Nous aurons des lits pleins d'odeurs légères,
Des divans profonds comme des tombeaux,
Et d'étranges fleurs sur des étagères,
Ecloses pour nous sous des cieux plus beaux.
Usant à l'envi leurs chaleurs dernières,
Nos deux coeurs seront deux vastes flambeaux,
Qui réfléchiront leurs doubles lumières
Dans nos deux esprits, ces miroirs jumeaux.
Un soir fait de rose et de bleu mystique,
Nous échangerons un éclair unique,
Comme un long sanglot, tout chargé d'adieux;
Et plus tard un Ange, entr'ouvrant les portes,
Viendra ranimer, fidèle et joyeux,
Les miroirs ternis et les flammes mortes.
............ Charles BAUDELAIRE,,,,,,,,,,,
Article publié le 16 décembre 2010 pour la première fois.
Mais mon poeme et le contraire au poeme de Baudelaire
Donne-moi de l'amour entre ces draps sales que nous les nettoierons avec notre sueur. Il y a un ciel il était plein des étoiles mais les rues de ce peuple sans nous il est vide. Ne voyons pas derrière que nous recommencerons à trouver le temps perdu avec le désir qui nous permettra le ciel des pleines lunes d'étoiles fugaces.
Cette vieille grande bâtisse de traces anciennes d 'amour, qui se permettent de voir à une moitié des chemins qu'ils portent du Cuenca à Madrid. Mais cette chaleur qui laisse de tout ces couples fugaces comme les étoiles, ils laisseront un désir à cette vieille grande bâtisse d'un peuple perdu plein d'odeurs et de bois brûlé dans la cheminée avec une bouteille de champagne.
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