coup de coeur
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le coeur
Petit miracle ..j'ai trouvé les paroles ...Je t'e…
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Tu n’fais pas l’unanimité dans cette école je te l’accorde,
Faut dire que tu l’as bien cherché, t’as semé le trouble et la discorde,
Dans la cour de récréation tu sais qu’on ne regarde que toi,
Tu fais des représentations, mais au final on n’t'acclame pas,
Pourtant on t’en fait des rappels, on te demande d’être celui
Qui n’doit pas manquer à l’appel, tant il fait office d’alibi,
Tant on se cache derrière lui, et…
Quand tu mets ta main dans ma main, et que tes yeux m’appellent au secours,
J’ai envie d’te faire des câlins, et d’te chanter des mots d’amour,
T’es qu’un enfant, au regard las, que les adultes, n’épargnent pas…
C’est vrai qu’à cinq ans et demi, tu n’avais plus rien d’un enfant,
T’avais déjà d’la répartie, et tu te montrais insolent,
T’as même choqué toutes les maîtresses, la nouvelle s’est propagée vite,
Quand un après-midi de sieste, tu leur as proposé du chit,
Tu t’ventais d’un père débrouillard, qui pourrait leur en procurer,
T’es fier de ce sacré lascar, à la démarche bien assurée,
Et qui pourrait t’le reprocher, mais…
Quand tu mets ta main dans ma main, et que tes yeux m’appellent au secours,
J’ai envie d’te faire des câlins, et d’te chanter des mots d’amour,
T’es qu’un enfant, au regard las, que les adultes, n’épargnent pas…
Tu es le roi de la bêtise, des coups foireux, des mauvais plans,
Et bien souvent tu martyrises à coups de points tes dissidents,
Niveau langage tu n’connais qu’ça, t’excelles dans la violence verbale,
C’est l’prix à payer quand on a hérité d’un papa brutal,
Les coups d’ceinture sur ton visage, sont autant d’scarifications,
Symboles des rites de passage vers l’univers d’la soumission,
Celui de l’incompréhension, alors…
Quand tu mets ta main dans ma main, et que tes yeux m’appellent au secours,
J’ai envie d’te faire des câlins, et d’te chanter des mots d’amour,
T’es qu’un enfant, au regard las, que les adultes, n’épargnent pas…
T’es maltraité par tes parents par le système éducatif,
Et dans la salle des enseignants, j’distribuerais bien des gifles,
A tous ceux qui n’ont pas compris que ton cartable, c’était ta croix,
Et qui plus est ont du mépris pour ta jolie main de Fatma,
J’te décerne le prix du courage, la palme d’or de la franchise,
Tu s’ras l’premier en haut d’la page de mes souvenirs d’institutrice,
Tu s’ras l’premier d’ma liste, parce que…
Tous les jours tu me tends une main, si forte et fragile à la fois,
Et pour m’assurer que demain sera plus clément avec toi,
Je t’emmène au… pays des mots, pour que plus tard, tu te connaisses,
Je t’emmène au… pays des mots, pour que plus tard, tu saches, que tu es beau.
Keny Arkana comme une des instauratrices du rap fé…
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youtu.be/RbiswCSGAy0
Découvrez !
Ca pue l’injustice, et la tempête est programmée,
Tout va de plus en plus vite, oui la guerre est proclamée,
Une guerre glaciale de moins en moins discrète,
Qui s’attaque aux plus pauvres, et à ceux qui refusent d’intégrer la disquette,
On divise la populace, instaure l’Etat policier,
Sors des rangs tu mangeras la matraque de l’officier !
Nouvel Ordre OFFICIEUX, terrorisme OFFICIEL !
"Des gains multiples" pour instaurer la surveillance et la peur,
Eteins ta télé, et leurs émissions d’arriérés,
Eteins ta télé, avant d’finir complètement aliéné !
Propagande de peur pour une soumission official,
Métro boulot dodo, biométrie et fichage !
Hé ! Les rebelles croupissent en taule,
Campagne de disparition marketing pour qu’on accepte les puces dans l’corps !
Faut qu’on s’réveille car demain sera pire encore,
Les murs s’resserrent y’a de moins en moins d’espace Hé oh !!!!
Refrain:
Réveillez vous, ils nous ont déclaré la guerre,
Réveillez vous, peuple du monde et enfant de la terre,
Réveillez vous avant le point de non-retour,
On aura besoin de tout le monde tout le monde tout le monde !!
Réveillez vous, car demain sera pire encore,
Réveillez-vous avant qu’ils nous mettent des puces dans l’corps !
Réveillez vous c’est toutes nos vies qui sont en jeu,
Réveillez vous, RE-VEIL-LEZ VOUS !
