Henri Boddaerd's photos

Construit à la fin du XIe siècle par Roger III de TOSNY, seigneur de Conches. L'épaisseur des murs est de 2,60m. Les murs et les embrasures des fenêtres étaient enduits d'une couche de mortier mélangé de chaux et de sable fin afin de donner une apparence plus noble à cette construction en silex. Le toit était conique et surmonté d'un bel épis en terre cuite représentant des figures d'oiseaux et d'animaux. Il y avait au moins trois étages. Remarquable château bati autour d'une motte, avec une tour maitresse circulaire primitivement voutée d'ogives et une enceinte flanqué coté de l'attaque par des tours circulaires jointives pourvues d'archeres en rame, et de talus carrés. Ce château de l'extreme fin du XIIe siècle est d'une construction sous influence Plantagenet.

Construit à la fin du XIe siècle par Roger III de TOSNY, seigneur de Conches. L'épaisseur des murs est de 2,60m. Les murs et les embrasures des fenêtres étaient enduits d'une couche de mortier mélangé de chaux et de sable fin afin de donner une apparence plus noble à cette construction en silex. Le toit était conique et surmonté d'un bel épis en terre cuite représentant des figures d'oiseaux et d'animaux. Il y avait au moins trois étages. Remarquable château bati autour d'une motte, avec une tour maitresse circulaire primitivement voutée d'ogives et une enceinte flanqué coté de l'attaque par des tours circulaires jointives pourvues d'archeres en rame, et de talus carrés. Ce château de l'extreme fin du XIIe siècle est d'une construction sous influence Plantagenet.

Construit à la fin du XIe siècle par Roger III de TOSNY, seigneur de Conches. L'épaisseur des murs est de 2,60m. Les murs et les embrasures des fenêtres étaient enduits d'une couche de mortier mélangé de chaux et de sable fin afin de donner une apparence plus noble à cette construction en silex. Le toit était conique et surmonté d'un bel épis en terre cuite représentant des figures d'oiseaux et d'animaux. Il y avait au moins trois étages. Remarquable château bati autour d'une motte, avec une tour maitresse circulaire primitivement voutée d'ogives et une enceinte flanqué coté de l'attaque par des tours circulaires jointives pourvues d'archeres en rame, et de talus carrés. Ce château de l'extreme fin du XIIe siècle est d'une construction sous influence Plantagenet.

Le domaine de Fontaine-La-Sorêt est une remarquable illustration d’une grande propriété française, datant dans son aspect actuel, du milieu du XVIIIe siècles. Le château lui-même est entouré de terrasses, de jardins et d’un parc d’environ 15 hectares. Il fut construit de 1764 à 1769 par Monsieur d’Augny qui construisait alors la route Royale de Paris à Caen. De cette époque subsiste notamment un cèdre du Liban planté vers 1770. Aux alentours immédiats s’étendent divers bâtiments : conciergeries, communs, écuries et manège, chaumière, ancien presbytère du village devenu la “laiterie”. Sa visite permet de découvrir trois parties distinctes datant chacune dans leurs structures d’époques différentes sans nuire à l’unité et l’équilibre de l’ensemble.

Le domaine de Fontaine-La-Sorêt est une remarquable illustration d’une grande propriété française, datant dans son aspect actuel, du milieu du XVIIIe siècles. Le château lui-même est entouré de terrasses, de jardins et d’un parc d’environ 15 hectares. Il fut construit de 1764 à 1769 par Monsieur d’Augny qui construisait alors la route Royale de Paris à Caen. De cette époque subsiste notamment un cèdre du Liban planté vers 1770. Aux alentours immédiats s’étendent divers bâtiments : conciergeries, communs, écuries et manège, chaumière, ancien presbytère du village devenu la “laiterie”. Sa visite permet de découvrir trois parties distinctes datant chacune dans leurs structures d’époques différentes sans nuire à l’unité et l’équilibre de l’ensemble.

Le domaine de Fontaine-La-Sorêt est une remarquable illustration d’une grande propriété française, datant dans son aspect actuel, du milieu du XVIIIe siècles. Le château lui-même est entouré de terrasses, de jardins et d’un parc d’environ 15 hectares. Il fut construit de 1764 à 1769 par Monsieur d’Augny qui construisait alors la route Royale de Paris à Caen. De cette époque subsiste notamment un cèdre du Liban planté vers 1770. Aux alentours immédiats s’étendent divers bâtiments : conciergeries, communs, écuries et manège, chaumière, ancien presbytère du village devenu la “laiterie”. Sa visite permet de découvrir trois parties distinctes datant chacune dans leurs structures d’époques différentes sans nuire à l’unité et l’équilibre de l’ensemble.

