Ghislaine

Ghislaine club

Posted: 15 Apr 2018


Taken: 04 Apr 2018

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un titre pour cette image ... ostentatoire ?

un titre pour cette image ... ostentatoire ?
En ces temps de réformes sociales* , menées à un train d'enfer , l'Eglise avance benoîtement sous la crosse Papale .
La France s'exaspère entre sa Marianne , ses frontons "Liberté-Egalité-Fraternité" , et son dernier élu (dont le prénom signifie "Dieu est avec nous"**) .
L'Eglise chrétienne chemine sous cette croix , oublieuse du ἰχθύς du Christianisme primitif .

* suivre l'actualité [ndlr]
** certains nomment celà "fatum"
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21 comments - The latest ones
 Typo93
Typo93 club
Comment voulez-vous que je vous aide ? Ça fait presque 2000 ans que je suis accroché là !
Si j'aurais su, j'aurais pas venu...
6 years ago. Edited 6 years ago.
Ghislaine club has replied to Typo93 club
Il faut lui accorder , que quels que soient ses torts , il ne s'est pas accroché tout seul , et surtout pas de cette manière inadaptée ...
6 years ago. Edited 6 years ago.
 Sylvain Wiart
Sylvain Wiart
Plus jamais ça avec les clous Rivierre
6 years ago.
Ghislaine club has replied to Sylvain Wiart
que tu dis : le clou ne faillira pas mais la main ...
consulte une planche anatomique de la main et tu comprendras le problème ...
6 years ago.
Typo93 club has replied to Ghislaine club
Il n'a jamais été cloué, c'est impossible. Les suppliciés étaient "juste" attachés par des liens.
6 years ago.
Ghislaine club has replied to Typo93 club
nous le savons , l'iconographie n'a jamais fait dans le réalisme ...
quoique : le drap montre au spectateur que Jésus était un homme .

chercher l'erreur : exhiber un supplicié , et cacher son sexe ...
6 years ago.
Typo93 club has replied to Ghislaine club
Même sa tenue "vestimentaire" me semble relever de l'imaginaire.
L'homme, avec sa grande imagination, a inventé toutes sortes de mises à mort mais à ma connaissance tous les condamnés étaient habillés (au minimum en chemise).
Les chrétiens livrés aux lions ? Habillés.
Jeanne d'Arc sur le bûcher ? Habillée.
Ravaillac se faisant écarteler ? Habillé.
Louis XVI sur l'échafaud ? Habillé.
Cela dit, un homme sur une croix, c'est plus "esthétique" que ces exemples, faut le reconnaître. Le Christ décapité, nous aurions eu des haches dans les églises et les cimetières. Et essaie de faire le signe de hache... Pas évident !
6 years ago. Edited 6 years ago.
Sylvain Wiart has replied to Typo93 club
Les victimes des chambres à gaz n'étaient pas officiellement condamnées mais elles furent effectivement mises à nu et exécutées...
6 years ago. Edited 6 years ago.
Ghislaine club has replied to Typo93 club
Jésus était "habillé" comme les copains ; neanmoins plus exploitable en "produit dérivé" , un sacré marché du temple ...
6 years ago.
Ghislaine club has replied to Sylvain Wiart
cendres et fumėes , comptabiliséses dans des registres ...
depuis bientôt 2000 ans accusées collectivement de l'exécution du précédent .
6 years ago.
Typo93 club has replied to Sylvain Wiart
Je voulais parler des exécutions "officielles", les génocides sont malheureusement une autre histoire.
6 years ago.
Typo93 club has replied to Ghislaine club
Le pauvre Jésus, qui était juif lui-même (il faut le rappeler), ne se doutait pas des conséquences que ses paroles auraient des siècles plus tard !
6 years ago.
Ghislaine club has replied to Typo93 club
woui , il est à l'origine d'une secte labellisée , et de ces nombreuses filiales , une vaste famille à couteaux tirés , dans lesquelles nous sommes tous impliqués ...
pas de jocker !!!
6 years ago.
 DOMCHO
DOMCHO club
Un calvaire cette position .....
6 years ago.
Ghislaine club has replied to DOMCHO club
dans le mille
6 years ago.
 Damir
Damir
un medecin temoigne au sujet de la crucifixion :
Il y a une dizaine d’années, en lisant «Le jour où Christ est mort» par Jim Bishop, j’ai réalisé que j’avais pris la crucifixion plus ou moins pour acquise – que je m’étais endurci à son horreur par une connaissance trop facile des détails sinistres et d’une amitié trop éloignée avec notre Seigneur. J’ai finalement réalisé que, bien qu’étant médecin, je ne savais même pas ce qui avait causé sa mort. Les auteurs de l’Évangile ne nous aident pas beaucoup sur ce point, parce que la flagellation et la crucifixion étaient si communes pendant leur vie qu’ils avaient apparemment considéré une description détaillée inutile. Ainsi, nous avons seulement les mots concis des Évangélistes:

« Pilate, ayant fait battre de verges Jésus, le livra à eux pour être crucifié — et ils l’ont crucifié. «

Ceci m’a amené tout d’abord à une étude de la pratique de la crucifixion elle-même ; c’est-à-dire, la torture et l’exécution par la fixation à une croix. Je me dois beaucoup envers ceux qui ont étudié ce sujet dans le passé, et particulièrement à un collègue contemporain, le Dr. Pierre Barbet, un chirurgien français qui a fait une recherche historique et expérimentale approfondie et a écrit intensivement sur le sujet.