Ca pue l’injustice, et la tempête est pour bientôt,
Peuple aliéné, politiques qui nous mènent en bateau,
Terrorisme d’état bien concis,
Peuple exploité voué à consommer c’qu’ils construisent,
Prisons à ciel ouvert dans le crime et la norme,
Quand les frontières deviennent les barricades de la mort !
Méfie toi des miradors, des gardiens du désastre,
Méfie toi, car les arrestations deviennent des rafles,
Ils condamnent l’exclu, en propageant l’exclusion,
Exploitent les plus pauvres avant la case Expulsion !
Font la chasse à l’enfant, des CRS dans les écoles,
Wesh les voiles les dérangent mais pas les flics dans les écoles !
Si on était ensemble ils pourraient plus semer le chaos,
Nous on croit pas en leur justice nous on croit en celle de Là-haut !
Mon frère, ne perds pas la foi toi qui n’y croit plus,
On a besoin de toi, ma sœur on a besoin d’toi Hé oh !!!!
Refrain:
Réveillez vous, ils nous ont déclaré la guerre,
Réveillez vous, peuple du monde et enfant de la terre,
Réveillez vous avant le point de non-retour,
On aura besoin de tout le monde tout le monde tout le monde !!
Réveillez vous, car demain sera pire encore,
Réveillez-vous avant qu’ils nous mettent des puces dans l’corps !
Réveillez vous c’est toutes nos vies qui sont en jeu,
Réveillez vous, RE-VEIL-LEZ VOUS !
Ca pue l’injustice et la tempête a commencé,
Avant même le combat, trop de frères ont renoncé !
Dis moi qu’est ce qu’on attend pour construire sans eux,
Que le soleil disparaisse ou que leurs armées soient des clones ?!
Energie nucléaire, saccageant la création,
Processus établi de déshumanisation,
Esprit rempli de subliminal bombardement,
Les plus gros médias appartiennent aux usines d’armement !
Alors comprend dans quel monde nous vivons !
Le savoir est une arme à l’heure où ils brevettent le vivant !
La science et la recherche au service de la peur,
Car un virus c’est mieux qu’une guerre pour exterminer un peuple !
N’ayons pas peur, ayons confiance en nous même,
Même la vie est avec nous Oui la vie est avec nous !
Mon frère, ma sœur on est ensemble,
Si Oui on meurt ensemble, allez on a plus l’temps Hé oh !!!!
Refrain:
Réveillez vous, ils nous ont déclaré la guerre,
Réveillez vous, peuple du monde et enfant de la terre,
Réveillez vous avant le point de non-retour,
On aura besoin de tout le monde tout le monde tout le monde !!
Réveillez vous, car demain sera pire encore,
Réveillez-vous avant qu’ils nous mettent des puces dans l’corps !
Réveillez vous c’est toutes nos vies qui sont en jeu,
Réveillez vous, RE-VEIL-LEZ VOUS !
N’ayons pas peur car nous sommes le monde, le système n’est rien sans nous,
à nous de reprendre l’espace public, de récupérer nos rues, de reprendre en main nos quartiers,
On nique pas le système en voulant le détruire, on nique le système en construisant sans lui,
Alors construisons, reprenons nos vies en mains, car les leurs sont pleins de sang…
Echangeons, on a tous quelque chose à apporter à l’autre,
Et donnons plus nos compétences qu’à Babylone,
Donnez les à la résistance qui t’enroute, On fait tous partie de la solution,
N’oublions pas qu’on est le monde, même s’ils ont le chiffre on est plus fort on a le nombre !
Un peuple uni ne sera jamais vaincu.
youtu.be/cZT_lCymUGg
PLEURER À L'AUBE...POUR PORTER LE JOUR SUIVANT...
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Remember
Découvrez Marc Robine !
Demain, dès l'aube, à l'heure où blanchit la campagne,
Je partirai. Vois-tu, je sais que tu m'attends.
J'irai par la forêt, j'irai par la montagne.
Je ne puis demeurer loin de toi plus longtemps.
Je marcherai les yeux fixés sur mes pensées,
Sans rien voir au dehors, sans entendre aucun bruit,
Seul, inconnu, le dos courbé, les mains croisées,
Triste, et le jour pour moi sera comme la nuit.
Je ne regarderai ni l'or du soir qui tombe,
Ni les voiles au loin descendant vers Harfleur,
Et, quand j'arriverai, je mettrai sur ta tombe
Un bouquet de houx vert et de bruyère en fleur.
le coeur en chris en t'aime :-)
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youtu.be/VwWoLkMB02s
Découvrez !
