AMOUR suffocante bouffée d'éternel dans les fondrières de l'éphémère ...

Excellente **********

Recueillement
Sois sage, ô ma Douleur, et tiens-toi plus tranquille.
Tu réclamais le Soir ; il descend ; le voici :
Une atmosphère obscure enveloppe la ville,
Aux uns portant la paix, aux autres le souci.

Pendant que des mortels la multitude vile,
Sous le fouet du Plaisir, ce bourreau sans merci,
Va cueillir des remords dans la fête servile,
Ma douleur, donne-moi la main ; viens par ici,

Loin d'eux. Vois se pencher les défuntes Années,
Sur les balcons du ciel, en robes surannées ;
Surgir du fond des eaux le Regret souriant ;

Le Soleil moribond s'endormir sous une arche,
Et, comme un long linceul traînant à l'Orient,
Entends, ma chère, entends la douce Nuit qui marche.

La conscience cet objet de mon grand désarroi.
Très belle Femme.

Magnifique comme toujours ma chérie et ce noir et blanc rend la pureté de tes traits encore plus belle. avec les ombres des pétales de fleurs et ce voile impalpable! mmmmmmmmmMMMMMMMM.