Je n’ai aucune compétence pour discuter la douleur psychique et spirituelle infinie de Dieu incarné expiant les péchés de l’homme après la Chute. Mais, il m’a semblé qu’en tant que médecin, je pourrais discourir sur les aspects physiologiques et anatomiques de la passion de notre Seigneur.

Qu’est-ce que le corps de Jésus de Nazareth a supporté réellement pendant ces heures de torture ?
Il semble que la première pratique connue de la crucifixion fut par les Perses. Alexandre et ses généraux l’ont ramenée dans le monde méditerranéen — en Égypte et à Carthage. Les Romains ont semble-t-il appris la pratique des Carthaginois et (comme avec presque tout ce que les Romains ont touché) ils l’ont rapidement développé à un degré très élevé d’efficacité et de compétence. Un certain nombre d’auteurs romains (Livie, Cicéron, Tacite) présentent leurs observations sur la crucifixion, et plusieurs innovations, modifications, et variations sont décrites dans la littérature antique.

Par exemple, la partie transversale de la croix (le patibulum) pouvait être attachée deux ou trois pieds en bas de l’extrémité du poteau planté (stauros) , on se réfère à ce modèle généralement comme étant la croix latine. La forme la plus commune utilisée au temps de notre Seigneur, cependant, était la croix de Tau, formée comme notre T. Le patibulum était placé dans une entaille en haut du poteau. Il y a des évidences archéologiques qui démontrent que c’était sur ce type de croix que Jésus a été crucifié.

Sans aucune preuve historique ou biblique, les peintres médiévaux et de la Renaissance nous ont donné notre image du Christ portant la croix entière. Mais le poteau droit était généralement fixé de manière permanente dans la terre à l’emplacement de l’exécution et l’homme condamné était forcé de porter le patibulum, pesant à environ 110 livres, de la prison à l’endroit de l’exécution.

Plusieurs peintres et la plupart des sculpteurs de la crucifixion, montrent également les clous plantés dans les paumes. Les récits romains historiques et le travail expérimental ont établi que les clous étaient plantés dans les petits os des poignets (radial et cubitus), non pas dans les paumes. Les clous plantés dans les paumes auraient déchiré la peau et seraient sortis des mains sous le poids du corps humain. Cette idée fausse a peut-être sa source dans une mauvaise compréhension des paroles de Jésus à Thomas, » observent mes mains. » Les anatomistes, modernes et antiques, ont toujours considéré le poignet comme faisant partie de la main.

Un petit écriteau (titulus) énonçant le crime de la victime, fixé habituellement sur un bâton, était porté à l’avant du cortège en sortant de la prison, et plus tard cloué sur la croix au-dessus de la tête. Cet écriteau cloué au dessus de la croix lui aurait donné un peu la forme caractéristique de la croix latine.

Mais, bien entendu, la passion physique du Christ a commencé à Gethsemane. Parmi les nombreux aspects de cette première souffrance, la sueur sanglante est celui portant le plus grand intérêt physiologique. Point intéressant, Luc, le médecin, est le seul à la mentionner. Il dit,

» et étant dans l’agonie, il a prié plus instamment et sa sueur est devenue comme des grumeaux de sang qui tombaient par terre. «

Toutes les explications imaginables ont été avancées par les érudits modernes pour dénigrer cette description, apparemment sous l’impression erronée qu’il est impossible que cela se produise. Si les douteurs avaient consulté la littérature médicale, ils auraient ménagé bien des efforts. Bien que cela se produise très rarement, le phénomène d’hématidrose, ou la sueur sanglante, est bien documenté. Subissant un stress émotif intense, les minuscules capillaires dans les glandes de sueur de notre Seigneur ont pu se briser, mélangeant ainsi le sang à la sueur. Ce processus a pu provoquer une faiblesse marquée et un état de choc.

Après que l’arrestation au milieu de la nuit, Jésus fut emmené devant le Sanhédrin et Caïphe, le souverain sacrificateur ; c’est ici que le premier traumatisme physique lui fut infligé. Un soldat a frappé Jésus au visage parce qu’il est demeuré silencieux après avoir été interrogé par Caïphe. Les gardes du palais lui ont bandé les yeux et se sont moqués de lui en le défiant d’identifier ceux qui passaient devant lui en lui crachant dessus et en le frappant.