C'était un soir tranquille
Dans les rues de ma ville
La lune etait pleine et belle
Pourtant j'avais l'coeur en chrysantheme
Sur le parvis d'la chapelle
Dormaient les hirondelles
Au milieu de la nuit
J'ai r'garder defiler toute ma vie
A m'entendre dechirer la voix
Dans ces bistrots
A en regarder degobiller mes tripes
Pour une bande de poivrots
Les lampadaire s'bousculaient
Dans le fracas de l'été
Les voitures s'en allaient
Dans un faux chaos géminé
Alors la nuit pris le dessus
Offrant ainsi sa vertue
Pour mieux me laisser choir
Dans un effroyable jeu de mirroirs
Où je voyais mes mains encore
Jouer si fort
Toujours dans le meme decors
A noyer mes remords
Les ruelles etaient vides
Les trottoirs m'tordaient l'bide
Et au coin d'une impasse
Mes pensées ont commencées leur brasses
a**is sur la place du marché
Dans l'ciel les etoiles s'détachaient
Mon coeur battait plus vite
Mes émotions prenaient la fuite
Pour m'répéter une derniere fois
"Regarde toi"
Pour m'expliquer encore une fois
"C'est pas pour toi"
Le silence aguicheur
Qui me pressait le coeur
Avait trouvé la faille
Dans le chahut de mes représailles
Il avait tout compris
Lui mon meilleur amis
Avec l'aide du vent
Il m'a soufflé tout doucement
Va donc gueuler dans tous ces bistrots
Ces quelques mots
Tu verra que le monde est beau
Que le monde est beau
Même s'il est rempli de badauds
Sans opinion
Même s'ils s'en font sur ton dos
Tous ces patrons
Y'a tous ceux qui ont comme toi
Besoin de tes mots
Que tu t'egosille la voix
Pour lacher leur fardeau
C'était un soir tranquille
Dans les rues de ma ville
La lune etait pleine et belle
Pourtant j'avais ... le coeur ... en chrysantheme
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Découvrez !
J'ai chanté aux étoiles mon amour pour toi
Et j'ai fais le calcul
Ma voix leur parviendra dans 3 milliards d'années
Surement elles vont s'éteindre
De n'avoir pu t'aimer car moi seul peut t'étreindre
A ton seul souvenir mon bonheur perle en larmes
Et s'en va, dévalés en cascades et vacarmes
Si la ville panique
Ca n'est que d'ignorer que mille torrents d'amour viennent l'abreuver
Qu'on me redise un jour que l'amour n'a qu'un temps
Tant que courera l'amour, je t'aimerai autant
T'en fais pas mon amour
Laissons le défiler
Il est temps de s'étendre pour mieux le défier
J'ai voulu voir du beau ailleurs que sur ton corps
Mais mes yeux sans repos doivent fouiller encore
Je n'ai d'autre sommeil que dormir sur ton ventre
Je n'ai d'autres folies que rentrer dans ton antre
j'ai le coeur qui pense et le tête qui pompe
Bonheur d'etre a l'envers là, raison qui s'estompe quand
Quand de tes doigts glacés tu me brûles la peau
Quand dans tes petits bras je couche un chateau
Et qu'on me redise un jour que l'amour n'a qu'un temps, nan,
Dans courera le temps je t'aimerai autant
T'en fais pas mon amour
Laissons le défiler il est temps de s'étendre
Pour mieux le défier
S'agit pas d's'en aller sinon qui va m'aider ?
Me dire qu'il faut manger puis aussi respirer
Je ne sais plus rien faire que de penser à toi
Nan c'est vrai, j'exagère, je veux parler de toi
Tu t'es offerte à moi et j'ai gagné ma mort
Ma même, ma pareil
Me voilà couvert d'or pour te dire que je t'aime
J'ai dû en faire des couches
A ton prochain sourire j'en rajouterai trois louches
Et qu'on me redise un jour l'amour n'a qu'un temps
Nan, tant que courra le temps je t'aimerai autant
T'en fais pas mon amour
Laissons le défiler il est temps de s'étendre
Pour mieux le défier
Au temps où sur Iper on savait rigoler .....Bull l…
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youtu.be/BC6Rsdrs_ms
youtu.be/BC6Rsdrs_ms
ben oui ...tout d'un coup l'envie de la rereposter ma prise !!!!!!!!!
Marguerite !!!!!!
m.youtube.com/watch?v=BC6Rsdrs_ms
Découvrez Clémentine, Dominique Desmons !
Au premier temps de la vache,
Toute seule dans son pré, elle est là,
Au premier temps de la vache,
Y a l'éleveur, y a la bête et y a moi,
Et ma faim qui bat la mesure,
La mesure de mon estomac,
Et ma faim qui bat la mesure,
Mesure aussi mes fins de mois.
Une vache à mille francs,
Comme ce serait charmant,
Comme ce serait charmant
Et beaucoup plus tentant
Qu'un' vache à deux mille francs,
Une vache à mille francs.
