Naej's photos
Les Poulins-2 - copie
Belle Ile en mer Plage des Donnanttt
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L'appel du vide
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Toujours à Belle île avec notre petit groupe de 7 adultes "handicapés"... Ici , un collègue Educateur qui Frime un peu devant les filles ! ;o))
Contemplative...
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Photo prise à Belle île en Mer voici quelques années alors que je travaillais encore et que nous étions en séjour avec un groupe d'Adultes dits "Handicapés". Cette jeune personne qui contemple l'horizon est une de mes collègues Educatrice...
L'attente
Au revoir JP...
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L'Automne resplendissant a emporté mon ami et coach JP alias Balbuzard vers des
cieux plus cléments...
Le voici en pleine action alors que je lui faisais découvrir Belle île et toutes ses merveilles.
Je suis triste et pas très présent en ce moment, mon APN est en berne , le temps de me faire à l'idée de ne plus le voir et l'entendre... je reviendrai, après....
Pont de Terenez
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"Le thème de la semaine"
Source Wikipédia :
Avant la construction du pont, la traversée de l'Aulne se faisait par bacs afin d'assurer la continuité de la route nationale. Les accidents étaient très nombreux, notamment les jours de foire en raison d'un bac à fond plat et peu manœuvrable qui était emporté par le courant des marrées et chaviraient. L'Aulne engloutissait les hommes, les chevaux et les marchandises.
En 1998, lIl est décidé de construire un nouveau pont à proximité du pont actuel. L'option majeure est d'offrir des accès en courbe pour fluidifier la circulation. Sur le pont de 1951, les accès à angle droit ne permettaient pas le croisement d'un semi-remorque et d'un autre véhicule, l'un devant céder le passage à l'autre.
Le chantier a débuté le 19 avril 2007. Les boîtes d'ancrage des haubans, au sommet des piliers, ont été respectivement hissées le 7 juillet 2009 en rive gauche (côté Argol sur la presqu'île) et le 13 janvier 2010 en rive droite (côté Rosnoën). La première moitié de la structure, à partir du pilier rive gauche, a été achevée fin mars 2010 et l'ensemble de la structure, reliant les deux rives, fin août 2010. L'inauguration a eu lieu le week-end des 16 et 17 avril 2011 : samedi 16 avril, inauguration et passage symbolique du Tour cycliste du Finistère sur le nouveau pont. Dimanche 17 avril, fermeture totale de l'axe routier avec animations et accès aux deux ponts uniquement réservés aux piétons, cavaliers et véhicules anciens de collection. Ce magnifique ouvrage d'art a ensuite été ouvert définitivement à la circulation ce même jour aux alentours de 23 h. Il est le premier pont courbe à haubans de France, de 515 m de portée dont 285 m pour la travée centrale. L'ouvrage a été conçu par l'architecte Charles Lavigne et l'ingénieur Michel Virlogeux. Thomas Lavigne et Christophe Cheron ont assuré le suivi architectural de l'ouvrage pendant le chantier. C'est une première mondiale, jamais un pont à haubans de forme circulaire n'avait été construit. L'ouvrage est récompensé en 2013 par le World Infrastructure Award et en 2014 par le prix du plus bel ouvrage d’art remis par la Fédération international du béton. Il détient le record du monde de portance en courbe et sans support.
Deux distinctions qui confirment la portée mondiale de ce pont à la technicité et l’esthétique uniques en leur genre.
Visiteur du soir...
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N'étant pas un spécialiste de ce monde, je lance un appel à ceux et celles qui le sont pour me dire qui est ce visiteur... Merci !
Paul le poulpe
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La presse n’a pas dit la vérité suite à la coupe du Monde 2010…
En effet, il faut savoir que ce pronostiqueur de génie était en fait d’origine Française.
S’il s’est éteint peu après cette coupe du monde, ce n’est pas de vieillesse !
N’ayant pas supporté le triste spectacle de l’équipe de France et sa pitoyable descente du Bus qui restera à jamais gravée dans l’histoire du football français, il décida de s’échapper de son lieu de résidence et de gagner la France à la nage pour revenir sur la terre qui l’a vu naître et aller chatouiller Ribéry et consorts de ses petits bras musclés… Hélas, il avait présumé de ses forces et s’est éteint en arrivant sur les côtes Bretonnes près de Kerlouan dans le Finistère comme le prouve cette photo de notre envoyé spécial ! La mer lui a murmuré à l’oreille qu’elle avait, pour récompenser le courage de Paul, décidé de lui construire un linceul de granit…
A votre avis, combien de rivière, de fleuve, de mer et d’océan a dû franchir le regretté Paul pour rejoindre les rivages Bretons sachant qu'i est parti de Berlin ?
La grande lessive...
Les amants de l'iroise
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Ils se sont rencontrés le 15 août 1950 durant leurs vacances. Ils étaient jeunes, insouciants comme peut l’être la jeunesse.
leur vie s’annonçait prometteuse…
Ils aimaient se promener sur la plage au bord de l’eau au coucher du soleil et l’on pouvait entendre leurs rires portés par la brise lorsque les vagues venaient leur lécher les pieds.
