Le mur des disparus à Ploubazlanec (22)

Le mur des disparus à Ploubazlanec


13 Oct 2021

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Le mur des disparus à Ploubazlanec (22)

(Le « Mur des Disparus » Dans le cimetière du bourg de Ploubazlanec Le Mur des Disparus rend hommage aux victimes de la Grande Pêche, pratiquée dans toute la région de Paimpol de 1852 à 1935. On surnommait ces pêcheurs « Les Islandais » parce que c’est au large de l’Islande qu’ils partaient pendant de longs mois. Cette pêche dangereuse fit de nombreuses victimes : 120 goélettes disparurent et 2 000 marins perdirent la vie, engloutis dans la froide mer d’Islande. Dès 1859 et jusqu’en 1913, les familles des « péris en mer » prirent l’habitude d’apposer sur un mur du cimetière de Ploubazlanec des croix, des couronnes et des panneaux de bois portant le nom des disparus (appelés mémoires) pour perpétuer le souvenir de leurs fils, frères ou pères disparus en mer. A partir de 1939 le mur fut détruit pour pouvoir agrandir le cimetière et les mémoires furent repris par les familles. Mais en 1952 puis 1992 la municipalité décida de restaurer le mur et installa des plaques noires reprenant dans un ordre chronologique le nom des goélettes disparus en mer et le nombre éventuel de marins disparus en mer. En parcourant les noms égrenés sur ces mémoires, on prend conscience des dangers qu’on du affronter ces marins pour cette pêche qui était à la fois leur moyen de vivre … et parfois la cause de leur mort.)

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(Le « Mur des Disparus » Dans le cimetière du bourg de Ploubazlanec Le Mur des Disparus rend hommage aux victimes de la Grande Pêche, pratiquée dans toute la région de Paimpol de 1852 à 1935. On surnommait ces pêcheurs « Les Islandais » parce que c’est au large de l’Islande qu’ils partaient pendant de longs mois. Cette pêche dangereuse fit de nombreuses victimes : 120 goélettes disparurent et 2 000 marins perdirent la vie, engloutis dans la froide mer d’Islande. Dès 1859 et jusqu’en 1913, les familles des « péris en mer » prirent l’habitude d’apposer sur un mur du cimetière de Ploubazlanec des croix, des couronnes et des panneaux de bois portant le nom des disparus (appelés mémoires) pour perpétuer le souvenir de leurs fils, frères ou pères disparus en mer. A partir de 1939 le mur fut détruit pour pouvoir agrandir le cimetière et les mémoires furent repris par les familles. Mais en 1952 puis 1992 la municipalité décida de restaurer le mur et installa des plaques noires reprenant dans un ordre chronologique le nom des goélettes disparus en mer et le nombre éventuel de marins disparus en mer. En parcourant les noms égrenés sur ces mémoires, on prend conscience des dangers qu’on du affronter ces marins pour cette pêche qui était à la fois leur moyen de vivre … et parfois la cause de leur mort.)

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(Le « Mur des Disparus » Dans le cimetière du bourg de Ploubazlanec Le Mur des Disparus rend hommage aux victimes de la Grande Pêche, pratiquée dans toute la région de Paimpol de 1852 à 1935. On surnommait ces pêcheurs « Les Islandais » parce que c’est au large de l’Islande qu’ils partaient pendant de longs mois. Cette pêche dangereuse fit de nombreuses victimes : 120 goélettes disparurent et 2 000 marins perdirent la vie, engloutis dans la froide mer d’Islande. Dès 1859 et jusqu’en 1913, les familles des « péris en mer » prirent l’habitude d’apposer sur un mur du cimetière de Ploubazlanec des croix, des couronnes et des panneaux de bois portant le nom des disparus (appelés mémoires) pour perpétuer le souvenir de leurs fils, frères ou pères disparus en mer. A partir de 1939 le mur fut détruit pour pouvoir agrandir le cimetière et les mémoires furent repris par les familles. Mais en 1952 puis 1992 la municipalité décida de restaurer le mur et installa des plaques noires reprenant dans un ordre chronologique le nom des goélettes disparus en mer et le nombre éventuel de marins disparus en mer. En parcourant les noms égrenés sur ces mémoires, on prend conscience des dangers qu’on du affronter ces marins pour cette pêche qui était à la fois leur moyen de vivre … et parfois la cause de leur mort.)