Une vache à mille francs,
F'rait l'filet à cent francs,
L'rumsteck à soixante francs,
Le gîte à quarante francs,
L'aloyau à trente francs,
La culotte à vingt francs.
Un' culotte à vingt francs,
F'rait la côte à quinze francs,
La poitrine à douze francs,
La bavette à dix francs,
Le collier à huit francs,
Le jarret à quatre francs.
Un jarret à quatre francs,
Ce s'rait intéressant
Et plus avantageux
Pour faire un pot-au-feu
Qu'un jarret à mille francs,
Un jarret à quatre francs…
Au deuxième temps de la vache,
C'est à peine si je l'aperçois,
Au deuxième temps de la vache,
Y a du monde entre la bête et moi.
Il y a l'tueur qui passe la mesure,
L'transporteur qui lui emboîte le pas,
Pendant que l’ ministre nous assure
Que la viande de la vache ne monte pas.
Une vache à mille francs,
En quittant l'Morbihan,
Devient chemin faisant
Comme par enchant'ment
Un' vache à cinq mille francs
En arrivant au Mans.
Un' vache à cinq mille francs,
On ne sait pas comment,
Augment' de vingt pour cent
En traversant Le Mans,
Et d'vient par conséquent
Un' vache à six mille francs.
Un' vache à six mille francs,
C'est bougrement tentant,
C'est bougrement tentant
Pour les gens d'Orléans
D'en faire innocemment
Un' vache à dix mille francs.
Une vache à dix mille,
En sortant de la ville,
Pris' dans un tourbillon
Devient à Arpajon
Par un calcul habile
Une vache à vingt mille,
Cent mille à Montlhéry,
Deux cents à Juvisy,
Trois cent mille à Orly,
Arrivant à Paris,
À la Port' d'Italie
La vach' n'a plus de prix.
La vache est aux Gobelins
Multipliée par vingt,
Par deux cent cinquante deux
Au carr'four Richelieu,
Et par huit cent dix sept
En sortant d'La Villette…
Au dernier temps de la vache,
En rôti, sur l'étal, elle est là,
Au dernier temps de la vache,
Y a un monde entre sa viande et moi.
Et l'Etat, qui prend des mesures,
L'Etat qui mesure notre émoi,
Et l'Etat qui prend des mesures,
Fait monter un peu plus chaque mois.
De la vache à cent francs,
On en mangeait autant,
Autant qu'on en voulait,
Et plus qu'il ne fallait,
À midi, au dîner,
Et dans l'café au lait.
D'la vache à cinq cent francs,
C'est déjà plus gênant,
Moi qu'en mange en moyenne
Dix kilos par semaine,
Pour avoir mon content
Je privais les enfants.
De la vache à mille francs,
De la vache à mille francs,
Il vaut mieux carrément
Se gaver d'ortolans,
Et s'offrir des homards
Tartinés de caviar.
D'la vache à deux mille francs,
Ça s'ra pour l'jour de l'an,
On la mangera truffée,
Sur un grand canapé,
On gardera l'foie gras
Pour les autr's jours du mois.
D'la vache à cinq mille francs,
Ça d'viendra un placement,
Avec mes lingots d'or,
Dans mon grand coffre fort,
J'entass'rai les rumstecks
Et les coupons d'beefsteack.
D'la vache à cinq mille francs,
Ça d'vient décourageant,
C'est pas qu'on soit méchant,
Mais un beau jour, pourtant,
Il faudra bien qu'on sache
Qu'on n'peut plus suivr' la vache !
Oh la vache ! La sale vache …
Oh la vache nous rendra fous !
Oh la vache ! La sale vache …
Oh la vache nous rendra fous !
Oh la vache ! Oh la vache…
Cerisier en fleurs
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Quand nous en serons au temps des cerises
Et gai rossignol et merle moqueur
Seront tous en fête
Les belles auront la folie en tête
Et les amoureux du soleil au cour
Quand nous chanterons le temps des cerises
Sifflera bien mieux le merle moqueur
Mais il est bien court le temps des cerises
Où l'on s'en va deux cueillir en rêvant
Des pendants d'oreilles
Cerises d'amour aux robes pareilles
Tombant sous la feuille en gouttes de sang
Mais il est bien court le temps des cerises
Pendants de corail qu'on cueille en rêvant
Quand vous en serez au temps des cerises
Si vous avez peur des chagrins d'amour
Evitez les belles
Moi qui ne crains pas les peines cruelles
Je ne vivrai pas sans souffrir un jour
Quand vous en serez au temps des cerises
Vous aurez aussi des chagrins d'amour
J'aimerai toujours le temps des cerises
C'est de ce temps-là que je garde au coeur
Une plaie ouverte
Et Dame Fortune, en m'étant offerte
Ne saura jamais calmer ma douleur
J'aimerai toujours le temps des cerises
Et le souvenir que je garde au coeur
Jean-Baptiste Clément
Cette chanson est si fortement associée à la Commune de Paris que, dans les esprits, elle fut écrite pour elle. Pourtant elle fut écrite sous Napoléon III avant même la guerre de 1870 (dont l'humiliation de la défaite française devait produire, en 1871, l’occasion favorable au déclenchement de la Commune). Un fait notoire est qu'elle fut dédicacée (mais après coup) par son auteur à une infirmière morte lors de la Semaine sanglante[1].