C’était un beau mois d’août, chaud, sans excès, comme il y en a parfois même en Bretagne…
Un soir, ils décidèrent de prendre un bain de minuit puis de dormir sur la plage.
Lui avait 16 ans, elle avait 15 ans…
Ils s’étaient donné rendez vous à 22h au village de pêcheurs de Meneham non loin de leur maison de vacances respective qu’ils quittèrent discrètement sans que leurs parents les entendent.
Le sable était encore tiède, la mer était calme, la plage déserte … Seul le cri des goélands venait troubler le silence de cette belle soirée. Ils s’allongèrent sur une couverture, restèrent silencieux, intimidés par leur présence respective, sentant monter en eux une attirance quasi irrésistible… L’ambiance était électrique, à chaque frôlement de peau ils sursautaient comme s’ils étaient victimes d’une poignée de châtaigne…
Puis, fermant les yeux, leurs bouches se trouvèrent, se rencontrèrent en un long baiser langoureux… leurs mains se mirent à explorer des rivages inconnus, si doux, si chauds… Ils découvrirent l’Amour de façon instinctive, avec douceur et maladresse et vécurent un moment magique… Sans rien dire, sans se regarder, ils se levèrent se tenant par la main pour ne pas se perdre et s’élancèrent vers l’eau qui leur tendait les bras. Ils jouèrent dans les vagues comme des enfants qu’ils étaient, s’aspergeant, riant aux éclats… Puis fatigués mais heureux, ils revinrent s’allonger sur la couverture et s’endormirent tendrement enlacés…
A l’aube, des promeneurs matinaux furent étonnés de voir une couverture sur laquelle reposaient quelques vêtements et deux paires de chaussures… Ils eurent beau scruter la plage et les roches environnantes, ils ne virent personne…
Non loin de là, deux familles constatèrent l’absence de leurs enfants… Après de nombreuses recherches aux alentours de la plage, après que les plongeurs eurent fouillé la mer sur un large périmètre, les autorités conclurent à une fugue ou à une noyade…
La mer ne rendit jamais les corps des deux amants …
Le monde non plus...
Le 15 août 2010, les pêcheurs de Meneham eurent la surprise de voir un matin deux nouveaux rochers de granit qui, pendant la nuit, avaient surgis de l’eau en face de l’endroit où la disparition des deux adolescents avait été constatée… la forme de ces rochers faisait penser à deux êtres humains enlacés et ils eurent alors la certitude que les adolescents disparus ce même jour en 1950 avaient été surpris par la marée montante et que la mer les avait à jamais réunis dans une étreinte passionnée veillant à l’accomplissement de leur Amour avant de les faire ressurgir à la surface des flots 60 ans plus tard …
Prisonnière...
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Elle a dans le regard comme un rêve d'Afrique
Et quand le fier dompteur d'un long bâton la pique
Elle a une envie folle de le prendre à la gorge
Et de le déguster comme un bon sucre d'orge...
L'Aigle qui se voyait Goéland...
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L’aigle s’ennuie et déprime... Il en a assez de tourner en rond au dessus des cimes rocheuses de sa montagne natale et de chercher de ses yeux affutés des proies improbables.
Un beau jour, il décide de partir à la découverte d’un autre monde qui le ferait sortir de sa monotonie. Prenant son envol, il franchit les montagnes et les plaines, longe des rivages inconnus et parvient après des heures de vol sur les côtes bretonnes bordées par la mer d’Iroise.
Séduit par ce nouveau paysage, il décide de s’y arrêter et se pose auprès d’un groupe d’étranges oiseaux blancs et gris provoquant un mouvement de panique se traduisant par des cris hostiles et désagréables à l’oreille :
« Ne craignez rien dit-il à ces étranges créatures, je ne vous veux aucun mal ! Je souhaite juste me joindre à vous et que vous acceptiez de m’apprendre la mer… »
Les Goélands, car il s’agissait bien d’eux, tinrent conciliabule dans une cacophonie assourdissante. Au bout d’un moment, celui qui semblait être le chef du groupe s’approcha prudemment de l’étranger. :
« Nous voulons bien t’accepter parmi nous, bien que tu sois différent. Mais il te faudra participer à la vie de notre petite communauté, pêcher, protéger nos petits, et veiller à notre sécurité. Si tu es d’accord, nous t’apprendrons la mer et tous ses secrets ainsi que la façon d’attraper les poissons. »
« Merci, c’est très gentil ! répondit l’Aigle, Je m’engage donc à partager le quotidien de votre vie et à assurer votre sécurité. Je suis assez doué dans ce domaine»
Les goélands tinrent leurs promesses, et lui racontèrent la mer, les vagues, les marées, les tempêtes, les vents furieux qui faisaient gonfler les vagues… Ils lui racontèrent encore les pêcheurs sur leur bateau et les festins qu’ils faisaient lorsque ceux-ci rentraient de pêche…
Puis vint le moment de lui apprendre à pêcher. Le groupe et son nouveau membre grimpèrent haut dans le ciel.
