![Et quand nos ultimes silences s'en iront mourir... Et quand nos ultimes silences s'en iront mourir...](https://cdn.ipernity.com/125/33/84/14103384.bcae6465.75x.jpg?r2)
Mes oeuvres favorites
26 Apr 2011
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Words are just words but yours vibrate so deeply they awake my body
http://www.deezer.com/listen-669075
http://www.youtube.com/watch?v=UmpLtYmSlvM&feature=related
J’étais sans espoir, tu as changé mon sort
Offrant à ma vie une autre chance
Les mots ne sont que mots, les tiens vibraient si fort
Qu’en parlant à ma peau ils éveillaient mon corps
16 Apr 2011
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Your love made it well worth waiting For someone like you
Everybody Loves Somebody sometime
Everybody falls in love somehow
Something in your kiss just told me
My sometime is now
Everybody finds somebody someplace
There's no telling where love may appear
Something in my heart keeps sayin'
My someplace is here
If I had it in my power
I'd arrange for every girl to have your charms
Then every minute, every hour
Every boy would find what I found in your arms
Everybody Loves Somebody sometime
And although my dream was overdue
Your love made it well worth waiting
For someone like you
If I had it in my power
I would arrange for every girl to have your charms
Then every minute, every hour
Every boy would find what I found in your arms
Everybody Loves Somebody sometime
And although my dream was overdue
Your love made it well worth waiting
For someone like you
With:
15 Apr 2011
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Belle au crépuscule
A quatre mains photo de Sylvibrato reprise avec photofiltr par mes soins
http://www.deezer.com/listen-4120208
http://www.amazon.fr/Fl%C3%A2nerie-Matinale/dp/B002LG80QC
Vivre pour le meilleur Se vouloir pour tout se donner Plus riche de ne rien garder Que l’amour
http://www.deezer.com/listen-922465
http://www.youtube.com/watch?v=MdbCny-8-ek
Des gens qui cherchent la lumière
En pleine nuit
Des gens qui courent après l’amour
Et qui le fuient
Des bras qui se lèvent pour un Dieu
Qu’ils ne voient pas
Moi, j’ai ta chair contre ma chair
En ça je crois
Vivre pour le meilleur
Se vouloir pour tout se donner
Plus riche de ne rien garder
Que l’amour
Des hommes qui n’ont que l’illusion
D’attendre un signe
Des femmes qui pleurent leurs enfants
Et restent dignes
Moi, tu me rends plus fort chaque jour
Sans Dieu ni loi
Et quand nos corps se font l’amour
Je sais pourquoi
Vivre pour le meilleur
Se vouloir pour tout se donner
Plus riche de ne rien garder
Que l’amour
Oui, vivre pour vivre libre
Aimer tout ce qu’on peut aimer
Encore et toujours ne vouloir
Que l’amour, que l’amour
Vivre pour le meilleur
Se vouloir pour tout se donner
Plus riche de ne rien garder
Que l’amour, que l’amour
Oui, vivre pour vivre libre
Aimer tout ce qu’on peut aimer
Encore et toujours ne vouloir
Que l’amour, que l’amour
http://www.youtube.com/watch?v=MdbCny-8-ek
14 Apr 2011
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Malgré mes manques et mes faux pas, je t’aime bien plus haut que ma chute, bien plus loin que la route.
http://www.deezer.com/listen-8072851
http://www.youtube.com/watch?v=bOx0eKhD9f0
Ma compagne de lumière,
si jamais il m’arrive de te faire souffrir,
ce n’est que l’homme en moi prenant le pas sur l’âme,
l’instinct de mort obscurcissant la vie.
Malgré mes manques et mes faux pas,
je t’aime bien plus haut que ma chute,
bien plus loin que la route.
Je n’ai qu’à penser à toi pour que tout s’éclaire.
Ton regard lave la peau des mots.
Ta dignité me relève l’échine.
Jean-Marc La Frenière
14 Jan 2014
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La colère C'est les yeux qui s'effritent et le poing qui se blesse Au tranchant des caresses, au baiser de la vitre....
www.youtube.com/watch?v=oterMeDu_s0
Ca te vient, ça t'arrive, cent clébards dans la tête,
Une locomotive, un barrage qui pète
Ca te sort d'une graine et ça devient un tronc
Et les branches d'un chêne qui t'éclatent le front
C'est jouir à l'inverse, c'est un ciel à sanglots
Et son grelon qui perce les parois de la peau
C'est pleurer à l'envers, le pétard de la peine
L'orgasme de la haine. C'est s'entr'aimer quand même,
La colère
C'est un piano qui cogne dans l'orchestre des veines
Ce pipeau dont l'haleine sent mille saxophones
C'est la sueur de décembre, mourir en italique
Vouloir nouer ensemble la Manche et l'Atlantique
C'est une épée tendue à la barbe des cons
Une fleur de passion aux pétales pointus
C'est le jour moins le jour, c'est un accouchement
Sans l'aube d'un enfant, les mâchoires de l'amour,
La colère
C'est les yeux qui s'effritent et le poing qui se blesse
Au tranchant des caresses, au baiser de la vitre
"Patron, une dernière, à la santé du diable !"