Les cerises évoquent différentes choses. D'une part, elles rappellent, par leur couleur, le sang et le drapeau rouge, liés entre autres à la Commune, ce qui fait que la chanson demeure associée à l'idée de liberté, de solidarité, et de résistance face à l'oppression. D'autre part, les cerises renvoient au sucre et à l'été, et donc à un contexte joyeux voire festif. Ainsi la chanson véhicule une certaine nostalgie et une certaine idée de gaieté populaire.
La version la plus célèbre de cette chanson est interprétée par Charles Trenet. Chanson emblématique de l'identité de la Gauche française, elle fut interprétée le 10 janvier 1996 par la cantatrice Barbara Hendricks lors de l'hommage rendu au président socialiste François Mitterrand sur la place de la Bastille. Le temps des cerises fut également interprété par Yves Montand, par Geike Arnaert (Hooverphonic) et Bobbejaan Schoepen en mai 2008, et par le groupe de rock bordelais Noir Désir, accompagné de Romain et Estelle Humeau du groupe Eiffel, en octobre 2008[2].
Explosion
compilation
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J'ai dû dormir debout,
Pas un mot, pas un geste,
L'homme qui pouvait sauver l'amour
Est parti sans laisser d'adresse.
Quelque part au ciel,
J'attends des nouvelles,
Mais les étoiles sont floues.
Il tombe autant de pluie
Que tout l'amour qu'il mérite,
L'homme qui courait après Lucie
Est parti quand même un peu vite.
Dans les mauvaises fables,
Dans les vents de sable,
Le diable est partout.
J'ai dû dormir debout.
...Dormir debout.
C'est une histoire de fous,
Tout ce vide que tu laisses,
L'homme qui pouvait sauver l'amour
Est parti sans laisser d'adresse.
Au ciel quelque part, difficile à voir,
Quand t'es K.O debout..
Des millions de lumières,
Accrochées aux barrières,
De ce temps qui gâche tout,
Comme des signaux pour lui dire,
Qu'y a déjà des rivières,
Au milieu des déserts,
Et des champs de cailloux,
Et qu'on lui garde surtout,
Et qu'on lui garde surtout,
Sa place au milieu de nous,
...Au milieu de nous...
Juste au milieu de nous,
Pour tout le temps qu'il nous reste,
L'homme qui pouvait sauver l'amour
Est parti sans laisser d'adresse.
Depuis le fond du ciel,
Jusqu'aux murs des hôtels,
Les étoiles sont floues.
J'ai dû dormir debout.
...Dormir debout...
J'ai dû dormir debout.
... Dormir debout...
J'ai dû dormir !...
...Debout...
une lueur dans le coeur, une larme dans l'oeil une…
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mon espèce s'égare, l'esprit qui suchauffe
les gens se détestent, la guerre des égos
XXIe siècle, cynisme et mépris
non respect de la Terre, folie plein les tripes
frontières, barricades, émeutes et matraques
cris et bains de sang, bombes qui éclatent
politique de la peur, science immorale
insurrection d'un peuple, marché des armes
Nouvelle Ordre Mondial, fusion de terreur
l'homme, l'animal, le plus prédateur
le système pue la mort, assassin de la vie
a tué la mémoire pour mieux tuer l'avenir
des disquettes plein la tête, les sens nous trompent
3e oeil ouvert car le cerveau nous ment
l'être humain s'est perdu, a oublié sa force
a oublié la lune, le soleil et l'atome
inversion des pôles vers la haine se dirige
a perdu la raison pour une escuse qui divise
l'égoisme en devise, époque misérable
haine collective contre rage viscérale
une lueur dans le coeur, une larme dans l'oeil
une prière dans la tête, une vieille douleur
une vive racoeur, là ou meurt le pardon
où même la voix prend peur, allez viens nous partons
des lois faites pour le peuple et les rois tyrannisent
confréries et business en haut de la pyrammide
sa sponsorise le sang, entre chars et uzis
innocent dans un ciel aux couleurs des usines
un silence de deuil, une balle perdue
toute une famille en pleure, un enfant abbatu
des milices de l'état, des paramilitaires
des folies cérébrales, des peuples entiers a terre
bidonvilles de misère à l'entrée des palaces
liberté volée, synonyme de paperasse
humanité troquée contre une vie illusoire
entre stress du matin et angoisses du soir
des névroses plein la tête les nerfs rompus
caractérisent l'homme moderne, bien souvent corrompus
et quand la ville s'endort, arrive tant de fois
une mort silencieuse, un SDF dans le froid
