Le poète s’en va rêvant du large de la mer
Voguant, radieux, sous la voute aurifère.
Il oublie, se faisant, ses blessures du passé
En se laissant caresser par les flots déchaînés.
Il entend d’autres rimes, loin du chant des sirènes.
Leurs doux clapotis en ont fait une chaîne.
Elles bercent son cœur au rythme langoureux
Des vagues d’éternité à la couleur si bleue.
Il se laisse glisser dans ce songe abyssal
Où tous ses tourments lentement s’en exhalent.
Lui, le noctambule étanchera sa fringale
De mots divins en parade nuptiale.
Il s’enivre en chantant sous les cieux étoilés.
Au soleil couchant, il épanche son âme frustrée.
Il se nourrit d’insomnies aux silences rongés
A l’agonie des sens au linceul azuré…
Valéri@ne
Bercée par le chant des sirènes dans une mer limpide....
Et même que très bientôt le capitaine d'un bateau va me sauver...euh? oui quand même !!
Laissons de côté ma folie passagère pour te dire, ô combien j'apprécie ton poème et ta créa qui m'ont fait rêver. *******
Besitos☼ma mie♪
tu as une plume géniale ma chère Valériane !
gros bisous !
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