Krisonteme's photos
Petit coin sympa
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Que Titi a mangé !!!!!!!!!!!!!!!!!!
!J'entre au Costes boire un verre
Mais la serveuse me pompe l'air
J'ai pas la réservation
Je ressors j'ai l'air d'un con
Ca m'énerve, oui ça m'énerve
J'ai un cadeau à faire
De chez Zadig & Voltaire
Le pull où c'est marqué "Rock"
Mais y'a la rupture de stock
Ca m'éneeeeerve
Toutes celles qui portent la frange à la Kate Moss
Ca m'éneeeeerve
Le rouge à lèvres c'est fini maintenant c'est le gloss
Ca m'éneeeeerve
Toutes celles qui rentrent dans le jean slim en taille 34
Ca m'éneeeeerve
La seule vue sur le string te donne envie de les abattre
Scheisse !
Devant le club VIP y'a plein de Lamborghini
Moi j'arrive sur mon vespa on me dit tu rentres pas
Mais ça m'énerve
J'entre chez Weston une blondasse au téléphone
Me dit : « j'peux vous aider ? »
Non je vous ai pas sonnée
Elle m'énerve, mon Dieu qu'elle m'énerve
J'ai bu les mojitos au Milliardaire
Dans le carré j'ai tout vomi par terre
J'ai perdu mon ticke pour le vestiaire
Je trouve pas de taxi, ach, c'est la guerre !
Ca m'éneeeeerve
Toutes celles qui portent la frange à la Kate Moss
Ca m'éneeeeerve
Le rouge à lèvres c'est fini maintenant c'est le gloss
Ca m'éneeeeerve
Toutes celles qui boivent le champagne rosé
Ca m'éneeeeerve
Pour oublier qu'en Jimmy Chooo t'as mal aux pieds
Ca m'énerve tous les gens qui font la queue chez Ladurée
Tout ça pour des macarons à la Tourte
Mais bon...
Il parait qu'ils sont bons
Ca m'éneeeeerve
Toutes celles qui dansent sur le dancefloor comme des princesses
Ca m'éneeeeerve
Toutes celles comme toi qui ecoutent beaucoup trop fort la musique
Ca m'éneeeeerve
Moi je monte les voir et je leurs dis avec le cric : "ça m'énerve"
Cherche regard neuf sur les choses.......
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Découvrez !
Une guêpe s'envole, se pose, butine
Et l'image cogne à ma rétine
Mais déjà mon regard est loin
Je n' sais plus voir le quotidien
J'aimerais me réveiller sans mémoire
Redécouvrir c'que j'peux plus voir
J'ai écrit une petite annonce
Un mois déjà, pas de réponse
Ref
Cherche regard neuf sur les choses
Cherche iris qui n'a pas vu la rose
Je veux brûler encore une fois
Au brasier des premieres fois
Je veux revoir ma premiere fleur,
L'accompagner, jusqu'à c'qu'elle meure
Et découvrir une flaque d'eau
Comme une porte pour descendre en haut
J'irais dimanche à Orly Sud voir le métal s'prendre pour une plume
Ouvrant les doigts, joignant mes pouces
J'verrais mon ombre
Lui faire la course
Cherche regard neuf sur les choses
Cherche iris qui n'a pas vu la rose
Je veux brûler encore une fois
Au brasier des premieres fois
Cent ans lui sont,
Comme prise au piège
Je devinerais mes premières neiges
Battant des mains comme un enfant
J'm'entendrais rire
"Eh c'est tout blanc"
Je veux poursuivre des nuages noirs
Au grand galop
Sur les trottoirs
Sous la tourmente
Au mur du vent
Les parapluies deviennent vivants
Cherche regard neuf sur les choses
Cherche iris qui n'a pas vu la rose
Je veux bruler encore une fois
Au brasier des premières fois
Mais j'ai croisé sur mon chemin
De grands yeux bleus
De blanches mains
Ces menottes ont pris mes poignés
Et ce sont ces yeux qui m'ont soignés
Des parapluies se sont ouverts
Un grand avion a fendu l'air
A déversé ces doux flocons
Tout été blanc, tout...non
A nos pieds, brillait quelquechose
Et mes yeux ont reconnus la rose
J'ai brulé tout contre toi
Au brasier d'une première fois
Soleil noir
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!