prison de ciment, derrière les oeillères
le combat est si long, pour un peu de lumière
les famille se déchirent et les pères se font rare
les enfant ne rient plus, se batissent des remparts
les mères prennent sur elles, un jeune sur trois en taule
toute cette merde est réelle, donc on se battera encore
c'est la "malatripa" qui nous bouffe les tripes
une bouteille de vodka, quelques grammes de weed
certains ne reviennent pas, le serrage est violent
subutex injecté dans une flaque de sang
des enfants qui se battent, un couteau de couteau en trop
ce n'est plus à la baraque que les mômes rentrent tôt
ils apprennent la ruse dans un verre de colère
formatage de la rue, formatage scolaire
c'est chacun sa disquette, quand les mondes se rencontrent
c'est le choc des cultures, voir la haine de la honte
les barrières sont là, dans nos têtes bien au chaud
les plus durs craquent vite, c'est la loi du roseau
non rien n'est rose ici, la grisaille demeure
dans les coeurs meurtris qui a petit feu meurent
ne pleure pas ma soeur car tu portes le monde
noble est ton coeur, crois en toi et remonte
n'écoute pas les batards qui voudraient te voir triste
même Terre-mère est malade, mais Terre-mère résiste
l'homme s'est construit son monde, apprenti créateur
qui a tout déréglé, sanguinaire prédateur
babylone est bien grande mais n'est rien dans le fond
qu'une vulgaire mascarade au parfum d'illusion
maîtresse de nos esprits, crédules et naifs
conditionnement massif, là ou les nerfs sont à vifs
dans la marche et la rage, bastion des galériens
ensemble nous sommes le monde et le système n'est rien
prend conscience mon frère, reste près de ton coeur
méfie toi du système, assassin et menteur
éloigne toi de la haine qui nous saute tous au bras,
humanité humaine, seul l'Amour nous sauvera
écoute le silence quand ton âme est en paix
la lumière s'y trouve, la lumière est rentrée
vérité en nous même, fruit de la création
n'oublie pas ton histoire, n'oublie pas ta mission
dernière génération à pouvoir tout changer
la vie est avec nous n'ai pas peur du danger
alors levons nos voix, pour ne plus oublier
bout de poussière d'étoile, qu'attends-tu pour briller ?
tous frères et soeurs, reformons la chaine
car nous ne sommes qu'un divisé dans la chaire
retrouvons la joie, l'entraide qu'on s'élève
une lueur suffit à faire fondre les ténèbres
s'essoufle ce temps, une odeur de souffre
la fin se ressent, la bête envoute la foule
les symboles s'inversent se confondent les obsèques
l'étoile qui fait tourner la roue se rapproche de notre ciel
terre a l'agonie, mal-être à l'honneur
folie, calomnie peu de coeur à la bonne heure
ignorance du bonheur, de la magie de la vie
choqué par l'horreur, formé a la survie
l'époque, le pire, une part des conséquences
le bien, le mal, aujourd'hui choisi ton camp
l'être humain s'est perdu trop centré sur l'avoir
les étoiles se concertent pour nous ramener sur la voix,
quadrillage ficelé, mais passe la lumière
ai confiance en la vie, en la force de tes rêves
tous un anges à l'épaule, présent si tu le cherches
quand le coeur ne fait qu'un, avec l'esprit est le geste
le grand jour se prépare, ne vois-tu pas les signes ?
la mort n'existe pas, c'est juste la fin des cycles
cette fin se déssine, l'humain se décime
espoir indigo, les pléïades nous désignent
lève ta tête et comprend, sa la force en ton être
dépasse babylone, élucide la mystère
rien ne se tire au sort, que le ciel te bénisse
enfant du quinto sol, comprend entre les lignes.
(parlé)
comprend entre les lignes
enfant du quinto sol
le soleil est en toi
fait briller ta lumière intèrieur
pour éclairer le chaos de leur monde
on est pas là par hasard
les pleïades nous désignent
lèves ta tête, comprend entre les lignes
écoute ton coeur
désobeissance,
car la vérité est nous
car la solution est en nous
parceque la vie est en nous
parceque la vie est en nous
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Depuis qu’elle m’a traité de chien, je n’vais pas bien.
J’aboie partout comme un toutou, comme un toutou !
J’ai les oreilles taillées en pointe, le nez qui suinte,
Je bave sur les rideaux satin et j’ai des corps sous mes coussins.
Elle m’a dressé au poil, je suis aux pieds fidèle.
