ai mal au crâne. Je suis chargé comme un mulet, comme un mulet. J’ai les oreilles qui pendouillent, bonjour l’andouille ! Si mes sabots sont tout crottés, elle me fait braire sans rigoler. Elle me brosse le dos, moi, j’ai les yeux qui piquent. Je porte des salauds, elle trouve ça pratique. Depuis qu’elle m’a traité d’hareng, je suis à cran. Aussi méchant qu’un requin blanc, qu’un requin blanc. J’me suis fait enfilé citron comme un poisson. Si je me noie dans ma baignoire, ça fait des ronds dans l’eau, bizarre ! Elle a vidé mes tripes, mes écailles et j’ai froid. Si mademoiselle tripe, un autre y met les doigts. Depuis qu’elle m’a traité de bouc, j’ai l’air d’un plouc. J’ai l’air nigaud comme un chevreau, comme un chevreau. Mais j’ai l’odeur de son fromage de dix ans d’âge, Mes sabots tout crottés au cul, mes cornes bien entretenues. Je lui parle, elle s’enfuit, je bégaie, ça l’ennuie. Si je trouve ça marrant, elle couche avec Durand. Elle m’a traité d’orang-outan, je m’fais du sang Lâche et bleu, comme un paresseux, un paresseux. Je fais travailler mes méninges, je fais le singe. Pour apprendre à l’apprivoiser, je m’fais gorille ou chimpanzé. Et s’il fait froid ce soir, moi, je fais la grimace. Je suis seul dans le noir, c’est pas moi qui l’enlace. Et pour terminer ce bestiaire « langue de vipère », Je voudrais trouver un mot neuf, fort comme un bœuf, Pour lui dire tout ce qui m’embête même à tue-tête, Si je bavarde comme une pie, elle ne m’écout’ra pas, tant pis ! Mademoiselle s’enchante, elle nous fait l’hirondelle. Et c’est moi qui déchante, je vais finir sans elle. Elle aurait fait ma biche, j’aurais été son cerf Mais mademoiselle triche et chasse à courre mes nerfs !

Rêves

28 Oct 2009 3 2 460
J'ai encore rêvé d'elle C'est bête, elle n'a rien fait pour ça Elle n'est pas vraiment belle C'est mieux, elle est faite pour moi Toute en douceur Juste pour mon coeur Je l'ai rêvée si fort Que les draps s'en souviennent Je dormais dans son corps Bercé par ses "Je t'aime". REFRAIN: Si je pouvais me réveiller à ses côtés Si je savais où la trouver Donnez-moi l'espoir Prêtez-moi un soir Une nuit, juste, pour elle et moi Et demain matin, elle s'en ira J'ai encore rêvé d'elle - Je rêve aussi Je n'ai rien fait pour ça - J'ai mal dormi Elle n'est pas vraiment belle - J'ai un peu froid Elle est faite pour moi - Réveille-toi... Toute en douceur Juste pour mon coeur REFRAIN: Si je pouvais me réveiller à ses côtés - Ouvre tes yeux, tu ne dors pas Si je savais où la trouver - Regarde-moi Donnez moi l'espoir - Je suis à toi Prêtez-moi un soir - Je t'aime Une nuit, juste pour elle et moi Et demain... REFRAIN:(ensemble) Enfin je vais me réveiller - Je t'attendais, regarde-moi A ses côtés, c'est sûr je vais la retrouver - Ouvre tes bras Donnez moi un soir - Je suis à toi Laissez-moi y croire Une vie juste toi et moi Et demain, tu seras là...

Explosion de lumière .....

