Bédé's photos

J'ai pris le titre d'un film de Klapisch parce-que le type de vie que je menais avec quelques copains correspondait tout à fait au scénario de ce film. En 1988 nous avions entendu qu'à Berlin il y avait de la bonne musique et le mouvement "alternatif" faisait beaucoup parler de lui. Alors nous nous sommes dit qu'il y avait là sans doute une petite place pour nous... Nous voici donc sur un banc du Tiergarten . Un troisième larron prend la photo et moi vous devinerez facilement lequel des deux je suis je crois... A côté de moi c'est T.... l'enfer tel était son surnom, le diable en personne ... Il faut dire que je n'étais pas en reste non plus... Nous voilà donc arrivés après une bonne nuit de route à travers l'Allemagne d'Ouest en Est , avec un peu de musique dans les oreilles pendant la route www.youtube.com/watch?v=SHhrZgojY1Q On avait peur de rien, on attendait juste que la nuit tombe pour commencer à faire la fête et renifler la trace des filles. Ah oui en cette année là on parlait beaucoup de changements à l'Est avec des mots comme "Glasnost" et "Perestroïka" ça aussi on voulait en renifler le parfum .... Kodak Tmax 100 Pentax super A + 50 mm.

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www.youtube.com/watch?v=sjVRkOGlr9I Ilford FP4 Pentax super A + 50 mm.

www.youtube.com/watch?v=UOHCw7CFkN4 Kodak T Max 100 Pentax super a + 28 mm

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www.youtube.com/watch?v=bLubZeCa-Og&hd=1 C'est fou c' que j' peux t'aimer, C' que j' peux t'aimer, des fois, Des fois, j' voudrais crier Car j' n'ai jamais aimé, Jamais aimé comme ça. Ça, je peux te l'jurer. Si jamais tu partais, Partais et me quittais, Me quittais pour toujours, C'est sûr que j'en mourrais, Que j'en mourrais d'amour, Mon amour, mon amour... C'est fou c' qu'il me disait Comme jolis mots d'amour Et comme il les disait Mais il ne s'est pas tué Car, malgré mon amour, C'est lui qui m'a quittée Sans dire un mot. Pourtant des mots, 'y en avait tant, 'y en avait trop... C'est fou c' que j' peux t'aimer, C' que j' peux t'aimer, des fois, Des fois, je voudrais crier Car j' n'ai jamais aimé, Jamais aimé comme ça. Ça, je peux te l'jurer. Si jamais tu partais, Partais et me quittais, Me quittais pour toujours, C'est sûr que j'en mourrais, Que j'en mourrais d'amour, Mon amour, mon amour... Et voilà qu'aujourd'hui, Ces mêmes mots d'amour, C'est moi qui les redis, C'est moi qui les redis Avec autant d'amour A un autre que lui. Je dis des mots Parce que des mots, Il y en a tant Qu'il y en a trop... C'est fou c' que j' peux t'aimer, C' que j' peux t'aimer des fois, Des fois, j' voudrais crier Car j' n'ai jamais aimé, Jamais aimé comme ça. Ça, je peux te l'jurer. Si jamais tu partais, Partais et me quittais, Me quittais pour toujours, C'est sûr que j'en mourrais,, Que j'en mourrais d'amour Mon amour, mon amour... Au fond c' n'était pas toi. Comme ce n'est même pas moi Qui dit ces mots d'amour Car chaque jour, ta voix, Ma voix, ou d'autres voix, C'est la voix de l'amour Qui dit des mots, Encore des mots, Toujours des mots, Des mots d'amour... C'est fou c' que j' peux t'aimer, C' que j' peux t'aimer, des fois... Si jamais tu partais, C'est sûr que j'en mourrais... C'est fou c' que j' peux t'aimer, C' que j' peux t'aimer... d'amour... Kodak T max 100 Pentax super A + 50 mm

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