Si mademoiselle râle, elle peut m’être infidèle…
Depuis qu’elle m’a traité d’oiseau, je n’suis pas beau.
Je siffle et piaille comme une caille, comme une caille.
J’ai un bec et deux ailes au dos comme un corbeau,
Toujours l’impression qu’elle abuse, je suis méfiant comme une buse.
Elle caresse mes plumes, je roucoule auprès d’elle,
Mademoiselle allume et je tiens les chandelles.
Depuis qu’elle m’a traité de rat, je n’suis plus moi.
J’ai le dégoût d’un rat d’égout, d’un rat d’égout.
Le museau fin, l’air pas très bien d’un ragondin
Quand elle me jette à la figure : « Tu finiras par faire fourrure ! »
Si je dors à la ville, elle couche « rats des chants »,
Si c’est au champ tranquille, un rat sera content.
Et depuis qu’elle m’a traité d’âne, j’ai mal au crâne.
Je suis chargé comme un mulet, comme un mulet.
J’ai les oreilles qui pendouillent, bonjour l’andouille !
Si mes sabots sont tout crottés, elle me fait braire sans rigoler.
Elle me brosse le dos, moi, j’ai les yeux qui piquent.
Je porte des salauds, elle trouve ça pratique.
Depuis qu’elle m’a traité d’hareng, je suis à cran.
Aussi méchant qu’un requin blanc, qu’un requin blanc.
J’me suis fait enfilé citron comme un poisson.
Si je me noie dans ma baignoire, ça fait des ronds dans l’eau, bizarre !
Elle a vidé mes tripes, mes écailles et j’ai froid.
Si mademoiselle tripe, un autre y met les doigts.
Depuis qu’elle m’a traité de bouc, j’ai l’air d’un plouc.
J’ai l’air nigaud comme un chevreau, comme un chevreau.
Mais j’ai l’odeur de son fromage de dix ans d’âge,
Mes sabots tout crottés au cul, mes cornes bien entretenues.
Je lui parle, elle s’enfuit, je bégaie, ça l’ennuie.
Si je trouve ça marrant, elle couche avec Durand.
Elle m’a traité d’orang-outan, je m’fais du sang
Lâche et bleu, comme un paresseux, un paresseux.
Je fais travailler mes méninges, je fais le singe.
Pour apprendre à l’apprivoiser, je m’fais gorille ou chimpanzé.
Et s’il fait froid ce soir, moi, je fais la grimace.
Je suis seul dans le noir, c’est pas moi qui l’enlace.
Et pour terminer ce bestiaire « langue de vipère »,
Je voudrais trouver un mot neuf, fort comme un bœuf,
Pour lui dire tout ce qui m’embête même à tue-tête,
Si je bavarde comme une pie, elle ne m’écout’ra pas, tant pis !
Mademoiselle s’enchante, elle nous fait l’hirondelle.
Et c’est moi qui déchante, je vais finir sans elle.
Elle aurait fait ma biche, j’aurais été son cerf
Mais mademoiselle triche et chasse à courre mes nerfs !
Rêves
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J'ai encore rêvé d'elle
C'est bête, elle n'a rien fait pour ça
Elle n'est pas vraiment belle
C'est mieux, elle est faite pour moi
Toute en douceur
Juste pour mon coeur
Je l'ai rêvée si fort
Que les draps s'en souviennent
Je dormais dans son corps
Bercé par ses "Je t'aime".
REFRAIN:
Si je pouvais me réveiller à ses côtés
Si je savais où la trouver
Donnez-moi l'espoir
Prêtez-moi un soir
Une nuit, juste, pour elle et moi
Et demain matin, elle s'en ira
J'ai encore rêvé d'elle
- Je rêve aussi
Je n'ai rien fait pour ça
- J'ai mal dormi
Elle n'est pas vraiment belle
- J'ai un peu froid
Elle est faite pour moi
- Réveille-toi...
Toute en douceur
Juste pour mon coeur
REFRAIN:
Si je pouvais me réveiller à ses côtés
- Ouvre tes yeux, tu ne dors pas
Si je savais où la trouver
- Regarde-moi
Donnez moi l'espoir
- Je suis à toi
Prêtez-moi un soir
- Je t'aime
Une nuit, juste pour elle et moi
Et demain...
REFRAIN:(ensemble)
Enfin je vais me réveiller
- Je t'attendais, regarde-moi
A ses côtés, c'est sûr je vais la retrouver
- Ouvre tes bras
Donnez moi un soir
- Je suis à toi
Laissez-moi y croire
Une vie juste toi et moi
Et demain, tu seras là...
Explosion de lumière .....
merial
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Découvrez !
