Krisonteme

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Posted: 31 Oct 2011


Taken: 31 Oct 2011

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Jabberwocky

Jabberwocky
Jabberwocky





De l'autre côté du miroir

’Twas brillig, and the slithy toves
Did gyre and gimble in the wabe;
All mimsy were the borogoves,
And the mome raths outgrabe.

“Beware the Jabberwock, my son!
The jaws that bite, the claws that catch!
Beware the Jubjub bird, and shun
The frumious Bandersnatch!”

He took his vorpal sword in hand:
Long time the manxome foe he sought—
So rested he by the Tumtum tree,
And stood awhile in thought.


And as in uffish thought he stood,
The Jabberwock, with eyes of flame,
Came whiffling through the tulgey wood,
And burbled as it came!

One, two! One, two! and through and through
The vorpal blade went snicker-snack!
He left it dead, and with its head
He went galumphing back.

“And hast thou slain the Jabberwock?
Come to my arms, my beamish boy!
O frabjous day! Callooh! Callay!”
He chortled in his joy.
La traduction souvent citée est celle de Henri Parisot (1946) :

« Il était reveneure ; les slictueux toves
Sur l’alloinde gyraient et vriblaient ;
Tout flivoreux étaient les borogoves
Les vergons fourgus bourniflaient. »

Lewis Carroll a lancé à ses traducteurs un vrai défi. Se frotter à la traduction de Jabberwocky, c'est à la fois pénétrer dans les profondeurs d’une langue et de son imaginaire, mais aussi se plier à une impérieuse et unique exigence de rythme, de musique et de sens.

La traduction souvent citée est celle de Henri Parisot (1946) :

« Il était reveneure ; les slictueux toves
Sur l’alloinde gyraient et vriblaient ;
Tout flivoreux étaient les borogoves
Les vergons fourgus bourniflaient. »

Dans le long-métrage d'animation Alice au pays des merveilles de Walt Disney, le Chat du Cheshire chante ce refrain comme une rengaine. En français, elle a été traduite par :

« Fleurpageons
Les rhododendroves
Gyrait et vomblait dans les vabes
On frimait vers les pétunias
et les momerates embradent ».

Il existe plus de dix autres traductions. Un ouvrage a été consacré à cette question épineuse par Bernard Cerquiglini, linguiste et spécialiste de la langue française. Dans À travers le Jabberwocky de Lewis Carroll (paru aux éditions Le Castor Astral), il se concentre sur cette première strophe, incontestablement la plus originale, et analyse onze de ces mots-valises, dans huit traductions, de celle, classique, de Parisot, à celle, « anti-grammaticale », d’Antonin Artaud. La préface de cet ouvrage est d'Hervé Le Tellier.
(Wikipédia)
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