Tôt le matin, battu et meurtri, déshydraté, et épuisé par une nuit sans sommeil, Jésus est conduit à travers le prétoire de la forteresse Antonia, le siège du gouvernement du procurateur de Judée, Ponce Pilate. Vous êtes, bien sûr, au courant de la tentative de Pilate de passer la responsabilité à Hérode Antipas, le Tétrarche de Judée. Jésus ne semble pas avoir souffert d’aucun mauvais traitement physique aux mains de Hérode qui l’a retourné à Pilate. En réaction aux cris de la foule, Pilate a ordonné que Barabbas soit libéré et condamné Jésus à être flagellé et crucifié.

Il y a beaucoup de désaccord parmi les autorités en la matière à propos de la flagellation comme prélude inhabituel à la crucifixion. La plupart des auteurs romains de cette période n’associent pas les deux. Plusieurs érudits croient que Pilate a, à l’origine, commandé que Jésus soit seulement flagellé et que la sentence de mort par crucifixion est venue seulement en réponse aux railleries de la foule que le procurateur ne défendait pas correctement César contre ce prétendant qui se présentait comme le Roi des Juifs.

Les préparations pour la flagellation consistaient à dépouiller le prisonnier de ses vêtements et à lui attacher ses mains à un poteau au-dessus de sa tête. La loi juive limitait à 40 le nombre de coups, mais il est douteux que les Romains en aient tenu compte.

Le légionnaire romain s’avançait avec le fouet (flagrum ou flagellum) dans sa main. C’est un fouet court se composant de plusieurs lanières de cuir pesantes avec deux petites boules de plomb attachées près du bout. Le légionnaire fouettait de toutes ses forces les épaules, le dos, et les jambes de Jésus. En premier lieu, les lanières lacèrent la peau seulement. Ensuite, alors que les coups se succèdent, ils entament les tissus sous-cutanés, produisant d’abord un suintement de sang provenant des capillaires et des veines de la peau, et finalement, c’est le saignement artériel qui gicle des vaisseaux musculaires.

Les petites boules de plomb produisent d’abord des contusions larges et profondes qui sont ouvertes par les coups suivants. Enfin, la peau du dos pend par de longs lambeaux et toute la région dorsale est une masse méconnaissable de tissu déchiré et saignant. Quand le centurion estime que le prisonnier est près de mourir, il fait cesser la flagellation.

Jésus, à moitié évanoui, est alors délié et il s’effondre alors sur le trottoir en pierre, mouillé avec son propre sang. Les soldats romains trouvent cela bien drôle que ce Juif venant de la campagne prétende être roi. Ils lui jettent sur les épaules une robe longue et placent un bâton dans sa main pour servir de sceptre. Ils ont encore besoin d’une couronne pour terminer leur déguisement. Des branches flexibles couvertes de longues épines (généralement utilisées pour attacher par paquets le bois de chauffage) sont tressées dans la forme d’une couronne, puis sont enfoncées dans son cuir chevelu. Encore une fois, Jésus saigne abondamment, le cuir chevelu étant un des secteurs les plus vasculaires du corps.

Après s’être moqués de lui et l’avoir frappé au visage, les soldats lui ôtent le bâton de sa main et s’en servent pour le frapper sur la tête, enfonçant les épines plus profondément dans son cuir chevelu. Finalement, ils se fatiguent de leur sport sadique et ils arrachent la robe du corps de Jésus. La robe ayant déjà adhéré aux caillots de sang et de sérum dans les blessures, elle lui cause une douleur atroce quand on la lui enlève, comme quelqu’un qui enlève sans précaution un bandage chirurgical. Les blessures commencent alors une fois de plus à saigner, presque comme si elles encore étaient fouettés.

Par déférence pour la coutume juive, les Romains lui redonnent ses vêtements. Le patibulum lourd de la croix est attaché sur ses épaules, et le cortège du Christ condamné (les deux voleurs, et un petit groupe de soldats romains chargés de l’exé
6 years ago.
Ghislaine club has replied to Damir
Merci Damir pour ce témoignage ...

:o)))
6 years ago.
 chimèle ...
chimèle ...
tu fais concurrence à Dali ???
6 years ago.
Ghislaine club has replied to chimèle ...
pas possible , je savais pas que Dali s'était penché sur le problème ...

mais si cela doit m'élever à son niveau de people , je veux bien rentrer dans les pages roses du dico et dans wiki !!!
6 years ago.
chimèle ... has replied to Ghislaine club
c'est pour le raccourci .....
6 years ago.
 Sylvain Wiart
Sylvain Wiart
Non à la déforestation, oui à la crucifixion sur arbre vivant !!
Vu dans : www.ipernity.com/group/concerned-engagee
5 years ago. Edited 5 years ago.

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