Pour ne plus, jamais plus, vous parler de la pluie,
Plus jamais du ciel lourd, jamais des matins gris,
Je suis sortie des brumes et je me suis enfuie,
Sous des ciels plus légers, pays de paradis,
Oh, que j'aurais voulu vous ramener ce soir,
Des mers en furie, des musiques barbares,
Des chants heureux, des rires qui résonnent bizarres,
Et vous feraient le bruit d'un heureux tintamarre,
Des coquillages blancs et des cailloux salés,
Qui roulent sous les vagues, mille fois ramenés,
Des rouges éclatants, des soleils éclatés,
Dont le feu brûlerait d'éternels étés,
Mais j'ai tout essayé,
J'ai fait semblant de croire,
Et je reviens de loin,
Et mon soleil est noir,
Mais j'ai tout essayé,
Et vous pouvez me croire,
Je reviens fatiguée,
Et j'ai le désespoir,
Légère, si légère, j'allais court vêtue,
Je faisais mon affaire du premier venu,
Et c'était le repos, l'heure de nonchalance,
A bouche que veux-tu, et j'entrais dans la danse,
J'ai appris le banjo sur des airs de guitare,
J'ai frissonné du dos, j'ai oublié Mozart,
Enfin j'allais pouvoir enfin vous revenir,
Avec l'oeil alangui, vague de souvenirs,
Et j'étais l'ouragan et la rage de vivre,
Et j'étais le torrent et la force de vivre,
J'ai aimé, j'ai brûlé, rattrapé mon retard,
Que la vie était belle et folle mon histoire,
Mais la terre s'est ouverte,
Là-bas, quelque part,
Mais la terre s'est ouverte,
Et le soleil est noir,
Des hommes sont murés,
Tout là-bas, quelque part,
Les hommes sont murés,
Et c'est le désespoir,
J'ai conjuré le sort, j'ai recherché l'oubli,
J'ai refusé la mort, j'ai rejeté l'ennui,
Et j'ai serré les poings pour m'ordonner de croire,
Que la vie était belle, fascinant le hasard,
Qui me menait ici, ailleurs ou autre part,
Où la fleur était rouge, où le sable était blond,
Où le bruit de la mer était une chanson,
Oui, le bruit de la mer était une chanson,
Mais un enfant est mort,
Là-bas, quelque part,
Mais un enfant est mort,
Et le soleil est noir,
J'entends le glas qui sonne,
Tout là-bas, quelque part,
J'entends le glas sonner,
Et c'est le désespoir,
Je ne ramène rien, je suis écartelée,
Je vous reviens ce soir, le coeur égratigné,
Car, de les regarder, de les entendre vivre,
Avec eux j'ai eu mal, avec aux j'étais ivre,
Je ne ramène rien, je reviens solitaire,
Du bout de ce voyage au-delà des frontières,
Est-il un coin de terre où rien ne se déchire,
Et que faut-il donc faire, pouvez-vous me le dire,
S'il faut aller plus loin pour effacer vos larmes,
Et si je pouvais, seule, faire taire les armes,
Je jure que, demain, je reprends l'aventure,
Pour que cessent à jamais toutes ces déchirures,
Je veux bien essayer,
Et je veux bien y croire,
Mais je suis fatiguée,
Et mon soleil est noir,
Pardon de vous le dire,
Mais je reviens ce soir,
Le coeur égratigné,
Et j'ai le désespoir,
Le coeur égratigné,
Et j'ai le désespoir...
