Anima

"L'homme dècéde mais ne meurt pas." Proverbe tibétain

Photo & film par Tara Sehunlipo enregistrement du 27.11.2010 Cédric Marcucci: Batterie,percussions Henri Herteman: Piano Numérique,Trombone,Flute Traversière Jao Remsso: Guitares & synthétiseur de guitare,piano Numérique. Tara Sehunlipo; Basse sur "Alma"(Flamenco Catatlan) édition :Jao

"Les lumières centrales de la cellule sont parfaitement synchrones. Elles se voient et se connaissent et se répondent à travers tous les espaces et tous les corps" Satprem InstannéAimant éthernel

La méditation est un des arts majeurs dans la vie, peut-être « l’art suprême », et on ne peut l’apprendre de personne : c’est sa beauté. La méditation est un des arts majeurs dans la vie, peut-être « l’art suprême », et on ne peut l’apprendre de personne : c’est sa beauté. Il n’a pas de technique, donc pas d’autorité. Lorsque vous apprenez à vous connaître, observez-vous, observez la façon dont vous marchez, dont vous mangez, ce que vous dites, les commérages, la haine, la jalousie —être conscient de tout cela en vous, sans option, fait partie de la méditation. Ainsi la méditation peut avoir lieu alors que vous êtes assis dans un autobus, ou pendant que vous marchez dans un bois plein de lumière et d’ombres, ou lorsque vous écoutez le chant des oiseaux, ou lorsque vous regardez le visage de votre femme ou de votre enfant. Comprendre ce qu’est la méditation implique l’amour : l’amour qui n’est pas le produit de systèmes, d’habitudes, d’une méthode. L’amour ne peut pas être cultivé par la pensée ; mais il peut —peut-être— naître dans un silence complet en lequel celui qui médite est entièrement absent. Un esprit ne peut être silencieux que lorsqu’il comprend son propre mouvement en tant que penser et sentir, et, pour le comprendre, il ne doit rien condamner au cours de son observation. Observer de cette façon est une discipline fluide, libre, qui n’est pas celle du conformisme. « Se libérer du connu », J. Krishnamurti

Que n'ai-je Merci

Par les sons, les silences,les couleurs-poésie...

A l'instar de la transe du derviche tourneur ,nous nouons et dénouons sur boucles (voix, souffles,bruits..) et arpèges;délaissant les désirs de formes-types pour les rythmes librement mêles ,nous voyageons dans la musique comme dans des temps rêvés.