21 Mar 2011 8 6 1120
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19 May 2008 3 4 563
Découvrez ! Il fait pas chaud dehors Personne ne sourit vraiment Est-ce qu'on a froid dedans Personne ne fait le moindre effort Est-ce qu'on a froid aux yeux Pourtant partout y a le feu Moi j'entends les sirènes Le vacarme et les cris On se débarrasse de tout Tout ce qui pour nous avait un prix Et puis on plonge Avec tout le feu qui nous ronge Qui nous ronge On se jette sur la scène Le seul endroit qu'on aime Il y a le feu sur les planches On se jette dans le fleuve Sous les lumières qui pleuvent Il y a le feu sur les planches Et ça nous crame Des pieds jusqu'à l'âme Des pieds jusqu'à l'âme On réchauffe la planète D'un gaz à effet de fête On nourrit l'étincelle Qui nous crépite entre les mains On n'a plus peur de rien On ne sait pas ce qui nous pousse Ni ce qu'on cherche ni où on va On allume des feux de brousse Cent canadairs ne suffiraient pas A calmer notre soif Alors on plonge Avec tout le feu qui nous ronge Qui nous ronge On se jette sur la scène Le seul endroit qu'on aime Il y a le feu sur les planches On se jette dans le fleuve Sous les lumières qui pleuvent Il y a le feu sur les planches Et ça nous crame Des pieds jusqu'à l'âme Des pieds jusqu'à l'âme Rassemble tout ce qui a de la valeur Asperge-le d'essence Plan d'évacuation d'urgence Plan d'évacuation du coeur On se jette sur la scène Le seul endroit qu'on aime Il y a le feu sur les planches On fait parler la poudre La foule prend comme la foudre Il y a le feu sur les planches On se jette sur la scène Le seul endroit qu'on aime Il y a le feu sur les planches On se jette dans le fleuve Sous les lumières qui pleuvent Il y a le feu sur les planches Et ça nous crame Des pieds jusqu'à l'âme Des pieds jusqu'à l'âme
13 Sep 2008 1 482
Lune Qui là-haut s'allume Sur Les toits de Paris Vois Comme un homme Peut souffrir d'amour Bel Astre solitaire Qui meurt Quand revient le jour Entends Monter vers toi La chant de la terre Entends le cri D'un homme qui a mal Pour qui Un million d'étoiles Ne valent Pas les yeux de celle Qu'il aime D'un amour mortel Lune Lune Qui là-haut s'embrume Avant Que le jour ne vienne Entends Rugir le c?ur De la bête humaine C'est la complainte De Quasimodo Qui pleure Sa détresse folle Sa voix Par monts et par vaux S'envole Pour arriver jusqu'à toi Lune ! Veille Sur ce monde étrange Qui mêle Sa vois au choeur des anges Lune Qui là-haut s'allume Pour Éclairer ma plume Vois Comme un homme Peut souffrir d'amour D'amour

Chevaux du temps

A travers le bleu , déja posté mais j'ai bien aimé…

04 Feb 2010 6 7 1273
r ! A travers les intempéries les mauvaises passes, les jours d’ennui pense à moi, pense à moi si t’en as envie je ne sais plus où courent tous ces gens, mais c’est sans doute… très important pour y passer, y passer autant de temps moi j’me suis mis dans un jardin, à cultiver les fleurs du bien pense à moi, pense à moi si t’en as besoin tu vas croire que c’est encore loin mais c’est juste au bout d’un chemin et là, tu reconnaîtras, les fleurs du bien… pense à moi, pense à moi si t’en as besoin près d’un piano désaccordé en attendant qu’vienne une idée tu sauras, tu sauras…toujours où me trouver je sais bien que le monde est grand, et qu’il faut regarder de l’avant…mais pense à moi, pense à moi si t’en as le temps moi j’me suis mis dans un jardin, à cultiver les fleurs du bien pense à moi, pense à moi si t’en as besoin tu vas croire que c’est encore loin mais c’est juste au bout d’un chemin et là, tu reconnaîtras, les fleurs du bien… pense à moi, pense à moi si t’en as besoin j’te dis ça, autant que j’en rie puisque les mots n’changent pas la vie pense à moi, pense à moi si t’as envie je sais à peu près c’qui m’attends et même après quoi courent les gens je… ne vois plus, ne vois plus rien de très urgent pense… à moi, pense… à moi, oh pense… à moi pense… à moi là au fond de mon jardin à cultiver les fleurs du bien oh, oh, les fleurs…du bien oh, oh, oh… pense à moi…oh oh (x) mais là…au fond d’mon jardin à cultiver les fleurs… à cultiver les fleurs du bien pense à moi… pense…à moi

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