![Et quand nos ultimes silences s'en iront mourir... Et quand nos ultimes silences s'en iront mourir...](https://cdn.ipernity.com/125/33/84/14103384.bcae6465.75x.jpg?r2)
Mes oeuvres favorites
Partons vibrer tous deux d'une fusion d'encore en ardents météores
"Je me livre ainsi nue, en me sachant fragile
Pour avoir tant tenu à ces vaines lumières
Croyant les animer aux maladies premières
Des pastiches priés, à défaut d'évangile
Des piédestaux d'argile.
Je me livre à vos yeux, toute prête à éclore
Aux rosées des jardins que j'ai toujours connus
Je me livre à vos mots qui m'ont tant reconnue
Partons vibrer tous deux d'une fusion d'encore
En ardents météores."
With:
27 Sep 2012
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"La faille" de Gregory Hoblit
www.youtube.com/watch?v=xvyYKGq3W2k&playnext=1&list=PL81169B83263BBBD1&feature=results_video
Never let me go
Love me much too much
If you let me go
Life would lose its touch
What would I be without you?
There's no place for me without you
Never let me go
I'd be so lost if you went away
There'd be a thousand hours in the day
Without you I know
Because of one caress my world was overturned
At the very start, all my bridges burned
By my flaming heart you'd never leave me, would you?
You couldn't hurt me, could you?
Never let me go
Never let me go
Never let me go
I'd be so lost if you went away
There'd be a thousand hours in the day
Without you I know
Because of one caress my world was overturned
At the very start all my bridges burned
By my flaming heart you'd never leave me, would you?
You couldn't hurt me, could you?
Never let me go
Never let me go
With:
05 Aug 2010
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"Les feuilles mortes" par Yves MOntand
http://www.youtube.com/watch?v=kLlBOmDpn1s
Les feuilles mortes
Oh, je voudrais tant que tu te souviennes,
Des jours heureux quand nous étions amis,
Dans ce temps là, la vie était plus belle,
Et le soleil plus brûlant qu'aujourd'hui.
Les feuilles mortes se ramassent à la pelle,
Tu vois je n'ai pas oublié.
Les feuilles mortes se ramassent à la pelle,
Les souvenirs et les regrets aussi,
Et le vent du nord les emporte,
Dans la nuit froide de l'oubli.
Tu vois, je n'ai pas oublié,
La chanson que tu me chantais...
C'est une chanson, qui nous ressemble,
Toi qui m'aimais, moi qui t'aimais.
Nous vivions, tous les deux ensemble,
Toi qui m'aimais, moi qui t'aimais.
Et la vie sépare ceux qui s'aiment,
Tout doucement, sans faire de bruit.
Et la mer efface sur le sable,
Les pas des amants désunis.
Nous vivions, tous les deux ensemble,
Toi qui m'aimais, moi qui t'aimais.
Et la vie sépare ceux qui s'aiment,
Tout doucement, sans faire de bruit.
Et la mer efface sur le sable
Les pas des amants désunis...
Jacques Prévert
19 Jan 2014
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Elle sera pour toujours mon bébé quoiqu'elle puisse dire ou faire....
www.youtube.com/watch?v=IYB8ZDcPM9Q
24 Jan 2014
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"La confusion des sentiments" de Stephan Zweig
www.youtube.com/watch?v=Z_5OweKNqCg
21 Jan 2014
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"Invierno porteño" d'Astor Piazzola
Porteño invierno tan puntual
Regressas una y outra vez
No sé desde qué mundo austral
Para llevarme a algún pais
En donde el frio mas glacial
Se viste siempre com el gris
En los vapores de alcohol
Menpañan al alma y el cristal
Y ya no puedo ver el sol.
Invernal,
Presiento tu sabor frutal
Igual a mi tristeza, igual Que quiere abrirse en flor
Y es quando todo duele
Sin saber porqué
Y es quando descobrimos
Siempre to que nadie ve
Quando sabemos bien que para bien o mal
Llevamos en la piel un algo de invernal.
Invernal,
Como la realidad de quien
Se queda con su adiós final
Después de ver partir el tren
Como una vida sin niñes
Como un Domingo en la ciudad
Pon pessadumbre de ciprés
Como essas gotas de dolor
De nuestra cruda soledad
Quando lloramos por amor.
Invernal,
Porteño invierno como vos
Suporto un frio cruel, atroz
Mi propria soledad
Y es quando todo duele
Sin saber porqué
Y es cuando descobrimos
Siempre lo que nadie ve
Quando sabemos bien que para bien o mal
Llevamos en la piel un algo de invernal.
Winter
Winter in Buenos AIres so punctual
You return time and time again
I do not know from what Southern world
To take me to any country
Where a more glacial cold
Is always seen and the gray
In the alcohol vapours
Misting up the soul and the windows
And I can no longer see the sun.
Winter,
I sense a fruity flavour
Equal to my sadness, as I want to open in bloom
And when they are all burnt
WIthout knowing why
And then we find
What no one else sees
When we know that for better or worse
We carry a part of winter in our skin.
Winter,
As the reality of who
Stays with his final goodbye
After watching the departure of the train
As a life without childhood
Like a Sunday in the city
Puts the sadness of the cypresses
Like those drops of pain
From our raw loneliness
When we cry for love.
Winter,
Buenos Aires winter like you
I endure a cruel wicked chill,
My own solitude
And when all is hurt
Without knowing why
And then we find
What no-one else sees
When we know that for better or worse
We carry a little of winter in our skin.
23 Feb 2010
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Stabat Mater de Pergolese
27 Feb 2010
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En moi, brillera pour toujours l'éclat de ta flamme
A partir d'une photo "Apache plume plant" de Paul Ewing un ami américain avec son autorisation
http://community.webshots.com/user/paulewing
En moi brillera pour toujours l'éclat de ta flamme
Car tu as éclairé mon âme
De ta lumière chaude et passionnée
Et cela, ne pourrai jamais l'oublier ...
/
In me will shine forever the splendor of your flame
For you have enlightened my soul
With your hot passionate light
And that, l will never forget ...
Photo originale par Paul Ewing
Dans la nuit qui s'en va le cauchemar se glisse
http://www.youtube.com/watch?v=SskwjU7hL84&feature=related
Au ventre du sommeil, je sais l’aurore noire
Qui ravine le champ de mon grand lit défait
Et draine un souvenir en son cours imparfait
Puis plonge mon esprit dans un lac illusoire.
La cathédrale en pleurs me dresse un exutoire,
Un autel en son cœur où le verbe est parfait.
Je me donne ingénue à l'ogre satisfait,
Pour m'extirper de l'antre à l'oeil inquisitoire.
Mon crâne est un tombeau, rempart fendu de peurs,
La corde voit ses noeuds s'ouvrir comme des fleurs,
Cinq œillets rouge vif trônent sur le bois lisse.
Le rire enfin s'invite au point du nouveau jour,
La colombe s'envole au sommet d'une tour,
Dans la nuit qui s'en va le cauchemar se glisse.
Chrissette
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