« D’ici, lui dit le chef, tu pourras repérer le poisson, et lorsque tu en verras un, tu t’élanceras en piquant vers la mer tu pénètreras l’eau et te saisiras de ta proie puis tu remonteras à la surface. Il te faudra faire vite car le poisson est rapide et difficile à repérer ! Mais tu n’es pas comme nous et il serait très dangereux pour toi de chercher à nous imiter : aussi je te conseille de ne pas risquer ta vie... »
Ils lui firent une démonstration qui lui rappela la façon dont lui même s’y prenait pour repérer et capturer ses proies dans ses montagnes… Sauf que, avec sa vue perçante, l’Aigle voyait des bancs entiers de poisson là ou les goélands ne voyaient que quelques spécimens.
Dès lors, il les guida et leur indiqua les meilleurs endroits pour
capturer le plus de poissons possible, s'abstenant de participer à la pêche.
Il fut donc définitivement adopté par les goélands et devint le meilleur éclaireur d’entre eux lorsqu’il s’agissait d’aller pêcher…
Puis, mal lui en pris, il lui vint un jour l’envie de participer activement à cette activité malgré les avertissements qui lui avaient été donnés : fondre sur ses proies lui manquait et son instinct de chasseur l’y poussa… Les goélands essayèrent bien de l’en dissuader en lui expliquant qu’il n’était pas un oiseau marin, qu’il n’avait pas les pattes palmées pour pouvoir nager, que son plumage n’était pas étanche etc. etc.
Il ne voulut rien savoir …
Ce qui devait arriver arriva, hélas ! Ayant repéré un banc de poissons, il pique vers la mer tel un stuka, fend l’eau sans aucune éclaboussure et disparait à jamais dans les profondeurs…
Une grande tristesse s’abat dans le cœur des goélands qui n’ont pas pu empêcher le fier et courageux Aigle d’effectuer ce mortel plongeon…
Pour se souvenir de lui et pour que sa mémoire reste à jamais présente sur le rivage, ils demandent à leur mer nourricière de sculpter avec ses vagues une roche de granit à l’effigie de l’oiseau royal qui a partagé et protégé leur vie le temps d’un… rêve.
Ce qu’elle fit …
Je l’ai vu de mes propres yeux du côté de Kerlouan, lors de la dernière tempête, sculpter la tête de l’Aigle…
Le pêcheur et son chien
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C’est un matin de septembre qu’ils ont pris la mer…
le chien Moussaillon, le pêcheur Corentin.
Le soleil perçait l’horizon, la mer était plate et belle.
Ils s’en allaient relever les casiers situés à 2 ou 3 milles
de la côte dans un lieu hérissé de récifs tranchants
comme des lames de rasoir… Corentin les connaissait
mieux que le fond de sa poche depuis le temps qu’il parcourait les lieux
presque tous les jours que Dieu fait. Il espérait bien découvrir quelques homards ou quelques araignées et pourquoi pas les deux ?
Las, ce jour, peu après leur départ, le vent s’est levé, la mer s’est soulevée…
Après que la soudaine et brève tempête se soit calmée, vers 15h,
inquiets de ne pas voir le bateau de Corentin amarré à sa place
habituelle dans le petit port de pêche, ses amis, pêcheurs comme lui, se sont inquiétés et pendant des heures et des heures ils ont cherché dans la zone de pêche qu’il fréquentait toujours… En vain, hélas.
Ils ont pleuré l’ami disparu avec son chien fidèle, ils ont bu, beaucoup…
Le petit bateau de pêche ne fut jamais retrouvé.
Une année jour pour jour après ce drame, quelle ne fût pas leur surprise
de découvrir sur l’une des plages jouxtant le petit port de pêche, deux nouvelles roches de granit dans lesquelles ils reconnurent la silhouette de leur ami et de son chien, enlacés comme pour se dire adieu ou peut être simplement heureux de se retrouver ainsi figés ensemble pour l’éternité…
Depuis, tous les jours ils viennent les saluer et trinquer auprès d’eux à l’heure de l’apéro et ils racontent même qu’ils entendent les aboiements du chien Moussaillon et les rires de Corentin !
Mais là, je ne les ai pas cru car c’était à l’heure de l’apéro !!
La vie
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Et un jour tout recommencera...
Alors que la folie des hommes règne sur la terre,
Alors que des enfants, des hommes et des femmes meurent sous les bombes,
Alors que des avions s’écrasent sur des terres jonchées de cadavres,
Alors que des millions d’humains sont sacrifiés sur l’autel des profits,
Alors que l’humanité s’autodétruit jour après jour,
La Nature continue son petit bonhomme de chemin, se vengeant de plus
En plus souvent des mauvais traitements qui lui sont infligés par cette folie
Dévastatrice …
La terre, endeuillée, renaîtra de ses cendres comme à l’origine du Monde et...
Alors, un jour, tout recommencera...
La fin du voyage de l'éléphant...
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Je suis fatigué...
J'ai traversé les océans
sans jamais reposer mes pieds...
J'ai parcouru des continents
Sans penser à me ménager...
Je me suis lassé...
J'ai vu cette côte incroyable
ai pensé à l'imaginable...
pouvoir m'y reposer
pour l'éternité...
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