Reflets de lumière, étincelles de poussière,

Sur le monde irrigué de substances chair,

Visages de funambules du Verbe troublant,

Drainant des rimailles en silences poétiques

Nouent l’écheveau des mots pathétiques ;

Ensemençant un lambeau de feuille oubliée

A l’encens des heures solitaires étoilées.

Murmures d’étonnement qui enivrent au souffle du vent.

La plume au trait posé trace un écrit aimant.

Reflets paisibles d’un océan transparent

Avec aux bouts des doigts ce poème naissant…

(c)Valériane