Et quand nos ultimes silences s'en iront mourir...

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24 Dec 2009

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Partons vibrer tous deux d'une fusion d'encore en ardents météores

"Je me livre ainsi nue, en me sachant fragile Pour avoir tant tenu à ces vaines lumières Croyant les animer aux maladies premières Des pastiches priés, à défaut d'évangile Des piédestaux d'argile. Je me livre à vos yeux, toute prête à éclore Aux rosées des jardins que j'ai toujours connus Je me livre à vos mots qui m'ont tant reconnue Partons vibrer tous deux d'une fusion d'encore En ardents météores."

"La faille" de Gregory Hoblit

www.youtube.com/watch?v=xvyYKGq3W2k&playnext=1&list=PL81169B83263BBBD1&feature=results_video Never let me go Love me much too much If you let me go Life would lose its touch What would I be without you? There's no place for me without you Never let me go I'd be so lost if you went away There'd be a thousand hours in the day Without you I know Because of one caress my world was overturned At the very start, all my bridges burned By my flaming heart you'd never leave me, would you? You couldn't hurt me, could you? Never let me go Never let me go Never let me go I'd be so lost if you went away There'd be a thousand hours in the day Without you I know Because of one caress my world was overturned At the very start all my bridges burned By my flaming heart you'd never leave me, would you? You couldn't hurt me, could you? Never let me go Never let me go

"Les feuilles mortes" par Yves MOntand

http://www.youtube.com/watch?v=kLlBOmDpn1s Les feuilles mortes Oh, je voudrais tant que tu te souviennes, Des jours heureux quand nous étions amis, Dans ce temps là, la vie était plus belle, Et le soleil plus brûlant qu'aujourd'hui. Les feuilles mortes se ramassent à la pelle, Tu vois je n'ai pas oublié. Les feuilles mortes se ramassent à la pelle, Les souvenirs et les regrets aussi, Et le vent du nord les emporte, Dans la nuit froide de l'oubli. Tu vois, je n'ai pas oublié, La chanson que tu me chantais... C'est une chanson, qui nous ressemble, Toi qui m'aimais, moi qui t'aimais. Nous vivions, tous les deux ensemble, Toi qui m'aimais, moi qui t'aimais. Et la vie sépare ceux qui s'aiment, Tout doucement, sans faire de bruit. Et la mer efface sur le sable, Les pas des amants désunis. Nous vivions, tous les deux ensemble, Toi qui m'aimais, moi qui t'aimais. Et la vie sépare ceux qui s'aiment, Tout doucement, sans faire de bruit. Et la mer efface sur le sable Les pas des amants désunis... Jacques Prévert

19 Jan 2014

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Elle sera pour toujours mon bébé quoiqu'elle puisse dire ou faire....

www.youtube.com/watch?v=IYB8ZDcPM9Q

24 Jan 2014

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"La confusion des sentiments" de Stephan Zweig

www.youtube.com/watch?v=Z_5OweKNqCg

21 Jan 2014

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"Invierno porteño" d'Astor Piazzola

Porteño invierno tan puntual Regressas una y outra vez No sé desde qué mundo austral Para llevarme a algún pais En donde el frio mas glacial Se viste siempre com el gris En los vapores de alcohol Menpañan al alma y el cristal Y ya no puedo ver el sol. Invernal, Presiento tu sabor frutal Igual a mi tristeza, igual Que quiere abrirse en flor Y es quando todo duele Sin saber porqué Y es quando descobrimos Siempre to que nadie ve Quando sabemos bien que para bien o mal Llevamos en la piel un algo de invernal. Invernal, Como la realidad de quien Se queda con su adiós final Después de ver partir el tren Como una vida sin niñes Como un Domingo en la ciudad Pon pessadumbre de ciprés Como essas gotas de dolor De nuestra cruda soledad Quando lloramos por amor. Invernal, Porteño invierno como vos Suporto un frio cruel, atroz Mi propria soledad Y es quando todo duele Sin saber porqué Y es cuando descobrimos Siempre lo que nadie ve Quando sabemos bien que para bien o mal Llevamos en la piel un algo de invernal. Winter Winter in Buenos AIres so punctual You return time and time again I do not know from what Southern world To take me to any country Where a more glacial cold Is always seen and the gray In the alcohol vapours Misting up the soul and the windows And I can no longer see the sun. Winter, I sense a fruity flavour Equal to my sadness, as I want to open in bloom And when they are all burnt WIthout knowing why And then we find What no one else sees When we know that for better or worse We carry a part of winter in our skin. Winter, As the reality of who Stays with his final goodbye After watching the departure of the train As a life without childhood Like a Sunday in the city Puts the sadness of the cypresses Like those drops of pain From our raw loneliness When we cry for love. Winter, Buenos Aires winter like you I endure a cruel wicked chill, My own solitude And when all is hurt Without knowing why And then we find What no-one else sees When we know that for better or worse We carry a little of winter in our skin.

23 Feb 2010

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Stabat Mater de Pergolese

27 Feb 2010

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En moi, brillera pour toujours l'éclat de ta flamme

A partir d'une photo "Apache plume plant" de Paul Ewing un ami américain avec son autorisation http://community.webshots.com/user/paulewing En moi brillera pour toujours l'éclat de ta flamme Car tu as éclairé mon âme De ta lumière chaude et passionnée Et cela, ne pourrai jamais l'oublier ... / In me will shine forever the splendor of your flame For you have enlightened my soul With your hot passionate light And that, l will never forget ... Photo originale par Paul Ewing

20 Feb 2011

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Dans la nuit qui s'en va le cauchemar se glisse

http://www.youtube.com/watch?v=SskwjU7hL84&feature=related Au ventre du sommeil, je sais l’aurore noire Qui ravine le champ de mon grand lit défait Et draine un souvenir en son cours imparfait Puis plonge mon esprit dans un lac illusoire. La cathédrale en pleurs me dresse un exutoire, Un autel en son cœur où le verbe est parfait. Je me donne ingénue à l'ogre satisfait, Pour m'extirper de l'antre à l'oeil inquisitoire. Mon crâne est un tombeau, rempart fendu de peurs, La corde voit ses noeuds s'ouvrir comme des fleurs, Cinq œillets rouge vif trônent sur le bois lisse. Le rire enfin s'invite au point du nouveau jour, La colombe s'envole au sommet d'une tour, Dans la nuit qui s'en va le cauchemar se glisse. Chrissette
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