Ficus
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Rouge, le ciel est rouge et nous promet de beaux m…
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J'ai jamais rien dit, jamais bravé la moindre loi
Pas le plus petit carreau brisé le moindre éclat de vois
J'ai vécu peinard dans mon pinard et mes pantouffles
Ce succédané de liberté où l'on étouffe
J'ai fermé ma gueule et ma fenêtre et mes idées
J'ai été le seul à me connaître, à me voir me rider
Mais je n'en peux plus de m'être tu dans ce vacarme
Dans la fausse paix du monde vrai des marchands d'armes
Et c'est moi, moi le lâche
Et c'est moi, qui me fâche
Et c'est moi qui m'arrache et qui vous secoue
Moi l'intrus, l'anonyme
Le cocu, la victime
Je ne veux plus tendre l'autre joue
Bouge, mon pauvre coeur usé d'avoir battu pour rien
Les années solitaires, les années sans lumière, c'est loin
Rouge, le ciel est rouge et nous promet de beaux matins
L'horizon est couleur de colère...
Qu'est-ce que je foutais dans mon silence et dans ma peur
Enterré vivant, tenant autant de place qu'une erreur
Qu'est-ce que je foutais, moi toujours prêt dans le tumulte
A courber le dos, à faire le beau sous les insultes
II en est bien sur de plus malins et de plus forts
Des briseurs de sceptre, des païens qui traquent le veau d'or
Prêts à tout casser pour renverser les dictatures
El les remplacer souvent par d'autres dictatures
Mais c'est moi, moi le lâche
Mais c'est moi, qui me fâche
Et c'est moi qui m'arrache et qui vous secoue
Moi l'intrus, l'anonyme
Le cocu, la victime
Je ne veux plus
Tendre l'autre joue
Bouge, ma pauvre vie laissée pour compte si longtemps
Et si c'est éphémère, ne te prive pas d'air pour autant
Rouge, le ciel est rouge et nous promet de beaux printemps
L'avenir est couleur de colère!
De colère!
De colère!
De colère!
Oser ouvrir ses ailes
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!
Pourquoi ranger dans un étui
Ta vie, ton âme et tes envies
Faire de ton coeur un coffre-fort
Une forteresse d'où rien ne sort ?
Tous les fantasmes inassouvis
Sont des îles de rêve englouties
Pourquoi dissimuler ton corps
Comme un trésor ?
(refrain)
Il faut s'offrir pour être belle
Il faut oser ouvrir ses ailes
Dire les mots qui font rougir
Et s'éblouir
Il faut s'offrir pour être belle
Il faut oser ouvrir ses ailes
Tout donner sans réfléchir
Se découvrir
S'offrir pour être belle
Oser ouvrir ses ailes
Laisser chacun de tes sourires
Te trahir
S'offrir pour être belle
Oser ouvrir ses ailes
Laisser la lumière du désir
T'éblouir
Dis que tu aimes,dis le enfin
Avant que l'amour soit éteint
Mets ta pudeur à découvert
Garde juste un peu de mystère
Tous les sentiments clandestins
Ne font pas voyager très loin
Laisse le silence au désert
Aux solitaires
(refrain)
Il faut s'offrir pour être belle
Il faut oser ouvrir ses ailes
Dire les mots qui font rougir
Et s'éblouir
Il faut s'offrir pour être belle
Il faut oser ouvrir ses ailes
Tout donner sans réfléchir
Se découvrir
...
S'offrir pour être belle
Oser ouvrir ses ailes
Laisser chacun de tes sourires
Te trahir
S'offrir pour être belle
Oser ouvrir ses ailes
Laisser la lumière du désir
T'éblouir
...
Il faut s'offrir pour être belle
...
Se donner sans réfléchir
Se découvrir
...
Il faut s'offrir pour être belle
ben oui !!!!!
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C'est pas fini !!!!!
Monsieur le cuisiniste je vais sortir mon canon scié!!!!!!!!
Ciel de Limoux un 4 sept à 20h
ptit poivrons
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Tendrement
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pensedujour-1
fleurs de Plumbago
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si loin
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!
