Caresses émouvantes de ta tendresse décadence,

Poésie incertaine en mille notes fragrance,

Je porte à mes lèvres la coupe de l’espérance

Pour m’enivrer des effluves de tes sens.

Fermer les yeux pour écrire sur le bord de ton âme,

Au bruissement doux de mon cœur qui se pâme.

Entends-tu le fragile et léger murmure

Des ailes de l’oubli que l’on susurre ?

Jusqu’à mon dernier souffle, je veux voir ton sourire

Comme le jour qui s’impose en précieux élixir.

Tu resteras à jamais, celui près de qui le sublime désir

De lier mes heures fut de te chérir…

(c)Valériane