Le domaine de Fontaine-La-Sorêt est une remarquable illustration d’une grande propriété française, datant dans son aspect actuel, du milieu du XVIIIe siècles. Le château lui-même est entouré de terrasses, de jardins et d’un parc d’environ 15 hectares. Il fut construit de 1764 à 1769 par Monsieur d’Augny qui construisait alors la route Royale de Paris à Caen. De cette époque subsiste notamment un cèdre du Liban planté vers 1770. Aux alentours immédiats s’étendent divers bâtiments : conciergeries, communs, écuries et manège, chaumière, ancien presbytère du village devenu la “laiterie”. Sa visite permet de découvrir trois parties distinctes datant chacune dans leurs structures d’époques différentes sans nuire à l’unité et l’équilibre de l’ensemble.

Le domaine de Fontaine-La-Sorêt est une remarquable illustration d’une grande propriété française, datant dans son aspect actuel, du milieu du XVIIIe siècles. Le château lui-même est entouré de terrasses, de jardins et d’un parc d’environ 15 hectares. Il fut construit de 1764 à 1769 par Monsieur d’Augny qui construisait alors la route Royale de Paris à Caen. De cette époque subsiste notamment un cèdre du Liban planté vers 1770. Aux alentours immédiats s’étendent divers bâtiments : conciergeries, communs, écuries et manège, chaumière, ancien presbytère du village devenu la “laiterie”. Sa visite permet de découvrir trois parties distinctes datant chacune dans leurs structures d’époques différentes sans nuire à l’unité et l’équilibre de l’ensemble.

Le domaine de Fontaine-La-Sorêt est une remarquable illustration d’une grande propriété française, datant dans son aspect actuel, du milieu du XVIIIe siècles. Le château lui-même est entouré de terrasses, de jardins et d’un parc d’environ 15 hectares. Il fut construit de 1764 à 1769 par Monsieur d’Augny qui construisait alors la route Royale de Paris à Caen. De cette époque subsiste notamment un cèdre du Liban planté vers 1770. Aux alentours immédiats s’étendent divers bâtiments : conciergeries, communs, écuries et manège, chaumière, ancien presbytère du village devenu la “laiterie”. Sa visite permet de découvrir trois parties distinctes datant chacune dans leurs structures d’époques différentes sans nuire à l’unité et l’équilibre de l’ensemble.

Le domaine de Fontaine-La-Sorêt est une remarquable illustration d’une grande propriété française, datant dans son aspect actuel, du milieu du XVIIIe siècles. Le château lui-même est entouré de terrasses, de jardins et d’un parc d’environ 15 hectares. Il fut construit de 1764 à 1769 par Monsieur d’Augny qui construisait alors la route Royale de Paris à Caen. De cette époque subsiste notamment un cèdre du Liban planté vers 1770. Aux alentours immédiats s’étendent divers bâtiments : conciergeries, communs, écuries et manège, chaumière, ancien presbytère du village devenu la “laiterie”. Sa visite permet de découvrir trois parties distinctes datant chacune dans leurs structures d’époques différentes sans nuire à l’unité et l’équilibre de l’ensemble.

Le domaine de Fontaine-La-Sorêt est une remarquable illustration d’une grande propriété française, datant dans son aspect actuel, du milieu du XVIIIe siècles. Le château lui-même est entouré de terrasses, de jardins et d’un parc d’environ 15 hectares. Il fut construit de 1764 à 1769 par Monsieur d’Augny qui construisait alors la route Royale de Paris à Caen. De cette époque subsiste notamment un cèdre du Liban planté vers 1770. Aux alentours immédiats s’étendent divers bâtiments : conciergeries, communs, écuries et manège, chaumière, ancien presbytère du village devenu la “laiterie”. Sa visite permet de découvrir trois parties distinctes datant chacune dans leurs structures d’époques différentes sans nuire à l’unité et l’équilibre de l’ensemble.

Le château de Bois-Héroult est niché en Seine-Maritime. Un parc de 7 hectares, planté par le grand botaniste Le Turquier de Longchamp (1748-1829), agrémente la propriété. Ancienne propriété de Gabriel de Broglie de l'académie française, chancelier de l'institut, le domaine de Bois Héroult a été légué en 2006 par ce dernier à sa fille, la comtesse de Lamaze.Ils sont les principaux artisans de la reconstruction du grand commun, du perron Louis XV avec sa magnifique rampe en fer forgé, de la statue de Flore et Zéphyr, du parc et de la belle roseraie, créé selon les plans anciens, conservés, du domaine.