Tant de fois j'ai tenté
D'aller toucher les étoiles
Que souvent en tombant
Je m'y suis fait mal
Tant de fois j'ai pensé
Avoir franchi les limites
Mais toujours une femme
M'a remis en orbite
Tant de fois j'ai grimpé
Jusqu'au plus haut des cimes
Que je m'suis retrouvé
Seul au fond de l'abîme
Seul au fond de l'abîme
Celui qui n'a jamais été seul
Au moins une fois dans sa vie
Seul au fond de son lit
Seul au bout de la nuit
Celui qui n'a jamais été seul
Au moins une fois dans sa vie
Peut-il seulement aimer
Peut-il aimer jamais
Tant d'amis sont partis
Du jour au lendemain
Que je sais aujourd'hui
Qu'on peut mourir demain
On a beau tout avoir
L'argent, l'amour, la gloire
Il y a toujours un soir
Où l'on se retrouve seul
Seul au point de départ
Celui qui n'a jamais été seul
Au moins une fois dans sa vie
Seul au fond de son lit
Seul au bout de la nuit
Celui qui n'a jamais été seul
Au moins une fois dans sa vie
Peut-il seulement aimer
Peut-il aimer jamais
Tant de fois j'ai été
Jusqu'au bout de mes rêves
Que je continuerai
Jusqu'à ce que j'en crève
Que je continuerai
Que je continuerai
Celui qui n'a jamais été seul
Au moins une fois dans sa vie
Seul au fond de son lit
Seul au bout de la nuit
Peut-il seulement aimer
Jamais, jamais
Je continuerai
Je continuerai
Peut-il jamais aimer
Qui, le vent à la main Descendait de l'Oural
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Découvrez !
Oï tzigané
Est-ce que vous connaissez l'histoire
De la jeune fille
La jeune fille aux yeux noirs
Qui, le vent à la main
Descendait de l'Oural
La terre tremblait sous son cheval
Le feu dans ses yeux
Le ciel et le soleil
Brûlaient dans ses yeux noirs
Ses yeux noirs...
Otchi tchiornyé
Otchi strassnyié
Otchi jgoutchié
I pries krasnié
Kak lioubliou ya vas
kak baîouss ya vas
Znaîti ouvidiel
Vniedobryi tchas
Oh jeune fille aux yeux noirs
Nous, les libres oiseaux
Irons loin vers la mer
Longtemps après les terres
Après les plaines mortes
Sur l'océan brûlant
Nous brûlerons aussi
Au fond de tes yeux noirs
Tes yeux noirs...
Otchi tchiornyé
Otchi strassnyié
Otchi jgoutchié
I pries krasnié
Kak lioubliou ya vas
kak baîouss ya vas
Znaîti ouvidiel
Vniedobryi tchas
Ô vos Yeux noirs
Yeux passionnés
Yeux brûlants et superbes
Comme je vous aime
Comme je vous crains
C'est que je vous vis
A la mauvaise heure
Quand je ne serai plus du bord des vivants
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!
Les papillons, ils vont, ils viennent, ils voltigent
Ils sont là et hop, ils sont repartis, comme des prodiges
J'ai toujours pensé
Que si nous mourons
Nous, nous changerons
Quand nous partirons
En nuage doré
En oiseau cendré
Ou en papillon
Je me suis souvent dit
Qu'on sera peut-être pas très loin d'ici
Au moins pour les êtres
Qui comptent dans notre vie
Et qu'on n'oublie pas
Quand ils sont partis
Alors toi
Alors toi qui es là-bas
Toi qui sais des choses
Toi qui sais dis-moi
Qui est ce papillon rouge noir et blanc
Qui s'est posé là tranquillement
Devant chez moi sur le gazon
Juste à l'entrée de ma maison
Et en dehors de la saison
J'ai perdu la trace de quelques amis
Gens qui vous embrassent et qu'on ne revoit plu
Je ne peux pas savoir
S'ils se sont perdus ou s'ils sont en vie
Alors toi
Alors toi qui es là-bas
Toi qui sais des choses
Toi qui sais dis moi
Qui est ce papillon rouge noir et blanc
Qui s'est posé là tranquillement
Devant chez moi sur le gazon
Juste à l'entrée de ma maison
Et en dehors de la saison
Quand je ne serai plus du bord des vivants
Je viendrai vois-tu juste une fois seulement
Voir si tu vis bien
Voir que tu vas bien même sans moi
Bien même sans moi