Et je casse mon verre sur le bord de la table
C'est un rire qui balance sous le ciel des gibets
Et son sexe bandé en haut de la potence
C'est le cœur éclaté mais c'est mieux que se taire
De pouvoir la chanter, comme hurler de colère,
Sa colère
C'est l'anus du Vésuve dessous ma casserole
Un fleuve de pétrole où navigue l'étuve
La langue qui s'embrase, la salive qui brûle
Et le ventre qui hurle pour attiser les phrases
Cette vague de braises au bûcher de la mer
Cette écume incendiaire qui lèche la falaise
C'est un feu de chevaux lancés au cœur des champs
Et le vent qui reprend l'odeur de leurs sabots,
La colère
C'est sauter à deux pieds sur l'édredon des ronces
La rage qui défonce les portes enfoncées
C'est l'opéra du cri, l'orage de tes bras
C'est cracher du lilas à la gueule des orties
C'est un hymne de fou, c'est l'étincelle noire
Qui porte à la victoire l'agneau contre le loup
Un baiser en dedans à l'amitié complice
Qui mord à pleine dents le cul de l'injustice,
La colère
With:
16 Jan 2014
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Jamais plus le temps perdu ne nous fait face....
www.youtube.com/watch?v=eqXpUjC0jh4
Lorsque l'on tient,Entre ses mains,Cette richesse,
Avoir vingt ans,Des lendemains pleins De promesses,
Quand l'amour Sur nous,Se penche,
Pour nous offrir Ses nuits blanches,
Lorsque l'on voit,Loin devant soi,Rire la vie.
Brodée l'espoir,Riche de joies Et de folies,
Il faut boire jusqu'à l'ivresse,
Sa jeunesse.
Car,Tous les instants De nos vingts ans Nous sont comptés,
Et jamais plus,Le temps perdu Ne nous fait face,
Il passe....
Souvent en vain,On tend les mains Et l'on regrette,
Il est trop tard,Sur son chemin rien ne l'arrête,
On ne peut garder sans cesse
Sa jeunesse.
Avant que de sourire Et nous quittons l'enfance,
Avant que de savoir,La jeunesse s'enfuit,
Cela semble si court,Que l'on est tout surpris,
Qu'avant que de comprendre,On quitte l'existence.
Lorsque l'on tient,Entre ses mains,Cette richesse,
Avoir vingt ans,Des lendemains pleins De promesses,
Quand l'amour,Sur nous,Se penche,
Pour nous offrir Ses nuits blanches,
Lorsque l'on voit,Loin devant soi,Rire la vie.
Brodée l'espoir,Riche de joies Et de folies,
Il faut boire jusqu'à l'ivresse,
Sa jeunesse.
"Au moment d'être à vous" par Isabelle Boulay
Aimer (sur une femme de Bouguereau)
Que peut une créature
sinon, entre créatures, aimer ?
aimer et oublier,
aimer et malaimer,
aimer, désaimer, aimer ?
aimer, et le regard fixe même, aimer ?
Que peut, demandé-je,
l'être amoureux,
tout seul, en rotation universelle,
sinon tourner aussi, et aimer ?
aimer ce que la mer apporte à la plage,
ce qu'elle ensevelit,
et ce qui, dans la brise marine,
est sel, ou besoin d'amour, ou simple tourment ?
Aimer solennellement les palmiers du désert,
ce qui est abandon ou attente adoratrice,
et aimer l'inhospitalier,
l'âpre, un vase sans fleur, un parterre de fer,
et la poitrine inerte, et la rue vue en rêve,
et un oiseau de proie.
Tel est notre destin : amour sans compter,
distribué parmi les choses perfides ou nulles,
donation illimitée à une complète ingratitude,
et dans la conque vide de l'amour la quête apeurée,
patiente, de plus en plus d'amour.
Aimer notre manque même d'amour,
et dans notre sécheresse aimer l'eau implicite,
et le baiser tacite,
et la soif infinie.
Carlos Drummond de Andrade
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