Il fait pas chaud dehors
Personne ne sourit vraiment
Est-ce qu'on a froid dedans
Personne ne fait le moindre effort
Est-ce qu'on a froid aux yeux
Pourtant partout y a le feu
Moi j'entends les sirènes
Le vacarme et les cris
On se débarrasse de tout
Tout ce qui pour nous avait un prix
Et puis on plonge
Avec tout le feu qui nous ronge
Qui nous ronge
On se jette sur la scène
Le seul endroit qu'on aime
Il y a le feu sur les planches
On se jette dans le fleuve
Sous les lumières qui pleuvent
Il y a le feu sur les planches
Et ça nous crame
Des pieds jusqu'à l'âme
Des pieds jusqu'à l'âme
On réchauffe la planète
D'un gaz à effet de fête
On nourrit l'étincelle
Qui nous crépite entre les mains
On n'a plus peur de rien
On ne sait pas ce qui nous pousse
Ni ce qu'on cherche ni où on va
On allume des feux de brousse
Cent canadairs ne suffiraient pas
A calmer notre soif
Alors on plonge
Avec tout le feu qui nous ronge
Qui nous ronge
On se jette sur la scène
Le seul endroit qu'on aime
Il y a le feu sur les planches
On se jette dans le fleuve
Sous les lumières qui pleuvent
Il y a le feu sur les planches
Et ça nous crame
Des pieds jusqu'à l'âme
Des pieds jusqu'à l'âme
Rassemble tout ce qui a de la valeur
Asperge-le d'essence
Plan d'évacuation d'urgence
Plan d'évacuation du coeur
On se jette sur la scène
Le seul endroit qu'on aime
Il y a le feu sur les planches
On fait parler la poudre
La foule prend comme la foudre
Il y a le feu sur les planches
On se jette sur la scène
Le seul endroit qu'on aime
Il y a le feu sur les planches
On se jette dans le fleuve
Sous les lumières qui pleuvent
Il y a le feu sur les planches
Et ça nous crame
Des pieds jusqu'à l'âme
Des pieds jusqu'à l'âme
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Lune
Qui là-haut s'allume
Sur
Les toits de Paris
Vois
Comme un homme
Peut souffrir d'amour
Bel
Astre solitaire
Qui meurt
Quand revient le jour
Entends
Monter vers toi
La chant de la terre
Entends le cri
D'un homme qui a mal
Pour qui
Un million d'étoiles
Ne valent
Pas les yeux de celle
Qu'il aime
D'un amour mortel
Lune
Lune
Qui là-haut s'embrume
Avant
Que le jour ne vienne
Entends
Rugir le c?ur
De la bête humaine
C'est la complainte
De Quasimodo
Qui pleure
Sa détresse folle
Sa voix
Par monts et par vaux
S'envole
Pour arriver jusqu'à toi
Lune !
Veille
Sur ce monde étrange
Qui mêle
Sa vois au choeur des anges
Lune
Qui là-haut s'allume
Pour
Éclairer ma plume
Vois
Comme un homme
Peut souffrir d'amour
D'amour
Chevaux du temps
A travers le bleu , déja posté mais j'ai bien aimé…
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r !
A travers les intempéries
les mauvaises passes, les jours d’ennui
pense à moi, pense à moi
si t’en as envie
je ne sais plus où courent tous ces gens,
mais c’est sans doute… très important
pour y passer, y passer
autant de temps
moi j’me suis mis dans un jardin,
à cultiver les fleurs du bien
pense à moi, pense à moi
si t’en as besoin
tu vas croire que c’est encore loin
mais c’est juste au bout d’un chemin
et là, tu reconnaîtras,
les fleurs du bien…
pense à moi, pense à moi
si t’en as besoin
près d’un piano désaccordé
en attendant qu’vienne une idée
tu sauras, tu sauras…toujours
où me trouver
je sais bien que le monde est grand,
et qu’il faut regarder de l’avant…mais
pense à moi, pense à moi
si t’en as le temps
moi j’me suis mis dans un jardin,
à cultiver les fleurs du bien
pense à moi, pense à moi
si t’en as besoin
tu vas croire que c’est encore loin
mais c’est juste au bout d’un chemin
et là, tu reconnaîtras,
les fleurs du bien…
pense à moi, pense à moi
si t’en as besoin
j’te dis ça, autant que j’en rie
puisque les mots n’changent pas la vie
pense à moi, pense à moi
si t’as envie
je sais à peu près c’qui m’attends
et même après quoi courent les gens
je… ne vois plus, ne vois plus rien
de très urgent
pense… à moi, pense… à moi, oh
pense… à moi
pense… à moi
là au fond de mon jardin
à cultiver les fleurs du bien
oh, oh,
les fleurs…du bien
oh, oh, oh…
pense à moi…oh oh (x)
mais là…au fond d’mon jardin
à cultiver les fleurs…
à cultiver les fleurs du bien
pense à moi…
pense…à moi
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