Bidonville de Varanasi

Gamins du bidonville de la gare de Varanasi


Bidonville de Varanasi

11 Oct 2018 5 165
L'une des principales activités du Bidonville de la gare de Varanasi est la récupération des déchets. C'est le lieu de vie et le terrain de jeux des enfants.

Sortie exceptionnelle dans un parc d'attractions

13 Oct 2018 4 155
Plusieurs fois par an, l'ONG médicale Action Benares offre une sortie dans un parc d'attractions, à une quarantaine d'enfants du bidonville situé derrière la gare de Varanasi.

Sortie dans un parc d'attractions pour les enfants…

13 Oct 2018 3 1 169
Plusieurs fois par an, l'ONG médicale Action Benares offre une sortie dans un parc d'attractions, à une quarantaine d'enfants du bidonville situé derrière la gare de Varanasi.

Sortie exceptionnelle du bidonville

13 Oct 2018 4 3 183
Plusieurs fois par an, l'ONG médicale Action Benares offre une sortie dans un parc d'attractions, à une quarantaine d'enfants du bidonville situé derrière la gare de Varanasi.

Sortie exceptionnelle du bidonville

13 Oct 2018 5 2 156
Plusieurs fois par an, l'ONG médicale Action Benares offre une sortie dans un parc d'attractions, à une quarantaine d'enfants du bidonville situé derrière la gare de Varanasi.

Varanasi 2018

13 Oct 2018 13 5 236
Derrière la gare de Varanasi, se trouve un bidonville où les habitants, pour la plupart, n'ont pas d'existence légale. Les enfants sont rarement déclarés à leur naissance. Ici, c'est le règne du système D. La récupération des déchets est la principales activité économique qui permet aux habitants de subsister.

Bidonville de Varanasi

11 Oct 2018 50 33 748
Varanasi (Inde) - Ils sont abandonnés de tous. Ils vivent dans le bidonville de la Kharbuza, situé derrière la gare centrale de la ville sainte. Les habitants, pour la plupart, n’ont même pas d’état civil. Pour survivre, ces « invisibles » font de petits boulots, comme la récupération de déchets recyclables. Avec une ONG médicale, j’ai passé trois semaines en octobre 2018 dans ce bidonville où je n’ai pas croisé un seul occidental. Il faut dire qu’au premier abord, ce lieu est peu engageant. Mais en partageant le quotidien de ces déshérités, j’ai vécu des moments d’intenses émotions. De véritables amitiés se sont nouées. Au fil des jours, le décor insalubre s’effaçait face la gentillesse des résidents du bidonville. Cette photo - l’une des mes préférées - déjà présente dans l’un de mes albums (dont une version en N&B), est plus ou moins un instantané. J’avais vu que des enfants jouaient dans le rickshaw en panne au beau milieu des sacs de déchets. Un terrain de jeu insolite. Je commençais à cadrer quand les enfants m’ont aperçu et se sont précipités dehors pour venir à ma rencontre. Il m’a suffit d’appuyer sur le déclencheur. Ce que j’aime dans cette photo, c’est que malgré un environnement peu enviable, ces enfants respirent la joie de vivre. Elle interroge sur notre conception du bonheur. En grand format sur fond noir. (cmd z)